COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le génie maléfique (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2021 dans la catégorie A dormir debout
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le génie maléfique (1/2)
• Adam, peux-tu venir avec ta remorque aider à vider la maison de ta grand-mère, les trois quarts de ses affaires est à mettre au rebut !
• Oui, maman, j’ai quatre jours de repos à prendre avant la fin du mois de mai, ça me fera plaisir de vous aider.
Tu sais que j’aime les brocantes maman, j’ai toujours voulu voir dans le grenier, mais grand-père puis mamy m’ont toujours refusé de monter voir.
• Si tu trouves des choses intéressantes, elles sont à toi !
Le mardi, dès neuf heures je suis à pied d’œuvre.
Maman est là avec papa, nous nous mettons au travail.
• Je monte au grenier, si vous avez des déchets, mettez-les dans la remorque, dès qu’elle est pleine, je fais un voyage.
Je monte au grenier, dans cette maison, pour y accéder, il y a un escalier extérieur qui va me permettre de déménager plusieurs pièces de mobilier sans grand intérêt.
Avec mon père, je fais un premier voyage.
De retour, je remonte dans mon gourbi.
Outre les toiles d’araignée par chance papy mettaient de la mort-aux-rats.
Pas de rongeur, car aucune crotte au sol ou dans les recoins.
Je trouve un lit à barreaux qui me rappelle mon enfance.
Il était déjà d’occasion à leur mariage, ça avait fait scandale lorsqu’un démarcheur avait voulu leur échanger contre une chambre des années 80 en bois aggloméré.
Par change, papa passait ce jour-là.
Il avait donné 100 francs au gars et l’avait viré à coups de pied dans le cul lui promettant un procès s’il insistait pour mainmise sur personne dépendante.
Mais ils avaient gardé le nouveau lit et monté l’autre ici.
Lit et des cadres anciens, je sais que je vais pouvoir les vendre.
Les montants du lit sont appuyés sur une armoire.
Je le descends avec les cadres dégageant la porte.
J’ouvre, que des saletés à virer, lorsque je tombe sur la lampe de ma jeunesse.
Celle du dessin animé Aladin que je regardais en boucle sur une cassette vidéo.
Combien de fois ai-je rêvé à ce que je lui demanderais si en la frottant, un génie surgissait et me proposait trois souhaits.
Ça m’arrive encore d’y rêver, mais au fil des âges, ils ont évolué.
Tient, elle est tachée, je prends un torchon posé sur une étagère.
Je la frotte.
• Bonjour maître, que puis-je pour vous.
• Es-tu le génie de mon enfance dans Aladin ?
• Encore cette histoire d’Aladin, si j’avais su que l’on m’en parlerait encore aux 21 siècles, j’aurais refusé à Antoine Galland de le rajouter à sa traduction des mille et une nuits.
Bon je suis là, fais trois vœux.
J’ai tellement de demandes que j’hésite.
• Génie, je te demanderais bien de l’or, de l’or et encore de l’or.
Par chance, je connais l’histoire du roi Midas qui est mort, car son eau et sa nourriture se transformait en or dès qu’il y touchait !
• Ta gueule, tu vas nous faire chier longtemps avec ton roi Midas.
C’est un autre génie auquel il s’était adressé.
Bon, je vais me barrer si tu ignores quels sont tes désirs !
• Non, alors je voudrais une bite qui bande toujours comme un âne quand je rencontre une femme.
• Ça c’est facile.
Le deuxième, j’ai 25 ans et à part les putes j’ai simplement sauté deux femmes, une jeune et grosse et la mère d’un copain.
Chaque soir je veux une femme dans mon lit.
• Rien de très différents des autres mecs qui m’ont fait trois vœux.
Je te le promets, chaque soir tu trouveras le moyen d’avoir une femme dans ton lit.
Et le troisième, démerde, j’ai besoin de me recoucher pour mille ans, vous êtes très fatigant vous les Terriens !
• Le troisième, pour lever ces filles, il faut du fric, chaque mois, je veux que mon compte en banque soit approvisionné de 10 000 €.
Tu vois, je pourrais te demander une montagne d’or, je suis raisonnable.
• Espèce de connard, tu crois que tu es le seul à me faire trois vœux et que mes moyens financiers sont illimités.
Bon tu auras tes trois vœux dès que tu verras ton compte approvisionné.
À une seule condition !
• Accepté d’avance.
• C’est bien, tu es loin d’être contrariant.
Si une seule fois tu refuses de baiser la femme qui viendra dans ton lit, le troisième vœu disparaitra.
• Alors là tu te mets le doigt dans l’œil jusqu’au trognon, je suis tellement en manque de femme, que pour 10 000 €, tu verras, je les baiserai toutes.
• Ok, dès que l’argent sera sur ton compte, je vais me coucher, tu m’as épuisé.
Comme dans Aladin le génie disparaît et je mets la lampe dans mes affaires à emmener pour les vendre à mes brocantes.
La lampe, je la poserai sur ma cheminée dans ce vieil appartement dans lequel j’habite seul.
Trois jours à regarder mon compte dix fois par jour sans que l’argent soit versé.
Merde, votre solde est de 10 102 €.
Putain je bande, je m’habille, ma bite a tellement pris de volume que mon pantalon actuel est trop étroit.
Je dois m’allonger sur mon lit pour rentrer tout ça et pouvoir fermer ma braguette.
Je sors, si je veux lever des nanas, de nouvelles fringues s’imposent.
10 000 €, j’ai le temps de voir venir si je fais attention, j’entre dans une boutique chic de notre ville et je choisis un costume à mes mesures.
Surtout aux mesures de mon sexe, le génie est bien gentil, quand je disais que je voulais bander, c’était au moment où je serai en tête à tête avec une femme.
Bon, bander sans arrêter, c’est un moindre mal, attendons pour voir la femme que je vais arriver à lever pour ma soirée.
J’entre dans un bar, plusieurs couples et une femme seule assise à une table.
Elle semble s’ennuyer, draguer, c’est loin d’être mon fort, c’est pour cela que je me prends des râteaux depuis mon adolescence et jusqu’à aujourd’hui.
Je suis installé au bar et je la regarde.
Et si c’était une pute de luxe attendant le client, certes, j’ai du fric, mais il faut faire attention si s’en est une, elle va me bouffer un paquet de pognon.
J’ai des adresses de putes, plus ou moins jolies, mais pour 150 €, mais je veux fric et belle femme comme cette jolie rousse, le génie me les a promis.
Je vois qu’elle a une cigarette dans ses mains, je vais devoir acheter un briquet même si la cigarette et moi cela fait deux.
Un signe de sa tête, je vois qu’elle regarde à mon côté sur le coin du bar.
Une boîte d’allumettes, ce génie a du génie, ça doit être pour ça que l’histoire d’Aladin a du succès.
Je me lève, je prends la boîte et je m’avance.
• Puis-je vous donner du feu ?
• Depuis quand est-il autorisé de fumer dans un bar, ça se saurait !
• Je vois que votre verre est vide, je peux remettre une tournée.
Cette jolie femme rousse est tout à fait mon genre, comment passé de mon genre à la position allongée chez moi ou chez elle ?
Elle regarde sa montre.
• Mon mari est en voyage, il sera de retour à 22 heures, il est 17 heures, je devrais partir à 21 heures si je veux éviter de divorcer, 4 heures, ça te va.
Chez toi, il renifle mes odeurs et je sens d’ici ton odeur, nous serions vite repérés.
Chez moi, nous y sommes en cinq minutes, nous marchons vite, mais sans courir.
Je la tiens par le bras, je sens son sein sur ma main.
Certainement bien gros et bien gros.
Merci Génie tu me gattes pour une première.
J’ai l’impression d’entendre, « pas de quoi à ton service. »Arrivé dans mon appartement assez vétuste, je pense qu’elle va fuir, mais dès la porte franchie, elle se jette sur moi et nos langues sont impatientes de celles de l’autre.
Elle me met la main au paquet.
• J’avais bien vu lorsque tu es entré, tu cachais un morceau qui va me défoncer, mon mari à une petite bite.
Bien sûr, je bande, je bande depuis que j’ai vu la somme sur mon compte.
J’ouvre ma fermeture pour qu’elle puisse me découvrir.
Elle me suce, pendant voyons 20 à 25 minutes.
Je veux la baiser, mais un mouvement de sa tête et de ses yeux comme dans le bar pour les allumettes.
Elle me lèche les couilles et me reprenant dans sa bouche et je crie mon plaisir lorsqu’elle avale mon sperme.
Les autres fois, avec la mère de mon copain sitôt déchargé, sitôt pavillon bas.
Là, je suis toujours aussi bandé.
• Tu mérites que l’on se connaisse.
Nous enlevons nos fringues et nous retrouvons sur mon lit.
Elle écarte ses cuisses, pendant qu’elle me suçait son odeur poivrée de rousse montait jusqu’à moi.
Rousse naturelle, rousse avec une toison rasée sur les bords, mais toison entière.
• Oui, bouffe-moi la chatte, j’adore que tu me bouffes, mon mari refuse...
Ta gueule, si tu savais combien je m’en fous de ton mari.
• Ah! ah! ah! oh oui! Ahaaaaaaaaaa!.
Là c’est mieux.
• Putain, que tu es gros, le plus gros qui m’est été donné de baiser, vas-y, vas-y, vas-y.
Ouiiiiiiiiiiii !.
Dans la position du missionnaire, à la cuillère, plusieurs fois en levrette, je la massacre jusqu’à 20 heures 30 ou alors que nous récupérons en sueur, lorsque sa montre sonne.
• Tu manques à être connu, mais il faut que je me dépêche de rentrer.
Puisse-je me doucher ?
• Le mitigeur est cassé, elle sera froide.
• Je rentre, je prendrai un bain à la maison.
J’ai à peine le temps de dire, ouf, ma queue toujours bandée, elle part si rapidement que je me rends compte que j’ignore jusqu’à son nom.
Je passe ma main sur ma bite et je la porte à mes narines.
Quelle bonne odeur de rousse satisfaite, j’ai au moins compté trois à quatre orgasmes.
Une fois encore merci au génie, ma vie va être pleine et heureuse.
Ma bite me fait un peu mal, je me masturbe et après trois éjaculations toujours aussi intensément, je jouis ce qui me permet de m’endormir.
Demain sera un autre jour, blonde, brune ou peut-être encore rousse...
• Oui, maman, j’ai quatre jours de repos à prendre avant la fin du mois de mai, ça me fera plaisir de vous aider.
Tu sais que j’aime les brocantes maman, j’ai toujours voulu voir dans le grenier, mais grand-père puis mamy m’ont toujours refusé de monter voir.
• Si tu trouves des choses intéressantes, elles sont à toi !
Le mardi, dès neuf heures je suis à pied d’œuvre.
Maman est là avec papa, nous nous mettons au travail.
• Je monte au grenier, si vous avez des déchets, mettez-les dans la remorque, dès qu’elle est pleine, je fais un voyage.
Je monte au grenier, dans cette maison, pour y accéder, il y a un escalier extérieur qui va me permettre de déménager plusieurs pièces de mobilier sans grand intérêt.
Avec mon père, je fais un premier voyage.
De retour, je remonte dans mon gourbi.
Outre les toiles d’araignée par chance papy mettaient de la mort-aux-rats.
Pas de rongeur, car aucune crotte au sol ou dans les recoins.
Je trouve un lit à barreaux qui me rappelle mon enfance.
Il était déjà d’occasion à leur mariage, ça avait fait scandale lorsqu’un démarcheur avait voulu leur échanger contre une chambre des années 80 en bois aggloméré.
Par change, papa passait ce jour-là.
Il avait donné 100 francs au gars et l’avait viré à coups de pied dans le cul lui promettant un procès s’il insistait pour mainmise sur personne dépendante.
Mais ils avaient gardé le nouveau lit et monté l’autre ici.
Lit et des cadres anciens, je sais que je vais pouvoir les vendre.
Les montants du lit sont appuyés sur une armoire.
Je le descends avec les cadres dégageant la porte.
J’ouvre, que des saletés à virer, lorsque je tombe sur la lampe de ma jeunesse.
Celle du dessin animé Aladin que je regardais en boucle sur une cassette vidéo.
Combien de fois ai-je rêvé à ce que je lui demanderais si en la frottant, un génie surgissait et me proposait trois souhaits.
Ça m’arrive encore d’y rêver, mais au fil des âges, ils ont évolué.
Tient, elle est tachée, je prends un torchon posé sur une étagère.
Je la frotte.
• Bonjour maître, que puis-je pour vous.
• Es-tu le génie de mon enfance dans Aladin ?
• Encore cette histoire d’Aladin, si j’avais su que l’on m’en parlerait encore aux 21 siècles, j’aurais refusé à Antoine Galland de le rajouter à sa traduction des mille et une nuits.
Bon je suis là, fais trois vœux.
J’ai tellement de demandes que j’hésite.
• Génie, je te demanderais bien de l’or, de l’or et encore de l’or.
Par chance, je connais l’histoire du roi Midas qui est mort, car son eau et sa nourriture se transformait en or dès qu’il y touchait !
• Ta gueule, tu vas nous faire chier longtemps avec ton roi Midas.
C’est un autre génie auquel il s’était adressé.
Bon, je vais me barrer si tu ignores quels sont tes désirs !
• Non, alors je voudrais une bite qui bande toujours comme un âne quand je rencontre une femme.
• Ça c’est facile.
Le deuxième, j’ai 25 ans et à part les putes j’ai simplement sauté deux femmes, une jeune et grosse et la mère d’un copain.
Chaque soir je veux une femme dans mon lit.
• Rien de très différents des autres mecs qui m’ont fait trois vœux.
Je te le promets, chaque soir tu trouveras le moyen d’avoir une femme dans ton lit.
Et le troisième, démerde, j’ai besoin de me recoucher pour mille ans, vous êtes très fatigant vous les Terriens !
• Le troisième, pour lever ces filles, il faut du fric, chaque mois, je veux que mon compte en banque soit approvisionné de 10 000 €.
Tu vois, je pourrais te demander une montagne d’or, je suis raisonnable.
• Espèce de connard, tu crois que tu es le seul à me faire trois vœux et que mes moyens financiers sont illimités.
Bon tu auras tes trois vœux dès que tu verras ton compte approvisionné.
À une seule condition !
• Accepté d’avance.
• C’est bien, tu es loin d’être contrariant.
Si une seule fois tu refuses de baiser la femme qui viendra dans ton lit, le troisième vœu disparaitra.
• Alors là tu te mets le doigt dans l’œil jusqu’au trognon, je suis tellement en manque de femme, que pour 10 000 €, tu verras, je les baiserai toutes.
• Ok, dès que l’argent sera sur ton compte, je vais me coucher, tu m’as épuisé.
Comme dans Aladin le génie disparaît et je mets la lampe dans mes affaires à emmener pour les vendre à mes brocantes.
La lampe, je la poserai sur ma cheminée dans ce vieil appartement dans lequel j’habite seul.
Trois jours à regarder mon compte dix fois par jour sans que l’argent soit versé.
Merde, votre solde est de 10 102 €.
Putain je bande, je m’habille, ma bite a tellement pris de volume que mon pantalon actuel est trop étroit.
Je dois m’allonger sur mon lit pour rentrer tout ça et pouvoir fermer ma braguette.
Je sors, si je veux lever des nanas, de nouvelles fringues s’imposent.
10 000 €, j’ai le temps de voir venir si je fais attention, j’entre dans une boutique chic de notre ville et je choisis un costume à mes mesures.
Surtout aux mesures de mon sexe, le génie est bien gentil, quand je disais que je voulais bander, c’était au moment où je serai en tête à tête avec une femme.
Bon, bander sans arrêter, c’est un moindre mal, attendons pour voir la femme que je vais arriver à lever pour ma soirée.
J’entre dans un bar, plusieurs couples et une femme seule assise à une table.
Elle semble s’ennuyer, draguer, c’est loin d’être mon fort, c’est pour cela que je me prends des râteaux depuis mon adolescence et jusqu’à aujourd’hui.
Je suis installé au bar et je la regarde.
Et si c’était une pute de luxe attendant le client, certes, j’ai du fric, mais il faut faire attention si s’en est une, elle va me bouffer un paquet de pognon.
J’ai des adresses de putes, plus ou moins jolies, mais pour 150 €, mais je veux fric et belle femme comme cette jolie rousse, le génie me les a promis.
Je vois qu’elle a une cigarette dans ses mains, je vais devoir acheter un briquet même si la cigarette et moi cela fait deux.
Un signe de sa tête, je vois qu’elle regarde à mon côté sur le coin du bar.
Une boîte d’allumettes, ce génie a du génie, ça doit être pour ça que l’histoire d’Aladin a du succès.
Je me lève, je prends la boîte et je m’avance.
• Puis-je vous donner du feu ?
• Depuis quand est-il autorisé de fumer dans un bar, ça se saurait !
• Je vois que votre verre est vide, je peux remettre une tournée.
Cette jolie femme rousse est tout à fait mon genre, comment passé de mon genre à la position allongée chez moi ou chez elle ?
Elle regarde sa montre.
• Mon mari est en voyage, il sera de retour à 22 heures, il est 17 heures, je devrais partir à 21 heures si je veux éviter de divorcer, 4 heures, ça te va.
Chez toi, il renifle mes odeurs et je sens d’ici ton odeur, nous serions vite repérés.
Chez moi, nous y sommes en cinq minutes, nous marchons vite, mais sans courir.
Je la tiens par le bras, je sens son sein sur ma main.
Certainement bien gros et bien gros.
Merci Génie tu me gattes pour une première.
J’ai l’impression d’entendre, « pas de quoi à ton service. »Arrivé dans mon appartement assez vétuste, je pense qu’elle va fuir, mais dès la porte franchie, elle se jette sur moi et nos langues sont impatientes de celles de l’autre.
Elle me met la main au paquet.
• J’avais bien vu lorsque tu es entré, tu cachais un morceau qui va me défoncer, mon mari à une petite bite.
Bien sûr, je bande, je bande depuis que j’ai vu la somme sur mon compte.
J’ouvre ma fermeture pour qu’elle puisse me découvrir.
Elle me suce, pendant voyons 20 à 25 minutes.
Je veux la baiser, mais un mouvement de sa tête et de ses yeux comme dans le bar pour les allumettes.
Elle me lèche les couilles et me reprenant dans sa bouche et je crie mon plaisir lorsqu’elle avale mon sperme.
Les autres fois, avec la mère de mon copain sitôt déchargé, sitôt pavillon bas.
Là, je suis toujours aussi bandé.
• Tu mérites que l’on se connaisse.
Nous enlevons nos fringues et nous retrouvons sur mon lit.
Elle écarte ses cuisses, pendant qu’elle me suçait son odeur poivrée de rousse montait jusqu’à moi.
Rousse naturelle, rousse avec une toison rasée sur les bords, mais toison entière.
• Oui, bouffe-moi la chatte, j’adore que tu me bouffes, mon mari refuse...
Ta gueule, si tu savais combien je m’en fous de ton mari.
• Ah! ah! ah! oh oui! Ahaaaaaaaaaa!.
Là c’est mieux.
• Putain, que tu es gros, le plus gros qui m’est été donné de baiser, vas-y, vas-y, vas-y.
Ouiiiiiiiiiiii !.
Dans la position du missionnaire, à la cuillère, plusieurs fois en levrette, je la massacre jusqu’à 20 heures 30 ou alors que nous récupérons en sueur, lorsque sa montre sonne.
• Tu manques à être connu, mais il faut que je me dépêche de rentrer.
Puisse-je me doucher ?
• Le mitigeur est cassé, elle sera froide.
• Je rentre, je prendrai un bain à la maison.
J’ai à peine le temps de dire, ouf, ma queue toujours bandée, elle part si rapidement que je me rends compte que j’ignore jusqu’à son nom.
Je passe ma main sur ma bite et je la porte à mes narines.
Quelle bonne odeur de rousse satisfaite, j’ai au moins compté trois à quatre orgasmes.
Une fois encore merci au génie, ma vie va être pleine et heureuse.
Ma bite me fait un peu mal, je me masturbe et après trois éjaculations toujours aussi intensément, je jouis ce qui me permet de m’endormir.
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