COLLECTION FANTASME. Fantasmes, jusqu’à où ? (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FANTASME. Fantasmes, jusqu’à où ? (1/1)
Je suis mariée depuis vingt ans à Alex employé de banque.
J’ai deux enfants des faux jumeaux faisant des études à Montpellier, ils sont comme leur père, fort en math alors que moi je suis ce que l’on peut dire, une nullitée en cette matière.
Dans ma vie, ma grossesse a été décisive.
Lidia et Lionel ont déclenché en moi une boulimie de Ronald.
Ronald, le clown américain.
Plus ma grossesse avançait et plus je me goinfrais de Mac machin et de Coca loin d’être light, sans compter les glaces vanille, caramel avec des sachets de cacahuète bien grasse.
Résultat, tout le travail que j’avais fait sur moi-même lorsque j’avais vingt ans pour perdre mon surnom de « Bouboule » est tombé à l’eau.
Maintenant, on peut m’appeler « gros cul, » plus pourri « la truie » ou autre nom d’oiseau pour me décrire.
J’ai ralenti ma visite chez Ronald réussissant à perdre deux kilos, mais malgré cet exploit, je garde mes formes généreuses.
Je parle de mon gros cul, mais que dire de mes seins.
L’allaitement pour mes deux petits anges a fait d’eux de véritable ballon de hand-ball.
100 D qui peut dire mieux à quarante ans.
Je dois dire que j’ignore si les hommes dans la rue se retournant sur ma silhouette le font pour mes seins ou pour mon cul ou les deux, mais j’aime bien.
Par chance en France il y a des hommes qui semblent aimer les femmes rondes.
Allez disons la vérité, les femmes plus que ronde, obèse, il suffit de regarder mon ventre.
Ils aiment les femmes dans mon genre, mais c’est loin d’être le cas d’Alex.
À la maison, seul son ordinateur et les sites de bourse le passionnent.
Même si son sexe semble se détacher du mien, c’est grâce à cette passion que nous finançons les études de mes deux chérubins.
Deux jeunes dans une cité universitaire, sans aide, ça coûte un max.
De l’appartement à la voiture, sans compter la bourse et les soirées qu’ils semblent adorés organiser, ça coute un max.
Je suis sans travail, qui voudrait d’une secrétaire de direction avec le cul que je me trimbale au fil de mes années de débordements alimentaires.
Je suis mal-baisé pour éviter de dire, pas baisable du tout.
Alex se sert de l’ordinateur le soir, je m’en sers dans la journée.
J’ai découvert des films qui me permettent de garder ma libido intacte.
Le premier que j’ai vu, je l’ai regardé en évitant de me donner du plaisir.
La nuit suivante, alors qu’Alex ronflait à mes côtés, j’ai repassé dans ma tête le début du film vu l’après-midi après avoir nettoyé ma maison.
Un homme dépensant sans compter pour faire plaisir à sa femme, véritable pin-up comparée à moi, voit son mari arriver.
En deux mots, voici le scénario qui m’était proposé.
• Ma chérie, nos comptes sont plus que dans le rouge, pour faire de toi Maryline ce que tu as toujours rêvé d’être, maintenant il faut m’aider.
• Comment, le puis-je mon chéri ?
• J’ai deux ou trois copains qui bandent pour toi, si tu passais une soirée avec chacun d’eux, rapidement notre problème serait résolu.
Mieux je pourrais t’offrir cette magnifique poitrine que tu me demandes de t’offrir depuis des semaines.
Je revois le début de cette scène dans ma tête, il va de soi que le maquereau oublie de parler de ce que son cul va lui rapporter.
Je me passe la main sur mes seins.
Moi, du 100 D, je les ai alors que dans le film la femme de ce mec doit faire du 90 A.
C’est bon de me caresser les seins.
Ce fantasme que mon mari le fasse de nouveau, comme il le faisait du temps où nous avions encore des rapports sexuels me fait mouiller entre mes cuisses.
Ma main se glisse à cette hauteur, je devrais sauter sur Alex, mais j’aime fantasmer sur ce que je pourrais faire plutôt que de passer à l’acte, surtout que j’aurais trop peur de me faire rembarrer.
Mes doigts sont à deux centimètres de ma chatte, il m’en faut plus, j’ai hâte à être à demain pour voir la suite du film que j’ai arrêté, car j’ai entendu Alex rentré.
Mais demain j’espère que les choses évoluent ainsi.
• Alors salope, depuis que tu te refuses à moi, chaque fois que je te croise, ton cul est devenu un peu cher, mais j’ai hâte de te fourrer.
Avance fait moi un strip.
La nuit suivante, c’est moi qui démarre mon fantasme.
Je suis devant Raoult le copain de travail de mon mari, il m’a vendu pour payer nos dettes, Raoult aime les femmes bien en chair, avec moi, il est servi.
Je suis devant lui dans mon tailleur que je porte avec des talons hauts.
Je le mets, pour les grandes occasions, devenir la pute de mon mari, c’est une grande occasion.
• Comme prévu, je vous quitte.
Raoult, cette salope est la tienne, mais avant que je parte, donne-moi l’argent de la passe dont on a convenu afin que tu baisses cette roulure.
Dans mes fantasmes, les mots comme roulures, putes, salopes ou autres me font mouiller, c’est pour ça que j’en emploie le plus possible.
Alex nous quitte me passant une main au cul.
Il prend en main la télécommande de la chaîne et démarre une musique qui me permet de m’effeuiller dès qu’il a quitté la pièce et l’appartement.
• Putain salope, tu vaux bien le fric que je viens de donner à ton mari, j’ai baisé des gros culs, mais le tien peut jouer dans la catégorie championne du monde.
Je sens que je vais avoir plaisir à t’enculer.
Me faire enculer, il est vrai que mes bourrelets protègent tellement mon sexe et que mon anus est plus dégagé afin de me faire enculer.
Fantasme suprême pour une femme comme moi, privée de sexe.
Mais les rêves fantasmatiques, hélas, quelquefois prennent fin sans que l’on sache pourquoi et lorsque vous revenez sur terre, rêve ou réalité, un bref instant vous perdez pied.
Me faire enculer par Raoult, ou vais chercher cela.
À oui, je crois savoir, hier j’ai regardé un film ou un homme noir baisait une grosse blanche, un peut moi, la blanche.
Le rapport avec Raoult et ce black ?
Raoult est réunionnais, je l’ai vu en maillot de bain, dans le parc où nous avions pic niqué un dimanche, son slip me montrant un paquet digne de l’acteur ayant une verge monstrueuse.
Monstrueuse, c’est relatif, certes, je la prendrais dans mon cul, surtout la première fois, je la sentirais passer, mais avec le temps je suis sûr que je jouirais aussi fort que la grosse dans ce film.
En manque comme je le suis, j’ai des fantasmes de nuit, mais de plus en plus de fantasmes éveillés lorsque je peux regarder les petits films pornos sur mon ordi.
Ce matin, je suis allée au marcher, j’ai rapporté des carottes, est-ce quand Alex me baisait aurais-je eu l’idée d’en prendre une en main pour en faire un gode ?
Pourtant, je suis bien éveillé quand j’écarte mes cuisses et que soulevant mes bourlets j’en plonge une en moi.
J’ai descendu ma culotte 4XL sur mes pieds, je fais entrer et sortir la carotte, la plus grosse du paquet de plus en plus vite lorsque je sens que l’appuyant sur mon clito il commence à s’enflammer.
Depuis combien de temps ai-je ressenti un tel frisson comme celui qui me traverse,
Je fantasme déjà que je suis à la semaine prochaine pour retourner au marcher, acheter un concombre.
Mon mal est profond pour que je remplace, les bites par des légumes.
Nous sommes à table mangeant les carottes dont celle avec laquelle je me suis masturbée lorsque avec un regard froid, Alex prend la parole.
• Simone...
Ça commence mal, car il me donnait de mon prénom alors qu’au temps de nos envolées, s’était « poussin », « minouche », « poupoune ».
• Simone, je te quitte, je fais ma valise demain matin, je vais vivre avec ma secrétaire, nous sommes amants.
Véronique, je connais Véronique, « sac d’os » ou « planche à pain » c’est ainsi que dans l’entreprise de mon futur ex-mari on appelle cette femme.
Avec moi, il en avait dans les mains alors qu’avec elle il pourra compter, un à un, les os de ses cotes.
Ça fait huit jours que je suis seule, je dois reconnaitre que j’ai remplacé mes fantasmes par toutes les larmes de mon corps.
L’argent, non, mes parents sont décédés me laissant un héritage avec un patrimoine immobilier me permettant de vivre tranquille jusqu’à la fin de mes jours.
Ils ont toujours eu des doutes sur l’amour qu’Alex me portait et ont blindé leur testament si ce qui m’arrive se produisait, aucun centime devant lui revenir.
Il prend tous les torts à sa charge et comme nous acceptons le divorce à l’amiable, rapidement je me trouve libre.
Une question que faire de cette liberté, sortir le soir pour réaliser mes fantasmes, je suis à deux doigts de le faire lorsque l’on sonne à la porte de mon appartement.
Je sors de mon bain, je suis recouverte d’un peignoir chinois avec des dragons.
• Raoult, toi ici, que me vaut cette visite.
• J’ai beaucoup hésité à venir, j’ai peur que tu me claques la porte au nez !
• Pourquoi ?
• Je suis l’ami de ton ex-mari et tu pourrais avoir envie de tirer un trait définitif entre lui et toi !
• Entre, viens me présenter ta théorie sur l’amitié entre un connard et moi.
Raoult est entré, sa théorie étant qu’il aimait les culs aussi gros que son propre ventre. J’ai rapidement appris à baiser entre deux obèses loin des fantasmes qui m’ont tenu éveillé des nuits entières.
Il est le seul à trouver le chemin de ma chatte, lorsque je le dénude.
Que dire de ce que je vois, mieux que dans mes fantasmes, un taureau, un âne, qu’importe, une verge hors du commun, que je suis dans l’impossibilité de mettre dans ma bouche ?
Je le suce copieusement, il me fait partir dès qu’il me pénètre.
Lorsque je suis en levrette, je sens son gland sur mon anus.
Comment lui dire que sa bite m’enculant a été l’un de mes principaux fantasmes lorsque je fantasmais et que mon mari me vendait à lui ?
Bien sûr, je me tais, inutile, je crie, mais il est entré, je sens que dans le futur, je vais adorer me faire prendre par le petit.
• Simone, ça m’a donné faim !
• Va voir dans le frigo !
• Inutile, habillons-nous, nous sommes dimanche, je mange chaque semaine au Burger ou au chez Ronald.
• Pourquoi, changer de si bonne habitude ?
Enfin un homme qui me comprend pour le sexe et pour la bouffe.
En chemin, je fantasme, sur les frites et le coca dont je vais m’empiffrer sans le moindre scrupule.
Dans la vie, il faut savoir choisir sa moitié, avec nos gros culs, sa moitié, c’est le cas de le dire.
J’ai deux enfants des faux jumeaux faisant des études à Montpellier, ils sont comme leur père, fort en math alors que moi je suis ce que l’on peut dire, une nullitée en cette matière.
Dans ma vie, ma grossesse a été décisive.
Lidia et Lionel ont déclenché en moi une boulimie de Ronald.
Ronald, le clown américain.
Plus ma grossesse avançait et plus je me goinfrais de Mac machin et de Coca loin d’être light, sans compter les glaces vanille, caramel avec des sachets de cacahuète bien grasse.
Résultat, tout le travail que j’avais fait sur moi-même lorsque j’avais vingt ans pour perdre mon surnom de « Bouboule » est tombé à l’eau.
Maintenant, on peut m’appeler « gros cul, » plus pourri « la truie » ou autre nom d’oiseau pour me décrire.
J’ai ralenti ma visite chez Ronald réussissant à perdre deux kilos, mais malgré cet exploit, je garde mes formes généreuses.
Je parle de mon gros cul, mais que dire de mes seins.
L’allaitement pour mes deux petits anges a fait d’eux de véritable ballon de hand-ball.
100 D qui peut dire mieux à quarante ans.
Je dois dire que j’ignore si les hommes dans la rue se retournant sur ma silhouette le font pour mes seins ou pour mon cul ou les deux, mais j’aime bien.
Par chance en France il y a des hommes qui semblent aimer les femmes rondes.
Allez disons la vérité, les femmes plus que ronde, obèse, il suffit de regarder mon ventre.
Ils aiment les femmes dans mon genre, mais c’est loin d’être le cas d’Alex.
À la maison, seul son ordinateur et les sites de bourse le passionnent.
Même si son sexe semble se détacher du mien, c’est grâce à cette passion que nous finançons les études de mes deux chérubins.
Deux jeunes dans une cité universitaire, sans aide, ça coûte un max.
De l’appartement à la voiture, sans compter la bourse et les soirées qu’ils semblent adorés organiser, ça coute un max.
Je suis sans travail, qui voudrait d’une secrétaire de direction avec le cul que je me trimbale au fil de mes années de débordements alimentaires.
Je suis mal-baisé pour éviter de dire, pas baisable du tout.
Alex se sert de l’ordinateur le soir, je m’en sers dans la journée.
J’ai découvert des films qui me permettent de garder ma libido intacte.
Le premier que j’ai vu, je l’ai regardé en évitant de me donner du plaisir.
La nuit suivante, alors qu’Alex ronflait à mes côtés, j’ai repassé dans ma tête le début du film vu l’après-midi après avoir nettoyé ma maison.
Un homme dépensant sans compter pour faire plaisir à sa femme, véritable pin-up comparée à moi, voit son mari arriver.
En deux mots, voici le scénario qui m’était proposé.
• Ma chérie, nos comptes sont plus que dans le rouge, pour faire de toi Maryline ce que tu as toujours rêvé d’être, maintenant il faut m’aider.
• Comment, le puis-je mon chéri ?
• J’ai deux ou trois copains qui bandent pour toi, si tu passais une soirée avec chacun d’eux, rapidement notre problème serait résolu.
Mieux je pourrais t’offrir cette magnifique poitrine que tu me demandes de t’offrir depuis des semaines.
Je revois le début de cette scène dans ma tête, il va de soi que le maquereau oublie de parler de ce que son cul va lui rapporter.
Je me passe la main sur mes seins.
Moi, du 100 D, je les ai alors que dans le film la femme de ce mec doit faire du 90 A.
C’est bon de me caresser les seins.
Ce fantasme que mon mari le fasse de nouveau, comme il le faisait du temps où nous avions encore des rapports sexuels me fait mouiller entre mes cuisses.
Ma main se glisse à cette hauteur, je devrais sauter sur Alex, mais j’aime fantasmer sur ce que je pourrais faire plutôt que de passer à l’acte, surtout que j’aurais trop peur de me faire rembarrer.
Mes doigts sont à deux centimètres de ma chatte, il m’en faut plus, j’ai hâte à être à demain pour voir la suite du film que j’ai arrêté, car j’ai entendu Alex rentré.
Mais demain j’espère que les choses évoluent ainsi.
• Alors salope, depuis que tu te refuses à moi, chaque fois que je te croise, ton cul est devenu un peu cher, mais j’ai hâte de te fourrer.
Avance fait moi un strip.
La nuit suivante, c’est moi qui démarre mon fantasme.
Je suis devant Raoult le copain de travail de mon mari, il m’a vendu pour payer nos dettes, Raoult aime les femmes bien en chair, avec moi, il est servi.
Je suis devant lui dans mon tailleur que je porte avec des talons hauts.
Je le mets, pour les grandes occasions, devenir la pute de mon mari, c’est une grande occasion.
• Comme prévu, je vous quitte.
Raoult, cette salope est la tienne, mais avant que je parte, donne-moi l’argent de la passe dont on a convenu afin que tu baisses cette roulure.
Dans mes fantasmes, les mots comme roulures, putes, salopes ou autres me font mouiller, c’est pour ça que j’en emploie le plus possible.
Alex nous quitte me passant une main au cul.
Il prend en main la télécommande de la chaîne et démarre une musique qui me permet de m’effeuiller dès qu’il a quitté la pièce et l’appartement.
• Putain salope, tu vaux bien le fric que je viens de donner à ton mari, j’ai baisé des gros culs, mais le tien peut jouer dans la catégorie championne du monde.
Je sens que je vais avoir plaisir à t’enculer.
Me faire enculer, il est vrai que mes bourrelets protègent tellement mon sexe et que mon anus est plus dégagé afin de me faire enculer.
Fantasme suprême pour une femme comme moi, privée de sexe.
Mais les rêves fantasmatiques, hélas, quelquefois prennent fin sans que l’on sache pourquoi et lorsque vous revenez sur terre, rêve ou réalité, un bref instant vous perdez pied.
Me faire enculer par Raoult, ou vais chercher cela.
À oui, je crois savoir, hier j’ai regardé un film ou un homme noir baisait une grosse blanche, un peut moi, la blanche.
Le rapport avec Raoult et ce black ?
Raoult est réunionnais, je l’ai vu en maillot de bain, dans le parc où nous avions pic niqué un dimanche, son slip me montrant un paquet digne de l’acteur ayant une verge monstrueuse.
Monstrueuse, c’est relatif, certes, je la prendrais dans mon cul, surtout la première fois, je la sentirais passer, mais avec le temps je suis sûr que je jouirais aussi fort que la grosse dans ce film.
En manque comme je le suis, j’ai des fantasmes de nuit, mais de plus en plus de fantasmes éveillés lorsque je peux regarder les petits films pornos sur mon ordi.
Ce matin, je suis allée au marcher, j’ai rapporté des carottes, est-ce quand Alex me baisait aurais-je eu l’idée d’en prendre une en main pour en faire un gode ?
Pourtant, je suis bien éveillé quand j’écarte mes cuisses et que soulevant mes bourlets j’en plonge une en moi.
J’ai descendu ma culotte 4XL sur mes pieds, je fais entrer et sortir la carotte, la plus grosse du paquet de plus en plus vite lorsque je sens que l’appuyant sur mon clito il commence à s’enflammer.
Depuis combien de temps ai-je ressenti un tel frisson comme celui qui me traverse,
Je fantasme déjà que je suis à la semaine prochaine pour retourner au marcher, acheter un concombre.
Mon mal est profond pour que je remplace, les bites par des légumes.
Nous sommes à table mangeant les carottes dont celle avec laquelle je me suis masturbée lorsque avec un regard froid, Alex prend la parole.
• Simone...
Ça commence mal, car il me donnait de mon prénom alors qu’au temps de nos envolées, s’était « poussin », « minouche », « poupoune ».
• Simone, je te quitte, je fais ma valise demain matin, je vais vivre avec ma secrétaire, nous sommes amants.
Véronique, je connais Véronique, « sac d’os » ou « planche à pain » c’est ainsi que dans l’entreprise de mon futur ex-mari on appelle cette femme.
Avec moi, il en avait dans les mains alors qu’avec elle il pourra compter, un à un, les os de ses cotes.
Ça fait huit jours que je suis seule, je dois reconnaitre que j’ai remplacé mes fantasmes par toutes les larmes de mon corps.
L’argent, non, mes parents sont décédés me laissant un héritage avec un patrimoine immobilier me permettant de vivre tranquille jusqu’à la fin de mes jours.
Ils ont toujours eu des doutes sur l’amour qu’Alex me portait et ont blindé leur testament si ce qui m’arrive se produisait, aucun centime devant lui revenir.
Il prend tous les torts à sa charge et comme nous acceptons le divorce à l’amiable, rapidement je me trouve libre.
Une question que faire de cette liberté, sortir le soir pour réaliser mes fantasmes, je suis à deux doigts de le faire lorsque l’on sonne à la porte de mon appartement.
Je sors de mon bain, je suis recouverte d’un peignoir chinois avec des dragons.
• Raoult, toi ici, que me vaut cette visite.
• J’ai beaucoup hésité à venir, j’ai peur que tu me claques la porte au nez !
• Pourquoi ?
• Je suis l’ami de ton ex-mari et tu pourrais avoir envie de tirer un trait définitif entre lui et toi !
• Entre, viens me présenter ta théorie sur l’amitié entre un connard et moi.
Raoult est entré, sa théorie étant qu’il aimait les culs aussi gros que son propre ventre. J’ai rapidement appris à baiser entre deux obèses loin des fantasmes qui m’ont tenu éveillé des nuits entières.
Il est le seul à trouver le chemin de ma chatte, lorsque je le dénude.
Que dire de ce que je vois, mieux que dans mes fantasmes, un taureau, un âne, qu’importe, une verge hors du commun, que je suis dans l’impossibilité de mettre dans ma bouche ?
Je le suce copieusement, il me fait partir dès qu’il me pénètre.
Lorsque je suis en levrette, je sens son gland sur mon anus.
Comment lui dire que sa bite m’enculant a été l’un de mes principaux fantasmes lorsque je fantasmais et que mon mari me vendait à lui ?
Bien sûr, je me tais, inutile, je crie, mais il est entré, je sens que dans le futur, je vais adorer me faire prendre par le petit.
• Simone, ça m’a donné faim !
• Va voir dans le frigo !
• Inutile, habillons-nous, nous sommes dimanche, je mange chaque semaine au Burger ou au chez Ronald.
• Pourquoi, changer de si bonne habitude ?
Enfin un homme qui me comprend pour le sexe et pour la bouffe.
En chemin, je fantasme, sur les frites et le coca dont je vais m’empiffrer sans le moindre scrupule.
Dans la vie, il faut savoir choisir sa moitié, avec nos gros culs, sa moitié, c’est le cas de le dire.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
On dit chez nous(chaque tasse a son plat)
Ce qui veut dire que tout personne a quelqu'un pour lui faut juste attendre pour le rencontrer
Notre héroïne et très grosse mais son mari les veulent mince
Don le mai a la secrétaire
Et la femme a eu l'amant qui aime les grand et grosses fesses
Tout le monde a ce qu'il aime
Tout est bient qui finira bien
Nadia larebelle
Ce qui veut dire que tout personne a quelqu'un pour lui faut juste attendre pour le rencontrer
Notre héroïne et très grosse mais son mari les veulent mince
Don le mai a la secrétaire
Et la femme a eu l'amant qui aime les grand et grosses fesses
Tout le monde a ce qu'il aime
Tout est bient qui finira bien
Nadia larebelle