COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Manon et les Zombies (4/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Manon et les Zombies (4/5)
Avec Susy mon assistante, Gaspar le responsable de la sécurité du centre de recherche où je travaillais d’un commun accord tous accepte de me suivre vers chez mes beaux-parents où se trouve Antoine mon médecin de mari.
J’aurais beau jeu de le laisser en prise avec les zombies qui peuplent nos régions.
Le nuage que j’ai eu la chance d’éviter de respirer grâce à l’étanchéité de la pièce où je faisais des recherches sur des mouches m’a épargné.
Notre troupe s’étoffe quand nous sortons des griffes du diable Océane et Rayan couple de Guadeloupe.
Eux-mêmes zombies mais qui grâce à mon sexe et celui de Gaspar aidé de Susy redeviennent deux magnifiques blacks.
Profitant de l’immobilisme de Rayan attaché à une croix par des menottes, pour la première fois c’est moi qui m’empale sur sa verge.
Qui eut dit que moi la jeune femme de bonne famille vierge de toutes expériences hors de mon mariage, j’aurais le courage de faire ce que j’ai fait.
Susy, Gaspar et Rayan !
Où ce jeu pervers va-t-il nous conduire ?
Vais-je subir le sors de ceux à qui nous avons réussi à échapper ?
C’est au matin que je demande à Antoine d’arrêter de me sucer les seins.
- C’est moi Manon, ton corps dénudé à côté du mien m’a fait envie.
Tes seins flamboyants ont attiré mon regard et j’ai osé poser ma langue.
- Occupe-toi d’eux sans faire de bruit, la route va être longue aujourd’hui.
Sans que j’émette la moindre résistance, Océane fait courir sa langue tout au long de mon corps.
Même mes doigts de pieds sont honorés.
Mes pouces l’un après l’autre entrent dans sa bouche et sont nettoyés méticuleusement.
Elle remonte jusqu’à mon nombril pour retourner vers mes seins et repartir sans le moindre temps d’arrêt.
Il fait jour et je vois cette tête bouclée et noire se promener sur ma peau blanche.
À certains moments, je vois cette langue aussi rose que la mienne qui finit par disparaître dans ma chatte.
Malgré la chaleur montante, je frissonne mais surtout de plaisir.
Je sens un mouvement à mon côté, c’est Susy placée entre les deux garçons, assise appuyer à la tête du lit masturbent les deux verges qui sont encore au repos.
C’est tout ce que je vois car la belle panthère qui s’occupe de moi présente sa chatte à ma bouche qui la reçoit avec délice.
Il en va de même pour ma chatte qui elle aussi est honorée par des lèvres douces.
Je sais qu’une femme mouille ce qui est le cas pour moi mais Océane c’est pire.
Des petits jets de cyprine viennent arroser mon visage mouillant par là même mon oreiller.
J’étais dans l’ignorance qu’un vagin de femme pouvait expulser autant de liquide très odorant par ailleurs.
Ce devait être l’île où elle était née qui m’apportait ces senteurs poivrées jusqu’à mes narines.
Je voulais rester sage afin que les autres puissent dormir, mes vagissements étaient tels que leurs rires me montrait que je les avais tous réveillés.
- Écoutez, il y a des cris dans la rue.
- Tu rigoles Manon, depuis notre départ as-tu vu un zombie nous dire comment ça va ?
Ce sont des êtres humain qui crient, allons voir.
- C’est dangereux, restons cachés.
- Si nous avions réagi comme toi Océane, tu serais toujours en train de tourner en rond dans ta cave sans voir Rayan attaché à tes pieds.
- Tu as raison Manon allons voir.
Dans la rue deux jeunes femmes et un homme plus âgé.
Beaucoup plus âgé.
L’une des filles tient une arbalète et les deux autres ont des genres de machette africaine en main.
- Restons dos à dos, dès qu’ils approchent vous frappez.
- Visez la tête dans un film de zombies j’ai vu que c’est là que nous pouvons les tuer.
Dommage que vous soyez venue de votre Maroc natal pour devenir des morts-vivants, ils sont trop nombreux.
Traduit à Nouzha, Radia.
Dis-lui que je m’excuse pour ce qui nous arrive.
Celle qui semble s’appeler Radia parle certainement en arabe ou alors en Marocain ci cette langue existe.
- Prenez chacun un scalpel on va essayer de les sortir de là.
Nous sommes six à nous ruer hors de la maison et atteindre la grille.
Les zombies entourent les trois personnes qui miraculeusement semblent avoir échappé à la terrible épidémie.
En bonne chercheuse, juste un virus a pu décimer toute notre population.
Aux pieds d’eux, ils ont déjà réussi à éliminer les premiers zombies qui attaquent en désordre.
Radia se sert d'une flèche sortie de son carquois pour frapper les yeux de leurs adversaires.
Sa flèche reste bloquée dans l’œil d’une femme zombie lui faisant perdre l’avantage.
Cette femme, non, ce qui avait été une femme est en petite culotte les seins à l’air.
Elle s’écroule à ses pieds mais le zombie suivant, un homme rondelet le sexe tendant simplement son short se rue sur elle.
Ce doit être un jardinier, il a un marcel et des chaussettes avec des chaussures en caoutchouc pour marcher dans la terre.
- Entourez-les et coupez-leur la gorge, c’est le seul moyen de les éliminer et de sauver ces trois humains.
Nous arrivons à les dégager.
Radia est tombée au sol alors que les deux autres arrivent à nous suivent.
- Les gars ramassez notre amie et conduisez là à l’intérieur.
Nous réussissons l’opération, c’est le cas de le dire, grâce à des scalpels me servant à disséquer des mouches.
J’arrive à refermer la grille après le passage de Gaspar fermant la marche, nous isolant des morts-vivants.
- Manon regarde, la jeune Marocaine a été mordue, ses yeux commencent à se révulser.
- Descendez là dans la cave et attachez là sur la croix en la menottant.
Celle dont Radia l’a appelé Nouzha parle dans sa langue en pleurs.
Nous sommes dans l’impossibilité de nous comprendre, mais je sais ce qu’ils nous restent à faire.
- Arrachez-lui ses vêtements, il faut la sexer comme nous l’avons fait pour vous tous.
C’est à ce moment que les choses dérapent.
Nouzha se met entre nous et sa sœur, Rayan venait juste d’avoir le temps de lui mettre la première menotte.
Elle lève sa machette de façon menaçante.
Nul d’entre nous ne prend le risque de s’avancer, mais je sais que le temps nous est compté.
- Nouzha fait nous confiance, c’est pour le bien de ta sœur.
- Laisser moi faire, j’ignore ce que vous voulez faire, mais je suis le doyen et j’ai bien vu que vous êtes venus nous aider.
Laissez moi faire, je vais la calmer.
Prenant tous les risques celui qui se fait appeler Christian s’avance vers la jeune femme.
- Nouzha regarde, je pose mon arme, fait comme moi, laisse-moi te prendre dans mes bras.
- Christian merci de nous faire confiance, à part moi tous les autres ont été infectés et c’est par le sexe que nous les avons fait reprendre forme humaine.
Je vois que le mouvement de celui chez qui elle semblait être venue en vacances semble l’ébranler.
Elle finit par baisser son grand couteau et fini dans ses bras.
Je comprends qu’il faut agir.
- Océane, fait bander Rayan, Susy occupe-toi de Gaspar.
Je sais que nous avons réussi à faire reprendre forme humaine à tous ceux ou celles que nous avons fistées, sucées ou baisées.
La chercheuse que je suis, sait que si c’est un virus, il mute souvent.
Regarder celui de la grippe aviaire, combien de forme prend-il.
La grippe aviaire et même notre propre grippe.
L’an passé le vaccin pour notre pays avait été calculé sur des probabilités et le virus avait presque rendu les injections inefficaces.
Susy suce, Océane aussi.
La situation pourrait être ubuesque si notre propre vie et la vie d’une jeune femme n’était en jeu.
Susy est efficace, Gaspar est prêt, Océane semble plus lente.
A-t-elle compris que son homme s’il bande devra sexer une autre qu’elle comme je l’ai fait tout à l’heure.
On peut tourner des films sadomasochistes et pour autant être une femme jalouse.
J’ai moi-même fait abstraction de ce sentiment quand j’ai appris que mon docteur de mari sautait mon assistante.
- Gaspar tu bandes, saute là.
Gaspar se couche sur Radia, préalablement j’ai pu attacher la main de la petite et très jolie Marocaine.
La situation aurait été autre j’aurais bien aimé lui manger son bouton que je vois en haut de sa fente.
Peu de temps car Gaspar restant sur ses avants bras afin d’éviter ses dents entre en elle.
Je suis impatiente mais rien sur le visage montre qu’elle a quitté sa condition de zombie.
- Retire-toi Gaspar à toi Rayan, ça marchera peut-être avec toi.
Quand Gaspar se recule, je vois le sang au bout de sa queue.
Je comprends pourquoi Nouzha a réagi, avait-elle compris que nous voulions baiser sa sœur et que celle-ci était vierge ?
Elle regarde sa sœur et pleure.
Rayan est tout aussi inefficace.
- Christian lâche Nouzha ouvre ton pantalon, je vois que tu bandes, essaye-toi aussi.
C’est un Christian tout timide malgré son âge qui sort sa verge, se masturbe deux à trois fois, s’agenouille entre les jambes de Radia.
Il la prend par les hanches afin de soulever sa chatte et d’un coup s’introduit en elle.
Je vois les yeux de Radia virer.
- Christian enfin tu te décides à me faire l’amour, je me suis gardée vierge pour toi depuis que nous avons correspondu avant que je vienne avec ma sœur chez toi.
C’est beau l’amour malgré la grande différence d’âge…
J’aurais beau jeu de le laisser en prise avec les zombies qui peuplent nos régions.
Le nuage que j’ai eu la chance d’éviter de respirer grâce à l’étanchéité de la pièce où je faisais des recherches sur des mouches m’a épargné.
Notre troupe s’étoffe quand nous sortons des griffes du diable Océane et Rayan couple de Guadeloupe.
Eux-mêmes zombies mais qui grâce à mon sexe et celui de Gaspar aidé de Susy redeviennent deux magnifiques blacks.
Profitant de l’immobilisme de Rayan attaché à une croix par des menottes, pour la première fois c’est moi qui m’empale sur sa verge.
Qui eut dit que moi la jeune femme de bonne famille vierge de toutes expériences hors de mon mariage, j’aurais le courage de faire ce que j’ai fait.
Susy, Gaspar et Rayan !
Où ce jeu pervers va-t-il nous conduire ?
Vais-je subir le sors de ceux à qui nous avons réussi à échapper ?
C’est au matin que je demande à Antoine d’arrêter de me sucer les seins.
- C’est moi Manon, ton corps dénudé à côté du mien m’a fait envie.
Tes seins flamboyants ont attiré mon regard et j’ai osé poser ma langue.
- Occupe-toi d’eux sans faire de bruit, la route va être longue aujourd’hui.
Sans que j’émette la moindre résistance, Océane fait courir sa langue tout au long de mon corps.
Même mes doigts de pieds sont honorés.
Mes pouces l’un après l’autre entrent dans sa bouche et sont nettoyés méticuleusement.
Elle remonte jusqu’à mon nombril pour retourner vers mes seins et repartir sans le moindre temps d’arrêt.
Il fait jour et je vois cette tête bouclée et noire se promener sur ma peau blanche.
À certains moments, je vois cette langue aussi rose que la mienne qui finit par disparaître dans ma chatte.
Malgré la chaleur montante, je frissonne mais surtout de plaisir.
Je sens un mouvement à mon côté, c’est Susy placée entre les deux garçons, assise appuyer à la tête du lit masturbent les deux verges qui sont encore au repos.
C’est tout ce que je vois car la belle panthère qui s’occupe de moi présente sa chatte à ma bouche qui la reçoit avec délice.
Il en va de même pour ma chatte qui elle aussi est honorée par des lèvres douces.
Je sais qu’une femme mouille ce qui est le cas pour moi mais Océane c’est pire.
Des petits jets de cyprine viennent arroser mon visage mouillant par là même mon oreiller.
J’étais dans l’ignorance qu’un vagin de femme pouvait expulser autant de liquide très odorant par ailleurs.
Ce devait être l’île où elle était née qui m’apportait ces senteurs poivrées jusqu’à mes narines.
Je voulais rester sage afin que les autres puissent dormir, mes vagissements étaient tels que leurs rires me montrait que je les avais tous réveillés.
- Écoutez, il y a des cris dans la rue.
- Tu rigoles Manon, depuis notre départ as-tu vu un zombie nous dire comment ça va ?
Ce sont des êtres humain qui crient, allons voir.
- C’est dangereux, restons cachés.
- Si nous avions réagi comme toi Océane, tu serais toujours en train de tourner en rond dans ta cave sans voir Rayan attaché à tes pieds.
- Tu as raison Manon allons voir.
Dans la rue deux jeunes femmes et un homme plus âgé.
Beaucoup plus âgé.
L’une des filles tient une arbalète et les deux autres ont des genres de machette africaine en main.
- Restons dos à dos, dès qu’ils approchent vous frappez.
- Visez la tête dans un film de zombies j’ai vu que c’est là que nous pouvons les tuer.
Dommage que vous soyez venue de votre Maroc natal pour devenir des morts-vivants, ils sont trop nombreux.
Traduit à Nouzha, Radia.
Dis-lui que je m’excuse pour ce qui nous arrive.
Celle qui semble s’appeler Radia parle certainement en arabe ou alors en Marocain ci cette langue existe.
- Prenez chacun un scalpel on va essayer de les sortir de là.
Nous sommes six à nous ruer hors de la maison et atteindre la grille.
Les zombies entourent les trois personnes qui miraculeusement semblent avoir échappé à la terrible épidémie.
En bonne chercheuse, juste un virus a pu décimer toute notre population.
Aux pieds d’eux, ils ont déjà réussi à éliminer les premiers zombies qui attaquent en désordre.
Radia se sert d'une flèche sortie de son carquois pour frapper les yeux de leurs adversaires.
Sa flèche reste bloquée dans l’œil d’une femme zombie lui faisant perdre l’avantage.
Cette femme, non, ce qui avait été une femme est en petite culotte les seins à l’air.
Elle s’écroule à ses pieds mais le zombie suivant, un homme rondelet le sexe tendant simplement son short se rue sur elle.
Ce doit être un jardinier, il a un marcel et des chaussettes avec des chaussures en caoutchouc pour marcher dans la terre.
- Entourez-les et coupez-leur la gorge, c’est le seul moyen de les éliminer et de sauver ces trois humains.
Nous arrivons à les dégager.
Radia est tombée au sol alors que les deux autres arrivent à nous suivent.
- Les gars ramassez notre amie et conduisez là à l’intérieur.
Nous réussissons l’opération, c’est le cas de le dire, grâce à des scalpels me servant à disséquer des mouches.
J’arrive à refermer la grille après le passage de Gaspar fermant la marche, nous isolant des morts-vivants.
- Manon regarde, la jeune Marocaine a été mordue, ses yeux commencent à se révulser.
- Descendez là dans la cave et attachez là sur la croix en la menottant.
Celle dont Radia l’a appelé Nouzha parle dans sa langue en pleurs.
Nous sommes dans l’impossibilité de nous comprendre, mais je sais ce qu’ils nous restent à faire.
- Arrachez-lui ses vêtements, il faut la sexer comme nous l’avons fait pour vous tous.
C’est à ce moment que les choses dérapent.
Nouzha se met entre nous et sa sœur, Rayan venait juste d’avoir le temps de lui mettre la première menotte.
Elle lève sa machette de façon menaçante.
Nul d’entre nous ne prend le risque de s’avancer, mais je sais que le temps nous est compté.
- Nouzha fait nous confiance, c’est pour le bien de ta sœur.
- Laisser moi faire, j’ignore ce que vous voulez faire, mais je suis le doyen et j’ai bien vu que vous êtes venus nous aider.
Laissez moi faire, je vais la calmer.
Prenant tous les risques celui qui se fait appeler Christian s’avance vers la jeune femme.
- Nouzha regarde, je pose mon arme, fait comme moi, laisse-moi te prendre dans mes bras.
- Christian merci de nous faire confiance, à part moi tous les autres ont été infectés et c’est par le sexe que nous les avons fait reprendre forme humaine.
Je vois que le mouvement de celui chez qui elle semblait être venue en vacances semble l’ébranler.
Elle finit par baisser son grand couteau et fini dans ses bras.
Je comprends qu’il faut agir.
- Océane, fait bander Rayan, Susy occupe-toi de Gaspar.
Je sais que nous avons réussi à faire reprendre forme humaine à tous ceux ou celles que nous avons fistées, sucées ou baisées.
La chercheuse que je suis, sait que si c’est un virus, il mute souvent.
Regarder celui de la grippe aviaire, combien de forme prend-il.
La grippe aviaire et même notre propre grippe.
L’an passé le vaccin pour notre pays avait été calculé sur des probabilités et le virus avait presque rendu les injections inefficaces.
Susy suce, Océane aussi.
La situation pourrait être ubuesque si notre propre vie et la vie d’une jeune femme n’était en jeu.
Susy est efficace, Gaspar est prêt, Océane semble plus lente.
A-t-elle compris que son homme s’il bande devra sexer une autre qu’elle comme je l’ai fait tout à l’heure.
On peut tourner des films sadomasochistes et pour autant être une femme jalouse.
J’ai moi-même fait abstraction de ce sentiment quand j’ai appris que mon docteur de mari sautait mon assistante.
- Gaspar tu bandes, saute là.
Gaspar se couche sur Radia, préalablement j’ai pu attacher la main de la petite et très jolie Marocaine.
La situation aurait été autre j’aurais bien aimé lui manger son bouton que je vois en haut de sa fente.
Peu de temps car Gaspar restant sur ses avants bras afin d’éviter ses dents entre en elle.
Je suis impatiente mais rien sur le visage montre qu’elle a quitté sa condition de zombie.
- Retire-toi Gaspar à toi Rayan, ça marchera peut-être avec toi.
Quand Gaspar se recule, je vois le sang au bout de sa queue.
Je comprends pourquoi Nouzha a réagi, avait-elle compris que nous voulions baiser sa sœur et que celle-ci était vierge ?
Elle regarde sa sœur et pleure.
Rayan est tout aussi inefficace.
- Christian lâche Nouzha ouvre ton pantalon, je vois que tu bandes, essaye-toi aussi.
C’est un Christian tout timide malgré son âge qui sort sa verge, se masturbe deux à trois fois, s’agenouille entre les jambes de Radia.
Il la prend par les hanches afin de soulever sa chatte et d’un coup s’introduit en elle.
Je vois les yeux de Radia virer.
- Christian enfin tu te décides à me faire l’amour, je me suis gardée vierge pour toi depuis que nous avons correspondu avant que je vienne avec ma sœur chez toi.
C’est beau l’amour malgré la grande différence d’âge…
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