COLLECTION FOLLE DU CUL. Commerciale (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Commerciale (1/1)
- Bonsoir, vous habitez chez vos parents ?
- Ça fait 10 ans que l’on ne me l’avait faite celle-là, jeune homme.
Mais ça me plait, les classiques de drague, ça peut marcher.
- Il y a l’autre aussi, vous moulinez chez vos harengs ?
- Bien jeune homme, celle-là avant ma naissance on me la faisait.
Ai-je une tête à aimer les harengs ?
Mais dites-moi, vous aussi vous mouliner ?
- Non, je travaille dans l’informatique et j’ai dépanné un client qui avait un gros virus dans son ordinateur.
Je vous offre un autre verre ?
- C’est mieux que de me demander où j’habite.
Oui, mais un seul, après si nous allions dans ma chambre.
- Êtes-vous une pute ?
J’éclate de rire.
- Comme vous y allez jeune homme, je suis commerciale dans la lingerie féminine.
Tu sais les petites culottes que vous aimez tant nous enlever.
Un seul problème avec moi, je les vends mais je m’en passe surtout quand je chasse.
- Je vois qu’on en est déjà au tutoiement, Julien pour te servir.
- Julie pour te sauter, tu me plais et toi, je te plais ?
- Il y a pire, mieux j’ai vu pire, surtout dans les débuts lorsque j’étais puceau.
J’étais boutonneux et j’étais timide.
Sans compter mes pectoraux qui étaient proches d’une paire de crêpes et mon poids, 92 kilos quand j’ai pris conscience que ça faisait de moi un frustré et un éjaculateur précoce.
- Je vois sous ta chemise que je vais avoir plaisir à t’arracher bouton par bouton que tu t’es bien arrangé.
- Oui, salle de muscu chaque fois que je le peux.
Jogging le plus long possible dès que je le peux.
Régime, pardon, changement de mes habitudes alimentaires.
Mac Do tous les soirs c’est fini et tu vois dans les bars où je sais trouver chaussure à mon pied, je bois du Perrier avec citron, quand ils en ont.
- Comment me trouves-tu Julien, quel âge me donnes-tu ?
- Tu es bandante, tu dois approcher la trentaine sans la dépasser.
- Merci, j’en ai 33 bientôt 34.
- Toi aussi tu fais du sport ?
- Oui, en chambre, ma méthode sexe, sexe et encore sexe.
- Es-tu célibataire ?
- Plutôt deux fois qu’une, les hommes je les prends pour un soir et dans la nuit je les vire de mon pieu, ça sera le cas avec toi.
- Tu nous prends pour des Kleenex, mais dis-moi, pendant les vacances, ou quand tu as tes règles tu dois arrêter tes baisses intenses.
- Pour les vacances, j’en prends peu, je travaille à mon compte.
J’ai donc un patron qui est peu enclin à m’en donner et pour mon bisness, je couvre la France, l’Italie et aussi la Suisse.
Pour mes règles s’était le cas il y a huit jours, j’adore boire le sperme et je trouve toujours une bite à sucer.
Certaines fois, certains aiment me baiser quand je saigne, je suis partante même si au matin, j’ai taché ses draps.
Comme ce soir, si tu es partant et au premier abord tu le sembles, ces jours-là je drague des types logeant dans mon hôtel et ce sont les leurs que les femmes de ménage trouvent tâchés au matin.
- Tu es bien organisée, es-tu une folle du cul ?
Tu vas avec des femmes quand ça se présente ?
- J’adore, des couples aussi, souvent les maris aiment regarder leur femme se faire baiser par une autre femme.
Viens chez moi, j’en envie de te pomper.
Il me suit vers mon hôtel.
Quand je le peux le dimanche quand je réserve mes hôtels pour la semaine 2 de mon travail, je privilégie les hôtels avec bar de nuit à celui d'aujourd’hui où je dois sortir mais très près de mon baisodrome.
Baisodrome où j’aime finir ma nuit seule après m’être fait baiser de façon intensive.
C’est le cas ce soir de l’hôtel.
Par chance le bar où je viens de draguer Julien est à deux pâtées de maisons.
- Ça doit être gênant de rentrer chaque fois dans un hôtel différent avec un mec.
J’ai une nouvelle fois l'envie d’éclater de rire, mais cette question me ramène quelques années en arrière.
Lors de mes premiers émois.
Je suis née dans une famille rigoriste à la limite de la bondieuserie.
Papa haut fonctionnaire à Paris et maman femme au foyer.
Dans leur milieu, une femme qui travaille est une femme de mauvaise vie.
J’ignore s’il baisait !
De ma jeunesse jusqu’à mes douze ans jamais le moindre bruit venant de leur chambre très près de la mienne n’est arrivé à mes oreilles.
Il faut dire que lorsqu’il m’arrivait de la croiser sortant de la salle de bain pour rejoindre mon géniteur, la couche de crème contre les rides qu’elle me présentait aurait fait débander bon nombre de mes amants.
À 12 ans, ils m’ont conduit en Suisse comme maman l’avait fait avant que papa l’épouse, mariage arrangé entre leurs parents.
Dès que j’ai eu conscience de la vie et de mon sexe, je me suis jurée que cette façon de vivre serait bien différente.
Je voulais être libre et à ce que j’ai déjà écrit, je prouve que je le suis.
J’ai vécu en Suisse jusqu’à mon bac.
J’ai eu ma première expérience avec Olga une Roumaine placée là par ses parents car très proches du pouvoir.
C’était une vraie salope, elle me suçait la chatte comme aucune autre bien que j’aie eu d’autres expériences sexuelles légèrement différentes.
Quand j’ai été majeur, il y a eu madame et monsieur les directeurs de l’école.
Madame, Gladys très belle femme un peu plus vieille que moi aujourd’hui.
- Tu es bien monté Julien, ta maman t’a gâté.
- C’est mon père, je l’ai vu à poil, une vraie bête, maman devait se faire plaisir sur un tel pieu.
Revenons à nos moutons, je suce Julien ça me permet de repenser à mon passé.
Ça fait tellement de bite que je masturbe et que je suce, en attendant qu’il prenne l’initiative, je peux m’évader afin de repenser à ce couple qui m’a tout appris.
Pour faire simple, Gladys m'a appelé dans son bureau car Lulu, pardon Lucie, la grosse Lucie nous avait surprises à nous caresser, j’avais trois doigts dans sa chatte pendant qu’Olga m’en mettait deux.
Entre parenthèses merci à l’uniforme avec lequel nous étions habillées.
La jupe surtout la jupe genre kilt écossais avait une fente où nous pouvions facilement passer notre main et atteindre nos vagins.
Nous avions des cours d’éducation sexuelle et nous connaissions déjà la grotte des femmes et le grand chauve comme disait Pierre Perret.
Après m’avoir sermonné, Gladys m’a demandé de venir de son côté étant assise à son bureau.
Elle m’a demandé de voir mes seins.
Devant elle il y avait mon dossier où je voyais mon âge.
Elle avait contrôlé que j’étais bien majeure.
Elle les a caressés sans que l’envie de m’échapper me prenne.
Je sentais qu’avec cette salope, elle avait un regard de salope, j’allais pouvoir briser les tabous de ma famille et c’est moi qui ai baissé ma culotte afin que sa bouche me suce le bouton.
J’étais venue dans son bureau le jour où mes parents m’avaient conduite.
Ce jour-là j’avais vu le canapé sans savoir à quoi il pouvait servir autrement que pour les siestes.
Sieste oui, mais sieste crapuleuse quand nue toute les deux elle m’a entraîné et que je l’ai sucé autant qu’elle me suçait.
Tous les jours, elle trouvait le moyen de pouvoir me voir.
Tous les jours elle me faisait découvrir ce qu’une femme pouvait faire à une autre.
Nous adorions nous caresser de longs moments jusqu’à nous frotter nos clitoris nous procurant des orgasmes dévastateurs.
Nous étions à quelques jours du bac et Gladys m’a fait venir pour réviser une leçon de math que je semblais avoir mal comprise.
Nous étions sur le canapé quand la porte de leur appartement s’est ouverte.
Monsieur Pierre son mari est entré.
Pardon, je vous quitte Julien vient de me faire mettre à quatre pattes et est en train de me sucer la chatte par de grands coups de langue allant jusqu’à mon anus.
Là, impossible de faire deux choses à la fois, je me concentre.
- Oui Julien suce-moi bien comme je viens de te sucer.
Beau gosse, belle bite, sachant bien s’en servir calmement, lentement, plus vite, à toute vitesse, calmement, très vite.
Laissant monter mon plaisir jusqu’à l’explosion finale en parfaite osmose l’un avec l’autre et l’un dans l’autre.
Je suis partie si haut que son doigt dans mon cul, c’est maintenant que je le sens.
- Veux-tu m’enculer ?
La sodomie, c’est Pierre le directeur qui m’a enculé dès nos premiers rapports.
J’ai dit que Pierre le mari de Gladys était sorti de leurs appartements.
Quand j’ai vu sa verge étant nu, j’ai su que la deuxième étape de mon initiation brisant les tabous familiaux était venue.
Il s’est placé derrière moi et m’a pris la chatte.
Nous faisions un 69 avec Gladys.
Il l’a eu facilement, j’étais dessus.
À la première poussée mon hymen a cédé, à la deuxième mon anus était pénétré.
Quelle jeune fille peut dire qu’en deux poussées de la bite de mon dépuceleur elle c’est fait tous prendre ?
Pris, que je lui aie tout donné et même bien plus jusqu’à mon bac que j’ai eu avec mention très bien.
Au début de mon initiation sexuelle, Gladys me sautait seule mais dès que le couple avait compris qu’ils avaient fait de moi une folle du cul, c’est tous les jours que je passais mes nuits dans leur lit.
Entre parenthèses, Pierre faisait partie des hommes que le sang excitait.
Gladys et moi nous nous entraînions et quand l’une avait les siennes l’autre les avait dans les heures suivantes.
Ces nuits-là, il se vidait les couilles jusqu’à ce que sa bite soit à la limite de cracher du sang elle aussi.
- T’enculer non, c’est loin d’être mon truc cependant.
Oui, il est toujours tendu et est prêt à me reprendre comme je le désir.
Tient demain ce sera dimanche, non c’est déjà dimanche, ça fait trois heures qu’il me baise me faisant monter aux rideaux.
Je pars lundi jusqu’à Bordeaux.
- Alors après ce que tu m’as dit, je dois partir dommage, j’avais encore des réserves.
Et si je le gardais pendant les deux soirs, ça m’éviterait de retourner dans le bar demain soir draguer une autre bite sur pied.
Merde, je m’embourgeoise, mais bon, Julien vient de me la mettre dans ma bouche.
Quel homme.
- Ça fait 10 ans que l’on ne me l’avait faite celle-là, jeune homme.
Mais ça me plait, les classiques de drague, ça peut marcher.
- Il y a l’autre aussi, vous moulinez chez vos harengs ?
- Bien jeune homme, celle-là avant ma naissance on me la faisait.
Ai-je une tête à aimer les harengs ?
Mais dites-moi, vous aussi vous mouliner ?
- Non, je travaille dans l’informatique et j’ai dépanné un client qui avait un gros virus dans son ordinateur.
Je vous offre un autre verre ?
- C’est mieux que de me demander où j’habite.
Oui, mais un seul, après si nous allions dans ma chambre.
- Êtes-vous une pute ?
J’éclate de rire.
- Comme vous y allez jeune homme, je suis commerciale dans la lingerie féminine.
Tu sais les petites culottes que vous aimez tant nous enlever.
Un seul problème avec moi, je les vends mais je m’en passe surtout quand je chasse.
- Je vois qu’on en est déjà au tutoiement, Julien pour te servir.
- Julie pour te sauter, tu me plais et toi, je te plais ?
- Il y a pire, mieux j’ai vu pire, surtout dans les débuts lorsque j’étais puceau.
J’étais boutonneux et j’étais timide.
Sans compter mes pectoraux qui étaient proches d’une paire de crêpes et mon poids, 92 kilos quand j’ai pris conscience que ça faisait de moi un frustré et un éjaculateur précoce.
- Je vois sous ta chemise que je vais avoir plaisir à t’arracher bouton par bouton que tu t’es bien arrangé.
- Oui, salle de muscu chaque fois que je le peux.
Jogging le plus long possible dès que je le peux.
Régime, pardon, changement de mes habitudes alimentaires.
Mac Do tous les soirs c’est fini et tu vois dans les bars où je sais trouver chaussure à mon pied, je bois du Perrier avec citron, quand ils en ont.
- Comment me trouves-tu Julien, quel âge me donnes-tu ?
- Tu es bandante, tu dois approcher la trentaine sans la dépasser.
- Merci, j’en ai 33 bientôt 34.
- Toi aussi tu fais du sport ?
- Oui, en chambre, ma méthode sexe, sexe et encore sexe.
- Es-tu célibataire ?
- Plutôt deux fois qu’une, les hommes je les prends pour un soir et dans la nuit je les vire de mon pieu, ça sera le cas avec toi.
- Tu nous prends pour des Kleenex, mais dis-moi, pendant les vacances, ou quand tu as tes règles tu dois arrêter tes baisses intenses.
- Pour les vacances, j’en prends peu, je travaille à mon compte.
J’ai donc un patron qui est peu enclin à m’en donner et pour mon bisness, je couvre la France, l’Italie et aussi la Suisse.
Pour mes règles s’était le cas il y a huit jours, j’adore boire le sperme et je trouve toujours une bite à sucer.
Certaines fois, certains aiment me baiser quand je saigne, je suis partante même si au matin, j’ai taché ses draps.
Comme ce soir, si tu es partant et au premier abord tu le sembles, ces jours-là je drague des types logeant dans mon hôtel et ce sont les leurs que les femmes de ménage trouvent tâchés au matin.
- Tu es bien organisée, es-tu une folle du cul ?
Tu vas avec des femmes quand ça se présente ?
- J’adore, des couples aussi, souvent les maris aiment regarder leur femme se faire baiser par une autre femme.
Viens chez moi, j’en envie de te pomper.
Il me suit vers mon hôtel.
Quand je le peux le dimanche quand je réserve mes hôtels pour la semaine 2 de mon travail, je privilégie les hôtels avec bar de nuit à celui d'aujourd’hui où je dois sortir mais très près de mon baisodrome.
Baisodrome où j’aime finir ma nuit seule après m’être fait baiser de façon intensive.
C’est le cas ce soir de l’hôtel.
Par chance le bar où je viens de draguer Julien est à deux pâtées de maisons.
- Ça doit être gênant de rentrer chaque fois dans un hôtel différent avec un mec.
J’ai une nouvelle fois l'envie d’éclater de rire, mais cette question me ramène quelques années en arrière.
Lors de mes premiers émois.
Je suis née dans une famille rigoriste à la limite de la bondieuserie.
Papa haut fonctionnaire à Paris et maman femme au foyer.
Dans leur milieu, une femme qui travaille est une femme de mauvaise vie.
J’ignore s’il baisait !
De ma jeunesse jusqu’à mes douze ans jamais le moindre bruit venant de leur chambre très près de la mienne n’est arrivé à mes oreilles.
Il faut dire que lorsqu’il m’arrivait de la croiser sortant de la salle de bain pour rejoindre mon géniteur, la couche de crème contre les rides qu’elle me présentait aurait fait débander bon nombre de mes amants.
À 12 ans, ils m’ont conduit en Suisse comme maman l’avait fait avant que papa l’épouse, mariage arrangé entre leurs parents.
Dès que j’ai eu conscience de la vie et de mon sexe, je me suis jurée que cette façon de vivre serait bien différente.
Je voulais être libre et à ce que j’ai déjà écrit, je prouve que je le suis.
J’ai vécu en Suisse jusqu’à mon bac.
J’ai eu ma première expérience avec Olga une Roumaine placée là par ses parents car très proches du pouvoir.
C’était une vraie salope, elle me suçait la chatte comme aucune autre bien que j’aie eu d’autres expériences sexuelles légèrement différentes.
Quand j’ai été majeur, il y a eu madame et monsieur les directeurs de l’école.
Madame, Gladys très belle femme un peu plus vieille que moi aujourd’hui.
- Tu es bien monté Julien, ta maman t’a gâté.
- C’est mon père, je l’ai vu à poil, une vraie bête, maman devait se faire plaisir sur un tel pieu.
Revenons à nos moutons, je suce Julien ça me permet de repenser à mon passé.
Ça fait tellement de bite que je masturbe et que je suce, en attendant qu’il prenne l’initiative, je peux m’évader afin de repenser à ce couple qui m’a tout appris.
Pour faire simple, Gladys m'a appelé dans son bureau car Lulu, pardon Lucie, la grosse Lucie nous avait surprises à nous caresser, j’avais trois doigts dans sa chatte pendant qu’Olga m’en mettait deux.
Entre parenthèses merci à l’uniforme avec lequel nous étions habillées.
La jupe surtout la jupe genre kilt écossais avait une fente où nous pouvions facilement passer notre main et atteindre nos vagins.
Nous avions des cours d’éducation sexuelle et nous connaissions déjà la grotte des femmes et le grand chauve comme disait Pierre Perret.
Après m’avoir sermonné, Gladys m’a demandé de venir de son côté étant assise à son bureau.
Elle m’a demandé de voir mes seins.
Devant elle il y avait mon dossier où je voyais mon âge.
Elle avait contrôlé que j’étais bien majeure.
Elle les a caressés sans que l’envie de m’échapper me prenne.
Je sentais qu’avec cette salope, elle avait un regard de salope, j’allais pouvoir briser les tabous de ma famille et c’est moi qui ai baissé ma culotte afin que sa bouche me suce le bouton.
J’étais venue dans son bureau le jour où mes parents m’avaient conduite.
Ce jour-là j’avais vu le canapé sans savoir à quoi il pouvait servir autrement que pour les siestes.
Sieste oui, mais sieste crapuleuse quand nue toute les deux elle m’a entraîné et que je l’ai sucé autant qu’elle me suçait.
Tous les jours, elle trouvait le moyen de pouvoir me voir.
Tous les jours elle me faisait découvrir ce qu’une femme pouvait faire à une autre.
Nous adorions nous caresser de longs moments jusqu’à nous frotter nos clitoris nous procurant des orgasmes dévastateurs.
Nous étions à quelques jours du bac et Gladys m’a fait venir pour réviser une leçon de math que je semblais avoir mal comprise.
Nous étions sur le canapé quand la porte de leur appartement s’est ouverte.
Monsieur Pierre son mari est entré.
Pardon, je vous quitte Julien vient de me faire mettre à quatre pattes et est en train de me sucer la chatte par de grands coups de langue allant jusqu’à mon anus.
Là, impossible de faire deux choses à la fois, je me concentre.
- Oui Julien suce-moi bien comme je viens de te sucer.
Beau gosse, belle bite, sachant bien s’en servir calmement, lentement, plus vite, à toute vitesse, calmement, très vite.
Laissant monter mon plaisir jusqu’à l’explosion finale en parfaite osmose l’un avec l’autre et l’un dans l’autre.
Je suis partie si haut que son doigt dans mon cul, c’est maintenant que je le sens.
- Veux-tu m’enculer ?
La sodomie, c’est Pierre le directeur qui m’a enculé dès nos premiers rapports.
J’ai dit que Pierre le mari de Gladys était sorti de leurs appartements.
Quand j’ai vu sa verge étant nu, j’ai su que la deuxième étape de mon initiation brisant les tabous familiaux était venue.
Il s’est placé derrière moi et m’a pris la chatte.
Nous faisions un 69 avec Gladys.
Il l’a eu facilement, j’étais dessus.
À la première poussée mon hymen a cédé, à la deuxième mon anus était pénétré.
Quelle jeune fille peut dire qu’en deux poussées de la bite de mon dépuceleur elle c’est fait tous prendre ?
Pris, que je lui aie tout donné et même bien plus jusqu’à mon bac que j’ai eu avec mention très bien.
Au début de mon initiation sexuelle, Gladys me sautait seule mais dès que le couple avait compris qu’ils avaient fait de moi une folle du cul, c’est tous les jours que je passais mes nuits dans leur lit.
Entre parenthèses, Pierre faisait partie des hommes que le sang excitait.
Gladys et moi nous nous entraînions et quand l’une avait les siennes l’autre les avait dans les heures suivantes.
Ces nuits-là, il se vidait les couilles jusqu’à ce que sa bite soit à la limite de cracher du sang elle aussi.
- T’enculer non, c’est loin d’être mon truc cependant.
Oui, il est toujours tendu et est prêt à me reprendre comme je le désir.
Tient demain ce sera dimanche, non c’est déjà dimanche, ça fait trois heures qu’il me baise me faisant monter aux rideaux.
Je pars lundi jusqu’à Bordeaux.
- Alors après ce que tu m’as dit, je dois partir dommage, j’avais encore des réserves.
Et si je le gardais pendant les deux soirs, ça m’éviterait de retourner dans le bar demain soir draguer une autre bite sur pied.
Merde, je m’embourgeoise, mais bon, Julien vient de me la mettre dans ma bouche.
Quel homme.
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