COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le monde et le sexe en folie (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2396 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 992 990 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2024 dans la catégorie A dormir debout
Cette histoire de sexe a été affichée 1 405 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le monde et le sexe en folie (1/2)
• Sabrina, si tu savais comme je t’aime !
J’ai hâte d’avouer à nos parents que nous avons décidé de passer notre vie ensemble comme nous le faisons depuis que nos parents sont venus habiter dans des maisons mitoyennes.
• Christophe, je connais ce début de discours qui va nous conduire à ce que tu veuilles que je couche avec toi.
Tu connais ma réponse malgré que mon amour est de plus en plus grand pour toi, surtout pour le sacrifice que je demande à un garçon presque majeur.
Je suis assise entre deux chaises entre la promesse que j’ai faite à maman d’éviter de faire comme elle et que je sois mère avant ma majorité.
• Non, soit sans crainte, je me masturbe dans mon lit tous les soirs et ça me permet de tenir le coup en attendant le moment où tu te donneras à moi.
• J’en fais de même, je me caresse le clito en pensant que bientôt ce sera ta verge qui viendra le frotter et le faire jouir deux fois plus que je le fais moi-même.
Je te promets dès notre mariage que je recevrais en moi, matin, midi et soir voire plus, ton sexe qui grossit dans ton pantalon simplement de parler des plaisirs que nous nous apporterons.
En attendant, qu’as-tu apporté dans notre repaire pour que nous piqueniquions ce midi, tous les dimanches, nos parents étant chacun chez leurs parents.
Lorsque nous parlons avec Sabrina, elle est avec moi dans notre arbre dans le petit bois qui sépare nos deux propriétés, je suis allongé elle sa tête tout près de ma verge.
C’est Jacques mon père et Yvon le sien qui ont construit cette cabane pour qu’à dix ans nous nous amusions à Tarzan et Jane, comme le disait Sabrina.
Cette cabane, au fil du temps, je l’ai complétée, aménagé pour qu’avec celle qui à cette époque était seulement une amie d’enfance, nous puissions y vivre un maxi de temps.
C’est le toit que j’ai consolidé en premier, l’eau entrait à l’intérieur et le peu que nous avions finissait immanquablement à la poubelle.
Il y avait du chaume près de nos maisons et j’en ai mis assez épais pour tout étancher.
J’ai même dû prendre des risques pour le placer assez haut et faire l’équilibriste ce que je suis loin d’être.
Nous avions rapidement pris l’habitude d’y faire nos devoirs, les mercredis et samedis.
Nos parents étaient d’accord tant que nous étions sages et surtout restions des premiers de classe.
Chassé-croisé entre nous, dans les matières principales sauf en sport ou j’étais toujours devant de plusieurs longueurs.
Pour atteindre notre cabane, nos pères avaient mis une échelle en aluminium, seule concession pour notre sécurité pour que nous grimpions alors que tout le reste était fait avec des matériaux de récupération.
Je pensais sexe des quatorze ou quinze ans et est-ce volontaire ou provocateur, Sabrina grimpait toujours la première avant que je lui passe nos cartables sac à dos.
Sabrina, avait-elle déjà assez de vice pour passer devant sachant que je matais sa petite culotte blanche.
C’est lors de la fin de nos seize ans que les flèches de Cupidon nous ont transpercé.
Elle avait troqué sa culotte blanche pour une mini et un joli string qui lui entrait dans son joli fessier, me faisant bander de plus en plus.
Comme il se doit, c’est dans notre cabane que s’est produit notre premier baiser.
Ses seins avaient pris de l’ampleur en même temps qu’elle avait coupé ses tresses la faisant plus femme que toutes les femmes.
• Christophe as-tu pensé à amener du thé, tu m’avais dit que tu t’en occupais ?
Tu sais que j’en ai besoin pour mieux travailler nos maths !
Parmi nos installations, nous avons un petit réchaud de camping pour faire chauffer de l’eau et quelques aliments que nous apportions.
• J’ai oublié, j’ai demandé à maman de m’en acheter et j’ai laissé la boîte sur la table de la cuisine, je redescends la chercher.
• Non, pour une fois, je vais m’en passer, tu l’amèneras la prochaine fois.
• Eh ! non, qui c’est le chef ici, je redescends j’en ai pour deux minutes.
J’envoie un baiser à mon aimée, mollement allongée dans les dizaines de coussins nous servant de couche et où un jour, j’espère la dépuceler.
J’ai pris l’habitude de mettre mes pieds de chaque côté de l’échelle et de me laisser glisser.
Je me dépêche étant pressé de revenir, je dois longer la haie lorsque j’entends des bruits de voix.
Il me semble reconnaitre la voix d’Yvon, le père de Sabrina.
J’écarte quelques branches, ce que je vois à quelques mètres de moi, c’est un chien qui saute une chienne.
Mais je me rends compte que ces chiens sont des humains dont l’un est Yvon et la chienne, c’est mémé Fernande, l’autre voisine veuve d’un gendarme mort en service.
Sur mon portable, je regarde des pornos en me masturbant et c’est en levrette que cette salope se fait prendre.
Comment le père de ma petite amie peut-il saillir cette femme âgée sur le trottoir à la vue de tous, je suis offusqué et à deux doigts de les interpeller ?
• Allez-y, défoncez-moi, prenez-moi comme la chienne que je suis, depuis le temps que j’espérais qu’un mâle s’occupe de ma chatte.
Tu peux même m’enculer espèce de soudard.
Par quel miracle, ces deux personnes d’une tenue exemplaire depuis que je les connais peuvent se mettre à forniquer en pleine rue.
En face de chez nous, je vois monsieur Bernard, figure de notre quartier sortir sa poubelle, comme le fait sa voisine la grosse Nouma.
Un antagonisme primaire régit ces deux êtres depuis des années, quand délaissant leurs poubelles, ils se sautent littéralement dessus, Nouma tombant sur la pelouse et Bernard sortant sa queue de son pyjama la plongeant en elle.
Ils sont trop loin pour que j’entende ce qu’il se dise, mais comme le couple à quelques mètres de moi, j’entends qu’ils semblent parler avec des mots de charretier.
J’entends un bruit de course venant de ma droite.
Je tourne la tête et je vois une femme inconnue courant à moitié nue devant un homme sa queue en main, qui essaye de la rattraper, certainement pour la baiser comme baise ces deux autres couples.
Elle est plus jeune et ils disparaissent de ma vue à quelques centaines de mètres plus loin.
Que se passe-t-il, quel mal touche notre ville et ses habitants, je veux éviter de laisser Sabrina trop longtemps seule dans ses circonstances.
Je reprends mon chemin et quelques mètres plus loin j’entre dans notre cuisine.
Le thé est là, je m’en saisi lorsque j’entends des paroles bizarres venantes du salon.
Je passe ma tête, maman est là nue.
C’est la première fois que je la vois nue, mon père est loin d’être mieux, il a le pantalon aux bas de ses jambes avec son boxer.
Il tient maman par les oreilles et plonge sa bote dans sa bouche, car elle est à genoux devant lui.
• Avale salope, je vais t’arroser tes amygdales, vieille pute.
Quand ton fils reviendra, nous te ferons reluire, en te prenant les deux ensembles.
Sa garce de copine, lui refuse son cul, le tient nous servira à tous les deux.
Depuis que je suis devenu un jeune ado, papa m’a aménagé le grenier et je couche un étage plus haut qu’eux.
Lorsque la rue est calme dans la nuit, il m’est arrivé d’entendre maman rendre son pied en hurlant son plaisir, mais loin des propos tels que ceux que mon père prononce en remplissant la bouche de ma mère.
Que peut-il se passer, il semble qu’une vague de désinhibition frappe notre ville, voire plus ?
À la télé lors du covid, des scientifiques ont parlé qu’un jour un virus pourrait frapper la terre et comme une trainer de poudre, faire disparaitre l’espèce humaine comme ont disparu les dinosaures,
Je fais demi-tour, afin d’éviter la rue et ce qui se passe là aussi d’étrange, je passe devant la maison de Sabrina, trajet plus long, mais plus sûr.
La cuisine est éclairée, est-ce la vue de Carole, la mère de mon petit amour assis les jambes ouvertes s’enfonçant un concombre dans la chatte ou un virus qui me fait bander.
Suis-je touché par ce virus qui va tous nous tuer, si nous nous mettons tous à forniquer comme des malades ?
Yvon baise Fernande à quelques mètres de Carole, je suis à deux doigts d’entrer, mais c’est Sabrina que je veux protéger du mal qui nous frappe.
• Oh ! Christophe, tu es là, regarde dans quel état je me trouve et ce fumier d’Yvon qui semble avoir abandonné le toit conjugal.
Heureusement, j’avais ce concombre, je me masturbe avec en attendant son retour, amène-moi ta queue, je suis sûr que je vais te dépuceler, j’ai mis des freins à Sabrina.
Si elle a mis des freins à ma copine, lorsqu’elle se place les seins sur la table, sa chatte remplie de son concombre, il me reste son anus que je pénètre directement.
Je suis inconscient que cet anus, c’est celui de celle que j’espère deviendra ma belle-mère.
Oui, j’étais puceau, mais bien calé au fond de son anus, j’ai terminé de l’être.
Heureusement, que le mal semble frapper les humains se sentant tout-puissant comme je le deviens, sinon Yvon pourrait revenir et me fracasser, car j’encule sa femme.
Et que dire de Sabrina ?
Nous étions en hauteur lorsque j’ai rejoint le plancher des vaches, si nous avions été frappés, j’aurais sauté sur Sabrina qui dans un même temps m’aurait sauté dessus.
Si c’est un virus fornicateur, il agit au niveau du sol et elle en est protégée.
Je raconte, mais sans oublier la femelle que je viens de cerner, je redouble mes coups de bite, faisant bramer ma femme comme les femelles cerfs le font au printemps.
J’arrache son concombre et la retournant j’enfile ma verge de là où est sortie celle qui doit m’attendre sagement dans notre arbre.
• Oui, vas-y rempli moi, comme me remplit ton père chaque fois que nous arrivons à nous isoler et que nous baisons ensemble.
Quel genre de père, j’ai, il voulait que je baise, maman et maintenant j’apprends qu’il cocufie maman avec notre voisine.
Ai-je des parents échangistes sans le savoir ?...
J’ai hâte d’avouer à nos parents que nous avons décidé de passer notre vie ensemble comme nous le faisons depuis que nos parents sont venus habiter dans des maisons mitoyennes.
• Christophe, je connais ce début de discours qui va nous conduire à ce que tu veuilles que je couche avec toi.
Tu connais ma réponse malgré que mon amour est de plus en plus grand pour toi, surtout pour le sacrifice que je demande à un garçon presque majeur.
Je suis assise entre deux chaises entre la promesse que j’ai faite à maman d’éviter de faire comme elle et que je sois mère avant ma majorité.
• Non, soit sans crainte, je me masturbe dans mon lit tous les soirs et ça me permet de tenir le coup en attendant le moment où tu te donneras à moi.
• J’en fais de même, je me caresse le clito en pensant que bientôt ce sera ta verge qui viendra le frotter et le faire jouir deux fois plus que je le fais moi-même.
Je te promets dès notre mariage que je recevrais en moi, matin, midi et soir voire plus, ton sexe qui grossit dans ton pantalon simplement de parler des plaisirs que nous nous apporterons.
En attendant, qu’as-tu apporté dans notre repaire pour que nous piqueniquions ce midi, tous les dimanches, nos parents étant chacun chez leurs parents.
Lorsque nous parlons avec Sabrina, elle est avec moi dans notre arbre dans le petit bois qui sépare nos deux propriétés, je suis allongé elle sa tête tout près de ma verge.
C’est Jacques mon père et Yvon le sien qui ont construit cette cabane pour qu’à dix ans nous nous amusions à Tarzan et Jane, comme le disait Sabrina.
Cette cabane, au fil du temps, je l’ai complétée, aménagé pour qu’avec celle qui à cette époque était seulement une amie d’enfance, nous puissions y vivre un maxi de temps.
C’est le toit que j’ai consolidé en premier, l’eau entrait à l’intérieur et le peu que nous avions finissait immanquablement à la poubelle.
Il y avait du chaume près de nos maisons et j’en ai mis assez épais pour tout étancher.
J’ai même dû prendre des risques pour le placer assez haut et faire l’équilibriste ce que je suis loin d’être.
Nous avions rapidement pris l’habitude d’y faire nos devoirs, les mercredis et samedis.
Nos parents étaient d’accord tant que nous étions sages et surtout restions des premiers de classe.
Chassé-croisé entre nous, dans les matières principales sauf en sport ou j’étais toujours devant de plusieurs longueurs.
Pour atteindre notre cabane, nos pères avaient mis une échelle en aluminium, seule concession pour notre sécurité pour que nous grimpions alors que tout le reste était fait avec des matériaux de récupération.
Je pensais sexe des quatorze ou quinze ans et est-ce volontaire ou provocateur, Sabrina grimpait toujours la première avant que je lui passe nos cartables sac à dos.
Sabrina, avait-elle déjà assez de vice pour passer devant sachant que je matais sa petite culotte blanche.
C’est lors de la fin de nos seize ans que les flèches de Cupidon nous ont transpercé.
Elle avait troqué sa culotte blanche pour une mini et un joli string qui lui entrait dans son joli fessier, me faisant bander de plus en plus.
Comme il se doit, c’est dans notre cabane que s’est produit notre premier baiser.
Ses seins avaient pris de l’ampleur en même temps qu’elle avait coupé ses tresses la faisant plus femme que toutes les femmes.
• Christophe as-tu pensé à amener du thé, tu m’avais dit que tu t’en occupais ?
Tu sais que j’en ai besoin pour mieux travailler nos maths !
Parmi nos installations, nous avons un petit réchaud de camping pour faire chauffer de l’eau et quelques aliments que nous apportions.
• J’ai oublié, j’ai demandé à maman de m’en acheter et j’ai laissé la boîte sur la table de la cuisine, je redescends la chercher.
• Non, pour une fois, je vais m’en passer, tu l’amèneras la prochaine fois.
• Eh ! non, qui c’est le chef ici, je redescends j’en ai pour deux minutes.
J’envoie un baiser à mon aimée, mollement allongée dans les dizaines de coussins nous servant de couche et où un jour, j’espère la dépuceler.
J’ai pris l’habitude de mettre mes pieds de chaque côté de l’échelle et de me laisser glisser.
Je me dépêche étant pressé de revenir, je dois longer la haie lorsque j’entends des bruits de voix.
Il me semble reconnaitre la voix d’Yvon, le père de Sabrina.
J’écarte quelques branches, ce que je vois à quelques mètres de moi, c’est un chien qui saute une chienne.
Mais je me rends compte que ces chiens sont des humains dont l’un est Yvon et la chienne, c’est mémé Fernande, l’autre voisine veuve d’un gendarme mort en service.
Sur mon portable, je regarde des pornos en me masturbant et c’est en levrette que cette salope se fait prendre.
Comment le père de ma petite amie peut-il saillir cette femme âgée sur le trottoir à la vue de tous, je suis offusqué et à deux doigts de les interpeller ?
• Allez-y, défoncez-moi, prenez-moi comme la chienne que je suis, depuis le temps que j’espérais qu’un mâle s’occupe de ma chatte.
Tu peux même m’enculer espèce de soudard.
Par quel miracle, ces deux personnes d’une tenue exemplaire depuis que je les connais peuvent se mettre à forniquer en pleine rue.
En face de chez nous, je vois monsieur Bernard, figure de notre quartier sortir sa poubelle, comme le fait sa voisine la grosse Nouma.
Un antagonisme primaire régit ces deux êtres depuis des années, quand délaissant leurs poubelles, ils se sautent littéralement dessus, Nouma tombant sur la pelouse et Bernard sortant sa queue de son pyjama la plongeant en elle.
Ils sont trop loin pour que j’entende ce qu’il se dise, mais comme le couple à quelques mètres de moi, j’entends qu’ils semblent parler avec des mots de charretier.
J’entends un bruit de course venant de ma droite.
Je tourne la tête et je vois une femme inconnue courant à moitié nue devant un homme sa queue en main, qui essaye de la rattraper, certainement pour la baiser comme baise ces deux autres couples.
Elle est plus jeune et ils disparaissent de ma vue à quelques centaines de mètres plus loin.
Que se passe-t-il, quel mal touche notre ville et ses habitants, je veux éviter de laisser Sabrina trop longtemps seule dans ses circonstances.
Je reprends mon chemin et quelques mètres plus loin j’entre dans notre cuisine.
Le thé est là, je m’en saisi lorsque j’entends des paroles bizarres venantes du salon.
Je passe ma tête, maman est là nue.
C’est la première fois que je la vois nue, mon père est loin d’être mieux, il a le pantalon aux bas de ses jambes avec son boxer.
Il tient maman par les oreilles et plonge sa bote dans sa bouche, car elle est à genoux devant lui.
• Avale salope, je vais t’arroser tes amygdales, vieille pute.
Quand ton fils reviendra, nous te ferons reluire, en te prenant les deux ensembles.
Sa garce de copine, lui refuse son cul, le tient nous servira à tous les deux.
Depuis que je suis devenu un jeune ado, papa m’a aménagé le grenier et je couche un étage plus haut qu’eux.
Lorsque la rue est calme dans la nuit, il m’est arrivé d’entendre maman rendre son pied en hurlant son plaisir, mais loin des propos tels que ceux que mon père prononce en remplissant la bouche de ma mère.
Que peut-il se passer, il semble qu’une vague de désinhibition frappe notre ville, voire plus ?
À la télé lors du covid, des scientifiques ont parlé qu’un jour un virus pourrait frapper la terre et comme une trainer de poudre, faire disparaitre l’espèce humaine comme ont disparu les dinosaures,
Je fais demi-tour, afin d’éviter la rue et ce qui se passe là aussi d’étrange, je passe devant la maison de Sabrina, trajet plus long, mais plus sûr.
La cuisine est éclairée, est-ce la vue de Carole, la mère de mon petit amour assis les jambes ouvertes s’enfonçant un concombre dans la chatte ou un virus qui me fait bander.
Suis-je touché par ce virus qui va tous nous tuer, si nous nous mettons tous à forniquer comme des malades ?
Yvon baise Fernande à quelques mètres de Carole, je suis à deux doigts d’entrer, mais c’est Sabrina que je veux protéger du mal qui nous frappe.
• Oh ! Christophe, tu es là, regarde dans quel état je me trouve et ce fumier d’Yvon qui semble avoir abandonné le toit conjugal.
Heureusement, j’avais ce concombre, je me masturbe avec en attendant son retour, amène-moi ta queue, je suis sûr que je vais te dépuceler, j’ai mis des freins à Sabrina.
Si elle a mis des freins à ma copine, lorsqu’elle se place les seins sur la table, sa chatte remplie de son concombre, il me reste son anus que je pénètre directement.
Je suis inconscient que cet anus, c’est celui de celle que j’espère deviendra ma belle-mère.
Oui, j’étais puceau, mais bien calé au fond de son anus, j’ai terminé de l’être.
Heureusement, que le mal semble frapper les humains se sentant tout-puissant comme je le deviens, sinon Yvon pourrait revenir et me fracasser, car j’encule sa femme.
Et que dire de Sabrina ?
Nous étions en hauteur lorsque j’ai rejoint le plancher des vaches, si nous avions été frappés, j’aurais sauté sur Sabrina qui dans un même temps m’aurait sauté dessus.
Si c’est un virus fornicateur, il agit au niveau du sol et elle en est protégée.
Je raconte, mais sans oublier la femelle que je viens de cerner, je redouble mes coups de bite, faisant bramer ma femme comme les femelles cerfs le font au printemps.
J’arrache son concombre et la retournant j’enfile ma verge de là où est sortie celle qui doit m’attendre sagement dans notre arbre.
• Oui, vas-y rempli moi, comme me remplit ton père chaque fois que nous arrivons à nous isoler et que nous baisons ensemble.
Quel genre de père, j’ai, il voulait que je baise, maman et maintenant j’apprends qu’il cocufie maman avec notre voisine.
Ai-je des parents échangistes sans le savoir ?...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime beaucoup ces phénomènes étranges...
Cyrille
Cyrille