COLLECTION FANTASME. Comment aurais-je pu prévoir d’aller jusque-là (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2398 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 001 474 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 6 264 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION FANTASME. Comment aurais-je pu prévoir d’aller jusque-là (1/1)
7, 8 ou 9.
Impossible de le dire.
7, 8 ou 9 verges noires qui depuis que j’ai suivi Bamba font de moi leur chienne.
Mais commençons par le début.
La chance de gagner un ordinateur car nous sommes les gagnants d’un billet mis dans une urne dans une société de vente de produits multimédiat.
J’étais venue pour acheter un casque à mon fils pour qu’il écoute ses musiques débilent moi qui suis fan de Sardou ou Bruel en passant par Berger et Pagny, pardon rien que des hommes, Céline, France Gall ou Marguerite Duras.
La dernière j’exagère un peu.
Mais pour être plus précise, cet ordi à décidé de m’amener vers ces bites qui me déchirent me faisant hurler de plaisir et me couvrant de sperme.
J’avais 12 ans quand un jour à la piscine, je suis entrée dans une cabine de douche commune pour enlever le chlore ayant une odeur qui m’indispose séchant sur ma peau.
Le verrou était au vert donc libre alors je suis entrée tombant sur une verge noire dont je suis dans l’impossibilité de dire si elle était grande ou petite.
L’homme se masturbait et j’ai refermé très vite avant d’aller me rhabiller et quitter ce lieu.
C’est la couleur noire qui m’a impressionné et quand j’ai gagné cet ordinateur ce que j’ai fait c’était toujours le noir que je recherchais non la grosseur.
Brillant mon mari, épousé à 20 ans refusait ces objets modernes pour nos deux enfants.
Depuis leur plus tendre enfance ils ont eu droit à des jouets en bois ou des livres, même avant qu’ils sachent lire.
Cet ordi, c’est Junon mon amie qui m’a formé à savoir m’en servir.
Junon sait tout de mes envies, de mes fantasmes.
L’épisode de la piscine et de la verge noire, elle l’a mainte fois entendue de ma bouche.
J’avais 16 ans quand j’ai rencontré un garçon au lycée qui possédait cette caractéristique, black.
Il s’appelait Nicolas et pendant un an j’en ai été amoureuse.
Ensuite j’ai aimé Hamed lui aussi de couleur ébène.
Hélas, deux fois hélas, il y avait Williams mon père.
Mon père un jour au volant de sa grosse berline roulait tranquillement quand une voiture plus grosse que la sienne nous a doublés au volant duquel se tenait un black.
Il est rentré dans une rage folle et a tout fait pour le rattraper.
On l’a vu entrer dans une belle demeure sur la colline et mon père à partir de ce jour nous disait que ces blacks venaient manger le pain des Français.
En un mot mon père était le roi des racistes et chaque fois j’ai préféré casser que de l’affronter.
De ces deux mâles noires, je me suis refusée à l'un et à l'autre.
À 16 ans je me trouvais trop jeune et l’année suivante, voyant que je refusais de me laisser faire, Hamed est parti sans savoir que le jour où il m’a largué ça aurait été son jour.
Ma peur venait de ce que disait mon père.
- Marie ramène-moi un de ces rats ici et je vous tue tous les deux.
Je savais qu’il avait un vieux revolver allemand datant de la guerre et qu’il entretenait régulièrement.
Même si c’est mon père, je le savais assez fou et assez raciste pour le faire.
Et il y a eu Brillant et mes deux enfants pendant presque dix ans j’ai vécu heureuse mes fantasmes étant rentrés au rang des souvenirs.
Maintenant ayant rétabli la réalité quand l’ordi arrive mes fantasmes ont resurgi.
- Regarde Marie, il se met en marche en appuyant là.
- Attends, je note le signe sur ce carnet, un rond avec une barre.
Elle m’a tout appris du moins le principal et dans les heures qui ont suivi je savais surfer sur le net.
J’ai même fait une commande d’une petite robe à fleurs que je vais pouvoir mettre dès que je l’aurais reçu.
J’ai la chance malgré mes deux grossesses d’avoir gardé ma taille de guêpe.
Il faut dire qu’en plus de dispositions familiales j’ai repris le sport sur mes tapis roulants l’hiver et en parc l’été courant trois fois par semaine.
- Dis-moi Marie es-tu allée sur des sites où tu peux voir des queues noires, tu sais le fantasme que tu as en toi à vie et qui te bouffe la tête.
- Fais-moi voir.
Pour me faire voir, elle m’a fait voir.
Les jours suivants, je me suis masturbée comme jamais et surtout quand j’étais jeune lorsque mon père m’a frustré me faisant refuser des compagnons noirs.
L’affaire aurait pu en rester là mais comme l’on dit le destin est le destin et quand votre route est tracée vous êtes obligé de la suivre.
Vos souvenirs se réveillent un jour.
Brillant veut vous emmener voir sa vieille tante dans le quartier de Pigalle.
Elle avait fait les beaux jours des boîtes de strip-tease du coin jusqu’à ce que son corps l’amène à trouver un boulot de placeuse dans un cinéma où passaient des films pornos.
Il s’est perdu et je m’étais fait la réflexion que mon père serait devenu fou dans ce quartier, des noires il y en avait dix au mètre carré.
Métro « Château Rouge ».
C’est ça château rouge alors j’ai fini par y aller.
Je me suis promenée dans le quartier.
Je voyais le Sacré-cœur au-dessus de moi.
Est-ce lui qui m’a fait reculer quand j’ai vu un beau black entrer dans un café ou quand je suis passée j’ai vu que plusieurs d’entre eux étaient accoudés au bar.
J’ai passé mon chemin et j’ai repris le métro pour rentrer chez moi.
Ça trois fois, je venais, je me promenais rêvant que ces hommes que je croisais auraient pu assouvir mon fantasme.
Une verge noire au fond de ma chatte.
Mais chaque fois, je posais ma main sur la poignée de la porte du bar sans jamais oser aller plus loin.
Aujourd’hui ayant reçu ma jolie petite robe, je suis sortie de la bouche de métro bien décidé à boire un café, un simple café.
Le destin a voulu que l’on me parle.
- Entrez mademoiselle.
Ça fait plusieurs fois que je vous vois hésiter, vous serez la bienvenue.
Je suis entrée suivi de l’homme.
- Suis-moi.
À partir de ces deux mots, je suis dans le brouillard.
Ce que je fais, je le fais sans m’en rendre compte.
Même la pièce où je rentre étant un appartement accolé au bar.
Le lieu est glauque et aurait dû me faire fuir.
Mais quand Bamba sort sa verge, je sais que je vais réaliser mon fantasme et faire l’amour avec un homme de couleur.
Je m’agenouille et c’est ma bouche qui la première la reçoit.
- C’est mon frère.
Là encore, quand Bamba me prend la main et qu’il la pose sur une deuxième verge qui vient de se présenter à moi, je reste sans réaction mais je branle et j’aspire tour à tour.
Un lit se trouve dans la pièce voisine et on m’y emmène.
Comment je me retrouve nue, sur ce lit, la tête dans le vide, je suis dans l’impossibilité de le dire ?
Ma bouche reçoit une bite, ma chatte rasée une bouche et mes seins deux bouches.
Une main passe sous moi et un doigt entre dans mon anus.
Je suis retournée, ma bouche reçoit deux bites qui tentent de rentrer ensemble.
Je vois que j’y arrive.
Avant que l’on m’ait demandé mon avis, ma chatte est investie.
Les ressorts du matelas grincent et une bite remplit mon anus alors qu’une bouche rejoint ma chatte.
Une bite dans le con et une langue sur le clito, je plane.
Les bites dans ma bouche m’empêchent de hurler mon plaisir surtout que lorsque je vois les deux bites noires sortir de ma bouche, c’est pour finir par un râle et des giclés de foutres sur ma figure et sur mes yeux.
Une autre bite prend sa place alors que je sens que ça coule dans mon anus et dans ma chatte simultanément.
Là encore toutes ces sensations, je les vis, non je les subis mais avec plaisirs et au fil de l’après-midi on arrive à.
7, 8 ou 9.
Impossible de le dire.
Mon corps est repu de sexe et de verge noire.
J’ai dû attirer la plus grande partie voire la totalité des clients du bar.
Quelle aubaine pour eux, une jolie petite blanche voulant réaliser son fantasme des bites noires leurs tombants sous la main ils en ont profité.
Ils semblent assouvis quand je reçois une dernière giclée de sperme sur la figure.
- Tient une serviette essuie-toi, j’espère que tu as passé un bon après-midi pour nous tu as été parfaite.
Je te note mon téléphone, si tu veux remettre ça, appelle, je ferais venir les copains.
Je me retrouve dehors, ma chatte, mon anus, mes seins et ma bouche me faisant mal.
Quand je prends un taxi pour retourner chez moi retrouver mes enfants, j’ai du vague à l’âme.
Impossible de prendre le métro, moins je vois de monde et mieux c'est.
J’ai bien fait quand le chauffeur me regardant dans son rétro me passe un mouchoir en papier.
- Vous en avez encore au coin de la bouche.
Les bites blanches, vous aimez ça aussi, je suis partant, tous près d’ici il y a une impasse tranquille.
Je l’ignore et je rentre chez moi.
Je sais que cette après-midi est la seule que je passerais dans ce café mais je cache le numéro de téléphone de Bamba derrière mes chaussures dans ma boîte à souvenir.
C’est là que j’ai mis les dents de lait de mes enfants.
Trois mois, l’été est là.
- Allo Bamba.
Impossible de le dire.
7, 8 ou 9 verges noires qui depuis que j’ai suivi Bamba font de moi leur chienne.
Mais commençons par le début.
La chance de gagner un ordinateur car nous sommes les gagnants d’un billet mis dans une urne dans une société de vente de produits multimédiat.
J’étais venue pour acheter un casque à mon fils pour qu’il écoute ses musiques débilent moi qui suis fan de Sardou ou Bruel en passant par Berger et Pagny, pardon rien que des hommes, Céline, France Gall ou Marguerite Duras.
La dernière j’exagère un peu.
Mais pour être plus précise, cet ordi à décidé de m’amener vers ces bites qui me déchirent me faisant hurler de plaisir et me couvrant de sperme.
J’avais 12 ans quand un jour à la piscine, je suis entrée dans une cabine de douche commune pour enlever le chlore ayant une odeur qui m’indispose séchant sur ma peau.
Le verrou était au vert donc libre alors je suis entrée tombant sur une verge noire dont je suis dans l’impossibilité de dire si elle était grande ou petite.
L’homme se masturbait et j’ai refermé très vite avant d’aller me rhabiller et quitter ce lieu.
C’est la couleur noire qui m’a impressionné et quand j’ai gagné cet ordinateur ce que j’ai fait c’était toujours le noir que je recherchais non la grosseur.
Brillant mon mari, épousé à 20 ans refusait ces objets modernes pour nos deux enfants.
Depuis leur plus tendre enfance ils ont eu droit à des jouets en bois ou des livres, même avant qu’ils sachent lire.
Cet ordi, c’est Junon mon amie qui m’a formé à savoir m’en servir.
Junon sait tout de mes envies, de mes fantasmes.
L’épisode de la piscine et de la verge noire, elle l’a mainte fois entendue de ma bouche.
J’avais 16 ans quand j’ai rencontré un garçon au lycée qui possédait cette caractéristique, black.
Il s’appelait Nicolas et pendant un an j’en ai été amoureuse.
Ensuite j’ai aimé Hamed lui aussi de couleur ébène.
Hélas, deux fois hélas, il y avait Williams mon père.
Mon père un jour au volant de sa grosse berline roulait tranquillement quand une voiture plus grosse que la sienne nous a doublés au volant duquel se tenait un black.
Il est rentré dans une rage folle et a tout fait pour le rattraper.
On l’a vu entrer dans une belle demeure sur la colline et mon père à partir de ce jour nous disait que ces blacks venaient manger le pain des Français.
En un mot mon père était le roi des racistes et chaque fois j’ai préféré casser que de l’affronter.
De ces deux mâles noires, je me suis refusée à l'un et à l'autre.
À 16 ans je me trouvais trop jeune et l’année suivante, voyant que je refusais de me laisser faire, Hamed est parti sans savoir que le jour où il m’a largué ça aurait été son jour.
Ma peur venait de ce que disait mon père.
- Marie ramène-moi un de ces rats ici et je vous tue tous les deux.
Je savais qu’il avait un vieux revolver allemand datant de la guerre et qu’il entretenait régulièrement.
Même si c’est mon père, je le savais assez fou et assez raciste pour le faire.
Et il y a eu Brillant et mes deux enfants pendant presque dix ans j’ai vécu heureuse mes fantasmes étant rentrés au rang des souvenirs.
Maintenant ayant rétabli la réalité quand l’ordi arrive mes fantasmes ont resurgi.
- Regarde Marie, il se met en marche en appuyant là.
- Attends, je note le signe sur ce carnet, un rond avec une barre.
Elle m’a tout appris du moins le principal et dans les heures qui ont suivi je savais surfer sur le net.
J’ai même fait une commande d’une petite robe à fleurs que je vais pouvoir mettre dès que je l’aurais reçu.
J’ai la chance malgré mes deux grossesses d’avoir gardé ma taille de guêpe.
Il faut dire qu’en plus de dispositions familiales j’ai repris le sport sur mes tapis roulants l’hiver et en parc l’été courant trois fois par semaine.
- Dis-moi Marie es-tu allée sur des sites où tu peux voir des queues noires, tu sais le fantasme que tu as en toi à vie et qui te bouffe la tête.
- Fais-moi voir.
Pour me faire voir, elle m’a fait voir.
Les jours suivants, je me suis masturbée comme jamais et surtout quand j’étais jeune lorsque mon père m’a frustré me faisant refuser des compagnons noirs.
L’affaire aurait pu en rester là mais comme l’on dit le destin est le destin et quand votre route est tracée vous êtes obligé de la suivre.
Vos souvenirs se réveillent un jour.
Brillant veut vous emmener voir sa vieille tante dans le quartier de Pigalle.
Elle avait fait les beaux jours des boîtes de strip-tease du coin jusqu’à ce que son corps l’amène à trouver un boulot de placeuse dans un cinéma où passaient des films pornos.
Il s’est perdu et je m’étais fait la réflexion que mon père serait devenu fou dans ce quartier, des noires il y en avait dix au mètre carré.
Métro « Château Rouge ».
C’est ça château rouge alors j’ai fini par y aller.
Je me suis promenée dans le quartier.
Je voyais le Sacré-cœur au-dessus de moi.
Est-ce lui qui m’a fait reculer quand j’ai vu un beau black entrer dans un café ou quand je suis passée j’ai vu que plusieurs d’entre eux étaient accoudés au bar.
J’ai passé mon chemin et j’ai repris le métro pour rentrer chez moi.
Ça trois fois, je venais, je me promenais rêvant que ces hommes que je croisais auraient pu assouvir mon fantasme.
Une verge noire au fond de ma chatte.
Mais chaque fois, je posais ma main sur la poignée de la porte du bar sans jamais oser aller plus loin.
Aujourd’hui ayant reçu ma jolie petite robe, je suis sortie de la bouche de métro bien décidé à boire un café, un simple café.
Le destin a voulu que l’on me parle.
- Entrez mademoiselle.
Ça fait plusieurs fois que je vous vois hésiter, vous serez la bienvenue.
Je suis entrée suivi de l’homme.
- Suis-moi.
À partir de ces deux mots, je suis dans le brouillard.
Ce que je fais, je le fais sans m’en rendre compte.
Même la pièce où je rentre étant un appartement accolé au bar.
Le lieu est glauque et aurait dû me faire fuir.
Mais quand Bamba sort sa verge, je sais que je vais réaliser mon fantasme et faire l’amour avec un homme de couleur.
Je m’agenouille et c’est ma bouche qui la première la reçoit.
- C’est mon frère.
Là encore, quand Bamba me prend la main et qu’il la pose sur une deuxième verge qui vient de se présenter à moi, je reste sans réaction mais je branle et j’aspire tour à tour.
Un lit se trouve dans la pièce voisine et on m’y emmène.
Comment je me retrouve nue, sur ce lit, la tête dans le vide, je suis dans l’impossibilité de le dire ?
Ma bouche reçoit une bite, ma chatte rasée une bouche et mes seins deux bouches.
Une main passe sous moi et un doigt entre dans mon anus.
Je suis retournée, ma bouche reçoit deux bites qui tentent de rentrer ensemble.
Je vois que j’y arrive.
Avant que l’on m’ait demandé mon avis, ma chatte est investie.
Les ressorts du matelas grincent et une bite remplit mon anus alors qu’une bouche rejoint ma chatte.
Une bite dans le con et une langue sur le clito, je plane.
Les bites dans ma bouche m’empêchent de hurler mon plaisir surtout que lorsque je vois les deux bites noires sortir de ma bouche, c’est pour finir par un râle et des giclés de foutres sur ma figure et sur mes yeux.
Une autre bite prend sa place alors que je sens que ça coule dans mon anus et dans ma chatte simultanément.
Là encore toutes ces sensations, je les vis, non je les subis mais avec plaisirs et au fil de l’après-midi on arrive à.
7, 8 ou 9.
Impossible de le dire.
Mon corps est repu de sexe et de verge noire.
J’ai dû attirer la plus grande partie voire la totalité des clients du bar.
Quelle aubaine pour eux, une jolie petite blanche voulant réaliser son fantasme des bites noires leurs tombants sous la main ils en ont profité.
Ils semblent assouvis quand je reçois une dernière giclée de sperme sur la figure.
- Tient une serviette essuie-toi, j’espère que tu as passé un bon après-midi pour nous tu as été parfaite.
Je te note mon téléphone, si tu veux remettre ça, appelle, je ferais venir les copains.
Je me retrouve dehors, ma chatte, mon anus, mes seins et ma bouche me faisant mal.
Quand je prends un taxi pour retourner chez moi retrouver mes enfants, j’ai du vague à l’âme.
Impossible de prendre le métro, moins je vois de monde et mieux c'est.
J’ai bien fait quand le chauffeur me regardant dans son rétro me passe un mouchoir en papier.
- Vous en avez encore au coin de la bouche.
Les bites blanches, vous aimez ça aussi, je suis partant, tous près d’ici il y a une impasse tranquille.
Je l’ignore et je rentre chez moi.
Je sais que cette après-midi est la seule que je passerais dans ce café mais je cache le numéro de téléphone de Bamba derrière mes chaussures dans ma boîte à souvenir.
C’est là que j’ai mis les dents de lait de mes enfants.
Trois mois, l’été est là.
- Allo Bamba.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...