COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (8/22)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (8/22)
Ma vie se précipite depuis que j’ai acheté cette boîte en cuir où se trouve un parchemin diabolique avec des signes cabalistiques.
Cette boîte à une vie complètement autonome, elle s’ouvre quand je me trouve dans une situation sexuelle inconnue de moi avant ce jour, comme dans la chambre d’amie par exemple, chez Martine à Chazal dans le Doubs.
Ma vie est bouleversée, mais pour ma plus grande satisfaction, même Benoît mon mari, chirurgien à l’hôpital de Dijon, m’a fait voir que lui aussi souhaitait avoir une épouse plus libre sexuellement.
Club libertin, gang bang dans un vestiaire du club de rugby de Dijon ou chez moi comme cela vient d’être le cas avec les jumeaux blacks qui m’ont prise en double pénétration dans mon lit conjugal.
Je suis de retour dans ma boutique d’antiquités quand Lison la jeune fille que mon fils nous a présentée comme sa promise entre.
• Maman, je peux vous voir, j’ai besoin de vous annoncer quelque chose et que vous m’aidiez.
D’entré, je suis contente qu’elle m’appelle maman, que va-t-elle m’annoncer.
• Depuis que nous avons passé la soirée chez toi, pardon chez vous.
• Non, Lison, j’aime ton tutoiement, j’ai un garçon que j’adore, mais j’ai toujours rêvé d’avoir une petite fille, cela ne s’est pas fait, alors j’ai toujours espéré que ma bru remplisse ce vide, tu trouveras toujours en moi une amie.
• C’est pour cela que je suis là, Véronique tu vas être grand-mère.
• Quelle bonne nouvelle, Benoît le sait ?
• Oui, depuis hier au soir, je vais te dire, depuis que dans sa chambre de jeune homme, une force m’a propulsé dans son lit, nous faisons l’amour plusieurs fois par jour.
Je vais te faire une confidence, il me prend là où nous sommes et j’aime ça, mais je voulais éviter que bébé prenne des risques et j’ignorais s’il voulait le garder.
C’est louper, il m’a fait l’amour toute la nuit dès que je lui ai dit, il va être médecin en fin d’année universitaire, pour lui aucun risque et savoir qu’il allait être père lui ont décuplé ses forces.
• Grand-mère, tu te rends compte, vous me donnez un coup de vieux, tu as commencé par me demander mon aide, qu’espères-tu de moi !
• Le dire à maman, tu prends les choses avec philosophie, mais elle se sera plu dure.
• Je dois l’appeler, j’ai une autre chose à voir avec elle, compte sur moi, tout se passera bien.
• Oui, mais nous voulons nous marier et surtout je souhaite avoir ma robe blanche, je veux éviter d’être prise pour une traîner dans mon village.
Les vieilles coutumes ont la peau dure dans nos campagnes, même si je n’y suis plus souvent.
Pour le mariage, il faudrait que cela se fasse au plus tard en août.
• Pas question de vous marier en août, c’est le mois de Marie, ça porte malheur début septembre se sera parfait.
• J’ai connaissance de cette superstition, d’autres disent que c’est le mois de mai qui serait le mois de Marie, mais si tu veux, va pour début septembre.
• Merci, nous n’avons qu’un fils, nous ferons le maximum pour vous deux, je te le promets, comme c’est dans ton village que le mariage devra avoir lieu, nous allons travailler ensemble avec ta mère.
• J’ai une autre chose à parler avec toi, Benoît a fait des remplacements chez un vieux médecin de Beaume-les Dames pendant sa formation, il souhaite lui vendre son cabinet.
Nous allons faire un emprunt sur trente ans, car il y a du travail pour deux, mais il nous manque une partie de la somme, il est trop fier pour vous demander votre aide.
• J’ai compris, là aussi tu auras notre appui, contente-toi de nous faire un beau bébé et dit à mon fils de se concentrer sur sa fin d’étude, mais aussi sur toi et mon petit-fils.
• Merci.
Ma future belle-fille me quitte, me laissant une charge importante afin que je persuade mon mari et mon amie Martine.
• Oui, Martine, c’est Véronique, ou es-tu ?
À Besançon, chez les curés pour un mariage.
Tu es déjà au courant, sais difficile de t’expliquer au téléphone.
Sais-tu pourquoi je t’appelle, pour savoir si tu es libre dimanche pour aller à Oyonnax ?
C’est toi qui ne comprends pas pourquoi je veux t’emmener à Oyonnax.
Tu as fini chez les curés, tu veux venir chez moi pour que l’on s’explique de vive voix, c’est bon, ce sera plus facile.
Je raccroche, le temps de venir avec sa voiture de trouver une place non payante non loin de chez moi et elle sera là, je pourrais voir sa réaction quand je lui apprendrais ce que sa fille m’a dit.
• Bonjour ma belle, que voulais-tu dire en parlant d’un mariage, comment sais-tu pour les enfants.
• Les enfants, non j’étais à Besançon pour mon mariage, j’allais justement t’appeler pour que tu sois mon témoin, j’étais chez les curés pour obtenir que la cérémonie ait lieu dans l’église de Chazal et il fallait leur accord pour rouvrir l’église.
Je me marie avec Lucien, depuis qu’il est sobre, j’ai accepté qu’il vienne chez moi.
Je comprends le quiproquo, c’est elle qui se remarie, mais je croyais que les divorcés ne pouvaient pas se remarier à l’église, je lui en fais part.
• Quand je me suis mariée avec le Jean-Marie, il était foncièrement contre les curés, nous ne nous sommes mariés qu’à la mairie, Lucien, lui veut tout le tralala, je crois que la religion l’a aidé pour se défaire de l’alcool.
• Et le fait que ce soit un homme en plusieurs morceaux !
• Tu te trompes, si tu voyais sa trompe maintenant, elle a bien grandi depuis qu’il te faisait pipi dessus, tu as bien entendu sa trompe, sans compter quand il enlève sa prothèse, mais là, tu deviens trop indiscrète.
• Je te ferais remarquer que c’est toi qui parles.
• À toi de me dire, pourquoi Oyonnax ?
Je lui raconte mon aventure au club de rugby, je vois ses yeux briller.
• Véronique, on a fini d’être des midinettes, je t’accompagnerais dimanche, j’aimerais connaître Christian et Corentin ou Louis et Luc.
• Tu n’as qu’à rester ici jusqu’à dimanche, j’ai une brosse à dents neuve et je me souviens que tu aimes comme moi te coucher nue, je te propose de descendre dans la boutique de vêtements en bas, c’est une amie, tu pourras acheter quelques vêtements pour dimanche.
Nous descendons, j’achète un ensemble jupe et blouse teinte beige, elle prend la même teinte fuchsia claire, ballerine de couleur identique.
Quand nous remontons, nous dînons avant d’attaquer la soirée.
• Comme tu vas te marier, tu es fidèle !
Elle éclate de rire.
• Une soirée comme celle qui a fini dans la boîte échangiste, je suis prête à recommencer, Lucien est d’accord que nous soyons un couple moderne, comme le tient avec Benoît.
• Je vais appeler des amis.
J’appelle le numéro de Louis répondeur, Luc répondeur.
• J’appelais mes amis noirs, ils doivent être dans les pattes de jeunettes, Christian et Corentin, tu es partant.
• Appel, ils sont peut-être avec les mêmes salopes.
Christian me répond, je lui dis que la porte est ouverte et que nous les attendons, Dijon n’est pas une ville immense et en moins d’un quart d’heure, ils sont là.
• Salut Véronique, je suis heureux de te revoir, mais dis-moi présente-moi à cette beauté.
• Dis-moi Corentin quelle assurance, pour un garçon que j’ai dépucelé depuis quelques heures.
• J’étais timide, Véronique en me prenant ma rondelle, tu me l’as fait sauter, tu as compris que je m’appelle Corentin.
• Moi, c’est Martine, vient me faire voir ce que notre maîtresse de maison t’a appris, que sais-tu faire avec ta langue !
Martine s'est renversé sur mon lit, nous montrant sa souplesse, elle se couche sur le dos, saisis ses jambes, les tires à elle, ouvrant son compas de 180°, dommage, c’est Corentin qui en profite, j’aurais bien mis ma langue à la croisée dans cette chatte parfaitement épilée sauf un triangle recouvrant son pubis.
Pendant ce temps, Christian vient derrière moi alors que j’admire le tableau que me montre Martine et Corentin, je suis à genoux mes fesses sur les talons, sa main vient sur ma poitrine quand l’échauffement de mon sexe me rappelle que je possède un parchemin.
Ce parchemin cause, de tous mes récents débordements, même si j’en tire bien du plaisir, peu me poser souci, y a-t-il un moyen de freiner son influence surtout à des moments pouvant me porter préjudice, ce qui n’est pas le cas depuis que je l’ai acquis.
• Ma chérie, dès que j’ai le dos tourné, tu partouzes sans moi, Christian, j’arrive trop top, je vois que tu t’apprêtais à saillir ma femme, bonjour Martine, je ne t’avais pas reconnu ce jeune garçon te mettant sa bite bien à fond dans ton vagin.
• Véro, tu permets, prête-moi Benoît j’aimerais être prise en double pénétration, c’est si rare d’avoir plusieurs hommes à sa disposition, retourne-toi Corentin que je m’empale sur toi, très bien, tu m’as déjà fait jouir avec ta langue.
Une fois que mon amie est prise en double pénétration, je parle à l’oreille de Christian, ce n’est pas à moi que je pense, ma main est déjà sur mon clito, Benoît me regarde, il semble comprendre sans un mot à quoi je pense.
C’est beau la complicité d’un couple, il s’écarte assez pour que Christian vienne se glisser à côté de sa verge dans l’anus de notre amie.
Elle tourne la tête me regarde.
• Chic, une triple pénétration avec double anale, merci Véronique.
J’accepte son merci, mais ne devrait-elle pas remercier la boîte qu’elle m’a vendue et qui doit être ouverte en ce moment.
Nous sommes quatre, quand les trois mâles vident leurs couilles dans les trous de Martine, notre voyage de dimanche me fait augurer des moments assez chauds…
Merci à Anne
Cette boîte à une vie complètement autonome, elle s’ouvre quand je me trouve dans une situation sexuelle inconnue de moi avant ce jour, comme dans la chambre d’amie par exemple, chez Martine à Chazal dans le Doubs.
Ma vie est bouleversée, mais pour ma plus grande satisfaction, même Benoît mon mari, chirurgien à l’hôpital de Dijon, m’a fait voir que lui aussi souhaitait avoir une épouse plus libre sexuellement.
Club libertin, gang bang dans un vestiaire du club de rugby de Dijon ou chez moi comme cela vient d’être le cas avec les jumeaux blacks qui m’ont prise en double pénétration dans mon lit conjugal.
Je suis de retour dans ma boutique d’antiquités quand Lison la jeune fille que mon fils nous a présentée comme sa promise entre.
• Maman, je peux vous voir, j’ai besoin de vous annoncer quelque chose et que vous m’aidiez.
D’entré, je suis contente qu’elle m’appelle maman, que va-t-elle m’annoncer.
• Depuis que nous avons passé la soirée chez toi, pardon chez vous.
• Non, Lison, j’aime ton tutoiement, j’ai un garçon que j’adore, mais j’ai toujours rêvé d’avoir une petite fille, cela ne s’est pas fait, alors j’ai toujours espéré que ma bru remplisse ce vide, tu trouveras toujours en moi une amie.
• C’est pour cela que je suis là, Véronique tu vas être grand-mère.
• Quelle bonne nouvelle, Benoît le sait ?
• Oui, depuis hier au soir, je vais te dire, depuis que dans sa chambre de jeune homme, une force m’a propulsé dans son lit, nous faisons l’amour plusieurs fois par jour.
Je vais te faire une confidence, il me prend là où nous sommes et j’aime ça, mais je voulais éviter que bébé prenne des risques et j’ignorais s’il voulait le garder.
C’est louper, il m’a fait l’amour toute la nuit dès que je lui ai dit, il va être médecin en fin d’année universitaire, pour lui aucun risque et savoir qu’il allait être père lui ont décuplé ses forces.
• Grand-mère, tu te rends compte, vous me donnez un coup de vieux, tu as commencé par me demander mon aide, qu’espères-tu de moi !
• Le dire à maman, tu prends les choses avec philosophie, mais elle se sera plu dure.
• Je dois l’appeler, j’ai une autre chose à voir avec elle, compte sur moi, tout se passera bien.
• Oui, mais nous voulons nous marier et surtout je souhaite avoir ma robe blanche, je veux éviter d’être prise pour une traîner dans mon village.
Les vieilles coutumes ont la peau dure dans nos campagnes, même si je n’y suis plus souvent.
Pour le mariage, il faudrait que cela se fasse au plus tard en août.
• Pas question de vous marier en août, c’est le mois de Marie, ça porte malheur début septembre se sera parfait.
• J’ai connaissance de cette superstition, d’autres disent que c’est le mois de mai qui serait le mois de Marie, mais si tu veux, va pour début septembre.
• Merci, nous n’avons qu’un fils, nous ferons le maximum pour vous deux, je te le promets, comme c’est dans ton village que le mariage devra avoir lieu, nous allons travailler ensemble avec ta mère.
• J’ai une autre chose à parler avec toi, Benoît a fait des remplacements chez un vieux médecin de Beaume-les Dames pendant sa formation, il souhaite lui vendre son cabinet.
Nous allons faire un emprunt sur trente ans, car il y a du travail pour deux, mais il nous manque une partie de la somme, il est trop fier pour vous demander votre aide.
• J’ai compris, là aussi tu auras notre appui, contente-toi de nous faire un beau bébé et dit à mon fils de se concentrer sur sa fin d’étude, mais aussi sur toi et mon petit-fils.
• Merci.
Ma future belle-fille me quitte, me laissant une charge importante afin que je persuade mon mari et mon amie Martine.
• Oui, Martine, c’est Véronique, ou es-tu ?
À Besançon, chez les curés pour un mariage.
Tu es déjà au courant, sais difficile de t’expliquer au téléphone.
Sais-tu pourquoi je t’appelle, pour savoir si tu es libre dimanche pour aller à Oyonnax ?
C’est toi qui ne comprends pas pourquoi je veux t’emmener à Oyonnax.
Tu as fini chez les curés, tu veux venir chez moi pour que l’on s’explique de vive voix, c’est bon, ce sera plus facile.
Je raccroche, le temps de venir avec sa voiture de trouver une place non payante non loin de chez moi et elle sera là, je pourrais voir sa réaction quand je lui apprendrais ce que sa fille m’a dit.
• Bonjour ma belle, que voulais-tu dire en parlant d’un mariage, comment sais-tu pour les enfants.
• Les enfants, non j’étais à Besançon pour mon mariage, j’allais justement t’appeler pour que tu sois mon témoin, j’étais chez les curés pour obtenir que la cérémonie ait lieu dans l’église de Chazal et il fallait leur accord pour rouvrir l’église.
Je me marie avec Lucien, depuis qu’il est sobre, j’ai accepté qu’il vienne chez moi.
Je comprends le quiproquo, c’est elle qui se remarie, mais je croyais que les divorcés ne pouvaient pas se remarier à l’église, je lui en fais part.
• Quand je me suis mariée avec le Jean-Marie, il était foncièrement contre les curés, nous ne nous sommes mariés qu’à la mairie, Lucien, lui veut tout le tralala, je crois que la religion l’a aidé pour se défaire de l’alcool.
• Et le fait que ce soit un homme en plusieurs morceaux !
• Tu te trompes, si tu voyais sa trompe maintenant, elle a bien grandi depuis qu’il te faisait pipi dessus, tu as bien entendu sa trompe, sans compter quand il enlève sa prothèse, mais là, tu deviens trop indiscrète.
• Je te ferais remarquer que c’est toi qui parles.
• À toi de me dire, pourquoi Oyonnax ?
Je lui raconte mon aventure au club de rugby, je vois ses yeux briller.
• Véronique, on a fini d’être des midinettes, je t’accompagnerais dimanche, j’aimerais connaître Christian et Corentin ou Louis et Luc.
• Tu n’as qu’à rester ici jusqu’à dimanche, j’ai une brosse à dents neuve et je me souviens que tu aimes comme moi te coucher nue, je te propose de descendre dans la boutique de vêtements en bas, c’est une amie, tu pourras acheter quelques vêtements pour dimanche.
Nous descendons, j’achète un ensemble jupe et blouse teinte beige, elle prend la même teinte fuchsia claire, ballerine de couleur identique.
Quand nous remontons, nous dînons avant d’attaquer la soirée.
• Comme tu vas te marier, tu es fidèle !
Elle éclate de rire.
• Une soirée comme celle qui a fini dans la boîte échangiste, je suis prête à recommencer, Lucien est d’accord que nous soyons un couple moderne, comme le tient avec Benoît.
• Je vais appeler des amis.
J’appelle le numéro de Louis répondeur, Luc répondeur.
• J’appelais mes amis noirs, ils doivent être dans les pattes de jeunettes, Christian et Corentin, tu es partant.
• Appel, ils sont peut-être avec les mêmes salopes.
Christian me répond, je lui dis que la porte est ouverte et que nous les attendons, Dijon n’est pas une ville immense et en moins d’un quart d’heure, ils sont là.
• Salut Véronique, je suis heureux de te revoir, mais dis-moi présente-moi à cette beauté.
• Dis-moi Corentin quelle assurance, pour un garçon que j’ai dépucelé depuis quelques heures.
• J’étais timide, Véronique en me prenant ma rondelle, tu me l’as fait sauter, tu as compris que je m’appelle Corentin.
• Moi, c’est Martine, vient me faire voir ce que notre maîtresse de maison t’a appris, que sais-tu faire avec ta langue !
Martine s'est renversé sur mon lit, nous montrant sa souplesse, elle se couche sur le dos, saisis ses jambes, les tires à elle, ouvrant son compas de 180°, dommage, c’est Corentin qui en profite, j’aurais bien mis ma langue à la croisée dans cette chatte parfaitement épilée sauf un triangle recouvrant son pubis.
Pendant ce temps, Christian vient derrière moi alors que j’admire le tableau que me montre Martine et Corentin, je suis à genoux mes fesses sur les talons, sa main vient sur ma poitrine quand l’échauffement de mon sexe me rappelle que je possède un parchemin.
Ce parchemin cause, de tous mes récents débordements, même si j’en tire bien du plaisir, peu me poser souci, y a-t-il un moyen de freiner son influence surtout à des moments pouvant me porter préjudice, ce qui n’est pas le cas depuis que je l’ai acquis.
• Ma chérie, dès que j’ai le dos tourné, tu partouzes sans moi, Christian, j’arrive trop top, je vois que tu t’apprêtais à saillir ma femme, bonjour Martine, je ne t’avais pas reconnu ce jeune garçon te mettant sa bite bien à fond dans ton vagin.
• Véro, tu permets, prête-moi Benoît j’aimerais être prise en double pénétration, c’est si rare d’avoir plusieurs hommes à sa disposition, retourne-toi Corentin que je m’empale sur toi, très bien, tu m’as déjà fait jouir avec ta langue.
Une fois que mon amie est prise en double pénétration, je parle à l’oreille de Christian, ce n’est pas à moi que je pense, ma main est déjà sur mon clito, Benoît me regarde, il semble comprendre sans un mot à quoi je pense.
C’est beau la complicité d’un couple, il s’écarte assez pour que Christian vienne se glisser à côté de sa verge dans l’anus de notre amie.
Elle tourne la tête me regarde.
• Chic, une triple pénétration avec double anale, merci Véronique.
J’accepte son merci, mais ne devrait-elle pas remercier la boîte qu’elle m’a vendue et qui doit être ouverte en ce moment.
Nous sommes quatre, quand les trois mâles vident leurs couilles dans les trous de Martine, notre voyage de dimanche me fait augurer des moments assez chauds…
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