COLLECTION FANTASME. Jeu de con (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FANTASME. Jeu de con (2/3)
Avec Radia ma femme, française d’origine marocaine, nous sommes mariés depuis 15 ans et nous pouvons dire qu’à 35 ans, sexuellement ont à presque tous essayé sauf la violence.
Il y a cinq minutes qu’au sein de ce tribunal où j’ai été conduit, c'est un jeu de con que j'ai joué acceptant de réaliser le fantasme de Radia qui voulait connaître l’effet que faisait aux femmes de se prostituer.
Nous avions pris goût à ce jeu, je bandais quand je la voyais prendre les 200 € avant de monter chez nous faire sa passe.
Au dire de mon dossier, je prends conscience qu’elle m’a laissé des zones d’ombre sur ce qu’elle faisait.
La seule chose que je savais c’est qu’un jour quand je l’ai rejoint elle m’a avoué que son client l’avait sodomisé et qu’elle avait beaucoup aimé cela.
Je l’ai moi-même pris par l’anus ce jour-là, prenant moi aussi un panard extrême lorsqu’elle s’était mise en levrette après avoir pris de la crème dans sa table de nuit pour s’enduire l’anus.
Dans le box des accusés, je me rends compte que si ce tube était là c’est en connaissance de cause qu’elle l’avait préalablement acheté préméditant à quoi il allait servir.
Et dire que c’est moi qui lui ai suggéré de prendre 100 € de plus quand un de ses amants d’un coup, ce qu’ils étaient pour moi, voulait l’enculer.
- Monsieur l’avocat de la partie civile, poursuivez.
Mais avant, messieurs-dames les jurés vous noterez que c’est monsieur Christian qui a dit à son épouse de prendre plus chère pour pratiquer l’abjection qu’est la sodomie.
J’ai l’impression que le président se rattrape aux branches lorsqu’il parle d’abjection mais je suis l’accusé, je ferme ma gueule et mon avocat aussi.
- Merci monsieur le président, j’appelle à la barre madame Violette, voisine du couple.
Que vienne faire là, mamy notre voisine, elle décline son identité et jure de dire la vérité.
- Madame Violette saviez-toi que votre voisine se prostituait ?
- Bien sûr monsieur, j’ai eu plusieurs faits qui m’ont confirmé que Radia, la femme de monsieur Christian mes voisins se prostituait ?
- Dites-nous en plus.
- Un jour je sortais de notre immeuble, j’ai vu un homme retirer de l’argent de la banque au bas de chez nous, elle a pris de l’argent et la portée à monsieur Christian qui était dans leur voiture.
C’est malheureux de vendre sa femme car on est addict aux jeux !
- Monsieur Christian était joueur !
- Oui, tiercé le dimanche matin, au café du coin et qui fait PMU.
Il achetait aussi des jeux de grattage pour 100 €.
- Monsieur le président, mon client achetait ces jeux pour sa femme qui aimait faire la grâce matinée le dimanche matin et qui aimait gratter en se réveillant.
Il était simplement prévenant.
- C’est toujours comme ça avec votre client maître, il achète, il fournit, il conduit, il empoche, qui nous dit que le tube de Vaseline s'est retrouvé là pour que sa femme s’en serve avec ses clients.
Monsieur le président, cette affaire est limpide, madame Violette vient de tous vous expliquer, le prévenu prostituait sa femme pour assouvir son vice, le jeu.
Le jury est parti délibérer, mon avocat me réconforte, Radia accusée de rien n’est pas là pour savoir ce que l’on va faire de moi.
- Messieurs dames, levez-vous la cour.
Le jugement, quatre ans dont un avec sursit et 50 000 € d’amende à payer à ma sortie à celle qui m’avait fait jouer un jeu de con.
J’ai refusé de faire appel, à quoi bon, j’avais été piégé, je devais payer ma dette à la société.
J’ai trouvé une cellule dans une ville de bourgogne.
De ma cellule, nous voyons avec mes trois copains les gens libres partir en vacances sur l’autoroute du soleil.
Non loin de là, il y a une usine à sandwich qui nous fait saliver par les odeurs qu’elle nous apporte alors que la bouffe est dégueulasse.
Je veux recouvrer ma liberté le plus vite possible, je suis un prisonnier modèle.
J’ai été obligé à mon arrivée de faire voir que je savais me défendre, par chance mon père voulant faire de moi un homme m’avait fait faire du karaté.
Un coup au plexus bien placé d’Antoine une petite frappe tombée pour cambriolage on fait comprend à qui me cherche l’on me trouvera.
J’ai intégré la bibliothèque de la prison ce qui me permettait de m’évader en restant pourtant entre les murs et les miradores.
- Christian au parloir !
Qui peut me visiter, mon avocat, il est venu hier, il finit de s’occuper de mon divorce.
Radia cette salope souhaite recouvrer sa liberté après qu’elle m’est prise pour un con.
Ma famille, je suis orphelin mes parents sont morts quand j’avais 16 ans d’un accident de la circulation.
Tiens c'est drôle, ils sont morts en partant en vacances, ils roulaient sur l’autoroute du soleil.
Celui qui passe non loin de nos fenêtres.
Un camion a traversé le terre-plein et est venu les transformer en crêpes ni au sucre ni au Nutella.
J’ai touché de l’argent pour me dédommager de leur perte, il est vrai que j’en ai claqué une bonne partie au jeu.
- Nouzha pourquoi venez-vous me visiter ?
- J’ai du remords et je suis venue m’excuser d’avoir menti.
- Comment ça ?
- À votre procès, c’est Radia qui m’a forcé à déclarer que vous la prostituée.
Elle s'est aperçue qu’elle plaisait et en avait mare de partager ses gains avec vous.
- Pourquoi l’avez-vous soutenue ?
- Comme je l’ai dit, elle avait des rapports avec des femmes et j’en suis devenue accro.
Avant votre emprisonnement j’allais de plus souvent la voir, j’ai accumulé une dette envers elle.
Elle m’a mis un marcher en main.
Soit, je jurais ce que j’ai dit et elle effaçait mon ardoise, mieux elle m’a proposé un an de sexe avec elle sans que je ne paye.
L'année finie, mon mari ayant divorcé, elle m’a envoyé promener.
- Tu sais donc où elle travaille maintenant.
- Oui, elle a un studio dans le marais et est répertoriée sur un site d’escorte sous le nom de Rajae.
- Son visage est flouté mais on reconnaît son corps.
Sans nous en rendre compte, nous nous tutoyons.
- Tu vas aller voir le juge et lui dire que tu as fait une fosse déclaration.
- Je t’en supplie Christian, j’y ai bien pensé, mais j’ai juré la main levée et c’est moi qui serai mise en prison.
- C’est normal, ta menti et je me morfonds ici pour trois ans.
- Soit sympa, tu es presque au bout et si tu veux je vais te faire une gâterie.
- En prison, ici dans le parloir d’une prison tu vas me faire une gâterie, si tu y arrive, ok je finis ma peine imméritée.
- Avance-toi un peu sous la table que ma main puisse atteindre ta verge.
Je m’avance comme elle me demande.
Louis le gardien voit notre manœuvre et se retourne faisant celui qui ne voit pas.
C’est un gars sympa qui aurait pu se retrouver à notre place mais que l’administration pénitentiaire en l’embauchant lui a permis de rester dans le droit chemin.
La main de Nouzha atteint la verge que je viens de découvrir.
Elle est douce surtout depuis que j’ai été baisé par cette pute de Radia.
Dans les cellules des mains secourables il y en a, le petit Ludo, incarcéré pour vol pour bouffer.
Escorte mâle a ses heures qui pour une clope vous taillent « une petite Radia. »Je m’égare, mais c’est comme cela que ma femme parlait quand elle s’absentait pour aller dans sa famille.
La petite Radia étant la veuve poignée que je me tapais en regardant des pornos en l’attendant.
Deux, il vous suce.
Personne ne va plus loin, il prend tous les jours des tonnes de cachets donnant aux homos la peur d’attraper la maladie dont personne ne parle.
Pour ma part depuis ma séance de karaté, ils savent qu’il vaut mieux m’éviter.
- Continue Nouzha et je respecterais ma parole.
La main sous la table vaut bien que je reste à la bibliothèque quelques mois supplémentaires surtout qu’à chaque fois qu’elle peut elle vient me visiter.
- Christian, tu as encore un de tes livres qui me permette de garder mon trois-pièces cuisine en état de marche avant de retrouver mes poulettes.
C'est de tel propos qui me donne une idée.
- Paul, j’ai tout ce qu’il te faut, « Les onze mille verges de Guillaume Apollinaires. » J’ignore comme t ce genre de livre est arrivé ici mais il est là et je te le donne si tu me rends un petit service.
À ce que tu m’as dit, tu fais toujours tourner des filles bien que depuis dix ans tu sois incarcéré.
- Qu’insinues-tu, Paul est un demi micheton j’en ai mis au pas pour moins que ça ?
- Reste calme Paul, je ne voulais pas te vexer, c’était une simple question.
- Je préfère Christian, bien sûr que mon tapin tourne toujours à Marseille et sa région.
Belle godasse, c’était le surnom d’un petit caïd qui s’est pris pour le mac de mes dames.
Je lui en ai fait faire à sa pointure en béton.
Si tu veux le trouver, il est à côté de la sardine qui a bouché le port de Marseille.
- C’est très bien Paul, voilà ce que tu vas pouvoir faire pour moi…
Il y a cinq minutes qu’au sein de ce tribunal où j’ai été conduit, c'est un jeu de con que j'ai joué acceptant de réaliser le fantasme de Radia qui voulait connaître l’effet que faisait aux femmes de se prostituer.
Nous avions pris goût à ce jeu, je bandais quand je la voyais prendre les 200 € avant de monter chez nous faire sa passe.
Au dire de mon dossier, je prends conscience qu’elle m’a laissé des zones d’ombre sur ce qu’elle faisait.
La seule chose que je savais c’est qu’un jour quand je l’ai rejoint elle m’a avoué que son client l’avait sodomisé et qu’elle avait beaucoup aimé cela.
Je l’ai moi-même pris par l’anus ce jour-là, prenant moi aussi un panard extrême lorsqu’elle s’était mise en levrette après avoir pris de la crème dans sa table de nuit pour s’enduire l’anus.
Dans le box des accusés, je me rends compte que si ce tube était là c’est en connaissance de cause qu’elle l’avait préalablement acheté préméditant à quoi il allait servir.
Et dire que c’est moi qui lui ai suggéré de prendre 100 € de plus quand un de ses amants d’un coup, ce qu’ils étaient pour moi, voulait l’enculer.
- Monsieur l’avocat de la partie civile, poursuivez.
Mais avant, messieurs-dames les jurés vous noterez que c’est monsieur Christian qui a dit à son épouse de prendre plus chère pour pratiquer l’abjection qu’est la sodomie.
J’ai l’impression que le président se rattrape aux branches lorsqu’il parle d’abjection mais je suis l’accusé, je ferme ma gueule et mon avocat aussi.
- Merci monsieur le président, j’appelle à la barre madame Violette, voisine du couple.
Que vienne faire là, mamy notre voisine, elle décline son identité et jure de dire la vérité.
- Madame Violette saviez-toi que votre voisine se prostituait ?
- Bien sûr monsieur, j’ai eu plusieurs faits qui m’ont confirmé que Radia, la femme de monsieur Christian mes voisins se prostituait ?
- Dites-nous en plus.
- Un jour je sortais de notre immeuble, j’ai vu un homme retirer de l’argent de la banque au bas de chez nous, elle a pris de l’argent et la portée à monsieur Christian qui était dans leur voiture.
C’est malheureux de vendre sa femme car on est addict aux jeux !
- Monsieur Christian était joueur !
- Oui, tiercé le dimanche matin, au café du coin et qui fait PMU.
Il achetait aussi des jeux de grattage pour 100 €.
- Monsieur le président, mon client achetait ces jeux pour sa femme qui aimait faire la grâce matinée le dimanche matin et qui aimait gratter en se réveillant.
Il était simplement prévenant.
- C’est toujours comme ça avec votre client maître, il achète, il fournit, il conduit, il empoche, qui nous dit que le tube de Vaseline s'est retrouvé là pour que sa femme s’en serve avec ses clients.
Monsieur le président, cette affaire est limpide, madame Violette vient de tous vous expliquer, le prévenu prostituait sa femme pour assouvir son vice, le jeu.
Le jury est parti délibérer, mon avocat me réconforte, Radia accusée de rien n’est pas là pour savoir ce que l’on va faire de moi.
- Messieurs dames, levez-vous la cour.
Le jugement, quatre ans dont un avec sursit et 50 000 € d’amende à payer à ma sortie à celle qui m’avait fait jouer un jeu de con.
J’ai refusé de faire appel, à quoi bon, j’avais été piégé, je devais payer ma dette à la société.
J’ai trouvé une cellule dans une ville de bourgogne.
De ma cellule, nous voyons avec mes trois copains les gens libres partir en vacances sur l’autoroute du soleil.
Non loin de là, il y a une usine à sandwich qui nous fait saliver par les odeurs qu’elle nous apporte alors que la bouffe est dégueulasse.
Je veux recouvrer ma liberté le plus vite possible, je suis un prisonnier modèle.
J’ai été obligé à mon arrivée de faire voir que je savais me défendre, par chance mon père voulant faire de moi un homme m’avait fait faire du karaté.
Un coup au plexus bien placé d’Antoine une petite frappe tombée pour cambriolage on fait comprend à qui me cherche l’on me trouvera.
J’ai intégré la bibliothèque de la prison ce qui me permettait de m’évader en restant pourtant entre les murs et les miradores.
- Christian au parloir !
Qui peut me visiter, mon avocat, il est venu hier, il finit de s’occuper de mon divorce.
Radia cette salope souhaite recouvrer sa liberté après qu’elle m’est prise pour un con.
Ma famille, je suis orphelin mes parents sont morts quand j’avais 16 ans d’un accident de la circulation.
Tiens c'est drôle, ils sont morts en partant en vacances, ils roulaient sur l’autoroute du soleil.
Celui qui passe non loin de nos fenêtres.
Un camion a traversé le terre-plein et est venu les transformer en crêpes ni au sucre ni au Nutella.
J’ai touché de l’argent pour me dédommager de leur perte, il est vrai que j’en ai claqué une bonne partie au jeu.
- Nouzha pourquoi venez-vous me visiter ?
- J’ai du remords et je suis venue m’excuser d’avoir menti.
- Comment ça ?
- À votre procès, c’est Radia qui m’a forcé à déclarer que vous la prostituée.
Elle s'est aperçue qu’elle plaisait et en avait mare de partager ses gains avec vous.
- Pourquoi l’avez-vous soutenue ?
- Comme je l’ai dit, elle avait des rapports avec des femmes et j’en suis devenue accro.
Avant votre emprisonnement j’allais de plus souvent la voir, j’ai accumulé une dette envers elle.
Elle m’a mis un marcher en main.
Soit, je jurais ce que j’ai dit et elle effaçait mon ardoise, mieux elle m’a proposé un an de sexe avec elle sans que je ne paye.
L'année finie, mon mari ayant divorcé, elle m’a envoyé promener.
- Tu sais donc où elle travaille maintenant.
- Oui, elle a un studio dans le marais et est répertoriée sur un site d’escorte sous le nom de Rajae.
- Son visage est flouté mais on reconnaît son corps.
Sans nous en rendre compte, nous nous tutoyons.
- Tu vas aller voir le juge et lui dire que tu as fait une fosse déclaration.
- Je t’en supplie Christian, j’y ai bien pensé, mais j’ai juré la main levée et c’est moi qui serai mise en prison.
- C’est normal, ta menti et je me morfonds ici pour trois ans.
- Soit sympa, tu es presque au bout et si tu veux je vais te faire une gâterie.
- En prison, ici dans le parloir d’une prison tu vas me faire une gâterie, si tu y arrive, ok je finis ma peine imméritée.
- Avance-toi un peu sous la table que ma main puisse atteindre ta verge.
Je m’avance comme elle me demande.
Louis le gardien voit notre manœuvre et se retourne faisant celui qui ne voit pas.
C’est un gars sympa qui aurait pu se retrouver à notre place mais que l’administration pénitentiaire en l’embauchant lui a permis de rester dans le droit chemin.
La main de Nouzha atteint la verge que je viens de découvrir.
Elle est douce surtout depuis que j’ai été baisé par cette pute de Radia.
Dans les cellules des mains secourables il y en a, le petit Ludo, incarcéré pour vol pour bouffer.
Escorte mâle a ses heures qui pour une clope vous taillent « une petite Radia. »Je m’égare, mais c’est comme cela que ma femme parlait quand elle s’absentait pour aller dans sa famille.
La petite Radia étant la veuve poignée que je me tapais en regardant des pornos en l’attendant.
Deux, il vous suce.
Personne ne va plus loin, il prend tous les jours des tonnes de cachets donnant aux homos la peur d’attraper la maladie dont personne ne parle.
Pour ma part depuis ma séance de karaté, ils savent qu’il vaut mieux m’éviter.
- Continue Nouzha et je respecterais ma parole.
La main sous la table vaut bien que je reste à la bibliothèque quelques mois supplémentaires surtout qu’à chaque fois qu’elle peut elle vient me visiter.
- Christian, tu as encore un de tes livres qui me permette de garder mon trois-pièces cuisine en état de marche avant de retrouver mes poulettes.
C'est de tel propos qui me donne une idée.
- Paul, j’ai tout ce qu’il te faut, « Les onze mille verges de Guillaume Apollinaires. » J’ignore comme t ce genre de livre est arrivé ici mais il est là et je te le donne si tu me rends un petit service.
À ce que tu m’as dit, tu fais toujours tourner des filles bien que depuis dix ans tu sois incarcéré.
- Qu’insinues-tu, Paul est un demi micheton j’en ai mis au pas pour moins que ça ?
- Reste calme Paul, je ne voulais pas te vexer, c’était une simple question.
- Je préfère Christian, bien sûr que mon tapin tourne toujours à Marseille et sa région.
Belle godasse, c’était le surnom d’un petit caïd qui s’est pris pour le mac de mes dames.
Je lui en ai fait faire à sa pointure en béton.
Si tu veux le trouver, il est à côté de la sardine qui a bouché le port de Marseille.
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