COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. De l’autre côté des puits (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. De l’autre côté des puits (1/1)
Cours Susy, tu sais pourquoi ces trois hommes cherchent à t’attraper ?
Ils en ont après ma vertu.
Ouf je franchis la porte de cette cabane crasseuse.
Devant moi un champ de neige sans fin.
Aucun endroit pour me cacher.
À quelques dizaines de mètres de moi, le puits.
Seul endroit, étant mon salut, ça je le sais.
Malgré ma nudité je m’élance.
Plus je me rapproche et plus le seau posé sur la margelle au bout d’une corde semble être mon seul salut.
J’arrive à l’atteindre, je mets le pied à l’intérieur et je me jette dans le vide.
J’entends le bruit de la corde qui passe dans la gorge de la poulie servant à descendre et remonter le seau.
Je sais ne pas sentir l’eau sous moi.
Je tombe, je tombe, je tombe.
Ce puits semble sans fond.
On peut penser que je vais m’écraser sur des rochers pour échapper à ces hommes du royaume des ours.
Un bruit comme celui que l’on peut faire quand on tombe sur un fauteuil en cuir.
En même temps une grande lumière.
Je m’accroche à ce qui ressemble être une crinière elle aussi en cuir.
Le bruit que fait Casart mon dragon venu me récupérer au moment où il crache le feu de contentement de me voir me met en liesse.
Il est toujours en pleine forme.
- Casart, ramène-moi chez moi, j’ai hâte de retrouver mon peuple.
Impériale, juchée sur son dos à la croisée de ses ailes, je vois arriver mon royaume.
Les tours majestueuses de mon château se présentant à mon regard.
Comme pour venir me saluer, des dizaines d’autres dragons viennent voler autour de nous.
Aucun doute, Casart est le plus majestueux de tous.
C’est bien, fait voir à tous que leur maîtresse est de retour et pose toi près de mes déesses.
C’est ce qu’il fait, un mâle est là.
Il avance et se met à genoux le long du corps de Casart.
C’est mon valet vivant juste pour que je lui marche sur le dos pour éviter que je me casse la figure comme mon arrière, arrière, arrière-grand-mère en descendant de ces grands dragons.
- Bonjour Maîtresse avez-vous fait bon voyage ?
- Non Ectrat, au sommet de ce puits 1022 il n’y a rien de bien intéressant pour notre peuple.
Tous juste un mâle que j’ai réussi à isoler et qui n’a même pas réussi à me faire jouir.
J’ai regretté que Casart ne puisse pas remonter ces puits avec moi, il en aurait fait un magnifique rôti.
À part une mine d’or qui semble ne plus rien donner, je n’ai pas eu l’impression que ce puits peut nous être de la moindre utilité.
Ectrat envoie nos dragons avec nos guerriers les envahir.
Qu’ils pillent leur or et dès qu’ils seront revenus, Casart le bouchera de sa flamme la plus puissante de tous mes dragons.
Le 1022 sera à jamais bouché pour les générations futures.
- Bien Maîtresse je donne les ordres.
Votre bain de lait de dragonne est près de vous recevoir.
Quand j’ai vu Casart commencer à voler de plus en plus longtemps et de plus en plus haut, je savais que vous étiez de retour.
J’entre dans ma chambre et ma salle de bain.
Casart connaît mes goûts en bain de ses femelles et c’est avec son souffle chaud qui l’a amené à température.
Le dragon qui s’occupait de ma mère la précédente Maîtresse avait été remplacé par un jeune le jour où rentrant dans son bain, elle s’était brûlée car trop vieux Loupat avait fait cuire le lait jusqu’à ébullition.
J’entre dans mon bain, c’est divin, c’est ce qui m’a manqué plus de l’autre côté du puits 1022.
Me prélasser dans ce liquide que je peux boire en même temps que je me lave et me détend, c’est extraordinaire.
- Dis-moi Ectrat, que s'est-il passé pendant mon absence ?
- Maîtresse Maloa a été conduite au mont des dragons et a été cuite à point.
- Maloa, la gardienne du temps ?
- Oui Maîtresse, elle s’était endormie et avait oublié de tourner notre sablier, nous avions perdu la notion du temps sur notre planète.
- C’est seulement Maloa qui s’est endormi, Poula elle a continué à faire le travail ?
- Oui, Maîtresse, vous avez eu une riche idée avant de partir de doubler les postes sur ce secteur sinon nous ne saurions plus le moment où nous sommes.
- Ce n’est pas beau de vieillir, surtout pour nous qui sommes immortelles.
- Vous avez raison Maîtresse, heureusement que nous avons les dragons pour nous réduire en poussière quand les choses dysfonctionnent.
Maîtresse vous connaissez mes obligations, je dois vous poser la question.
- Je sais Ectrat.
C’est ton principal travail en plus de partager ma couche avec tes jeunes déesses pour éviter de fatiguer Boula mon mâle dominant.
Je vais te dire, quand j’étais dans le monde de l’ours, j’ai réussi à baiser avec un homme de la tribu où j’ai débarqué.
Un bon amant, sur cette planète, tous les hommes ont de gros sexe mais ils ne savent pas s’en servir.
C’est en levrette qu’ils m’ont baisé, c’est du moins comme ça qu’il dise.
- Comment c'est Maîtresse, la levrette ?
- À quatre pattes, tu leur présentes ton cul et ils t’enfilent.
- Comme sur la terre le puits 950 où vous êtes allée, il y a deux siècles de prospection des puits ?
- Un peu pareille, mais à la différence c’est qu’eux ils ne pratiquent pas la sodomie.
Reconnais que lorsque tu baises avec Pita le chef de mes gardes, tu apprécies de te faire enfiler par l’anus ?
- C’est très vrai Maîtresse, dommage que le puits 950 ne sorte pas chaque fois.
Il semble qu’ils aient plein de pratiques qui peuvent nous être bien utile ces terriens.
- C’est ma grand-mère qui y est allée la première fois.
- Je sais nous étions toutes jeunes et nous n’avions pas encore conscience de notre rôle pour notre peuple.
Toi devant devenir la Maîtresse et moi la chef de tes déesses.
- La terre, c’est pour ce qu’elle contient que nous avons laissé le puits ouvert.
Pas d’invasion et pas de pillage de leurs ressources.
Tu te souviens quand j’en suis revenue, j’avais tellement baisé dans des endroits qu’ils appellent des clubs échangistes.
Comme grand-mère, je n’ai pas envoyé mon dragon le fermer.
Quand j’aurais ma fille ce qui ne sera pas le cas cette fois-ci, mon sang a coulé lors de mon séjour chez le peuple des ours.
Aide-moi à sortir de mon bain et amène le conseil avec Boula, son règne est terminé.
- Je fais venir Sala son fils que nous avons préparé pour prendre sa succession.
Vous verrez les déesses ont bien travaillé mais c’était facile il est deux fois mieux monté que Boula.
Il a un gland qui va vous défoncer Maîtresse.
- Il sait sodomiser ?
- Sans problème, c’est moi qui lui ai appris lors de son dix-huitième sablier.
C’était du temps où Maloa était encore active.
Mon conseil formé de mes déesses, de la Maître du temps et de la gardienne de notre nurserie, poste à haute responsabilité sont en face de mon trône dans la salle du conseil.
À l’entrée Casart est là sur son perchoir attendant mes décisions.
Je passe lui flatter le museau faisant attention de ne pas déclencher son feu purificateur avant d’aller m’assoir.
- Boula, j’ai saigné chez le peuple des ours, tu sais ce que cela signifie ?
- Oui, Maîtresse je vais suivre Casart sur le mont des supplices.
J’espère que mon fils saura vous satisfaire.
Grâce à vous Maîtresse, j’ai eu une vie de rêve, j’espère que Sala aura la même.
Une nouvelle fois Casart va avoir du travail.
C’est la loi sur ma planète.
Nos dragons ont mille utilités.
L’une d’elles c’est de fermer les puits quand je le demande mais aussi de nous transformer en poussière par leurs flammes.
Cette flamme seule moyen de nous faire disparaître, nous sommes immortels.
Dès que j’aurais une fille, hélas j’ai eu huit garçons depuis que je suis la Maîtresse.
Ils ont été dans la nursery avant de rejoindre ma garde où les déesses les baisent.
Les puits servent aussi à ça.
Nos hommes dont mon mâle dominant Boula jusqu’au sablier qui coule en ce moment ont peu de spermatozoïde femelle.
Comme notre planète doit être dirigée par une femme, la Maîtresse est la seule qui peut en explorer d’autres.
En plus comme Maîtresse je suis la seule qui peut remonter les puits pour ressortir dans ces autres planètes.
- Sala, approche.
Fait voir à tous comment tu es monté et comment tu vas me satisfaire devant tout mon conseil.
La maîtresse doit se plier à cette cérémonie.
Je descends sur la peau d’ours ramenée d’une autre planète.
Il m’embrasse, son père savait emballer.
Merci à Ectrat, elle l’a bien préparé car si comme femme nous saignons nous coulons aussi quand notre plaisir se fait sentir.
Il m’allonge, sa bouche vient se coller à ma chatte et m’apporte un premier orgasme.
Il se redresse je suis sur le dos.
Sa verge entre en moi.
Je le bloque avec mes jambes et je pars une nouvelle fois.
C’est exact, il est mieux monté que son père.
J’ignore combien de temps je vais régner, ce que je sais c’est que je vais passer de bons moments.
Nul doute que j’aurais à vous narrer mon prochain voyage surtout s’il est vers la terre.
Planète qui m’a particulièrement marqué comme elle a marqué mon arrière-grand-mère.
Ils en ont après ma vertu.
Ouf je franchis la porte de cette cabane crasseuse.
Devant moi un champ de neige sans fin.
Aucun endroit pour me cacher.
À quelques dizaines de mètres de moi, le puits.
Seul endroit, étant mon salut, ça je le sais.
Malgré ma nudité je m’élance.
Plus je me rapproche et plus le seau posé sur la margelle au bout d’une corde semble être mon seul salut.
J’arrive à l’atteindre, je mets le pied à l’intérieur et je me jette dans le vide.
J’entends le bruit de la corde qui passe dans la gorge de la poulie servant à descendre et remonter le seau.
Je sais ne pas sentir l’eau sous moi.
Je tombe, je tombe, je tombe.
Ce puits semble sans fond.
On peut penser que je vais m’écraser sur des rochers pour échapper à ces hommes du royaume des ours.
Un bruit comme celui que l’on peut faire quand on tombe sur un fauteuil en cuir.
En même temps une grande lumière.
Je m’accroche à ce qui ressemble être une crinière elle aussi en cuir.
Le bruit que fait Casart mon dragon venu me récupérer au moment où il crache le feu de contentement de me voir me met en liesse.
Il est toujours en pleine forme.
- Casart, ramène-moi chez moi, j’ai hâte de retrouver mon peuple.
Impériale, juchée sur son dos à la croisée de ses ailes, je vois arriver mon royaume.
Les tours majestueuses de mon château se présentant à mon regard.
Comme pour venir me saluer, des dizaines d’autres dragons viennent voler autour de nous.
Aucun doute, Casart est le plus majestueux de tous.
C’est bien, fait voir à tous que leur maîtresse est de retour et pose toi près de mes déesses.
C’est ce qu’il fait, un mâle est là.
Il avance et se met à genoux le long du corps de Casart.
C’est mon valet vivant juste pour que je lui marche sur le dos pour éviter que je me casse la figure comme mon arrière, arrière, arrière-grand-mère en descendant de ces grands dragons.
- Bonjour Maîtresse avez-vous fait bon voyage ?
- Non Ectrat, au sommet de ce puits 1022 il n’y a rien de bien intéressant pour notre peuple.
Tous juste un mâle que j’ai réussi à isoler et qui n’a même pas réussi à me faire jouir.
J’ai regretté que Casart ne puisse pas remonter ces puits avec moi, il en aurait fait un magnifique rôti.
À part une mine d’or qui semble ne plus rien donner, je n’ai pas eu l’impression que ce puits peut nous être de la moindre utilité.
Ectrat envoie nos dragons avec nos guerriers les envahir.
Qu’ils pillent leur or et dès qu’ils seront revenus, Casart le bouchera de sa flamme la plus puissante de tous mes dragons.
Le 1022 sera à jamais bouché pour les générations futures.
- Bien Maîtresse je donne les ordres.
Votre bain de lait de dragonne est près de vous recevoir.
Quand j’ai vu Casart commencer à voler de plus en plus longtemps et de plus en plus haut, je savais que vous étiez de retour.
J’entre dans ma chambre et ma salle de bain.
Casart connaît mes goûts en bain de ses femelles et c’est avec son souffle chaud qui l’a amené à température.
Le dragon qui s’occupait de ma mère la précédente Maîtresse avait été remplacé par un jeune le jour où rentrant dans son bain, elle s’était brûlée car trop vieux Loupat avait fait cuire le lait jusqu’à ébullition.
J’entre dans mon bain, c’est divin, c’est ce qui m’a manqué plus de l’autre côté du puits 1022.
Me prélasser dans ce liquide que je peux boire en même temps que je me lave et me détend, c’est extraordinaire.
- Dis-moi Ectrat, que s'est-il passé pendant mon absence ?
- Maîtresse Maloa a été conduite au mont des dragons et a été cuite à point.
- Maloa, la gardienne du temps ?
- Oui Maîtresse, elle s’était endormie et avait oublié de tourner notre sablier, nous avions perdu la notion du temps sur notre planète.
- C’est seulement Maloa qui s’est endormi, Poula elle a continué à faire le travail ?
- Oui, Maîtresse, vous avez eu une riche idée avant de partir de doubler les postes sur ce secteur sinon nous ne saurions plus le moment où nous sommes.
- Ce n’est pas beau de vieillir, surtout pour nous qui sommes immortelles.
- Vous avez raison Maîtresse, heureusement que nous avons les dragons pour nous réduire en poussière quand les choses dysfonctionnent.
Maîtresse vous connaissez mes obligations, je dois vous poser la question.
- Je sais Ectrat.
C’est ton principal travail en plus de partager ma couche avec tes jeunes déesses pour éviter de fatiguer Boula mon mâle dominant.
Je vais te dire, quand j’étais dans le monde de l’ours, j’ai réussi à baiser avec un homme de la tribu où j’ai débarqué.
Un bon amant, sur cette planète, tous les hommes ont de gros sexe mais ils ne savent pas s’en servir.
C’est en levrette qu’ils m’ont baisé, c’est du moins comme ça qu’il dise.
- Comment c'est Maîtresse, la levrette ?
- À quatre pattes, tu leur présentes ton cul et ils t’enfilent.
- Comme sur la terre le puits 950 où vous êtes allée, il y a deux siècles de prospection des puits ?
- Un peu pareille, mais à la différence c’est qu’eux ils ne pratiquent pas la sodomie.
Reconnais que lorsque tu baises avec Pita le chef de mes gardes, tu apprécies de te faire enfiler par l’anus ?
- C’est très vrai Maîtresse, dommage que le puits 950 ne sorte pas chaque fois.
Il semble qu’ils aient plein de pratiques qui peuvent nous être bien utile ces terriens.
- C’est ma grand-mère qui y est allée la première fois.
- Je sais nous étions toutes jeunes et nous n’avions pas encore conscience de notre rôle pour notre peuple.
Toi devant devenir la Maîtresse et moi la chef de tes déesses.
- La terre, c’est pour ce qu’elle contient que nous avons laissé le puits ouvert.
Pas d’invasion et pas de pillage de leurs ressources.
Tu te souviens quand j’en suis revenue, j’avais tellement baisé dans des endroits qu’ils appellent des clubs échangistes.
Comme grand-mère, je n’ai pas envoyé mon dragon le fermer.
Quand j’aurais ma fille ce qui ne sera pas le cas cette fois-ci, mon sang a coulé lors de mon séjour chez le peuple des ours.
Aide-moi à sortir de mon bain et amène le conseil avec Boula, son règne est terminé.
- Je fais venir Sala son fils que nous avons préparé pour prendre sa succession.
Vous verrez les déesses ont bien travaillé mais c’était facile il est deux fois mieux monté que Boula.
Il a un gland qui va vous défoncer Maîtresse.
- Il sait sodomiser ?
- Sans problème, c’est moi qui lui ai appris lors de son dix-huitième sablier.
C’était du temps où Maloa était encore active.
Mon conseil formé de mes déesses, de la Maître du temps et de la gardienne de notre nurserie, poste à haute responsabilité sont en face de mon trône dans la salle du conseil.
À l’entrée Casart est là sur son perchoir attendant mes décisions.
Je passe lui flatter le museau faisant attention de ne pas déclencher son feu purificateur avant d’aller m’assoir.
- Boula, j’ai saigné chez le peuple des ours, tu sais ce que cela signifie ?
- Oui, Maîtresse je vais suivre Casart sur le mont des supplices.
J’espère que mon fils saura vous satisfaire.
Grâce à vous Maîtresse, j’ai eu une vie de rêve, j’espère que Sala aura la même.
Une nouvelle fois Casart va avoir du travail.
C’est la loi sur ma planète.
Nos dragons ont mille utilités.
L’une d’elles c’est de fermer les puits quand je le demande mais aussi de nous transformer en poussière par leurs flammes.
Cette flamme seule moyen de nous faire disparaître, nous sommes immortels.
Dès que j’aurais une fille, hélas j’ai eu huit garçons depuis que je suis la Maîtresse.
Ils ont été dans la nursery avant de rejoindre ma garde où les déesses les baisent.
Les puits servent aussi à ça.
Nos hommes dont mon mâle dominant Boula jusqu’au sablier qui coule en ce moment ont peu de spermatozoïde femelle.
Comme notre planète doit être dirigée par une femme, la Maîtresse est la seule qui peut en explorer d’autres.
En plus comme Maîtresse je suis la seule qui peut remonter les puits pour ressortir dans ces autres planètes.
- Sala, approche.
Fait voir à tous comment tu es monté et comment tu vas me satisfaire devant tout mon conseil.
La maîtresse doit se plier à cette cérémonie.
Je descends sur la peau d’ours ramenée d’une autre planète.
Il m’embrasse, son père savait emballer.
Merci à Ectrat, elle l’a bien préparé car si comme femme nous saignons nous coulons aussi quand notre plaisir se fait sentir.
Il m’allonge, sa bouche vient se coller à ma chatte et m’apporte un premier orgasme.
Il se redresse je suis sur le dos.
Sa verge entre en moi.
Je le bloque avec mes jambes et je pars une nouvelle fois.
C’est exact, il est mieux monté que son père.
J’ignore combien de temps je vais régner, ce que je sais c’est que je vais passer de bons moments.
Nul doute que j’aurais à vous narrer mon prochain voyage surtout s’il est vers la terre.
Planète qui m’a particulièrement marqué comme elle a marqué mon arrière-grand-mère.
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