COLLECTION FOLLE DU CUL. Dépression (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Dépression (1/2)
Depuis que j’ai accepté ce travail de secrétaire, je suis harcelée par mon supérieur hiérarchique.
Tout a commencé par des compliments sur la qualité de mon travail.
J’étais fière de plaire à ce petit homme tout rond, si bien considéré par les personnes au-dessus de lui.
Je suis mariée, depuis cinq ans avec Lionel, nous n’avons pas encore d’enfant.
J’aime mon mari à la folie, je suis fière d’être l’épouse d’un homme tellement beau et tellement intelligent.
Cadre supérieur dans un ministère, je pourrais vivre sans travailler mais mon père m’a fait comprendre que le travail surtout pour une femme, était primordial.
Il va sans dire, que je me suis donnée vierge à lui dans ma nuit de noces.
Au 21ème siècle, et vu les vies dissolues de la plupart des jeunes filles de notre époque, cela peut paraître étrange.
Eh oui, j’ai des principes.
Oh ! bien sûr, je fais mon devoir conjugal avec applications.
J’aime les jeux du sexe avec celui qui fait vibrer mon corps.
Certes, loin de la première fois où mon dépucelage a été douloureux, mais très rapidement.
La troisième ou la quatrième quand j’ai senti que j’étais vraiment devenue femme.
J’ai trouvé mon travail grâce à ma copine Julie.
Quand je l’ai annoncé à Lionel, il a semblé contrarié.
Au sein de sa famille aucune des femmes ne travaillent.
Elles sont de bonnes épouses au service du sexe mâle, tout juste bonnes à torcher les enfants.
Après deux mois et aucun souci dans mon travail, monsieur Roland a commencé à changer.
Au début, c’était de simple compliment sur mes tenues, pourtant en bonne chrétienne, je m’habile certes moderne, mais en somme très classique.
Au fil des semaines, il est devenu plus précis, me demandant même un jour si j’aimais faire l’amour avec mon mari.
J’aurais dû en parler à Lionel, mais je sentais que si je lui disais, il en profiterait pour me faire démissionner et rentrer dans le droit fil des femmes de sa famille.
Un jour, alors que je me tenais à ses côtés pour lui ouvrir le classeur des signatures, monsieur Roland a laissé traîner sa main négligemment sur la fesse la plus proche de lui.
Je suis devenue entièrement rouge, je suis sortie du bureau précipitamment, mais là encore, je me suis tue.
Les rapports avec mon mari, sont devenus tendus, du moins espacés, cela me travaillait jusqu’au jour où j’ai fait une crise de larmes le soir à la maison.
Lionel essayait de me consoler, mais plus il le faisait plus je pleurais.
Il a fini par appeler le docteur Martin qui me soigne depuis des années.
Il a diagnostiqué une dépression demandant un traitement pour ce genre de maladie.
Il m’arrête pour un mois avec un traitement de cachets contre le stress.
Je les prends régulièrement, mais avec des conséquences secondaires, je reste couchée devenant une sorte de salade verte, plus d’envies sexuelles.
C’est là qu’un coup de grâce m’est porté, je découvre ce que toute femme redoute de la part de son époux, il a une maîtresse.
J’ignore qui elle est, ce dont je suis sûr c’est qu’elle est blonde.
De nombreuses fois, je trouve des cheveux sur son costume de travail.
Il s’absente de plus en plus, je décide de le reconquérir et de me battre comme toutes les femmes de ma famille.
• Docteur, vos médicaments m’assomment, je veux arrêter mon traitement et redevenir la femme que j’étais, je veux retrouver l’appétit sexuel avec mon mari.
• Impossible d’interrompe votre traitement madame Véronique sans risquer de replonger.
Essayez d’être plus aguichante pour lui, je prolonge votre arrêt de travail jusqu’au mois prochain, je vous reverrais à ce moment là.
J’ai oublié de lui dire que j’étais cocu.
Il est vrai que c’est une impression.
Pendant un mois, je porte des tenues plus affriolantes, à part un soir où il me fait l’amour sur notre canapé, mais sans grand plaisir de ma part.
• Docteur, j’ai suivi votre conseil, à la maison, je porte des tenues à la limite de la décence.
À part une fois où il a craqué sans pour autant me faire vibrer, je vous conjure de faire quelque chose pour que je retrouve ma vie d’avant.
De toute façon, cela fait trois jours que j’ai arrêté de les prendre.
C’est à ce moment que je suis tombée en larmes.
• Vous voyez, j’avais raison, vous êtes loin d’être guérie, j’ai peut-être une solution.
Je viens d’apprendre qu’une société pharmaceutique américaine commercialise un nouveau médicament sur le marché.
Je vais vous le prescrire, vous serez l’une des premières à être traité en France.
Soyez sans crainte, les responsables du médicament l’ont agréé, ils ont contrôlé son efficacité et par chance ils disent qu’il présente aucun effet secondaire.
Je prends mon cachet tous les midis au milieu du repas comme prescrit.
Je retrouve du tonus, la seule chose que je craignais c’était le retour au bureau et surtout me retrouver sous la coupe de monsieur Roland.
Je revois mon médecin.
• Comment se passe votre traitement, je vois que vous semblez avoir la forme ?
• C’est vite dit, certes, j’ai retrouvé l’envie de manger, de rire et je vais être direct, j’ai retrouvé l’envie de faire l’amour.
Mon mari semble le ressentir, quand il sent que je le caresse dans la nuit, il recommence à me faire jouir, mais j’ai peur de recommencer à être harcelée par mon supérieur.
• Changez de travail.
Je lui explique, il comprend et me prolonge d’un nouveau mois, puis d’un autre, bien que je me sente légère comme jamais.
Un jour, je décide d’aller sur les Champs-Élysées.
Je pars à pied, mais au moment du retour, je suis un peu fatiguée.
Je décide de prendre le métro, il y a un café, j’entre pour boire un jus de fruits.
• Un whisky s’il vous plait !
• Coca ?
• Non, sec.
Le barman me regarde d’un drôle d’air, une cliente à 15 heures au whisky, ce doit être rare.
Même moi, quand je bois cul sec et que je paye avant de sortir, je me demande qu’elle mouche m’a piqué.
Je descends dans le métro, je comprends que si je suis allée boire ce verre dans ce café, c’est la peur du trou noir qu’est le métro.
Arrivée sur le quai un homme en complet veston attend son attaché caisse en main.
Le métro arrive, à cette heure, il y a peu de monde, je m’assieds sur un strapontin et je regarde le plan.
Six stations avant d’arriver dans mon quartier, l’homme prend le strapontin face à moi.
Et là, l’impensable se produit, j’écarte mes jambes assez pour qu’il me voie.
Mais pas assez pour que les rares personnes assises puissent profiter de mon entrejambe.
Bien sûr je porte une petite culotte blanche, mais avec la mini que j’ai mise, il doit tout voir.
Il semble se désintéresser jusqu’à la station suivante où il se lève et me glisse.
• Suis-moi salope.
Où sommes-nous, certainement pas six stations plus loin que celle où je viens de monter ?
Nous retrouvons la lumière, je le suis sans me poser de question.
À la sortie, une Sanisette, il glisse une pièce, comme un zombie, j’entre sans m’inquiéter que l’on me voie, il me suit, la porte se referme.
• Suce salope.
• Non, baisez-moi.
Je soulève ma jupe et me plaque à la paroi métallique, cambrant les reins en écartant mes cuisses.
Il faudrait que j’aie le courage de revenir à la raison, mais ce pieu que je vois sortir quand il fait tomber son pantalon, il me le faut.
Il me plaque, se place en moi, je pars immédiatement.
J’atteins un sommet jamais ressenti.
C’est la deuxième verge en moi et quand nous éclatons tous les deux, son sexe me donnant ce que je suis venu chercher, du sexe sauvage, hard sans lendemain.
Qu’est-ce que monsieur Roland a cassé en moi pour que pour me punir, je me donne comme cela dans les chiottes sur un trottoir de Paris à cet inconnu ?
J’entends la porte s’ouvrir.
Il disparaît, j’ai juste le temps de sortir sous le regard narquois d’une fleuriste sur le trottoir d’en face qui semble avoir tout vu.
J’ai mal remonté ma culotte, mais suffisamment pour reprendre ma route.
Un taxi passe, je lève ma main, il s’arrête.
Je lui donne mon adresse, il rechigne, la course est courte.
Quand je m’assieds, je sens le sperme de mon pourfendeur couler entre mes cuisses.
Non seulement, il va percevoir une course peu rentable, mais en prime il va falloir qu’il nettoie son siège.
Je sens qu’en plus du sperme, ma chatte est en feu et surtout ma petite excroissance que je voudrais caresser dans ce taxi, mon excitation imparfaitement assouvie.
Je coule comme jamais.
Je descends, je paye, je monte chez moi, je me déshabille, met tout au linge sale pendant que mon bain coule.
J’entre dans l’eau chaude pour me laver de ce que je viens de faire.
Pour la première fois, ce sont mes doigts qui tentent de me calmer.
J’y arrive après une demi-heure de caresse et de pénétration de trois de mes doigts.
J’ai le temps de réfléchir sur ce qui s’est passé, pourquoi ce comportement, mais quel immense plaisir, j’ai pris, est-ce le goût de l’interdit, moi la petite fille sage.
Quand je sors de l’eau, je suis sûr que cet épisode de ma vie, restera un simple épisode que je vais enfouir au fond de ma mémoire…
Tout a commencé par des compliments sur la qualité de mon travail.
J’étais fière de plaire à ce petit homme tout rond, si bien considéré par les personnes au-dessus de lui.
Je suis mariée, depuis cinq ans avec Lionel, nous n’avons pas encore d’enfant.
J’aime mon mari à la folie, je suis fière d’être l’épouse d’un homme tellement beau et tellement intelligent.
Cadre supérieur dans un ministère, je pourrais vivre sans travailler mais mon père m’a fait comprendre que le travail surtout pour une femme, était primordial.
Il va sans dire, que je me suis donnée vierge à lui dans ma nuit de noces.
Au 21ème siècle, et vu les vies dissolues de la plupart des jeunes filles de notre époque, cela peut paraître étrange.
Eh oui, j’ai des principes.
Oh ! bien sûr, je fais mon devoir conjugal avec applications.
J’aime les jeux du sexe avec celui qui fait vibrer mon corps.
Certes, loin de la première fois où mon dépucelage a été douloureux, mais très rapidement.
La troisième ou la quatrième quand j’ai senti que j’étais vraiment devenue femme.
J’ai trouvé mon travail grâce à ma copine Julie.
Quand je l’ai annoncé à Lionel, il a semblé contrarié.
Au sein de sa famille aucune des femmes ne travaillent.
Elles sont de bonnes épouses au service du sexe mâle, tout juste bonnes à torcher les enfants.
Après deux mois et aucun souci dans mon travail, monsieur Roland a commencé à changer.
Au début, c’était de simple compliment sur mes tenues, pourtant en bonne chrétienne, je m’habile certes moderne, mais en somme très classique.
Au fil des semaines, il est devenu plus précis, me demandant même un jour si j’aimais faire l’amour avec mon mari.
J’aurais dû en parler à Lionel, mais je sentais que si je lui disais, il en profiterait pour me faire démissionner et rentrer dans le droit fil des femmes de sa famille.
Un jour, alors que je me tenais à ses côtés pour lui ouvrir le classeur des signatures, monsieur Roland a laissé traîner sa main négligemment sur la fesse la plus proche de lui.
Je suis devenue entièrement rouge, je suis sortie du bureau précipitamment, mais là encore, je me suis tue.
Les rapports avec mon mari, sont devenus tendus, du moins espacés, cela me travaillait jusqu’au jour où j’ai fait une crise de larmes le soir à la maison.
Lionel essayait de me consoler, mais plus il le faisait plus je pleurais.
Il a fini par appeler le docteur Martin qui me soigne depuis des années.
Il a diagnostiqué une dépression demandant un traitement pour ce genre de maladie.
Il m’arrête pour un mois avec un traitement de cachets contre le stress.
Je les prends régulièrement, mais avec des conséquences secondaires, je reste couchée devenant une sorte de salade verte, plus d’envies sexuelles.
C’est là qu’un coup de grâce m’est porté, je découvre ce que toute femme redoute de la part de son époux, il a une maîtresse.
J’ignore qui elle est, ce dont je suis sûr c’est qu’elle est blonde.
De nombreuses fois, je trouve des cheveux sur son costume de travail.
Il s’absente de plus en plus, je décide de le reconquérir et de me battre comme toutes les femmes de ma famille.
• Docteur, vos médicaments m’assomment, je veux arrêter mon traitement et redevenir la femme que j’étais, je veux retrouver l’appétit sexuel avec mon mari.
• Impossible d’interrompe votre traitement madame Véronique sans risquer de replonger.
Essayez d’être plus aguichante pour lui, je prolonge votre arrêt de travail jusqu’au mois prochain, je vous reverrais à ce moment là.
J’ai oublié de lui dire que j’étais cocu.
Il est vrai que c’est une impression.
Pendant un mois, je porte des tenues plus affriolantes, à part un soir où il me fait l’amour sur notre canapé, mais sans grand plaisir de ma part.
• Docteur, j’ai suivi votre conseil, à la maison, je porte des tenues à la limite de la décence.
À part une fois où il a craqué sans pour autant me faire vibrer, je vous conjure de faire quelque chose pour que je retrouve ma vie d’avant.
De toute façon, cela fait trois jours que j’ai arrêté de les prendre.
C’est à ce moment que je suis tombée en larmes.
• Vous voyez, j’avais raison, vous êtes loin d’être guérie, j’ai peut-être une solution.
Je viens d’apprendre qu’une société pharmaceutique américaine commercialise un nouveau médicament sur le marché.
Je vais vous le prescrire, vous serez l’une des premières à être traité en France.
Soyez sans crainte, les responsables du médicament l’ont agréé, ils ont contrôlé son efficacité et par chance ils disent qu’il présente aucun effet secondaire.
Je prends mon cachet tous les midis au milieu du repas comme prescrit.
Je retrouve du tonus, la seule chose que je craignais c’était le retour au bureau et surtout me retrouver sous la coupe de monsieur Roland.
Je revois mon médecin.
• Comment se passe votre traitement, je vois que vous semblez avoir la forme ?
• C’est vite dit, certes, j’ai retrouvé l’envie de manger, de rire et je vais être direct, j’ai retrouvé l’envie de faire l’amour.
Mon mari semble le ressentir, quand il sent que je le caresse dans la nuit, il recommence à me faire jouir, mais j’ai peur de recommencer à être harcelée par mon supérieur.
• Changez de travail.
Je lui explique, il comprend et me prolonge d’un nouveau mois, puis d’un autre, bien que je me sente légère comme jamais.
Un jour, je décide d’aller sur les Champs-Élysées.
Je pars à pied, mais au moment du retour, je suis un peu fatiguée.
Je décide de prendre le métro, il y a un café, j’entre pour boire un jus de fruits.
• Un whisky s’il vous plait !
• Coca ?
• Non, sec.
Le barman me regarde d’un drôle d’air, une cliente à 15 heures au whisky, ce doit être rare.
Même moi, quand je bois cul sec et que je paye avant de sortir, je me demande qu’elle mouche m’a piqué.
Je descends dans le métro, je comprends que si je suis allée boire ce verre dans ce café, c’est la peur du trou noir qu’est le métro.
Arrivée sur le quai un homme en complet veston attend son attaché caisse en main.
Le métro arrive, à cette heure, il y a peu de monde, je m’assieds sur un strapontin et je regarde le plan.
Six stations avant d’arriver dans mon quartier, l’homme prend le strapontin face à moi.
Et là, l’impensable se produit, j’écarte mes jambes assez pour qu’il me voie.
Mais pas assez pour que les rares personnes assises puissent profiter de mon entrejambe.
Bien sûr je porte une petite culotte blanche, mais avec la mini que j’ai mise, il doit tout voir.
Il semble se désintéresser jusqu’à la station suivante où il se lève et me glisse.
• Suis-moi salope.
Où sommes-nous, certainement pas six stations plus loin que celle où je viens de monter ?
Nous retrouvons la lumière, je le suis sans me poser de question.
À la sortie, une Sanisette, il glisse une pièce, comme un zombie, j’entre sans m’inquiéter que l’on me voie, il me suit, la porte se referme.
• Suce salope.
• Non, baisez-moi.
Je soulève ma jupe et me plaque à la paroi métallique, cambrant les reins en écartant mes cuisses.
Il faudrait que j’aie le courage de revenir à la raison, mais ce pieu que je vois sortir quand il fait tomber son pantalon, il me le faut.
Il me plaque, se place en moi, je pars immédiatement.
J’atteins un sommet jamais ressenti.
C’est la deuxième verge en moi et quand nous éclatons tous les deux, son sexe me donnant ce que je suis venu chercher, du sexe sauvage, hard sans lendemain.
Qu’est-ce que monsieur Roland a cassé en moi pour que pour me punir, je me donne comme cela dans les chiottes sur un trottoir de Paris à cet inconnu ?
J’entends la porte s’ouvrir.
Il disparaît, j’ai juste le temps de sortir sous le regard narquois d’une fleuriste sur le trottoir d’en face qui semble avoir tout vu.
J’ai mal remonté ma culotte, mais suffisamment pour reprendre ma route.
Un taxi passe, je lève ma main, il s’arrête.
Je lui donne mon adresse, il rechigne, la course est courte.
Quand je m’assieds, je sens le sperme de mon pourfendeur couler entre mes cuisses.
Non seulement, il va percevoir une course peu rentable, mais en prime il va falloir qu’il nettoie son siège.
Je sens qu’en plus du sperme, ma chatte est en feu et surtout ma petite excroissance que je voudrais caresser dans ce taxi, mon excitation imparfaitement assouvie.
Je coule comme jamais.
Je descends, je paye, je monte chez moi, je me déshabille, met tout au linge sale pendant que mon bain coule.
J’entre dans l’eau chaude pour me laver de ce que je viens de faire.
Pour la première fois, ce sont mes doigts qui tentent de me calmer.
J’y arrive après une demi-heure de caresse et de pénétration de trois de mes doigts.
J’ai le temps de réfléchir sur ce qui s’est passé, pourquoi ce comportement, mais quel immense plaisir, j’ai pris, est-ce le goût de l’interdit, moi la petite fille sage.
Quand je sors de l’eau, je suis sûr que cet épisode de ma vie, restera un simple épisode que je vais enfouir au fond de ma mémoire…
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