COLLECTION FANTASME. La voix ou la totalité de nos fantasmes. (3/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION FANTASME. La voix ou la totalité de nos fantasmes. (3/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FANTASME. La voix ou la totalité de nos fantasmes. (3/4)
Tours, je viens d’arriver à Tours afin de voir un de mes clients.
La voix, celle qui me fait faire des horreurs après un piratage de mon portable a encore agi.
Exhibition dans le métro, pendant ce voyage, c’est des travaux pratiques qu’elle me fait faire.
Une fellation dans le train sur un garçon, certainement basketteur, vu sa taille.
Taille de son corps et taille de sa verge, c’est la première fois que j’avale son sperme.

Tours, je pense que le fait d’avoir masturbé ce garçon, la voix me laissera tranquille, surtout au parloir des avocats de la prison ou après avoir revêtu ma robe, je me fais amener mon client.
Je vais dans l’espace visiteur et au moment de franchir une porte en barreaux de fer comme on en voit dans tous les films, mon portable sonne.
Une nouvelle fois, je mets mes écouteurs.

• Super, ce matin, je sais que tu as dû penser que dans ce lieu clos, il me serait impossible de te commander de faire ce que tu aimes.
Je connais les petits box où tu es déjà venu.
Fait moi des photos de ton client quand il aura sorti sa verge et que, discrètement tu le masturberas sous la table.
À toi d’être efficace, tu seras libéré de ton gage lorsque son sperme maculera ton portable.
Tu as bien la chatte à l’air, comme je veux que tu sois entièrement à mon bon vouloir.

Cheveux poivre et sel, la cinquantaine, je regrette presque que cet homme soit emprisonné.
Je prends goût à ce que la voix me fait faire, j’ai l’impression de réaliser certains de mes fantasmes, les plus profondément ancré en moi.
Depuis l’épisode du train, j’ai l’impression de revivre ce que j’ai déjà vécu ou ce que j’espérais vivre.
Mais tout semble confus comme si mon cerveau oubliait un moment de ma vie.
Si ce que je pense a existé, je crois que j’arriverais à me souvenir de ces moments.

Je passe la porte rangeant mon téléphone.
Hélas, un gardien m’a vu et ce que j’allais faire est interdit.
Je sais que la voix voit tous et entend tous sans savoir comment.
Je m’installe du mieux que je peux pour essayer d’attraper la queue de mon client sans que le gardien m’ayant chopé une fois remarque mon manège.
Je suis pleine d’abnégation, j’ai toujours en tête mon boulot et aussi mon mari de l’infamie que ce serait s’il recevait la preuve des turpitudes que la voix me fait faire.
Mon client soit est complice et a été prévenu que j’allais m’occuper de sa verge, il me fait signe d’un battement de paupière chaque fois que le garde passe derrière moi.
Stylo dans une main, faisant semblant d’écrire une nouvelle fois je saisis une verge étrangère à celle de Loïc et je le masturbe avec précipitation.
Que se passera-t-il si le garde me voit ?
Fera-t-il un scandale qui remontera jusqu’à l’administration et me fera rayer du barreau pour faute grave.
À un moment je vois l’ombre du maton sur le mur, je m’aperçois que Florent mon client cligne plus souvent que nécessaire.
Ce salop, il mériterait que je le plante là et que je lui fasse perdre son procès, car en multipliant les battements, il ralentit son excitation faisant durer le plaisir.
Mais je suis une bonne branleuse sans le savoir, son sperme gicle sur ma main.
Je le lâche, je fini la dernière page des questions que j’avais prévues de lui poser et je le quitte.
Je récupère mon portable et je me rends aux toilettes.
J’ai deux choses à y faire, photographier ma main couverte des jets visqueux l’ayant atteinte et me masturber, la frustration, mais l’excitation de faire une chose défendue aurait pu m’être préjudiciable.
Je sais que les femmes des détenus pratiquent la masturbation de leur mari ou amant.
Mais je pense que ce serait une première dans notre pays si c’était une avocate qui se fait prendre pour avoir suivi ce que la voix m’a ordonné de faire.
Je vais pour sortir, mon portable sonne, je place mes écouteurs.

• Et tu crois que je vais me contenter d’une pirouette belle Véronique.
La photo me montrant du sperme sur ta main ou d’ailleurs on reconnaît bien ton alliance et surtout ta bague de fiançailles sera du plus bel effet si ton mari la reçoit.
Alors changement de programme sort du palais et monte dans le taxi qui t’attend.
Il va te conduire à ton gage, puisque tu as loupé l’épreuve que je t’imposais.

Inutile de lui dire que j’ai mon train dans une heure, je sais pertinemment que la voix se contrefiche de mes remarques.
Même si je manque mon train me mettant en retard au risque que mon mari finisse par avoir des doutes sur ma vie avec lui.
Je me dois de faire une confidence, j’aile le tournant que la voix lui a fait prendre.

Bien sûr, le taxi est là, ça aurait été étonnant.
Le chauffeur, un grand noir, quand je descends les marches du palais ayant retrouvé ma tenue BCBG et mes chaussures aux talons hauts.
Ma robe d’avocate a retrouvé mon cartable mais pas ma chatte qui est sans ma culotte comme le veut la voix.
Inutile qu’il me donne un ordre, la voix la fait pour lui, je monte, il en fait de même et démarre.
Rapidement, j’ai le temps de voir un grand édifice religieux, ce doit être la cathédrale.
Nous traversons la Loire et nous roulons en direction de Paris.
Nous passons le long d’arbre et à un moment il s’arrête sur un parking.
Mon portable sonne, je mets mes écouteurs, je commence à être habituée.

• Très bien, Véronique, tu descends, tu laisses ton cartable pour ce que je vais te demander.

Je suis ennuyée, j’ai tout à l’intérieur jusqu’à ma carte d’identité, sauf mon portable que j’ai en main.

• Ta chatte dénudée, c’est parfait, descends !

Je m’exécute, le taxi redémarre.

• Tu vois les voitures aux bouts du parking, rapproche-toi, ton gage est là.

Trois voitures, des personnes descendent, je frissonne et si j’allais me faire agresser !
Cinq, ils sont cinq qui quand j’approche me tournent autour.
L’un d’eux, certainement le plus vieux dès que je suis à porter, me passe ma main sur ma jupe.
Si en descendant du taxi, qui m’a abandonné, je frisonnais de peur, un frisson me traverse, mais de ceux qui présagent un bon moment de baise.
Cinq, la voix est devenue folle, je sens que je monte dans la luxure, exhibitionniste dans le métro, suceuse de bite dans le train et tout à l’heure masturbatrice au palais de justice.
L’heure de l’étape m’obligeant à me donner va m’arriver, vais-je être capable de les satisfaire toutes.
J’ai l’impression devant moi d’avoir toutes les facettes du monde.
Qui est capable de réunir, un eurasien, un noir, un Asiatique, un indou avec son turban, un Maghrébin avec sa barbe noire et un vieux à la peau blanche et une barde de plusieurs années.
L’eurasien est jeune et semble plein de fouge, il vient vers moi et m’attaque directement les seins surtout ma fraise qu’il pince me faisant monter les larmes aux yeux.
Je m’aperçois qu’en m’attendant, ils ont été prévenants et une couverture est placée au sol nous cachant de la route où de temps en temps des voitures passent.
Tiré par le sein, j’y suis conduit et une à une les bites sortent plus ou moins bandées.
La bite du vieux est la première à se présenter devant ma bouche après que je me sois accroupie les jambes écartées comme je l’ai fait dans le métro.
J’ai dit, plus ou moins bandé, mais contrairement à ce que l’on peut penser le vieux bande déjà comme un âne.
Son gland a du mal à entrer aussi c’est tout le long de sa verge que je fais courir ma langue.
Jaune, noire ou blanche, qu’importe la couleur, car je passerais mon temps à parler des couleurs.
Une que je lèche, une main droite et une deuxième main gauche.
J’ignorais que j’étais capable de masturber celles dans mes mains en parfaite synchro.
Derrière moi, ça bouge, je sens une main passer sous mes fesses et venir caresser mon clito, je sens que je mouille, la situation me plait.
La voix peut appeler, mon portable est posé à mes côtés et reste silencieux.
Je sais que je lui donne un gage de l’acceptation même forcée au début par la photo de mon adultère des premiers jours de mon mariage aussi, je fais ça du mieux que je peux.
L’épisode de la prison m’a servi de leçon, surtout que, demain j’aurais du mal à expliquer à Loïc mon retard, voire plus si la voix décide encore de disposer de moi.
Je suis certaine que sur ce parking, les photos compromettantes succèdent aux photos compromettantes, mais ça m’excite, j’en ai trop fait pour revenir en arrière.
La main me quitte pour mon plus grand malheur, mais c’est une bouche qui vient me lécher.
Celui qui la possède à dû profité de la couverture et en s’allongeant passer sa langue sur mon intimité.
Dans la bouche, mes bites des quatre autres se succèdent dans la bouche sans jamais me la remplir de leur liqueur d’amour comme l’a faite le grand garçon dans le train.
Qu’importe mon train que je suis sûr de louper, ces cinq hommes semblant vouloir profiter au maximum de mon corps et je le souhaite aussi.
Je crains fort que ce que je vis depuis le premier appel de la voix, va devenir une nécessité pour moi au risque de tout perdre comme j’aurais tout perdu si dès le début, j’avais refusé ses injonctions.
Je sens une main se poser sur mon chemisier et tirer pour m’attraper un sein à m’en faire mal, mais divinement mal.
Je suis fatigué après la position ou je suis, alors quand le garçon coucher entre mes jambes bouge, ce qui me fait sentir la dureté d’un sexe, je me laisse aller m’empalant sur ma première verge de la soirée.
C’est le début de débordements devenant incontrôlable pour moi.
Empaler une bite dans ma chatte, pour la première fois une deuxième me prend par l’anus.
Ai-je jamais fantasmé de me faire prendre par deux bites en même temps sans compter ?
La noire qui est dans ma bouche et se masturbe, crachant enfin son sperme qui gicle sur mon visage, l’une d’elles atterrissent dans l’œil.
Je passe par tous les stades de l’amour physique qu’une femme peut offrir à cinq bites, prompte à trouver l’un de mes orifices et me pilonnant jusqu’à m’en faire mal.
Surtout mon anus que certains semblent apprécier.
Le vieux barbu fait partie de ceux-là allant même jusqu’à m’aider à me relever et de me prendre une nouvelle fois sur le capot de l’une des voitures.

C’est à ce moment que le taxi revient...

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