COLLECTION FANTASME. Fantasme de sodomie (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FANTASME. Fantasme de sodomie (2/2)
C’est fait, j’ai réalisé mon fantasme, grâce à Antoinette, la femme du maire actuel que j’avais dépucelé dans notre jeunesse.
C’est à la suite du décès de maman que je suis revenu avec Rose ma femme épousée à Paris, capitale que j’avais rejointe pour faire des études et surtout devenir l’adjoint de ma femme dans son entreprise.
Quand j’ai défloré Antoinette, un soir du 14 juillet, j’étais persuadé qu’elle m’avait cédé par envie, alors que j’apprends que c’était par calcul qu’elle l’avait fait.
Ses parents avaient décidé que c’était avec Raoult fils de la famille Édouard, riche fermier du village qu’elle devait se marier.
Comme elle avait appris que son futur compagnon était un soudard, pensant plus à enculer les filles que de leur donner du plaisir avec sa queue, elle m’avait choisi.
J’apprends donc que lorsqu’elle s’était donnée à moi, c’était la solution qu’elle avait trouvée.
En apprenant cela, moi qui avais baisé la mère puis la fille, je pensais que j’étais le seul à le savoir ?
C’est loin d’être le cas, avide de confidence, Antoinette m’avoue avoir entendu sa maman parler de nos rapports à une amie.
J’ai quitté Antoinette, satisfait d’avoir réalisé mon fantasme.
Le reste de ma course, jusqu’à ma ferme, j’avais les couilles qui me grattaient, un moment j’ai eu peur d’avoir attrapé des morpions.
C’était le sperme ayant giclé de l’anus d’Antoinette, une bonne douche éliminant la sueur et le sperme m’a revigoré et j’ai bu mon café.
À 14 heures, je suis devant la mairie avec ma voiture de sport.
Je suis le centre des regards, surtout avec les vieux que j’ai certainement connus il y a bien longtemps et étant jeune dans ce temps-là.
Combien d’heures avons-nous joué au baby avant de jouer à d’autres jeux dans la nature.
Champion du monde, deux ans de suite, j’ai gagné la coupe du monde que le père Anatole organisait.
10 francs d’inscription une fortune pour nous dans ces temps-là, le cocu arrive alors que je sois assis près du comptoir qui a été monté là.
Une jeune femme est là, qui m’a reçu, Raoult arrive égal à lui-même, gros con intégral.
Sait-il que j’ai enculé sa femme, certainement après lui, ma queue étant rentrée trop facilement pour une fille vierge du cul ?
Non, c’est son air naturel depuis que nous connaissons.
• Sophie, je suis de retour, as-tu quelque chose à me signaler.
• Non, papa, à part monsieur Christophe qui est arrivé et qui a rendez-vous avec toi.
Je découvre que tout est pareil dans ce village, on travaille en famille.
J’ignorais qu’Antoinette avait une fille d’environ l’âge où je suis parti pour Paris sans retour jusqu’à aujourd’hui et ma mort de maman.
Je passe la réunion avec Raoult dans le bureau du maire à l’étage.
Nous sommes passés devant la salle du conseil ouverte et où j’avais baisé la femme de son père.
Nous redescendons, sa fille est jolie, aucun risque, sa mère, pourquoi pas, elle, elle est trop jeune pour un vieux crouton comme moi, même si je suis encore vert.
• Sophie, je suis chez Louis, je vais offrir un coup à boire à mon ami Christophe.
Demain, tu vas recevoir un courrier de la préfecture, tu apporteras le papier signé à sa ferme, il pourra commencer ses travaux.
Louis, tu te souviens, le fils de Gaspard qui tenait le bistro, c’est lui qui a repris, pas vrai ma fille.
Je sens Sophie mal à l’aise.
• Je peux venir le chercher, j’ai du temps, heureusement qu’il y a du réseau, je peux regarder mon portable et regarder la télé.
• Tu rigoles, ça lui fera lever son cul de sa chaise, elle tient ce poste depuis que mon père, puis moi, avons fait des lotissements, tu as dû les voir à la sortie du village.
• Papa arrête de te vanter, c’est grâce à maman qui t’a poussé à développer notre village qu’ils ont été construits.
Tu sais les discussions et les efforts qu’elle a déployés auprès de toi.
Monsieur Christophe, vous voulez que je vous dise, à la mort de grand-père, presque la totalité des habitants voulait que ce soit ma mère qui le remplace à la mairie.
• Christophe, tu vois l’ingratitude de ma fille, viens, on a mieux à faire, un petit blanc sera le bienvenu.
• À demain monsieur Christophe, j’aurais plaisir à vous revoir, nous continuerons cette conversation.
Nous traversons et nous rentrons au bistrot.
Le baby, toujours le même trône au même emplacement.
Je passe ma main sur le bois et les boules permettant de compter les buts marqués.
Au-dessus du bar, une grande affiche.
« Ce soir, championnat du monde de baby, inscription 10 €.
Inscription à partir de 17 heures et début à 19 heures »
10 €, on voit là l’inflation avec le moment où j’ai été le champion du monde.
18 heures 45, je veux éviter d’avoir trop de temps avant le début de la compétition.
C’est Sophie qui tient la caisse et les inscriptions avant le tirage au sort.
Il doit y avoir un seul champion, les parties se feront en tête à tête avec élimination directe.
• Monsieur Christophe, j’avais entendu dire que vous aviez réussi à être le champion, il y a quelques années avant ma naissance.
Je vous souhaite bonne chance.
• Vous savez, depuis cette époque, mes réflexes ont du bien baissés avec l’âge.
• Papa, toi qui t’aies toujours vanté d’avoir souvent gagné ce concours, tu vas pouvoir nous montrer ce que tu sais faire, si tu tombes contre monsieur Christophe.
• Tu sais bien que depuis que je me suis pris le bras dans la moissonneuse, j’ai perdu ma souplesse.
J’ai commencé le concours, je tiens le coup, on dit du vélo qu’à vie lorsque l’on sait en faire, ça revient très vite et les quelques spéciaux utilisés il y a vingt ans, arrivent à revenir.
Bien sûr, en tant que maire, Raoult est là avec Antoinette qui est ma plus fidèle supportrice.
Il faut savoir écouter entre deux tours, il semble que Raoult veuille se présenter à la députation aux élections très proches.
Je fais attention à ce que j’ingurgite, Sophie ayant fini son travail aide Louis à servir les clients.
Je comprends pourquoi il semble y avoir du tirage entre la fille et le père.
Plusieurs fois Louis embrasse Sophie.
Demi-finale, je tombe avec les honneurs 9 à 10 contre un jeune de 15 à 16 ans.
Je salue tout le monde et je vais me coucher.
Le lendemain, une voiture arrive, petite Fiat 500, nouvelle version.
• Bonjours papa, comme prévu je t’apporte ton papier.
• Je m’excuse tu me tutoies, ça me fait plaisir, mais m’appeler, papa, tu peux me dire pourquoi ?
• Bien sûr, tu as bien dépucelé ma mère avant de partir faire tes études à Paris !
• Et toi tu sais ça !
• Depuis peu de mois, le jour de mes 18 ans j’ai annoncé à mon père qu’il aille se faire voir pour que je reprenne la ferme.
Hier au concours, tu as vu que j’étais avec Louis et nous voulons développer le commerce de son père en reprenant la restauration abandonnée, il y a une dizaine d’années.
Le cul de ses vaches, il peut se le carrer, de toute façon je vendrais tous lorsque j’hériterais.
Je suis parti me calmer dans la grange, maman m’a tout expliqué.
Tu venais de partir, quand elle s’est aperçue qu’elle était enceinte, elle en a parlé à ses parents qui ont immédiatement réagi.
Raoult, ce pauvre con était tout à fait le parfait pigeon avec les hectares en réunissant les deux fermes.
J’ai donc deux papas, un biologique toi et un qui m’a élevé sans savoir que j’étais un coucou placé dans le nid de ma maman.
Même maintenant il ignore ce détail de notre vie.
J’adore l’humour de ma fille, c’est vrai que dans la forme de visage, je me retrouve un peu.
• Mais dit moi, à part ta maman et toi qui savent ce que tu viens de m’annoncer ?
• Une autre personne au village savait, ma grand-mère.
Toute petite, lorsque maman avait besoin que je sois gardé au moment où il y avait beaucoup de travail à la ferme.
Lorsque j’ai su la vérité, maman lui a dit que je savais et avant sa mort, j’étais contente de venir la voir.
Elle me parlait de toi et le père que tu aurais pu être.
Si tu veux que je disparaisse de ta vie, tu peux être franc et me le dire, je saurais rester à ma place, l’amour de Louis me suffira.
J’ai pris Sophie dans mes bras et le cœur de ma fille a battu fortement contre le mien.
Le week-end suivant Rose m’a rejoint, nous nous étions juré de nous dire toujours la vérité.
Je sais, j’ai assouvi mon fantasme de sodomie avec Antoinette, là ce sont les coins d’ombres qu’il faut savoir garder pour l’harmonie d’un couple.
Je lui ai dit que j’avais une fille.
Nous l’avons même rencontré le Noël suivant avec mes autres enfants.
Autour de la table, il y avait aussi Louis, j’ignore ce que ma fille a dit à son père pour être avec nous.
Ce soir, Rose était particulièrement amoureuse.
Est-ce le vin d’Arbois ou autre ?
Ce qu’il y a de sur, c’est que lui faisant l’amour la prenant à la cuillère, ma bite a dérapé et est rentrée dans son anus avec presque autant de facilité que celui d’Antoinette.
J’aurais pu lui poser des questions sur sa fidélité, Raoult est cocu, je peux l’être aussi.
Mais savoir les choses qui jalonnent la vie des uns ou des autres, pourquoi risquer de tout savoir ?
Maman savait pour ma fille et jusqu’à sa mort, même lorsqu’elle venait chez nous, elle se taisait, je décide de vivre ma vie en venant régulièrement chez moi, dans cette vieille maison bressane.
C’est à la suite du décès de maman que je suis revenu avec Rose ma femme épousée à Paris, capitale que j’avais rejointe pour faire des études et surtout devenir l’adjoint de ma femme dans son entreprise.
Quand j’ai défloré Antoinette, un soir du 14 juillet, j’étais persuadé qu’elle m’avait cédé par envie, alors que j’apprends que c’était par calcul qu’elle l’avait fait.
Ses parents avaient décidé que c’était avec Raoult fils de la famille Édouard, riche fermier du village qu’elle devait se marier.
Comme elle avait appris que son futur compagnon était un soudard, pensant plus à enculer les filles que de leur donner du plaisir avec sa queue, elle m’avait choisi.
J’apprends donc que lorsqu’elle s’était donnée à moi, c’était la solution qu’elle avait trouvée.
En apprenant cela, moi qui avais baisé la mère puis la fille, je pensais que j’étais le seul à le savoir ?
C’est loin d’être le cas, avide de confidence, Antoinette m’avoue avoir entendu sa maman parler de nos rapports à une amie.
J’ai quitté Antoinette, satisfait d’avoir réalisé mon fantasme.
Le reste de ma course, jusqu’à ma ferme, j’avais les couilles qui me grattaient, un moment j’ai eu peur d’avoir attrapé des morpions.
C’était le sperme ayant giclé de l’anus d’Antoinette, une bonne douche éliminant la sueur et le sperme m’a revigoré et j’ai bu mon café.
À 14 heures, je suis devant la mairie avec ma voiture de sport.
Je suis le centre des regards, surtout avec les vieux que j’ai certainement connus il y a bien longtemps et étant jeune dans ce temps-là.
Combien d’heures avons-nous joué au baby avant de jouer à d’autres jeux dans la nature.
Champion du monde, deux ans de suite, j’ai gagné la coupe du monde que le père Anatole organisait.
10 francs d’inscription une fortune pour nous dans ces temps-là, le cocu arrive alors que je sois assis près du comptoir qui a été monté là.
Une jeune femme est là, qui m’a reçu, Raoult arrive égal à lui-même, gros con intégral.
Sait-il que j’ai enculé sa femme, certainement après lui, ma queue étant rentrée trop facilement pour une fille vierge du cul ?
Non, c’est son air naturel depuis que nous connaissons.
• Sophie, je suis de retour, as-tu quelque chose à me signaler.
• Non, papa, à part monsieur Christophe qui est arrivé et qui a rendez-vous avec toi.
Je découvre que tout est pareil dans ce village, on travaille en famille.
J’ignorais qu’Antoinette avait une fille d’environ l’âge où je suis parti pour Paris sans retour jusqu’à aujourd’hui et ma mort de maman.
Je passe la réunion avec Raoult dans le bureau du maire à l’étage.
Nous sommes passés devant la salle du conseil ouverte et où j’avais baisé la femme de son père.
Nous redescendons, sa fille est jolie, aucun risque, sa mère, pourquoi pas, elle, elle est trop jeune pour un vieux crouton comme moi, même si je suis encore vert.
• Sophie, je suis chez Louis, je vais offrir un coup à boire à mon ami Christophe.
Demain, tu vas recevoir un courrier de la préfecture, tu apporteras le papier signé à sa ferme, il pourra commencer ses travaux.
Louis, tu te souviens, le fils de Gaspard qui tenait le bistro, c’est lui qui a repris, pas vrai ma fille.
Je sens Sophie mal à l’aise.
• Je peux venir le chercher, j’ai du temps, heureusement qu’il y a du réseau, je peux regarder mon portable et regarder la télé.
• Tu rigoles, ça lui fera lever son cul de sa chaise, elle tient ce poste depuis que mon père, puis moi, avons fait des lotissements, tu as dû les voir à la sortie du village.
• Papa arrête de te vanter, c’est grâce à maman qui t’a poussé à développer notre village qu’ils ont été construits.
Tu sais les discussions et les efforts qu’elle a déployés auprès de toi.
Monsieur Christophe, vous voulez que je vous dise, à la mort de grand-père, presque la totalité des habitants voulait que ce soit ma mère qui le remplace à la mairie.
• Christophe, tu vois l’ingratitude de ma fille, viens, on a mieux à faire, un petit blanc sera le bienvenu.
• À demain monsieur Christophe, j’aurais plaisir à vous revoir, nous continuerons cette conversation.
Nous traversons et nous rentrons au bistrot.
Le baby, toujours le même trône au même emplacement.
Je passe ma main sur le bois et les boules permettant de compter les buts marqués.
Au-dessus du bar, une grande affiche.
« Ce soir, championnat du monde de baby, inscription 10 €.
Inscription à partir de 17 heures et début à 19 heures »
10 €, on voit là l’inflation avec le moment où j’ai été le champion du monde.
18 heures 45, je veux éviter d’avoir trop de temps avant le début de la compétition.
C’est Sophie qui tient la caisse et les inscriptions avant le tirage au sort.
Il doit y avoir un seul champion, les parties se feront en tête à tête avec élimination directe.
• Monsieur Christophe, j’avais entendu dire que vous aviez réussi à être le champion, il y a quelques années avant ma naissance.
Je vous souhaite bonne chance.
• Vous savez, depuis cette époque, mes réflexes ont du bien baissés avec l’âge.
• Papa, toi qui t’aies toujours vanté d’avoir souvent gagné ce concours, tu vas pouvoir nous montrer ce que tu sais faire, si tu tombes contre monsieur Christophe.
• Tu sais bien que depuis que je me suis pris le bras dans la moissonneuse, j’ai perdu ma souplesse.
J’ai commencé le concours, je tiens le coup, on dit du vélo qu’à vie lorsque l’on sait en faire, ça revient très vite et les quelques spéciaux utilisés il y a vingt ans, arrivent à revenir.
Bien sûr, en tant que maire, Raoult est là avec Antoinette qui est ma plus fidèle supportrice.
Il faut savoir écouter entre deux tours, il semble que Raoult veuille se présenter à la députation aux élections très proches.
Je fais attention à ce que j’ingurgite, Sophie ayant fini son travail aide Louis à servir les clients.
Je comprends pourquoi il semble y avoir du tirage entre la fille et le père.
Plusieurs fois Louis embrasse Sophie.
Demi-finale, je tombe avec les honneurs 9 à 10 contre un jeune de 15 à 16 ans.
Je salue tout le monde et je vais me coucher.
Le lendemain, une voiture arrive, petite Fiat 500, nouvelle version.
• Bonjours papa, comme prévu je t’apporte ton papier.
• Je m’excuse tu me tutoies, ça me fait plaisir, mais m’appeler, papa, tu peux me dire pourquoi ?
• Bien sûr, tu as bien dépucelé ma mère avant de partir faire tes études à Paris !
• Et toi tu sais ça !
• Depuis peu de mois, le jour de mes 18 ans j’ai annoncé à mon père qu’il aille se faire voir pour que je reprenne la ferme.
Hier au concours, tu as vu que j’étais avec Louis et nous voulons développer le commerce de son père en reprenant la restauration abandonnée, il y a une dizaine d’années.
Le cul de ses vaches, il peut se le carrer, de toute façon je vendrais tous lorsque j’hériterais.
Je suis parti me calmer dans la grange, maman m’a tout expliqué.
Tu venais de partir, quand elle s’est aperçue qu’elle était enceinte, elle en a parlé à ses parents qui ont immédiatement réagi.
Raoult, ce pauvre con était tout à fait le parfait pigeon avec les hectares en réunissant les deux fermes.
J’ai donc deux papas, un biologique toi et un qui m’a élevé sans savoir que j’étais un coucou placé dans le nid de ma maman.
Même maintenant il ignore ce détail de notre vie.
J’adore l’humour de ma fille, c’est vrai que dans la forme de visage, je me retrouve un peu.
• Mais dit moi, à part ta maman et toi qui savent ce que tu viens de m’annoncer ?
• Une autre personne au village savait, ma grand-mère.
Toute petite, lorsque maman avait besoin que je sois gardé au moment où il y avait beaucoup de travail à la ferme.
Lorsque j’ai su la vérité, maman lui a dit que je savais et avant sa mort, j’étais contente de venir la voir.
Elle me parlait de toi et le père que tu aurais pu être.
Si tu veux que je disparaisse de ta vie, tu peux être franc et me le dire, je saurais rester à ma place, l’amour de Louis me suffira.
J’ai pris Sophie dans mes bras et le cœur de ma fille a battu fortement contre le mien.
Le week-end suivant Rose m’a rejoint, nous nous étions juré de nous dire toujours la vérité.
Je sais, j’ai assouvi mon fantasme de sodomie avec Antoinette, là ce sont les coins d’ombres qu’il faut savoir garder pour l’harmonie d’un couple.
Je lui ai dit que j’avais une fille.
Nous l’avons même rencontré le Noël suivant avec mes autres enfants.
Autour de la table, il y avait aussi Louis, j’ignore ce que ma fille a dit à son père pour être avec nous.
Ce soir, Rose était particulièrement amoureuse.
Est-ce le vin d’Arbois ou autre ?
Ce qu’il y a de sur, c’est que lui faisant l’amour la prenant à la cuillère, ma bite a dérapé et est rentrée dans son anus avec presque autant de facilité que celui d’Antoinette.
J’aurais pu lui poser des questions sur sa fidélité, Raoult est cocu, je peux l’être aussi.
Mais savoir les choses qui jalonnent la vie des uns ou des autres, pourquoi risquer de tout savoir ?
Maman savait pour ma fille et jusqu’à sa mort, même lorsqu’elle venait chez nous, elle se taisait, je décide de vivre ma vie en venant régulièrement chez moi, dans cette vieille maison bressane.
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