COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Manon et les Zombies (1/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Manon et les Zombies (1/5)
Mais qui peut taper sur la porte de mon laboratoire dans le centre de recherche que je dirige depuis 2 ans.
Je fais de la recherche sur des mouches.
Il semble que ces petites bêtes aient des vertus pour calmer les personnes hypernerveuses.
J’ai 32 ans, jolie petite brune pas très grande mais avec des seins qui plaisent à mon mari.
J’avais 20 ans quand je l’ai rencontré en première année de fac.
Lui était en troisième année de médecine.
Il voulait devenir généraliste, je voulais dès les premiers jours m’orienter vers la recherche.
Nous avons rapidement été amant.
Nous avons rapidement vécu ensemble.
Ses parents avaient du bien dans une petite ville de province à 200 kilomètres d’ici.
Il est parti les voir pour le week-end du Premier mai.
Le centre où se trouve mon laboratoire est calme car la plupart sont en week-end prolongé de 5 jours.
Susy mon assistante travaille elle aussi car des ennuis de santé de son fils l’ont obligé à prendre des congés.
Ça fait des heures que je suis dans ces pièces isolées du monde car Antoine est parti chez ses parents pour soigner sa mère.
Ma belle-mère est âgée et commence à être atteinte de perte soudaine de mémoire.
Avec Antoine nous avons bien peur qu’elle soit atteinte de la maladie d’Alzheimer.
Il est parti la voir car il y a une semaine, son père l’avait retrouvé assise dans la cuisine de chez leurs voisins à boire leur café.
Des travaux sur mes bestioles m’ont contrainte à rester et j’en profite pour faire des expériences demandant du temps et donc de la concentration.
Qui peut donc tambouriner sur la porte du sas afin de pénétrer dans mon labo en toute sécurité ?
Je regarde la caméra.
C’est Susy qui tape des deux points sur la porte.
Son comportement m’interpelle, elle a la tête penchée vers l’arrière comme si sa nuque avait une raideur et ses yeux semblent fixes.
J’ai vu quelques minutes d’un film de zombies, j’ai tellement trouvé ça con que j’ai changé de chaîne.
Angélique Marquise des Anges, là encore, sans vraiment être ce que j’aime mais pour s’endormir dans son fauteuil et ainsi récupéré c’est parfait.
Bref, derrière la porte de mon labo je semble être confrontée à ce genre de problème.
Susy est devenue un zombie et m’empêche de sortir risquant de me faire mourir de faim.
Ça va être long avant que je meure car si je dois rester sans manger, j’ai autant d’eau potable que je désire.
Je perds un peu pied.
Me sentant seule.
Les ordis, Internet.
Bien sûr les réseaux extérieurs semblent morts.
Je m’installe devant l’aquarium où les mouches qui me servent batifolent entre elles.
Les coups sur la porte finissent par me taper sur les nerfs surtout quand j’y pense, si Susy est dans cet état bien d’autres personnes sont susceptibles d’avoir été atteints.
Qu’ai-je à ma disposition ?
Des scalpels, des seringues et des produits anesthésiants.
Je veux surtout épargner Susy, elle est mon amie depuis que nous travaillons ensemble.
Cette jolie blonde est bandante.
Si j’avais été lesbienne au lieu d’hétéro c’est avec elle que je me serais gouinée.
Mais je penserais au cul plus tard bien que depuis qu’il est parti la bite de mon homme commence à me manquer.
Si je fais entrer Susy dans le sas, je pourrai la faire entrer et prendre sa place dans le sas le temps qu’elle repère ma présence.
Et je pourrais prendre sa place pour sortir.
Je suis souvent dans mon labo mais je fais du sport avec Antoine.
Du self-défense basé sur la rapidité.
Je prépare une seringue de liquide à haut pouvoir d’endormissement et je commence la manœuvre.
La faire entrer dans le sas c’est facile, une fois la porte débloquée, elle tape et pousse et se retrouve piégée là où je le voulais.
Deuxième partie de mon plan.
Je déverrouille, je tire la porte devant moi.
Susy est plus rapide, le peu que j’ai vu du film zombie, notre chaleur, donc notre sang est la cause de leur envie de nous bouffer.
Nous roulons au sol et j’ai la chance de pouvoir la tenir au cou.
Son cou est froid, mon bas-ventre entre en contact avec sa robe qui s’est relevée.
Malgré mon pantalon je sens que son sexe semble avoir un semblant de vie.
Je sens mais je réagis avec ma seringue que je lui plante dans l’épaule.
Le temps que l’anesthésiant fasse effet, la chercheuse reprend le dessus.
J’ai peur que si le sang s’arrête de circuler, le produit soit inefficace.
Heureusement, je sens que les forces de Susy diminuent jusqu’à ce que je puisse la lâcher.
Elle dort, du moins elle est inerte.
Je la tire jusqu’au fauteuil et je l’installe du mieux que je le peux.
Sans avoir l’esprit malsain, je soulève sa robe et j’écarte sa petite culotte rose.
Je mets la main sur sa chatte, c’est chaud.
En un geste de chercheuse et non sexuelle, je lui mets trois doigts dans le vagin, c’est encore chaud.
Quand j’ai fait mes études, j’ai étudié ce que certains appellent les dérives sexuelles.
Trois doigts puis ma main avec du mal pour la faire entrer dans sa totalité.
Bref, je me rappelle en geste de médecine, je fist Susy.
Je sens que quelque chose change dans l’intérieur de ce corps.
Je sens même son cœur repartir au bout de mes doigts quand elle semble avoir un orgasme.
J’attends que l’effet du liquide anesthésique s’estompe pour la voir rouvrir ses beaux yeux bleus bien retrouvés.
- Que m’est-il arrivé ?
J’ai perdu mes esprits et je me retrouve dans votre bureau.
Pourquoi avez-vous une main dans ma chatte, voulez-vous qu’on ait un rapport lesbien ?
Je sens que Susy a repris vie normale, je quitte sa chatte.
- Te sens-tu bien ?
- Oui, comme le jour où j’ai pris une cuite entraînant la perte de mon pucelage.
- C’est un moindre mal.
Suis-moi en faisant attention.
Pour commencer, tutoie-moi, l’épreuve que l’on vient de traverser nous le permet.
Allons au poste de garde demander à la sécurité si elle existe toujours, afin de voir la bande qui s’enregistre pour te montrer ce qui t’est arrivé.
Quand je disais « si elle existe toujours, » j’avais raison.
Nous traversons deux autres laboratoires, des collègues sont là tournants dans la pièce.
Par chance la porte est fermée mais par malchance leur laboratoire était ouvert.
La pièce d’après, la directrice est là aussi.
Sa porte est ouverte et par chance en se déplaçant à aucun moment son cerveau malade la vue.
Susy a un éternuement.
Madame, comme nous l’appelons, tourne la tête, semble humer l’air et se dirige vers nous.
Elle est en retraite dans quelques jours, elle a 61 ans.
J’ai fisté mon amie, je me vois mal en faire de même avec elle.
Alors je referme la porte.
Si je m’arrête à chaque cas, nous y passerons la journée sans savoir si le mal nous ayant atteint, pardon, les ayant atteints est général sur la planète ou centralisé un labo ayant fait une mauvaise expérience.
Le garde devait être en ronde car la porte est fermée.
C’est avec prudence que nous entrons.
Personne, il devait être en ronde au moment où l’accident a eu lieu.
Dans la salle des enregistrements vidéo, je sais comment se classent les CD.
Jours, mais ce sont ceux qui sont dans les enregistreurs qui m’intéressent.
Secteur de mon labo et caméra qui est au-dessus de sa porte.
- C’est incroyable comment j’étais, merci de m’avoir sauvé la vie.
- Tient regarde cette boîte, derrière les autres c’est bizarre que Gaspar l’ait placé là.
J’ouvre des CD.
J’en mets un.
Les gens sont cons, ils oublient que les caméras tournent vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Celle que j’ai placée dans le lecteur montre une partie du bureau de madame.
La caméra est dans le couloir que nous venons de remonter.
La date et l’heure défile 23 heures 33, 34.
Madame est la poitrine nue sur son bureau et Gaspar le gardien ayant posé son appareil de contrôle de ses rondes à son côté.
Gaspar est bien monté, il fait du karaté et a des abdos en béton.
Dommage que ces vidéos soient sans le son.
À la façon dont elle tourne la tête, elle doit jouir intensément car son regard sans être celui qu’elle avait quand on l’a enfermé dans son bureau devenu zombie est à la limite de la pâmoison.
61 ans, mariée 5 enfants une vie professionnelle irréprochable du moins jusqu’à je m’aperçois de la salope qu’elle était.
« Elle était » est idiot surtout quand on essaye d’entrer comme le faisait Susy tout à l’heure.
La porte est coulissante automatiquement grâce à une cellule.
J’ai pensé à tout et je devrais penser à tout si par chance nous échappons à cette boule de muscle qui entre.
Nous nous réfugions dans la pièce aux enregistrements.
Une nouvelle fois je suis coincée dans une pièce sans autre sortie que la porte qu’on arrive à refermer.
Au moment où j’arrive à la claquer, j’ai le temps de voir que Gaspar même dans son état bande…
Je fais de la recherche sur des mouches.
Il semble que ces petites bêtes aient des vertus pour calmer les personnes hypernerveuses.
J’ai 32 ans, jolie petite brune pas très grande mais avec des seins qui plaisent à mon mari.
J’avais 20 ans quand je l’ai rencontré en première année de fac.
Lui était en troisième année de médecine.
Il voulait devenir généraliste, je voulais dès les premiers jours m’orienter vers la recherche.
Nous avons rapidement été amant.
Nous avons rapidement vécu ensemble.
Ses parents avaient du bien dans une petite ville de province à 200 kilomètres d’ici.
Il est parti les voir pour le week-end du Premier mai.
Le centre où se trouve mon laboratoire est calme car la plupart sont en week-end prolongé de 5 jours.
Susy mon assistante travaille elle aussi car des ennuis de santé de son fils l’ont obligé à prendre des congés.
Ça fait des heures que je suis dans ces pièces isolées du monde car Antoine est parti chez ses parents pour soigner sa mère.
Ma belle-mère est âgée et commence à être atteinte de perte soudaine de mémoire.
Avec Antoine nous avons bien peur qu’elle soit atteinte de la maladie d’Alzheimer.
Il est parti la voir car il y a une semaine, son père l’avait retrouvé assise dans la cuisine de chez leurs voisins à boire leur café.
Des travaux sur mes bestioles m’ont contrainte à rester et j’en profite pour faire des expériences demandant du temps et donc de la concentration.
Qui peut donc tambouriner sur la porte du sas afin de pénétrer dans mon labo en toute sécurité ?
Je regarde la caméra.
C’est Susy qui tape des deux points sur la porte.
Son comportement m’interpelle, elle a la tête penchée vers l’arrière comme si sa nuque avait une raideur et ses yeux semblent fixes.
J’ai vu quelques minutes d’un film de zombies, j’ai tellement trouvé ça con que j’ai changé de chaîne.
Angélique Marquise des Anges, là encore, sans vraiment être ce que j’aime mais pour s’endormir dans son fauteuil et ainsi récupéré c’est parfait.
Bref, derrière la porte de mon labo je semble être confrontée à ce genre de problème.
Susy est devenue un zombie et m’empêche de sortir risquant de me faire mourir de faim.
Ça va être long avant que je meure car si je dois rester sans manger, j’ai autant d’eau potable que je désire.
Je perds un peu pied.
Me sentant seule.
Les ordis, Internet.
Bien sûr les réseaux extérieurs semblent morts.
Je m’installe devant l’aquarium où les mouches qui me servent batifolent entre elles.
Les coups sur la porte finissent par me taper sur les nerfs surtout quand j’y pense, si Susy est dans cet état bien d’autres personnes sont susceptibles d’avoir été atteints.
Qu’ai-je à ma disposition ?
Des scalpels, des seringues et des produits anesthésiants.
Je veux surtout épargner Susy, elle est mon amie depuis que nous travaillons ensemble.
Cette jolie blonde est bandante.
Si j’avais été lesbienne au lieu d’hétéro c’est avec elle que je me serais gouinée.
Mais je penserais au cul plus tard bien que depuis qu’il est parti la bite de mon homme commence à me manquer.
Si je fais entrer Susy dans le sas, je pourrai la faire entrer et prendre sa place dans le sas le temps qu’elle repère ma présence.
Et je pourrais prendre sa place pour sortir.
Je suis souvent dans mon labo mais je fais du sport avec Antoine.
Du self-défense basé sur la rapidité.
Je prépare une seringue de liquide à haut pouvoir d’endormissement et je commence la manœuvre.
La faire entrer dans le sas c’est facile, une fois la porte débloquée, elle tape et pousse et se retrouve piégée là où je le voulais.
Deuxième partie de mon plan.
Je déverrouille, je tire la porte devant moi.
Susy est plus rapide, le peu que j’ai vu du film zombie, notre chaleur, donc notre sang est la cause de leur envie de nous bouffer.
Nous roulons au sol et j’ai la chance de pouvoir la tenir au cou.
Son cou est froid, mon bas-ventre entre en contact avec sa robe qui s’est relevée.
Malgré mon pantalon je sens que son sexe semble avoir un semblant de vie.
Je sens mais je réagis avec ma seringue que je lui plante dans l’épaule.
Le temps que l’anesthésiant fasse effet, la chercheuse reprend le dessus.
J’ai peur que si le sang s’arrête de circuler, le produit soit inefficace.
Heureusement, je sens que les forces de Susy diminuent jusqu’à ce que je puisse la lâcher.
Elle dort, du moins elle est inerte.
Je la tire jusqu’au fauteuil et je l’installe du mieux que je le peux.
Sans avoir l’esprit malsain, je soulève sa robe et j’écarte sa petite culotte rose.
Je mets la main sur sa chatte, c’est chaud.
En un geste de chercheuse et non sexuelle, je lui mets trois doigts dans le vagin, c’est encore chaud.
Quand j’ai fait mes études, j’ai étudié ce que certains appellent les dérives sexuelles.
Trois doigts puis ma main avec du mal pour la faire entrer dans sa totalité.
Bref, je me rappelle en geste de médecine, je fist Susy.
Je sens que quelque chose change dans l’intérieur de ce corps.
Je sens même son cœur repartir au bout de mes doigts quand elle semble avoir un orgasme.
J’attends que l’effet du liquide anesthésique s’estompe pour la voir rouvrir ses beaux yeux bleus bien retrouvés.
- Que m’est-il arrivé ?
J’ai perdu mes esprits et je me retrouve dans votre bureau.
Pourquoi avez-vous une main dans ma chatte, voulez-vous qu’on ait un rapport lesbien ?
Je sens que Susy a repris vie normale, je quitte sa chatte.
- Te sens-tu bien ?
- Oui, comme le jour où j’ai pris une cuite entraînant la perte de mon pucelage.
- C’est un moindre mal.
Suis-moi en faisant attention.
Pour commencer, tutoie-moi, l’épreuve que l’on vient de traverser nous le permet.
Allons au poste de garde demander à la sécurité si elle existe toujours, afin de voir la bande qui s’enregistre pour te montrer ce qui t’est arrivé.
Quand je disais « si elle existe toujours, » j’avais raison.
Nous traversons deux autres laboratoires, des collègues sont là tournants dans la pièce.
Par chance la porte est fermée mais par malchance leur laboratoire était ouvert.
La pièce d’après, la directrice est là aussi.
Sa porte est ouverte et par chance en se déplaçant à aucun moment son cerveau malade la vue.
Susy a un éternuement.
Madame, comme nous l’appelons, tourne la tête, semble humer l’air et se dirige vers nous.
Elle est en retraite dans quelques jours, elle a 61 ans.
J’ai fisté mon amie, je me vois mal en faire de même avec elle.
Alors je referme la porte.
Si je m’arrête à chaque cas, nous y passerons la journée sans savoir si le mal nous ayant atteint, pardon, les ayant atteints est général sur la planète ou centralisé un labo ayant fait une mauvaise expérience.
Le garde devait être en ronde car la porte est fermée.
C’est avec prudence que nous entrons.
Personne, il devait être en ronde au moment où l’accident a eu lieu.
Dans la salle des enregistrements vidéo, je sais comment se classent les CD.
Jours, mais ce sont ceux qui sont dans les enregistreurs qui m’intéressent.
Secteur de mon labo et caméra qui est au-dessus de sa porte.
- C’est incroyable comment j’étais, merci de m’avoir sauvé la vie.
- Tient regarde cette boîte, derrière les autres c’est bizarre que Gaspar l’ait placé là.
J’ouvre des CD.
J’en mets un.
Les gens sont cons, ils oublient que les caméras tournent vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Celle que j’ai placée dans le lecteur montre une partie du bureau de madame.
La caméra est dans le couloir que nous venons de remonter.
La date et l’heure défile 23 heures 33, 34.
Madame est la poitrine nue sur son bureau et Gaspar le gardien ayant posé son appareil de contrôle de ses rondes à son côté.
Gaspar est bien monté, il fait du karaté et a des abdos en béton.
Dommage que ces vidéos soient sans le son.
À la façon dont elle tourne la tête, elle doit jouir intensément car son regard sans être celui qu’elle avait quand on l’a enfermé dans son bureau devenu zombie est à la limite de la pâmoison.
61 ans, mariée 5 enfants une vie professionnelle irréprochable du moins jusqu’à je m’aperçois de la salope qu’elle était.
« Elle était » est idiot surtout quand on essaye d’entrer comme le faisait Susy tout à l’heure.
La porte est coulissante automatiquement grâce à une cellule.
J’ai pensé à tout et je devrais penser à tout si par chance nous échappons à cette boule de muscle qui entre.
Nous nous réfugions dans la pièce aux enregistrements.
Une nouvelle fois je suis coincée dans une pièce sans autre sortie que la porte qu’on arrive à refermer.
Au moment où j’arrive à la claquer, j’ai le temps de voir que Gaspar même dans son état bande…
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