COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Manon et les Zombies (5/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2399 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 003 128 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 1 507 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Manon et les Zombies (5/5)
Une sauvée du monde des zombies, Radia la petite Marocaine et sa jeune sœur sauvée de ce monde des ténèbres et des morts-vivants Nouzha sa petite sœur et Christian vieil homme mais ayant de beaux restes.
C’est Christian malgré son âge qui a réussi à ramener la petite parmi les vivants.
Est-il normal d’être des bipèdes peuplant cette planète la détruisant par notre nombre toujours plus grand ?
À travers le monde nous baisons comme des lapins et nous nous multiplions à grande vitesse.
Si le très haut existe, nous a-t-il punis à l’aide de ce brouillard jaune pour nous éradiquer tout en nous laissant une porte de sortie grâce à nos sexes.
Un grand nombre d’hommes détruit par le sexe, une minorité dont nous faisons partie à cette heure sauver par ces mêmes sexes.
- Christian dit nous d’où vous venez et où alliez-vous ?
- Je suis bourguignon, j’avais une exploitation viticole que j’ai vendue sauf ma maison et mes caves.
C’est de là que nous sommes sortis avec mes jeunes invitées et que nous avons découvert ce qui était arrivé aux hommes et aux femmes.
- Ce sont les caves en pierres taillées que j’ai visités avec Antoine mon mari.
- Oui.
- Où as-tu eu ces machettes qui vous servaient pour vous défendre ?
- Quand j’étais jeune l’exploitation était trop petite pour nourrir deux couples, mes grands-parents et mes parents.
Je me suis engagé dans la marine où j’ai eu la chance de faire deux tours du monde.
Mes grands-parents étant décédés pendant les cinq ans de mon engagement, quand j’ai rencontré Rajae jeune beurette habitant à Toulon, je l’ai épousé.
Comme on dit, elle était jeune et sentait bon le sable chaud.
Nous nous sommes aimés mentalement et physiquement, comme des bêtes.
Un jour elle a décidé de me quitter pour un monde meilleur comme on dit.
Nous avions beaucoup travaillé, jusqu'à la fin des vendanges où nous faisions une énorme fête avec nos vendangeurs.
- J’ai entendu parler, la paulée si je me souviens, Antoine l’a fait étant jeune, c’est lors d’une de ces soirées qu’une jeune vendangeuse l’a dépucelé.
- Où est Antoine ?
- Parti chez ses parents soigner sa mère, il est médecin et nous sommes en chemin pour le rejoindre.
- Où ?
- Près d’Avallon ses parents avaient une grosse exploitation agricole.
Et vous où alliez-vous quand on vous a sauvé ?
- De la côte chalonnaise nous remontions vers Paris, nous pensions qu’il y avait plus de chance que les secours soient plus nombreux dans la capitale près des gens au pouvoir.
- Christian regarde, on est là à parler, les autres semblent vouloir prendre du bon temps afin de cacher la misère qui nous est tombée dessus et où nous en avons réchappé par la chance.
- Et Antoine ton mari ?
- Je suis en chemin pour le retrouver même si j’ai appris qu’il me cocufiait, tu vois avec la petite qui suce la chatte de Nouzha.
C’est moi qui l’ai baisé avec ma main car elle aussi était devenue zombie par le nuage jaune qui nous a épargnés.
- Tu sais je suis vieux !
- Non, âgé, je l’ai vu quand tu l’as sortie du mauvais pas où un zombie l’avait mise.
Mais comment as-tu connu Radia et Nouzha ?
Ce sont les filles du frère de ma femme, il était revenu au pays car lui était né à Merkès au Maroc.
Je les avais invités à venir voir où ses grands-parents avaient vécu et où ils sont enterrés dans notre village à côté de ma femme.
Voilà comment moi la chercheuse toujours fidèle à mon mari, jusqu’à cet épisode tragique j’offre mes lèvres à un homme bien plus vieux que moi.
Il embrasse divinement.
Sa main est caressante surtout ma poitrine.
Qui prend le temps de s’occuper de la poitrine des femmes à notre époque.
Antoine le faisait au début de notre union mais les diverses maîtresses qu’il semble avoir facilitées par son métier, font que cette partie de mon corps est délaissée.
Il me prend pendant qu’une partie des autres en font autant.
À croire qu’ils se servent de leurs sexes comme une thérapie refusant d’être de nouveau infecté par ce qu’il semble être un virus véhiculé par un nuage jaune.
- Mes amies !
Radia peux-tu traduire à ta sœur, mes amis, je tiens à atteindre le but que nous nous sommes assignés aujourd’hui.
Ceux qui veulent aller avec Christian vers Paris le peuvent.
Depuis notre départ la France entière nous apparaît contaminée, mais je veux savoir ce qui est advenu de mon mari et Susy aussi.
- Manon, je fais le même constat que toi, alors inutile d’aller vers Paris.
C’est dans la campagne que nous trouverons de quoi vivre dans la société que nous allons reconstruire.
Dès que nous aurons trouvé le lieu, nous le sécuriserons et nous ferons le nécessaire pour qu’un à un nous fassions revenir des gens à la vie.
Je pars avec Manon.
- Moi aussi.
- Aussi.
- J’en suis.
- Nouzha a compris et comme moi est d’accord.
De plus nous tenons à suivre Christian.
C’est un homme sage.
Me voilà promu chef de bande.
À Nitry, nous rusons avec des zombies clients d’un supermarché et nous nous installons pour manger au bord de l’eau.
Je passe les scènes d’horreur dans le supermarché j’ai donné l’ordre de faire reposer en paix tous les zombies qui barraient notre chemin.
C’est dans un frigo que Lucie petite étudiante travaillant au rayon fromage c'est trouvée épargnée.
Quand nous sommes arrivées, les moteurs de réfrigérations étant coupés, elle allait se faire bouffer.
Elle récupérait des denrées qu’elle laissait décongeler pour survivre.
Seule avec tous ces êtres qui cherchaient à la faire entrer dans leur monde, j’ai mis du temps à lui faire comprendre que nous étions des amis.
Avalon, par chance la maison se trouve à l’entrée de la ville.
Hélas, c’est un carnage.
La ferme des parents d’Antoine est entourée d’un mur de pierre vieux de plusieurs centaines d’années et les isolant des zombies.
Mon mari est là cloué à la grande porte de bois embroché comme un poulet par une fourche.
Il est impossible que les morts-vivants l’aient tué de cette façon.
Par chance il avait dû en réchappé et une bande de pillards est venue et l’a tué quand il leur a ouvert.
C’est là que Susy intervient.
Sans le débrocher, elle se jette à ses pieds et sort sa verge de son pantalon se dépêchant de la sucer sans aucune réaction de sa part.
Elle suce, elle suce, sans résultat.
- Susy, c’est inutile d’insister, Antoine est bel et bien mort.
Seuls les zombies reviennent à la vie par leur sexe.
Antoine était humain surtout quand il me trompait avec toi.
C’est pour cela qu’il nous aimait et que nous l’aimions.
Viens dans mes bras, faisons définitivement la paix devant sa dépouille.
Antoine, je l'enterre aidé par les hommes qui se relayent car ses parents sont morts aussi par des salops.
C’est dans la chambre où nous dormions que j’entraîne mon amie.
Vivre avec elle sera faire revivre notre homme.
Je la fais jouir dans un magnifique 69 m’entraînant dans son plaisir.
- Coupé, c’est dans la boîte, Manon et les zombies, c'est fait.
Merci à tous, venez là que je vous dise quelques mots.
Quand on m’a amené le scénario de cette histoire de zombies, j’ai rigolé.
Manon et Susy m’ont persuadé de le tourner dans la série des « Manon ».
Les deux premiers pornos de la série, Manon et son amant et Manon en Angleterre ayant fait un tabac.
Avec mes femmes, grâce à vous nous allons le monter Il sera diffusé sur Canal pour le soir du 1er de l’an.
Eh oui, je suis Manon, actrice de films pornos réalisés par Antoine mon mari et principal amant.
Avec Susy dès notre rencontre nous avons formé un ménage à trois.
Antoine ayant un grand appétit et Susy aimant ma chatte autant que j’aime la sienne.
Des films pornos j’en ai tourné des dizaines avec eux, mais depuis peu mon époux a tenu à ce que j’aie ma propre histoire avec ma photo sur les boîtes de CD.
- Je voulais remercier les acteurs, mais eux ils savent ce que je pense d’eux, j’en reparlerais tout à l’heure.
Merci aux figurants principalement les zombies quand je les filmais j’avais peur à avoir besoin de plus de prise pour que la scène soit bonne.
Mais vous avez tous été professionnelles, surtout quand Manon est sortie avec ses amis sauvez Radia, Nouzha et Christian.
En passant merci à mon vieil ami chez qui je me suis fait dépucelée lorsque je suis allée faire les vendanges.
Merci à Radia et Nouzha d’avoir rejoint notre production, nul doute que dans le futur elles auront comme Manon leur propre collection.
Elles apporteront la touche d’exotisme qui manquait à notre société.
Radia et Nouzha, c’est moi qui les ai amenés au porno, du moins Radia, sa jeune sœur étant encore pucelle mais est bien décidée à effacer ce petit inconvénient.
Dans ce film, dans la scène où je baisais avec Christian, c’est Gaspar qui l’enculait car c’est l’un des actes sexuels qu’elle acceptait de faire.
- Je voulais surtout remercier nos maquilleuses qui ont fait un travail phénoménal sur ce tournage.
Recommencer la transformation des zombies chaque jour a été une tâche ardue.
Bien sûr je pense à vous mes amis techniciens et techniciennes, je vous aime.
Tous les projecteurs qui éclairaient notre lit à Susy et à moi sont balancés dans tous les sens.
- Je dois haïr ma femme qui a modifié le scénario pour que vous me clouiez sur la porte de cette ferme.
C’est vraiment mon idée comme certaines autres.
Il fallait que la queue d’Antoine reste flasque pendant toute la scène mais Susy était trop performante avec sa bouche.
Nous avons refait la prise plusieurs fois lui plongeant la verge dans un bol de glaçon c’est pour cela qu’il disait me haïr.
- Bien, partez tous en vacances.
Vous savez que nous nous retrouvons en septembre au moment des vendanges pour tourner « Manon en vendanges » chez Christian.
Nous tournerons dans une petite vigne qu’il a conservée et que nous vendangerons.
- Nous aurons une prime, vendanger ça fait mal aux dos.
C’est Océane qui a son tour prend la parole.
- Pour la prime on verra mais pour des bites dans le cul, j’envisagerais une scène où tu ramasseras ma belle.
Rayan te caressera les fesses avec envies grâce aux sarments de vigne.
Je vais vous laisser, ça fait des jours que je vous vois baiser mes femmes sans que je puisse en faire autant ayant trop de travail à vous diriger.
C’est à ce moment qu’un nuage jaune entre par la porte de la pièce ou nous sommes réunis.
- Regardez ce brouillard jaune entrant par la porte qu’elle est le con qui a fait une connerie avec un fumigène.
Merde, Rayan, Radia et Nouzha sont touchés et deviennent des zombies.
Manon toi aussi.
Ah.
C’est Christian malgré son âge qui a réussi à ramener la petite parmi les vivants.
Est-il normal d’être des bipèdes peuplant cette planète la détruisant par notre nombre toujours plus grand ?
À travers le monde nous baisons comme des lapins et nous nous multiplions à grande vitesse.
Si le très haut existe, nous a-t-il punis à l’aide de ce brouillard jaune pour nous éradiquer tout en nous laissant une porte de sortie grâce à nos sexes.
Un grand nombre d’hommes détruit par le sexe, une minorité dont nous faisons partie à cette heure sauver par ces mêmes sexes.
- Christian dit nous d’où vous venez et où alliez-vous ?
- Je suis bourguignon, j’avais une exploitation viticole que j’ai vendue sauf ma maison et mes caves.
C’est de là que nous sommes sortis avec mes jeunes invitées et que nous avons découvert ce qui était arrivé aux hommes et aux femmes.
- Ce sont les caves en pierres taillées que j’ai visités avec Antoine mon mari.
- Oui.
- Où as-tu eu ces machettes qui vous servaient pour vous défendre ?
- Quand j’étais jeune l’exploitation était trop petite pour nourrir deux couples, mes grands-parents et mes parents.
Je me suis engagé dans la marine où j’ai eu la chance de faire deux tours du monde.
Mes grands-parents étant décédés pendant les cinq ans de mon engagement, quand j’ai rencontré Rajae jeune beurette habitant à Toulon, je l’ai épousé.
Comme on dit, elle était jeune et sentait bon le sable chaud.
Nous nous sommes aimés mentalement et physiquement, comme des bêtes.
Un jour elle a décidé de me quitter pour un monde meilleur comme on dit.
Nous avions beaucoup travaillé, jusqu'à la fin des vendanges où nous faisions une énorme fête avec nos vendangeurs.
- J’ai entendu parler, la paulée si je me souviens, Antoine l’a fait étant jeune, c’est lors d’une de ces soirées qu’une jeune vendangeuse l’a dépucelé.
- Où est Antoine ?
- Parti chez ses parents soigner sa mère, il est médecin et nous sommes en chemin pour le rejoindre.
- Où ?
- Près d’Avallon ses parents avaient une grosse exploitation agricole.
Et vous où alliez-vous quand on vous a sauvé ?
- De la côte chalonnaise nous remontions vers Paris, nous pensions qu’il y avait plus de chance que les secours soient plus nombreux dans la capitale près des gens au pouvoir.
- Christian regarde, on est là à parler, les autres semblent vouloir prendre du bon temps afin de cacher la misère qui nous est tombée dessus et où nous en avons réchappé par la chance.
- Et Antoine ton mari ?
- Je suis en chemin pour le retrouver même si j’ai appris qu’il me cocufiait, tu vois avec la petite qui suce la chatte de Nouzha.
C’est moi qui l’ai baisé avec ma main car elle aussi était devenue zombie par le nuage jaune qui nous a épargnés.
- Tu sais je suis vieux !
- Non, âgé, je l’ai vu quand tu l’as sortie du mauvais pas où un zombie l’avait mise.
Mais comment as-tu connu Radia et Nouzha ?
Ce sont les filles du frère de ma femme, il était revenu au pays car lui était né à Merkès au Maroc.
Je les avais invités à venir voir où ses grands-parents avaient vécu et où ils sont enterrés dans notre village à côté de ma femme.
Voilà comment moi la chercheuse toujours fidèle à mon mari, jusqu’à cet épisode tragique j’offre mes lèvres à un homme bien plus vieux que moi.
Il embrasse divinement.
Sa main est caressante surtout ma poitrine.
Qui prend le temps de s’occuper de la poitrine des femmes à notre époque.
Antoine le faisait au début de notre union mais les diverses maîtresses qu’il semble avoir facilitées par son métier, font que cette partie de mon corps est délaissée.
Il me prend pendant qu’une partie des autres en font autant.
À croire qu’ils se servent de leurs sexes comme une thérapie refusant d’être de nouveau infecté par ce qu’il semble être un virus véhiculé par un nuage jaune.
- Mes amies !
Radia peux-tu traduire à ta sœur, mes amis, je tiens à atteindre le but que nous nous sommes assignés aujourd’hui.
Ceux qui veulent aller avec Christian vers Paris le peuvent.
Depuis notre départ la France entière nous apparaît contaminée, mais je veux savoir ce qui est advenu de mon mari et Susy aussi.
- Manon, je fais le même constat que toi, alors inutile d’aller vers Paris.
C’est dans la campagne que nous trouverons de quoi vivre dans la société que nous allons reconstruire.
Dès que nous aurons trouvé le lieu, nous le sécuriserons et nous ferons le nécessaire pour qu’un à un nous fassions revenir des gens à la vie.
Je pars avec Manon.
- Moi aussi.
- Aussi.
- J’en suis.
- Nouzha a compris et comme moi est d’accord.
De plus nous tenons à suivre Christian.
C’est un homme sage.
Me voilà promu chef de bande.
À Nitry, nous rusons avec des zombies clients d’un supermarché et nous nous installons pour manger au bord de l’eau.
Je passe les scènes d’horreur dans le supermarché j’ai donné l’ordre de faire reposer en paix tous les zombies qui barraient notre chemin.
C’est dans un frigo que Lucie petite étudiante travaillant au rayon fromage c'est trouvée épargnée.
Quand nous sommes arrivées, les moteurs de réfrigérations étant coupés, elle allait se faire bouffer.
Elle récupérait des denrées qu’elle laissait décongeler pour survivre.
Seule avec tous ces êtres qui cherchaient à la faire entrer dans leur monde, j’ai mis du temps à lui faire comprendre que nous étions des amis.
Avalon, par chance la maison se trouve à l’entrée de la ville.
Hélas, c’est un carnage.
La ferme des parents d’Antoine est entourée d’un mur de pierre vieux de plusieurs centaines d’années et les isolant des zombies.
Mon mari est là cloué à la grande porte de bois embroché comme un poulet par une fourche.
Il est impossible que les morts-vivants l’aient tué de cette façon.
Par chance il avait dû en réchappé et une bande de pillards est venue et l’a tué quand il leur a ouvert.
C’est là que Susy intervient.
Sans le débrocher, elle se jette à ses pieds et sort sa verge de son pantalon se dépêchant de la sucer sans aucune réaction de sa part.
Elle suce, elle suce, sans résultat.
- Susy, c’est inutile d’insister, Antoine est bel et bien mort.
Seuls les zombies reviennent à la vie par leur sexe.
Antoine était humain surtout quand il me trompait avec toi.
C’est pour cela qu’il nous aimait et que nous l’aimions.
Viens dans mes bras, faisons définitivement la paix devant sa dépouille.
Antoine, je l'enterre aidé par les hommes qui se relayent car ses parents sont morts aussi par des salops.
C’est dans la chambre où nous dormions que j’entraîne mon amie.
Vivre avec elle sera faire revivre notre homme.
Je la fais jouir dans un magnifique 69 m’entraînant dans son plaisir.
- Coupé, c’est dans la boîte, Manon et les zombies, c'est fait.
Merci à tous, venez là que je vous dise quelques mots.
Quand on m’a amené le scénario de cette histoire de zombies, j’ai rigolé.
Manon et Susy m’ont persuadé de le tourner dans la série des « Manon ».
Les deux premiers pornos de la série, Manon et son amant et Manon en Angleterre ayant fait un tabac.
Avec mes femmes, grâce à vous nous allons le monter Il sera diffusé sur Canal pour le soir du 1er de l’an.
Eh oui, je suis Manon, actrice de films pornos réalisés par Antoine mon mari et principal amant.
Avec Susy dès notre rencontre nous avons formé un ménage à trois.
Antoine ayant un grand appétit et Susy aimant ma chatte autant que j’aime la sienne.
Des films pornos j’en ai tourné des dizaines avec eux, mais depuis peu mon époux a tenu à ce que j’aie ma propre histoire avec ma photo sur les boîtes de CD.
- Je voulais remercier les acteurs, mais eux ils savent ce que je pense d’eux, j’en reparlerais tout à l’heure.
Merci aux figurants principalement les zombies quand je les filmais j’avais peur à avoir besoin de plus de prise pour que la scène soit bonne.
Mais vous avez tous été professionnelles, surtout quand Manon est sortie avec ses amis sauvez Radia, Nouzha et Christian.
En passant merci à mon vieil ami chez qui je me suis fait dépucelée lorsque je suis allée faire les vendanges.
Merci à Radia et Nouzha d’avoir rejoint notre production, nul doute que dans le futur elles auront comme Manon leur propre collection.
Elles apporteront la touche d’exotisme qui manquait à notre société.
Radia et Nouzha, c’est moi qui les ai amenés au porno, du moins Radia, sa jeune sœur étant encore pucelle mais est bien décidée à effacer ce petit inconvénient.
Dans ce film, dans la scène où je baisais avec Christian, c’est Gaspar qui l’enculait car c’est l’un des actes sexuels qu’elle acceptait de faire.
- Je voulais surtout remercier nos maquilleuses qui ont fait un travail phénoménal sur ce tournage.
Recommencer la transformation des zombies chaque jour a été une tâche ardue.
Bien sûr je pense à vous mes amis techniciens et techniciennes, je vous aime.
Tous les projecteurs qui éclairaient notre lit à Susy et à moi sont balancés dans tous les sens.
- Je dois haïr ma femme qui a modifié le scénario pour que vous me clouiez sur la porte de cette ferme.
C’est vraiment mon idée comme certaines autres.
Il fallait que la queue d’Antoine reste flasque pendant toute la scène mais Susy était trop performante avec sa bouche.
Nous avons refait la prise plusieurs fois lui plongeant la verge dans un bol de glaçon c’est pour cela qu’il disait me haïr.
- Bien, partez tous en vacances.
Vous savez que nous nous retrouvons en septembre au moment des vendanges pour tourner « Manon en vendanges » chez Christian.
Nous tournerons dans une petite vigne qu’il a conservée et que nous vendangerons.
- Nous aurons une prime, vendanger ça fait mal aux dos.
C’est Océane qui a son tour prend la parole.
- Pour la prime on verra mais pour des bites dans le cul, j’envisagerais une scène où tu ramasseras ma belle.
Rayan te caressera les fesses avec envies grâce aux sarments de vigne.
Je vais vous laisser, ça fait des jours que je vous vois baiser mes femmes sans que je puisse en faire autant ayant trop de travail à vous diriger.
C’est à ce moment qu’un nuage jaune entre par la porte de la pièce ou nous sommes réunis.
- Regardez ce brouillard jaune entrant par la porte qu’elle est le con qui a fait une connerie avec un fumigène.
Merde, Rayan, Radia et Nouzha sont touchés et deviennent des zombies.
Manon toi aussi.
Ah.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...