COLLECTION FANTASME. Je récolte ce que j’ai semé ! (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FANTASME. Je récolte ce que j’ai semé ! (1/1)
Avoir un fantasme pour une femme mariée comme moi, ça peut paraître bizarre.
Il faut dire que lorsque ce fantasme fait suite à un rêve érotique, ça peut paraître encore plus bizarre.
Mariée, deux enfants, des faux jumeaux, un mari aimant toujours à l’affut de mes moindres désirs, que pourrais-je espérer de mieux.
Un joli petit cul !
Le mien est très bien proportionné, il faut dire que je m’entretiens, jogging l’été et course sur tapis roulant en salle de sport, trois fois par semaine, l’hiver.
J’élimine fort bien ma cellulite comparée à ma copine d’enfance, Martine qui est toujours à la recherche d’un nouveau régime.
Diva, ma fille, ressemblant morphologiquement à son père qui sans être gros à tendance à trop manger.
C’est une nutritionniste qui nous a conseillé légumes et féculents à chaque repas avec cinquante grammes de pain, si possible complet.
Au début, Franck l’a trouvé sévère.
Mais quand il a vu que le poids sur la balance au lieu de monter régulièrement de cinq kilos, suivi d’un palier, puis de nouveau de cinq kilos, la quarantaine approchante, il me dit « merci ma chérie.»
Quant à Ange, le frère de Diva, il est comme moi et comme il fait sport étude en plus du foot ou il espère passer pro, aucun problème pour lui de surpoids.
Il fait chaud, c’est la canicule depuis deux ans l’été.
J’aime cette saison et surtout les robes légères, virevoltantes autour de moi.
Mes trois amours viennent de me quitter pour aller en week-end chez mes beaux-parents.
Je suis en froid avec ma belle-mère, ceci dès la première fois où nous nous sommes rencontrés.
Les choses allant de mal en pis, par un accord tacite, son fils et les enfants vont les voir, alors moi je reste seule, un week-end environ tous les cinq à six semaines.
C’est le cas ce matin alors presque comme un robot, je me prépare à réaliser mon fantasme.
Comme je l’ai dit, robe légère et surtout aucun sous-vêtement couvrant ma chatte, car c’est là que se tient mon fantasme.
J’ai une grande envie comme dans mon rêve de m’exhiber dans un lieu public.
Bien sûr, il y a des limites dans ce rêve, j’écartais mes jambes devant un public de curée qui se masturbait devant moi.
Ce rêve aurait pu rester un rêve jusqu’à ce que je comprenne que c’est ma chatte en exposition qui était mon centre d’intérêt.
Le lieu important peu, encore moins les curés, je suis athée une partie de la source de conflits avec ma belle-mère.
C’est un jour, comme aujourd’hui, en taillant ma toison en forme de triangle, qu’une simple expo suffirait à mon bonheur.
Le parc à cinq cents mètres de chez moi sera mon lieu de réalisation de ce fantasme.
C’est la première fois que j’y entre, ça me permet l’anonymat de plus les enfants grandissant, il fallait une chambre à chacun des enfants et nous venons d’emménager.
Je m’assois sur un banc, légèrement à l’ombre et j’attends en lisant le dernier best-seller de l’été.
Enfin, il arrive.
J’ai envie de lui dire, assieds-toi comme au spectacle, mais il passe son chemin très vite suivi par une mémère qui elle prend place sur le banc face au mien.
Tire-toi, tu vois que tu me gênes...
La transmission de pensée doit fonctionner, car difficilement elle se relève et poursuit son chemin.
Trente ans, l’air sportif, je suis sûr que s’il prend place en face de moi, je le ferais.
Il le fait s’appuyant nonchalamment un bras sur le dossier du banc et sortant un mouchoir, il s’essuie.
Je continue à faire celle qui lit.
Un deux trois, j’allais dire, soleil, comme lorsque j’étais petite et que nous jouions à ce jeu ou je perdais toujours, j’étais trop impulsive.
Un deux trois et j’écarte lentement mes genoux.
Je vois qu’il a vu et qu’il voit, car il se redresse.
Je vois qu’il voit, car son regard se fixe sur mon propre centre d’intérêt.
Il a assez vu, plus serait du vice.
Surtout que ma chatte ruisselle de contentement.
L’impression de domination sur cet homme a été fantastique.
Contrairement avec Franck qui me domine sexuellement, j’ai décidé du début et je décide de la fin.
Rapidement je remonte le parc et je prends la route vers mon immeuble.
Je marche vite, car je sens le besoin d’aller me caresser.
J’ai abandonné cette pratique depuis mon mariage, mais la vierge que j’étais savait y faire avec ses doigts avant de sentir la verge de mon mentor.
Le temps est cour, car je marche vite.
Je fais le code de la porte qui s’ouvre et au moment où je la franchis, je me sens propulser dans le noir du hall.
Une main sur ma bouche et une autre à la hauteur de ma chatte.
• Alors jolie allumeuse, on met le feu aux hommes et on les laisse en plan, la bite tendue.
Je vois que tu prends ton pied comme ça, ma main malgré le vêtement certes très léger sent que tu mouilles.
Maintenant, tu vas me sucer.
Mon fantasme était de m’exhiber, alors que si j’accepte ce qui m’a été impossible à faire à Franck, je le tromperais et c’était loin d’être le but de ma manœuvre.
Dans mon rêve, je m’étais réveillée.
Agenouiller, un peu forcé, il ouvre sa braguette et sort sa verge.
Il a lâché ma bouche, je pourrais crier, mais je sais que je récolte ce que j’ai semé et je la prends entre mes lèvres.
Du bout des lèvres au départ, mais à pleines mains et au fond de ma gorge après un moment ou je le masturbe.
Avec Franck, chaque fois que nous faisons l’amour, c’est avec sa propre main qu’il se branle pour se faire bander avant de me prendre.
C’est la première fois que je montrais ma chatte à un autre homme, c’est la première fois que j’en fais bander un avec ma main et ma bouche.
Je m’attends à ce qu’il m’arrose de sa semence, je m’y prépare, mais il en veut plus.
Il me redresse, m’arrachant à mon plaisir buccal pour mettre sa langue à la place de sa bite.
Il me coince le long du mur, stimulant mes pointes de seins se trouvant comprimées part sa forte poitrine, j’ai même du mal à respirer, mais j’espère plus.
Je devrais essayer de fuir, mais je suis devenue un sexe, un simple sexe qui voulait s’exhiber, mais maintenant un sexe qui veut se faire pourfendre.
C’est sa main libre qui soulève ma jambe et qu’il prend dans sa main pour m’ouvrir et qu’il puisse me pénétrer.
Ça arrive rapidement et là, je fonds, je me pame, je jouis pour finir quand il m’arrose, par ressentir un merveilleux orgasme.
• Voilà, ça c’était mon fantasme, sexer une bourgeoise sous une porte cochère.
Toi, je pense que ton fantasme s’était de me montrer ta chatte assise sur un banc dans ce parc.
Tous les deux on les a réalisés.
• Tu montes boire un café !
• Es-tu seule ?
• Mon mari et mes enfants sont chez ma peste de belle-mère pour le week-end.
En prononçant ces mots, je sais que je me mets à la merci de cet homme sortie de nulle part.
Nulle part, non du parc ou je pensais simplement m’exhiber.
• Ça tombe bien je suis bloqué jusqu’à lundi.
Il est bien mis propre sous sa chemise, s’il avait voulu me tuer, ce serait déjà fait comme sa verge m’a tué en me poignardant.
C’est dans la cuisine qu’il me reprend, là encore j’innove, il m’a saisi, ma assis sur le plan de travail.
J’ai vu un porno chez des amis, Franck et moi ayant été piégé ou la maîtresse de maison se faisait sauter par la bonne qui lui léchait la chatte avant de lui enfoncer la main jusqu’au poignet.
Je venais de découvrir de telles pratiques que j’étais sûr resterait pour moi une vision dégradante de la femme.
Elle s’était la main qui entrait en elle, moi c’est de nouveau sa bite qu’il me plante en me suçant les seins qu’il a sortis de ma robe.
Trois jours ou j’arrive à éviter la chambre conjugale des enfants.
Baisant de-ci de-là, de la peau de bête achetée dans une brocante à la salle de bain attenante à notre chambre.
Là oui, je m’empale sur sa verge pour la dixième fois.
Il part, me laissant repu de sexe.
Je remets la maison en l’état, inutile que mon mari me prenne en faute d’adultère risquant de fracasser notre couple.
Je cherche comment appeler mon sexe du week-end réalisateur de fantasmes, il est parti sans me dire d’où il était et comment il s’appelait.
Mon mari de retour seul, il a laissé les enfants chez ses parents pendant la quinzaine des vacances.
• Chérie, je suis content de te retrouver, j’ai décidé de changer notre vie !
• Tu veux me quitter mon amour !
• Pourquoi te quitter, je veux simplement réaliser tous mes fantasmes avec toi ?
Pendant ton absence, j’ai pris conscience que notre couple s’encroutait.
C’est seul dans mon lit chez ma mère que j’ai pris conscience que depuis que je suis jeune, j’ai des fantasmes jamais réalisés.
Ma chérie voilà le premier.
Heureusement, j’ai pris un bain après le départ de mon propre fantasme.
Si j’étais resté comme ça, il aurait nagé dans le foutre de son rival.
Il m’empoigne, me pose sur le plan de travail et me bouffe la chatte.
Je jouis une première fois avant qu’il me porte dans ses bras sur la peau de bête.
Variante de mes jeux amoureux d’hier au même endroit, ce fantasme devait manquer à la panoplie de mon amant magnifique.
Franck me prend en levrette.
• Aimes-tu ?
Plutôt deux fois qu’une chérie.
• Énormément mon amour, tu vas plus loin en moi.
• Présente-moi un fantasme, je le réaliserais comme tu viens de réaliser le mien.
Attendez, j’en ai un, mais avant je monte au rideau, j’ai déchainé ma libido alors autant en profiter.
• Bien alors, Franck, allons jusqu’au parc et je m’assoirais sur un banc avec un livre dans ma robe d’été et tu assisteras à la suite.
Quand je sors du parc les yeux de mon mari rempli d’amour de m’avoir vu m’exhiber, je me presse jusqu’à notre porte cochère.
La vie est-elle un éternel recommencement ;
La main sur ma bouche et la queue collée à moi m’apporte la réponse.
« Oui ou non ? »
Il faut dire que lorsque ce fantasme fait suite à un rêve érotique, ça peut paraître encore plus bizarre.
Mariée, deux enfants, des faux jumeaux, un mari aimant toujours à l’affut de mes moindres désirs, que pourrais-je espérer de mieux.
Un joli petit cul !
Le mien est très bien proportionné, il faut dire que je m’entretiens, jogging l’été et course sur tapis roulant en salle de sport, trois fois par semaine, l’hiver.
J’élimine fort bien ma cellulite comparée à ma copine d’enfance, Martine qui est toujours à la recherche d’un nouveau régime.
Diva, ma fille, ressemblant morphologiquement à son père qui sans être gros à tendance à trop manger.
C’est une nutritionniste qui nous a conseillé légumes et féculents à chaque repas avec cinquante grammes de pain, si possible complet.
Au début, Franck l’a trouvé sévère.
Mais quand il a vu que le poids sur la balance au lieu de monter régulièrement de cinq kilos, suivi d’un palier, puis de nouveau de cinq kilos, la quarantaine approchante, il me dit « merci ma chérie.»
Quant à Ange, le frère de Diva, il est comme moi et comme il fait sport étude en plus du foot ou il espère passer pro, aucun problème pour lui de surpoids.
Il fait chaud, c’est la canicule depuis deux ans l’été.
J’aime cette saison et surtout les robes légères, virevoltantes autour de moi.
Mes trois amours viennent de me quitter pour aller en week-end chez mes beaux-parents.
Je suis en froid avec ma belle-mère, ceci dès la première fois où nous nous sommes rencontrés.
Les choses allant de mal en pis, par un accord tacite, son fils et les enfants vont les voir, alors moi je reste seule, un week-end environ tous les cinq à six semaines.
C’est le cas ce matin alors presque comme un robot, je me prépare à réaliser mon fantasme.
Comme je l’ai dit, robe légère et surtout aucun sous-vêtement couvrant ma chatte, car c’est là que se tient mon fantasme.
J’ai une grande envie comme dans mon rêve de m’exhiber dans un lieu public.
Bien sûr, il y a des limites dans ce rêve, j’écartais mes jambes devant un public de curée qui se masturbait devant moi.
Ce rêve aurait pu rester un rêve jusqu’à ce que je comprenne que c’est ma chatte en exposition qui était mon centre d’intérêt.
Le lieu important peu, encore moins les curés, je suis athée une partie de la source de conflits avec ma belle-mère.
C’est un jour, comme aujourd’hui, en taillant ma toison en forme de triangle, qu’une simple expo suffirait à mon bonheur.
Le parc à cinq cents mètres de chez moi sera mon lieu de réalisation de ce fantasme.
C’est la première fois que j’y entre, ça me permet l’anonymat de plus les enfants grandissant, il fallait une chambre à chacun des enfants et nous venons d’emménager.
Je m’assois sur un banc, légèrement à l’ombre et j’attends en lisant le dernier best-seller de l’été.
Enfin, il arrive.
J’ai envie de lui dire, assieds-toi comme au spectacle, mais il passe son chemin très vite suivi par une mémère qui elle prend place sur le banc face au mien.
Tire-toi, tu vois que tu me gênes...
La transmission de pensée doit fonctionner, car difficilement elle se relève et poursuit son chemin.
Trente ans, l’air sportif, je suis sûr que s’il prend place en face de moi, je le ferais.
Il le fait s’appuyant nonchalamment un bras sur le dossier du banc et sortant un mouchoir, il s’essuie.
Je continue à faire celle qui lit.
Un deux trois, j’allais dire, soleil, comme lorsque j’étais petite et que nous jouions à ce jeu ou je perdais toujours, j’étais trop impulsive.
Un deux trois et j’écarte lentement mes genoux.
Je vois qu’il a vu et qu’il voit, car il se redresse.
Je vois qu’il voit, car son regard se fixe sur mon propre centre d’intérêt.
Il a assez vu, plus serait du vice.
Surtout que ma chatte ruisselle de contentement.
L’impression de domination sur cet homme a été fantastique.
Contrairement avec Franck qui me domine sexuellement, j’ai décidé du début et je décide de la fin.
Rapidement je remonte le parc et je prends la route vers mon immeuble.
Je marche vite, car je sens le besoin d’aller me caresser.
J’ai abandonné cette pratique depuis mon mariage, mais la vierge que j’étais savait y faire avec ses doigts avant de sentir la verge de mon mentor.
Le temps est cour, car je marche vite.
Je fais le code de la porte qui s’ouvre et au moment où je la franchis, je me sens propulser dans le noir du hall.
Une main sur ma bouche et une autre à la hauteur de ma chatte.
• Alors jolie allumeuse, on met le feu aux hommes et on les laisse en plan, la bite tendue.
Je vois que tu prends ton pied comme ça, ma main malgré le vêtement certes très léger sent que tu mouilles.
Maintenant, tu vas me sucer.
Mon fantasme était de m’exhiber, alors que si j’accepte ce qui m’a été impossible à faire à Franck, je le tromperais et c’était loin d’être le but de ma manœuvre.
Dans mon rêve, je m’étais réveillée.
Agenouiller, un peu forcé, il ouvre sa braguette et sort sa verge.
Il a lâché ma bouche, je pourrais crier, mais je sais que je récolte ce que j’ai semé et je la prends entre mes lèvres.
Du bout des lèvres au départ, mais à pleines mains et au fond de ma gorge après un moment ou je le masturbe.
Avec Franck, chaque fois que nous faisons l’amour, c’est avec sa propre main qu’il se branle pour se faire bander avant de me prendre.
C’est la première fois que je montrais ma chatte à un autre homme, c’est la première fois que j’en fais bander un avec ma main et ma bouche.
Je m’attends à ce qu’il m’arrose de sa semence, je m’y prépare, mais il en veut plus.
Il me redresse, m’arrachant à mon plaisir buccal pour mettre sa langue à la place de sa bite.
Il me coince le long du mur, stimulant mes pointes de seins se trouvant comprimées part sa forte poitrine, j’ai même du mal à respirer, mais j’espère plus.
Je devrais essayer de fuir, mais je suis devenue un sexe, un simple sexe qui voulait s’exhiber, mais maintenant un sexe qui veut se faire pourfendre.
C’est sa main libre qui soulève ma jambe et qu’il prend dans sa main pour m’ouvrir et qu’il puisse me pénétrer.
Ça arrive rapidement et là, je fonds, je me pame, je jouis pour finir quand il m’arrose, par ressentir un merveilleux orgasme.
• Voilà, ça c’était mon fantasme, sexer une bourgeoise sous une porte cochère.
Toi, je pense que ton fantasme s’était de me montrer ta chatte assise sur un banc dans ce parc.
Tous les deux on les a réalisés.
• Tu montes boire un café !
• Es-tu seule ?
• Mon mari et mes enfants sont chez ma peste de belle-mère pour le week-end.
En prononçant ces mots, je sais que je me mets à la merci de cet homme sortie de nulle part.
Nulle part, non du parc ou je pensais simplement m’exhiber.
• Ça tombe bien je suis bloqué jusqu’à lundi.
Il est bien mis propre sous sa chemise, s’il avait voulu me tuer, ce serait déjà fait comme sa verge m’a tué en me poignardant.
C’est dans la cuisine qu’il me reprend, là encore j’innove, il m’a saisi, ma assis sur le plan de travail.
J’ai vu un porno chez des amis, Franck et moi ayant été piégé ou la maîtresse de maison se faisait sauter par la bonne qui lui léchait la chatte avant de lui enfoncer la main jusqu’au poignet.
Je venais de découvrir de telles pratiques que j’étais sûr resterait pour moi une vision dégradante de la femme.
Elle s’était la main qui entrait en elle, moi c’est de nouveau sa bite qu’il me plante en me suçant les seins qu’il a sortis de ma robe.
Trois jours ou j’arrive à éviter la chambre conjugale des enfants.
Baisant de-ci de-là, de la peau de bête achetée dans une brocante à la salle de bain attenante à notre chambre.
Là oui, je m’empale sur sa verge pour la dixième fois.
Il part, me laissant repu de sexe.
Je remets la maison en l’état, inutile que mon mari me prenne en faute d’adultère risquant de fracasser notre couple.
Je cherche comment appeler mon sexe du week-end réalisateur de fantasmes, il est parti sans me dire d’où il était et comment il s’appelait.
Mon mari de retour seul, il a laissé les enfants chez ses parents pendant la quinzaine des vacances.
• Chérie, je suis content de te retrouver, j’ai décidé de changer notre vie !
• Tu veux me quitter mon amour !
• Pourquoi te quitter, je veux simplement réaliser tous mes fantasmes avec toi ?
Pendant ton absence, j’ai pris conscience que notre couple s’encroutait.
C’est seul dans mon lit chez ma mère que j’ai pris conscience que depuis que je suis jeune, j’ai des fantasmes jamais réalisés.
Ma chérie voilà le premier.
Heureusement, j’ai pris un bain après le départ de mon propre fantasme.
Si j’étais resté comme ça, il aurait nagé dans le foutre de son rival.
Il m’empoigne, me pose sur le plan de travail et me bouffe la chatte.
Je jouis une première fois avant qu’il me porte dans ses bras sur la peau de bête.
Variante de mes jeux amoureux d’hier au même endroit, ce fantasme devait manquer à la panoplie de mon amant magnifique.
Franck me prend en levrette.
• Aimes-tu ?
Plutôt deux fois qu’une chérie.
• Énormément mon amour, tu vas plus loin en moi.
• Présente-moi un fantasme, je le réaliserais comme tu viens de réaliser le mien.
Attendez, j’en ai un, mais avant je monte au rideau, j’ai déchainé ma libido alors autant en profiter.
• Bien alors, Franck, allons jusqu’au parc et je m’assoirais sur un banc avec un livre dans ma robe d’été et tu assisteras à la suite.
Quand je sors du parc les yeux de mon mari rempli d’amour de m’avoir vu m’exhiber, je me presse jusqu’à notre porte cochère.
La vie est-elle un éternel recommencement ;
La main sur ma bouche et la queue collée à moi m’apporte la réponse.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Cyrille
Que c'est beau de s'imaginer dans ce couple...
Ce serait si facile...
Merci Chris
Cyrille
Ce serait si facile...
Merci Chris
Cyrille