COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (4/22)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (4/22)
Venue à Chazal dans le Doubs, village où je venais dans ma jeunesse, de Dijon où nous habitions avec mes parents, chez grand-mère qui hélas nous a quittés et où j’achète une boîte en cuir, j’ignore à quoi elle peut servir, mais c’est pour tromper la vendeuse.
C’est la soupière avec la vaisselle dépareillée qui m’intéresse.
C’est ma méthode pour acheter peu chère l’objet que je convoite en endormant le ou la vendeuse.
Je finis par m’apercevoir des pouvoirs de la boîte, quand elle s’ouvre, déclenchant ma libido, cette boîte est vraiment diabolique.
Elle me jette dans les bras de Martine, une copine d’enfance, j’étais loin de penser que j’étais capable de me gouiner surtout avec cette jeune femme.
Est-ce la boîte qui a déclenché la panne de ma voiture, me faisant rencontrer un homme dans une boîte à Besançon avec lequel je passe une partie de la nuit, trompant ainsi pour la première fois Benoît, mon chirurgien de mari, avec un autre homme ?
Est-ce elle, qui a poussé ce garçon sur la place du Palais des Ducs à me voler mon sac, pour mieux me précipiter dans les bras de Christian, jeune rugbyman qui me saute sans aucune pudeur dans les toilettes d’un café, prenant le risque de nous faire surprendre ?
Tous ces débordements, sous la houlette de ce parchemin, ont été éclipsés par le moment d’intimité avec Benoît dans notre chambre, enfin, à ce moment là, si ma chatte me brûlait, c’est d’envie du sexe de mon mari.
Il en était de même avec Christian, quand il a forcé sans grande difficulté, la porte de ma boutique à l’heure de la fermeture.
• Bonjour Martine, heureuse que tu sois là, nous avons vécu des moments tellement intenses chez toi.
• Et la surprise, où est-elle Véronique ?
• Ne sois pas impatiente, elle va arriver.
Je fais faire le tour de notre maison à mon amie.
• Dépose ton sac dans cette chambre mansardée, tu dormiras ici cette nuit, il y a une douche commune avec l’autre chambre qui est celle de mon fils.
• Dommage, j’espérais passer la nuit avec toi !
• Moi aussi, mais contrairement à toi, je suis mariée et je couche encore avec mon mari.
J’avais envie d’ajouter, "malgré tous mes débordements depuis que je t’ai acheté ta boîte en cuir", mais on sonne à la porte, nous redescendons.
• Maman, que fais-tu là ?
• Et toi Lison, qui est ce jeune homme ?
• Je vous dois des explications, comment dire, Adrien, mon fils, qui finit ses études à la fac à Dijon.
• Je pense que vous êtes Lison, la fille de Martine !
• Oui madame, mais cela ne me dit pas ce que maman fait là, vous vous connaissez ?
• Très bien, j’ai retrouvé Martine il y a quelques jours dans votre village à Chazal, j’étais venue à la brocante annuelle, nous nous sommes reconnues. J’allais chez ma grand-mère en vacances, petite, dans votre village.
• Mais entrez, ne restez pas sur le pas de la porte.
Nous montons dans ma salle à manger.
• Adrien, quand il m’a appelé pour me dire que tu venais avec une petite et fort jolie jeune fille, je t’ai demandé son nom, tu m’as dit Lison, j’ai tout de suite fait le lien avec ta fille Martine, Lison n’étant pas un nom très porté.
Au pire, si vous aviez été une autre Lison que ta fille, nous aurions tout de même passé le week-end ensemble.
Adrien porte vos sacs dans ta chambre, j’ai donné la chambre d’amis à Martine.
• Madame, il y a un problème, Adrien et moi, nous ne couchons pas ensemble. Maman, je respecte ton éducation, je me donnerai à lui, le soir de nos noces.
• Oui, maman, je suis venu ce week-end, vous présenter Lison à papa et à toi, sans savoir que je rencontrerais Martine sa maman ici, nous avions prévu d’aller la voir le week-end prochain.
J’ai offert une bague à mon petit amour, nous souhaitons nous marier dès la fin de mes études dans quelques mois.
• C’est très bien, les enfants. Adrien donne la chambre que ta maman m’a donnée à ma fille, je coucherais sur ce canapé, il a l’air très confortable.
• C’est hors de question, chère amie, Benoît, pour vous servir, le mari de cette jolie femme nommée Véronique.
Au téléphone, elle m’a parlé de sa copine Martine qu’elle a invitée ce week-end et d’une jeune fille Lison, je crois qui serait votre fille.
C’est moi qui dormirai sur le canapé. Adrien, descends le sac de Martine dans notre chambre à ta mère et à moi, si cela vous va de dormir ensemble, mais vous êtes des adultes et vu les beaux enfants que nous avons faits, je pense qu’il n’y a aucune ambiguïté.
Très vieille France, Benoît fait un baisemain à Martine.
Il est arrivé au bon moment pour éclaircir la situation.
Les sacs placés dans les bonnes chambres, nous passons une bonne soirée, je suis assise à côté de Martine, dès que nous le pouvons, nos mains et nos cuisses se touchent.
Tout le monde se dirige vers les chambres attribuées, bruit d’eau dans les deux salles de bains et silence.
Dans notre quartier, la nuit, les rues étant piétonnes, il y a peu de bruit hormis quelques ivrognes qui passent en chantant.
• Chute, peux-tu faire moins de bruit, Benoît est à côté il pourrait entendre.
• Mais, j’ai envie de toi, je rêve de toi depuis que nous avons fait l’amour chez moi.
• Tu as revu Lucien depuis la brocante ?
• Régulièrement, le village est petit, sais-tu que depuis ta venue, il a décidé d’arrêter de boire, tu sais ton billet de 100 €, chaque fois qu’il le peut, il me le montre.
• Je ne dis pas que s’il continue d’être sobre, je vais finir par l’inviter !
• Tu lui demanderas de te pisser sur la chatte, comme dans notre jeunesse, il te fera peut-être un enfant à ton tour.
Nous pouffons de rire, la lampe de chevet est allumée, je lui caresse les seins avant de descendre vers sa chatte pour qu’elle aussi vienne me sucer le clito.
C’est à ce moment que la chaleur très spécifique qui me gagne quand la boîte s’est ouverte me rattrape.
• Mesdames, j’aimerais me joindre à vous, chérie, vous avez une longueur d’avance, mais regardez, je bande déjà.
Incroyable ce que le parchemin nous fait faire, devant moi, mon mari baise ma copine, me baise aussi, va de l’une à l’autre alors que nous sommes en levrette.
• Mesdames, permettez que je vous sodomise, vos petites rosettes sont bien attirantes.
C’est comme ça que je me fais sodomiser pour la première fois par mon mari, nous jouissons quand il reprend nos chattes, pour finir, il nous contourne et éjacule une giclée dans chacune de nos bouches, les derniers jets venant sur nos figures.
Nous nous léchons mutuellement afin d’éviter d'en perdre une goutte, nous procédons de même sur la bite de mon homme qui devient notre homme avant de nous écrouler sur notre lit.
• Mesdames, j’ai une bouteille de champagne dans le frigo, venez, nous allons fêter notre si belle nuit.
Nous sommes tous les trois nus.
L’escalier montant vers le dernier étage n’est pas fermé, les bruits caractéristiques d’un couple qui baise nous parviennent, la jeune dame semble apprécier la bite qui doit la ravager.
Le calme revient, nous trinquons, des pas dans l’escalier, le jeune couple apparaît enlacé.
• Maman, excuse-moi, j’étais sagement couchée dans ma chambre quand une grande chaleur m'a envahie, je me suis levée et j’ai rejoint Adrien, nous avons fait l’amour, j’ai eu un peu mal, mais après, mais après, ouah.
• C’est bien, ma fille, vous êtes jeunes, profitez de la vie, elle est courte, aimez-vous, nul besoin d’un curé.
Scène incroyable, cinq personnes nues dont nos enfants, qui prennent une coupe avant de remonter.
Inutile d’aller regarder le parchemin, une nouvelle fois, il a joué son rôle.
Nous retournons vers notre chambre, pour un deuxième round, Benoît semblant avoir repris de la vigueur.
Depuis le début de notre relation, c’est la première fois que je vois mon mari en aussi bonne forme.
J’ai un peu peur à notre réveil, le parchemin ayant tranquillement repris sa place, va-t-il me quitter trouvant que je suis une dévergondée.
• Les filles, réveillez-vous et allez me préparer un sérieux petit déjeuner, vous m’avez donné une faim de loup, mes Louves.
C’est ainsi que tout le week-end, nos enfants baisent dans les chambres mansardées à l’étage et nous dans un parfait trio.
Dans les jours suivant, Christian vient régulièrement me sauter, il est accro à mon sexe, pourtant plus très jeune en rapport de son âge.
Je prends des risques, je suis devenue folle du cul, sa verge m'étant devenue indispensable.
Il monte chez nous, nous allons dans la chambre d’amis n’ayant été ni par Lison, du moins fort peu longtemps, ni par sa maman, il me prend comme une bête.
Je suis en levrette, la tête tournée vers la porte quand il entre.
• On prend du bon temps ici…
Merci à Anne
C’est la soupière avec la vaisselle dépareillée qui m’intéresse.
C’est ma méthode pour acheter peu chère l’objet que je convoite en endormant le ou la vendeuse.
Je finis par m’apercevoir des pouvoirs de la boîte, quand elle s’ouvre, déclenchant ma libido, cette boîte est vraiment diabolique.
Elle me jette dans les bras de Martine, une copine d’enfance, j’étais loin de penser que j’étais capable de me gouiner surtout avec cette jeune femme.
Est-ce la boîte qui a déclenché la panne de ma voiture, me faisant rencontrer un homme dans une boîte à Besançon avec lequel je passe une partie de la nuit, trompant ainsi pour la première fois Benoît, mon chirurgien de mari, avec un autre homme ?
Est-ce elle, qui a poussé ce garçon sur la place du Palais des Ducs à me voler mon sac, pour mieux me précipiter dans les bras de Christian, jeune rugbyman qui me saute sans aucune pudeur dans les toilettes d’un café, prenant le risque de nous faire surprendre ?
Tous ces débordements, sous la houlette de ce parchemin, ont été éclipsés par le moment d’intimité avec Benoît dans notre chambre, enfin, à ce moment là, si ma chatte me brûlait, c’est d’envie du sexe de mon mari.
Il en était de même avec Christian, quand il a forcé sans grande difficulté, la porte de ma boutique à l’heure de la fermeture.
• Bonjour Martine, heureuse que tu sois là, nous avons vécu des moments tellement intenses chez toi.
• Et la surprise, où est-elle Véronique ?
• Ne sois pas impatiente, elle va arriver.
Je fais faire le tour de notre maison à mon amie.
• Dépose ton sac dans cette chambre mansardée, tu dormiras ici cette nuit, il y a une douche commune avec l’autre chambre qui est celle de mon fils.
• Dommage, j’espérais passer la nuit avec toi !
• Moi aussi, mais contrairement à toi, je suis mariée et je couche encore avec mon mari.
J’avais envie d’ajouter, "malgré tous mes débordements depuis que je t’ai acheté ta boîte en cuir", mais on sonne à la porte, nous redescendons.
• Maman, que fais-tu là ?
• Et toi Lison, qui est ce jeune homme ?
• Je vous dois des explications, comment dire, Adrien, mon fils, qui finit ses études à la fac à Dijon.
• Je pense que vous êtes Lison, la fille de Martine !
• Oui madame, mais cela ne me dit pas ce que maman fait là, vous vous connaissez ?
• Très bien, j’ai retrouvé Martine il y a quelques jours dans votre village à Chazal, j’étais venue à la brocante annuelle, nous nous sommes reconnues. J’allais chez ma grand-mère en vacances, petite, dans votre village.
• Mais entrez, ne restez pas sur le pas de la porte.
Nous montons dans ma salle à manger.
• Adrien, quand il m’a appelé pour me dire que tu venais avec une petite et fort jolie jeune fille, je t’ai demandé son nom, tu m’as dit Lison, j’ai tout de suite fait le lien avec ta fille Martine, Lison n’étant pas un nom très porté.
Au pire, si vous aviez été une autre Lison que ta fille, nous aurions tout de même passé le week-end ensemble.
Adrien porte vos sacs dans ta chambre, j’ai donné la chambre d’amis à Martine.
• Madame, il y a un problème, Adrien et moi, nous ne couchons pas ensemble. Maman, je respecte ton éducation, je me donnerai à lui, le soir de nos noces.
• Oui, maman, je suis venu ce week-end, vous présenter Lison à papa et à toi, sans savoir que je rencontrerais Martine sa maman ici, nous avions prévu d’aller la voir le week-end prochain.
J’ai offert une bague à mon petit amour, nous souhaitons nous marier dès la fin de mes études dans quelques mois.
• C’est très bien, les enfants. Adrien donne la chambre que ta maman m’a donnée à ma fille, je coucherais sur ce canapé, il a l’air très confortable.
• C’est hors de question, chère amie, Benoît, pour vous servir, le mari de cette jolie femme nommée Véronique.
Au téléphone, elle m’a parlé de sa copine Martine qu’elle a invitée ce week-end et d’une jeune fille Lison, je crois qui serait votre fille.
C’est moi qui dormirai sur le canapé. Adrien, descends le sac de Martine dans notre chambre à ta mère et à moi, si cela vous va de dormir ensemble, mais vous êtes des adultes et vu les beaux enfants que nous avons faits, je pense qu’il n’y a aucune ambiguïté.
Très vieille France, Benoît fait un baisemain à Martine.
Il est arrivé au bon moment pour éclaircir la situation.
Les sacs placés dans les bonnes chambres, nous passons une bonne soirée, je suis assise à côté de Martine, dès que nous le pouvons, nos mains et nos cuisses se touchent.
Tout le monde se dirige vers les chambres attribuées, bruit d’eau dans les deux salles de bains et silence.
Dans notre quartier, la nuit, les rues étant piétonnes, il y a peu de bruit hormis quelques ivrognes qui passent en chantant.
• Chute, peux-tu faire moins de bruit, Benoît est à côté il pourrait entendre.
• Mais, j’ai envie de toi, je rêve de toi depuis que nous avons fait l’amour chez moi.
• Tu as revu Lucien depuis la brocante ?
• Régulièrement, le village est petit, sais-tu que depuis ta venue, il a décidé d’arrêter de boire, tu sais ton billet de 100 €, chaque fois qu’il le peut, il me le montre.
• Je ne dis pas que s’il continue d’être sobre, je vais finir par l’inviter !
• Tu lui demanderas de te pisser sur la chatte, comme dans notre jeunesse, il te fera peut-être un enfant à ton tour.
Nous pouffons de rire, la lampe de chevet est allumée, je lui caresse les seins avant de descendre vers sa chatte pour qu’elle aussi vienne me sucer le clito.
C’est à ce moment que la chaleur très spécifique qui me gagne quand la boîte s’est ouverte me rattrape.
• Mesdames, j’aimerais me joindre à vous, chérie, vous avez une longueur d’avance, mais regardez, je bande déjà.
Incroyable ce que le parchemin nous fait faire, devant moi, mon mari baise ma copine, me baise aussi, va de l’une à l’autre alors que nous sommes en levrette.
• Mesdames, permettez que je vous sodomise, vos petites rosettes sont bien attirantes.
C’est comme ça que je me fais sodomiser pour la première fois par mon mari, nous jouissons quand il reprend nos chattes, pour finir, il nous contourne et éjacule une giclée dans chacune de nos bouches, les derniers jets venant sur nos figures.
Nous nous léchons mutuellement afin d’éviter d'en perdre une goutte, nous procédons de même sur la bite de mon homme qui devient notre homme avant de nous écrouler sur notre lit.
• Mesdames, j’ai une bouteille de champagne dans le frigo, venez, nous allons fêter notre si belle nuit.
Nous sommes tous les trois nus.
L’escalier montant vers le dernier étage n’est pas fermé, les bruits caractéristiques d’un couple qui baise nous parviennent, la jeune dame semble apprécier la bite qui doit la ravager.
Le calme revient, nous trinquons, des pas dans l’escalier, le jeune couple apparaît enlacé.
• Maman, excuse-moi, j’étais sagement couchée dans ma chambre quand une grande chaleur m'a envahie, je me suis levée et j’ai rejoint Adrien, nous avons fait l’amour, j’ai eu un peu mal, mais après, mais après, ouah.
• C’est bien, ma fille, vous êtes jeunes, profitez de la vie, elle est courte, aimez-vous, nul besoin d’un curé.
Scène incroyable, cinq personnes nues dont nos enfants, qui prennent une coupe avant de remonter.
Inutile d’aller regarder le parchemin, une nouvelle fois, il a joué son rôle.
Nous retournons vers notre chambre, pour un deuxième round, Benoît semblant avoir repris de la vigueur.
Depuis le début de notre relation, c’est la première fois que je vois mon mari en aussi bonne forme.
J’ai un peu peur à notre réveil, le parchemin ayant tranquillement repris sa place, va-t-il me quitter trouvant que je suis une dévergondée.
• Les filles, réveillez-vous et allez me préparer un sérieux petit déjeuner, vous m’avez donné une faim de loup, mes Louves.
C’est ainsi que tout le week-end, nos enfants baisent dans les chambres mansardées à l’étage et nous dans un parfait trio.
Dans les jours suivant, Christian vient régulièrement me sauter, il est accro à mon sexe, pourtant plus très jeune en rapport de son âge.
Je prends des risques, je suis devenue folle du cul, sa verge m'étant devenue indispensable.
Il monte chez nous, nous allons dans la chambre d’amis n’ayant été ni par Lison, du moins fort peu longtemps, ni par sa maman, il me prend comme une bête.
Je suis en levrette, la tête tournée vers la porte quand il entre.
• On prend du bon temps ici…
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