COLLECTION FANTASME. La voix ou la totalité de nos fantasmes. (4/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FANTASME. La voix ou la totalité de nos fantasmes. (4/4)
Tours, je viens de franchir une nouvelle étape d’un parcours que mes fantasmes les plus profonds ancrés en moi, aurais été bien incapable d’imaginer jusqu’à cette soirée entourée de cinq hommes.
Le taxi m’ayant amené pour assouvir la vengeance de la voix qui s’est manifestée, il y a quelques jours, revient.
Cette voix m’ayant fait voir qu’elle était capable de donner à Loïc la photo de ma tromperie à la Réunion pendant notre voyage de noces.
Le chauffeur, comme à l’aller au bas des marches du Palais de justice de cette ville, m’ouvre la porte arrière où je retrouve mon cartable.
Je sens mon œil gauche qui me tire.
Je démarre mon portable que j’ai ramassé au passage, en mode selfie pour me voir.
Je suis couverte de sperme.
Le chauffeur comme a Paris me propose des services et il a posé sur le siège à côté de mon cartable une boîte de mouchoirs en papier avec entre les sièges une petite poubelle.
Nous roulons et je me nettoie du mieux que je peux.
Au moment où la batterie me prévient que ça va couper sans possibilité de recharger, je vois que mon chemisier montre presque la totalité d’un de mes seins.
Impossible de retourner à Paris, ou acheter de quoi me couvrir.
Une idée me vient et si je mettais ma robe d’avocat, on pourrait croire que je sors de la salle d’audience.
J’ai le temps de voir qu’il est 21 heures 40, ou peut bien me conduire mon taxi !
Rideau, mon portable me lâche.
J’ôte mon chemisier et je le mets dans la poubelle.
Je vois le chauffeur me mater dans son rétro.
J’ai pris goût à m’exhiber, mon chemisier était massacré, mais ma jupe est maculée de sperme comme le reste de mon corps.
Avant que le taxi arrive, je me souviens que ces cinq bites internationales et d’âges varié ont déchargé le reste de leur sperme sur moi, j’en ai pris partout.
J’ôte aussi ma jupe, le chauffeur faisant une embardée quand je lui montre ma chatte blonde.
Deviendrais-je vicieuse, comme je l’ai fait devant ce vieux dans le métro, j’écarte mes cuisses, fière de le faire sans l’obligation donnée par la voix.
Je nini par enfiler ma robe noire, ma jupe rejoignant mon chemisier dans la poubelle qui déborde.
C’est à ce moment où nous nous arrêtons.
Je vois que nous sommes devant la gare quittée pour me rendre à la prison.
Je prends mon cartable laissant le reste de mon tailleur, tous les papiers sont à l’intérieur.
C’est à ce moment que j’entends.
« Le dernier train pour Paris entre en gare, départ 21 heures 44.
Ce train est direct pour Paris Montparnasse, arrivée 23 heures 52.
Éloignez-vous du bord du quai. »
Par chance peu de gens sont là pour rejoindre Paris et ayant récupéré mon billet de retour, je le poinçonne.
Un homme avec son attachée caisse me regarde, il est étonné qu’une avocate ait gardé sa robe, mais avec un flegme tout anglais se dirige vers le quai où je vois le train s’arrêter devant moi.
Une idée fugace me traverse l’esprit, je me suis essuyé le visage, mais avant que mon portable me lâche, j’ai regardé mon chemisier, ma jupe, mais mes cheveux, dans quel état sont-ils ?
Si la voix veut que je baise avec lui dans les toilettes, dans quel état va-t-il trouver ma chatte et pourquoi pas mon cul après le nombre de bites ayant déchargé en eux.
Le train démarre, à part l’homme à l’autre bout du wagon, je suis seule, mon portable hors d’état de marche.
Tient, je vole, je survole plutôt une forêt de bites.
Des milliers de bites toutes de couleurs différentes comme celle qui m’ont littéralement sailli sur ce parking à la sortie de Tours.
D’un coup, je vole en compagnie de quelqu’un.
Tient c’est un ange, il tourne autour de moi jusqu’à ce que je voie son visage.
Maryse, mon amie d’enfance.
Maryse qui m’a quitté quelques jours avant que la voix m’interpelle sur mon portable me montrant la photo de mon infamie.
Avoir trompé mon mari avec la bite de Noah alors que nous faisions notre voyage de noces.
Maryse que j’ai connue sur les bancs de l’école et qui est décédée d’un cancer au même âge que moi.
Maryse, pleine de vie, serait-elle devenue l’ange qui est avec moi ou suis-je un ange l’ayant rejoint ?
Pourtant quand je repense à ses dernières heures et à ce qu’elle me disait avant de s’éteindre comme mon portable tout à l’heure, je l’avais aidé à fantasmer.
Nous avions fantasmé sur ce qu’elle aurait pu faire, car elle mourrait vierge.
Alors que j’avais ma joue sur sa main posée sur ses draps, comme si nous étions une, elle m’a fait cette confidence d’une toute petite voix.
• Je vais mourir sans avoir connu la moindre bite en moi.
J’ai eu quelquefois l’occasion de perdre ma virginité, mais la peur d’avoir mal m’a fait reculer.
Qu’est-ce que je le regrette maintenant ?
J’ai un autre regret, je t’aime et souvent, j’aurais aimé que tu me caresses, ma minette.
De ma main libre, je la glisse sous le drap, qui la recouvre par le côté du lit.
Mes doigts ont trouvé sa chatte, qui malgré sa situation est fortement humide.
J’entre un doigt, c’est exact, ça résiste.
Deux, puis trois, et c’est moi qui force pour la dépuceler.
Je sais, c’est abject de masturber mon amie à quelques heures de sa fin de vie.
Mais à ce moment c’est la seule chose que j’ai pu lui montrer que moi aussi je l’aimais.
Son corps s’est tendu étant traversé d’un frisson que j’ignore si c’était un orgasme.
• Merci, si tu savais tous les fantasmes qui m’ont traversé depuis que je suis tombée malade.
J’aurais pu m’exhiber, je suis sûr que j’aurais beaucoup aimé montrée mon intimité aux autres.
J’ai surenchéri.
• Si on avait été des amantes, nous aurions pu sucer des bites dans des endroits insolites.
• Oh oui, nous aurions aimés, masturber des hommes dans des endroits improbables.
Te rends-tu compte, j’aurais pu le faire dans un tribunal, mieux dans une prison moi qui suis avocate.
• Je vais te dire, je vois des dizaines de bites de toutes les couleurs qui nous auraient baisés comme les salopes que nous serions devenues.
• Dit moi, as-tu déjà trompée Loïs ?
Mais oui, les choses me reviennent,je dois me réveiller.
• Madame, nous sommes arrivés à Paris.
C’est ça, je me réveille, c’est l’homme à la mallette qui me secoue par l’épaule.
Je veux me lever, mais je reste quelques secondes à reprendre pied sur terre.
Incroyable, pourquoi depuis la première fois où la voix m’a appelé, j’ai oublié les moments si intenses avec Maryse.
Est-ce le fait que la voix était celle d’un homme, qui a pu me tromper.
Tout ce qui m’arrive, ce sont nos fantasmes évoqués dans cette chambre d’hôpital.
C’est vrai, j’ai même répondu à sa demande, certaine qu’hélas, le secret serait bien gardé là où elle va partir.
Je lui avais tout dit sur mon infidélité avec Noah et les cocktails qu’il m’avait offerts.
Je lui avais dit ou et comment, j’avais dissimulé la photo pour la garder pour mes vieux jours.
De là-haut, elle a pu manipuler mon portable et vivre par mon intermédiaire tous nos fantasmes.
Je descends sur le quai, je sors de la gare, il est plus de minuit la nuit est noire et en plus il pleut.
J’ai les moyens de prendre un taxi, même avec ma robe d’avocate.
C’est vers la Seine que je me dirige, à deux pas de chez elle.
La pluie nettoie mes cheveux comme si elle me nettoyait de toutes mes turpitudes.
Que vais-je faire sous ce pont où nous sommes venues nous promener dans les premiers jours de sa maladie, ayant entraîné un dernier fantasme sorti de sa jolie bouche dans cette chambre d’hôpital ?
• Tu te souviens du clodo qui vivait là sous ses cartons et ses palettes, j’aurais aimé qu’il me baise.
Il est là, sa bouteille à la main.
J’ouvre ma robe d’avocate lui montrant ma chatte blonde, cette bauge est faite pour la cochonne que la voix à faite de moi.
Le taxi m’ayant amené pour assouvir la vengeance de la voix qui s’est manifestée, il y a quelques jours, revient.
Cette voix m’ayant fait voir qu’elle était capable de donner à Loïc la photo de ma tromperie à la Réunion pendant notre voyage de noces.
Le chauffeur, comme à l’aller au bas des marches du Palais de justice de cette ville, m’ouvre la porte arrière où je retrouve mon cartable.
Je sens mon œil gauche qui me tire.
Je démarre mon portable que j’ai ramassé au passage, en mode selfie pour me voir.
Je suis couverte de sperme.
Le chauffeur comme a Paris me propose des services et il a posé sur le siège à côté de mon cartable une boîte de mouchoirs en papier avec entre les sièges une petite poubelle.
Nous roulons et je me nettoie du mieux que je peux.
Au moment où la batterie me prévient que ça va couper sans possibilité de recharger, je vois que mon chemisier montre presque la totalité d’un de mes seins.
Impossible de retourner à Paris, ou acheter de quoi me couvrir.
Une idée me vient et si je mettais ma robe d’avocat, on pourrait croire que je sors de la salle d’audience.
J’ai le temps de voir qu’il est 21 heures 40, ou peut bien me conduire mon taxi !
Rideau, mon portable me lâche.
J’ôte mon chemisier et je le mets dans la poubelle.
Je vois le chauffeur me mater dans son rétro.
J’ai pris goût à m’exhiber, mon chemisier était massacré, mais ma jupe est maculée de sperme comme le reste de mon corps.
Avant que le taxi arrive, je me souviens que ces cinq bites internationales et d’âges varié ont déchargé le reste de leur sperme sur moi, j’en ai pris partout.
J’ôte aussi ma jupe, le chauffeur faisant une embardée quand je lui montre ma chatte blonde.
Deviendrais-je vicieuse, comme je l’ai fait devant ce vieux dans le métro, j’écarte mes cuisses, fière de le faire sans l’obligation donnée par la voix.
Je nini par enfiler ma robe noire, ma jupe rejoignant mon chemisier dans la poubelle qui déborde.
C’est à ce moment où nous nous arrêtons.
Je vois que nous sommes devant la gare quittée pour me rendre à la prison.
Je prends mon cartable laissant le reste de mon tailleur, tous les papiers sont à l’intérieur.
C’est à ce moment que j’entends.
« Le dernier train pour Paris entre en gare, départ 21 heures 44.
Ce train est direct pour Paris Montparnasse, arrivée 23 heures 52.
Éloignez-vous du bord du quai. »
Par chance peu de gens sont là pour rejoindre Paris et ayant récupéré mon billet de retour, je le poinçonne.
Un homme avec son attachée caisse me regarde, il est étonné qu’une avocate ait gardé sa robe, mais avec un flegme tout anglais se dirige vers le quai où je vois le train s’arrêter devant moi.
Une idée fugace me traverse l’esprit, je me suis essuyé le visage, mais avant que mon portable me lâche, j’ai regardé mon chemisier, ma jupe, mais mes cheveux, dans quel état sont-ils ?
Si la voix veut que je baise avec lui dans les toilettes, dans quel état va-t-il trouver ma chatte et pourquoi pas mon cul après le nombre de bites ayant déchargé en eux.
Le train démarre, à part l’homme à l’autre bout du wagon, je suis seule, mon portable hors d’état de marche.
Tient, je vole, je survole plutôt une forêt de bites.
Des milliers de bites toutes de couleurs différentes comme celle qui m’ont littéralement sailli sur ce parking à la sortie de Tours.
D’un coup, je vole en compagnie de quelqu’un.
Tient c’est un ange, il tourne autour de moi jusqu’à ce que je voie son visage.
Maryse, mon amie d’enfance.
Maryse qui m’a quitté quelques jours avant que la voix m’interpelle sur mon portable me montrant la photo de mon infamie.
Avoir trompé mon mari avec la bite de Noah alors que nous faisions notre voyage de noces.
Maryse que j’ai connue sur les bancs de l’école et qui est décédée d’un cancer au même âge que moi.
Maryse, pleine de vie, serait-elle devenue l’ange qui est avec moi ou suis-je un ange l’ayant rejoint ?
Pourtant quand je repense à ses dernières heures et à ce qu’elle me disait avant de s’éteindre comme mon portable tout à l’heure, je l’avais aidé à fantasmer.
Nous avions fantasmé sur ce qu’elle aurait pu faire, car elle mourrait vierge.
Alors que j’avais ma joue sur sa main posée sur ses draps, comme si nous étions une, elle m’a fait cette confidence d’une toute petite voix.
• Je vais mourir sans avoir connu la moindre bite en moi.
J’ai eu quelquefois l’occasion de perdre ma virginité, mais la peur d’avoir mal m’a fait reculer.
Qu’est-ce que je le regrette maintenant ?
J’ai un autre regret, je t’aime et souvent, j’aurais aimé que tu me caresses, ma minette.
De ma main libre, je la glisse sous le drap, qui la recouvre par le côté du lit.
Mes doigts ont trouvé sa chatte, qui malgré sa situation est fortement humide.
J’entre un doigt, c’est exact, ça résiste.
Deux, puis trois, et c’est moi qui force pour la dépuceler.
Je sais, c’est abject de masturber mon amie à quelques heures de sa fin de vie.
Mais à ce moment c’est la seule chose que j’ai pu lui montrer que moi aussi je l’aimais.
Son corps s’est tendu étant traversé d’un frisson que j’ignore si c’était un orgasme.
• Merci, si tu savais tous les fantasmes qui m’ont traversé depuis que je suis tombée malade.
J’aurais pu m’exhiber, je suis sûr que j’aurais beaucoup aimé montrée mon intimité aux autres.
J’ai surenchéri.
• Si on avait été des amantes, nous aurions pu sucer des bites dans des endroits insolites.
• Oh oui, nous aurions aimés, masturber des hommes dans des endroits improbables.
Te rends-tu compte, j’aurais pu le faire dans un tribunal, mieux dans une prison moi qui suis avocate.
• Je vais te dire, je vois des dizaines de bites de toutes les couleurs qui nous auraient baisés comme les salopes que nous serions devenues.
• Dit moi, as-tu déjà trompée Loïs ?
Mais oui, les choses me reviennent,je dois me réveiller.
• Madame, nous sommes arrivés à Paris.
C’est ça, je me réveille, c’est l’homme à la mallette qui me secoue par l’épaule.
Je veux me lever, mais je reste quelques secondes à reprendre pied sur terre.
Incroyable, pourquoi depuis la première fois où la voix m’a appelé, j’ai oublié les moments si intenses avec Maryse.
Est-ce le fait que la voix était celle d’un homme, qui a pu me tromper.
Tout ce qui m’arrive, ce sont nos fantasmes évoqués dans cette chambre d’hôpital.
C’est vrai, j’ai même répondu à sa demande, certaine qu’hélas, le secret serait bien gardé là où elle va partir.
Je lui avais tout dit sur mon infidélité avec Noah et les cocktails qu’il m’avait offerts.
Je lui avais dit ou et comment, j’avais dissimulé la photo pour la garder pour mes vieux jours.
De là-haut, elle a pu manipuler mon portable et vivre par mon intermédiaire tous nos fantasmes.
Je descends sur le quai, je sors de la gare, il est plus de minuit la nuit est noire et en plus il pleut.
J’ai les moyens de prendre un taxi, même avec ma robe d’avocate.
C’est vers la Seine que je me dirige, à deux pas de chez elle.
La pluie nettoie mes cheveux comme si elle me nettoyait de toutes mes turpitudes.
Que vais-je faire sous ce pont où nous sommes venues nous promener dans les premiers jours de sa maladie, ayant entraîné un dernier fantasme sorti de sa jolie bouche dans cette chambre d’hôpital ?
• Tu te souviens du clodo qui vivait là sous ses cartons et ses palettes, j’aurais aimé qu’il me baise.
Il est là, sa bouteille à la main.
J’ouvre ma robe d’avocate lui montrant ma chatte blonde, cette bauge est faite pour la cochonne que la voix à faite de moi.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La voix fait des siennes, mais quelle voie ? La voie de son maitre ? Son maitre c'est elle-
même? C'est son rêve et on discute pas les rêve, on ne peut que les commenter, et encore..
Bien imaginé, bien raconté et très bien écrit.
Bravo Chris71.
Phil.
même? C'est son rêve et on discute pas les rêve, on ne peut que les commenter, et encore..
Bien imaginé, bien raconté et très bien écrit.
Bravo Chris71.
Phil.