COLLECTION FOLLE DU CUL. Dépression (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Dépression (2/2)
Ayant été harcelé par mon supérieur hiérarchique dans mon travail de secrétaire j'entre en dépression.
Mon médecin le docteur Martin m’arrête et me donne un premier traitement faisant de moi un légume.
Même si avec mon mari les liens se sont un peu distendus, surtout quand des cheveux blonds se retrouvent sur ses vestes quand il rentre du boulot, le peu d’empressement que je mets à me faire baiser pose un problème.
J’en parle à mon médecin qui me propose un nouveau traitement qui semble être impeccable, je retrouve tonicité et sexualité.
Il veut me faire reprendre mon travail, mais la peur de me retrouver à côté de ce gros porc, il accepte de me prolonger d’un mois.
Un jour, le besoin de sortir m’amène sur les Champs-Élysées, sentant la fatigue, je veux descendre dans le métro, mais au dernier moment, je me retrouve à un bar où je bois cul sec un whisky.
C’est dans le métro que l’impensable se produit, j’écarte mes cuisses devant un homme qui m’emmène dans une Sanisette et qui me fait jouir comme jamais.
De retour je suis dans mon bain et je cogite sur ce qui vient de m’arriver.
Il est loin d’avoir eu mort d’homme et qui le saura, la fleuriste que j’ai vu m’avoir vu sortir de ce lieu infect !
Je pense que mon mari est loin d’être un de ses clients.
Je veux me faire pardonner, je mets mes dessous affriolants avant l’arrivée de Lionel.
Je nous prépare un petit repas tête à tête.
Il est tellement heureux de retrouver sa petite femme aimante, que lorsqu’il me prend assise sur sa chaise, l’idée me vient que sa queue baigne dans le sperme de mon amant d’un instant bien que je me sois baignée.
Pendant trois jours, je suis sage, ma chatte a bien tendance à me relancer, mais je tiens bon.
Le quatrième jour, il est quatorze heures quand je sens le besoin de boire un coup, je sais que dans son bar Lionel à ce que je veux trouver.
Je me mets en condition en buvant carrément mon bourbon à la bouteille.
Je ferme ma porte ayant revêtu ma tenue la plus sexy.
Est-ce volontaire, j’ai oublié de mettre une petite culotte.
Je vais, je viens, ignorant où je suis, j’entre dans un bar, au comptoir, un homme me regarde, je le regarde, je le vois se diriger vers les toilettes, je le suis.
Mon corps est chaud, dès que je suis entrée dans les w.c hommes, il m’attend la porte ouverte.
Ce que j’aime, comme la première fois, c’est que nous n’échangeons pas une parole, je pose les mains sur la cuvette en écartant mes cuisses.
Étant sans culotte ça lui facilite le chemin.
J’entends qu’il se dégrafe et moins d’une minute après, je me sens pénétrer.
Je retrouve la sensation et je m’envole jusqu’à ce qu’il se vide en moi.
Il me quitte, je me retourne, m’assieds sur la lunette, ma chatte se vide de son sperme et de ma cyprine, j’entends nettement le flop que fait chaque goutte atteignant l’eau.
Je quitte le café sous les regards amusés des clients, qui ont remarqué notre manège et qui savent que je me suis donnée à l’homme qui est remonté avant moi.
Je prends un taxi, où j’étais, il faudra que je fasse attention, je suis dans un quartier plutôt mal famé.
J’essaye d’éviter de recommencer, mais c’est plus fort que moi, je plane tellement avec ces cachets que chaque fois, j’ai le besoin de boire de l’alcool, moi qui suis sobre depuis ma jeunesse.
J’ai l’impression de tomber un peu plus bas chaque fois que je vais me donner à des hommes sans jamais les revoir.
Aujourd’hui, je suis en chasse, sans rien trouver dans un premier temps, je me retrouve vers les bords de seine, trempée par la pluie qui tombe.
Il n’y a personne jusqu’au moment où je me retrouve sous un pont pensant m’abriter.
• T’as pas cent balles ?
Celui qui me dit cela est répugnant, mais c’est sans aucun scrupule que je lui donne ma bouche avant de me glisser à l’intérieur du réduit fait de palette et de toiles cirées, il a une couverture qui lui sert de lit.
Je m’agenouille, il sort sa queue.
Depuis combien de temps n’a-t-elle pas vu un morceau de savon et d’eau, mais je la prends tout de même dans ma bouche, m’en délectant.
Il éjacule, je me régale de son sperme bien épais qu’il devait conserver dans ses bourses depuis des années.
Quand, j’entre chez moi, je devrais prendre un bain, mais je veux garder le goût le plus longtemps possible.
Où vais-je m’arrêter, pourquoi ne vais-je pas voir mon médecin, c’est sûrement pour les jours entre deux débauches où je suis en pleine forme, mais c’est surtout après les sensations que je ressens ?
Je me sens redevable envers Lionel, certes il semble être revenu à de meilleurs sentiments, plus aucun cheveux blonds.
Elle a dû le quitter ou il a eu des remords surtout que ce soir, je veux lui faire une surprise.
• Encule-moi, Lionel, j’ai très envie.
• Tu es sûr chérie, que t’arrive-t-il, je t’ai rarement vu aussi chaude, mais pourquoi me plaindre ?
Je me suis posée en levrette, il se place, me perfore, me faisant mal, mais pour qu’il évite d’avoir des soupçons sur mes infidélités, me faire enculer m’a semblé nécessaire.
J’ai mis quatre jours avant de pouvoir remettre un pas devant l’autre sans souffrance.
Tartinade de pommade après tartinade de pommade, je me sens prête à recommencer.
Mon envie de sexe est toujours présente.
Je vais essayer une technique pour que la chance soit de la partie.
Je prends le métro, je dois être loin de mon quartier.
Une pointe de stylo, un plan du métro, yeux fermés, Barbès – Rochechouart, je m’y rends.
Dès la sortie, je constate que je suis dans un quartier cosmopolite, jaune et black.
Mon Dieu des blacks, je vais sur Internet depuis quelques jours regarder du cul en me masturbant.
Grosses, bien grosses, c’est celle que je préfère regarder pensant qu’un jour j’en aurais une en moi.
Je suis tellement perturbée que je tombe au sol.
• Vous êtes-vous fait mal, vous semblez perdue, vous titubez, vous avez bu ?
• Un peu monsieur.
J’ai envie de lui dire pourquoi je suis devenue accro à mes cachets et à mon whisky.
Hier Lionel m’a demandé si j’avais reçu quelqu’un, sa bouteille étant descendue !
Ce matin j’ai fait livrer mes coursesJ’ai commandé deux bouteilles de bourbon que j’ai cachées au milieu des produits d'entretien sûrs qu’à cet endroit elles sont bien planquées.
• Venez, je suis médecin, mon cabinet est à deux pas.
Je suis en repos aujourd’hui, mais une vieille patiente qui vient de décéder.
Je me suis rendu chez elle pour faire son constat de décès.
Votre genou saigne, je vais vous soigner.
Il est vrai qu’ayant reçu deux bouteilles, j’ai un peu abusé et c’est loin d’être gratuitement que je suis entrée.
Docteur Léonard, la maison est crasseuse et très délabrée et c’est bien chez un médecin que j’entre dans son cabinet.
J’ai une pensée malhonnête quand je m’assoie sur la chaise près d’une table où se trouvent divers flacons.
• Donnez-moi votre jambe.
Posez là sur mon genou attention ça va piquer.
Il a pris un tampon de gaze sur lequel il met du liquide blanc.
• Aie !
• Douillette, attendez que je pose la gaze sur votre blessure.
Une pensée me vient, a-t-il une grosse bite.
• Je vais être indiscret, vous sortez souvent sans votre culotte ?
Un médecin, je suis enclin à des confidences, je lui raconte ma dépression due à mon supérieur me harcelant et le nouveau médicament que je prends.
• Vous prenez du Lacsus et vous buvez de l’alcool, vous me rapportez avoir des envies de sexe jamais ressenti.
• Quel docteur voyez-vous ?
Je lui donne le nom du docteur Martin dans mon quartier, il va le contacter.
• Votre docteur va vous appeler car les responsables du médicament viennent de le retirer du marché car chez certaines femmes, alcool et Lacsus ont les effets que vous avez remarqués.
• Tu veux éteindre le feu qui couve en moi ?
Je te jure je vais arrêter mais en attendant, ma chatte est en feu simplement à sentir la chaleur de ton corps passant par ton genou.
Je me lève, je m’agenouille et avant qu’il dise oui ou non, je le suce.
Noire et belle pas exceptionnelles, mais j’aime quand même.
Un peu plus grosse que celle de Lionel.
Léonard se laisse sucer contre toutes déontologies.
Son bras black étant tendu je m’empale pour mon plus grand plaisir.
Si ce médicament est ôté du marché il sera impossible de le trouver et ma vie va redevenir tout à fait normale.
Pour la première fois étant face à lui il entre distendant un peu plus ma chatte.
Sa bouche étant face à moi et pour la première fois depuis le SDF, je roule une pelle à un autre homme que le mien.
Avec les autres, j’offrais simplement mon cul surtout mon vagin.
Avec Léonard mon cœur s’accélère à ma porte de la crise cardiaque.
Je me fais énormément plaisir, l’orgasme qui m’atteint me dévaste.
Je dois être honnête, jamais au grand jamais j’ai joui autant avant qu’il me remplisse avec de longs jets frappant mon utérus.
Je le quitte repu de sexe, je constate qu’une jolie bite bien servi par son propriétaire sait faire jouir sa partenaire.
• Madame Véronique, vous pouvez passer me voir à 17 heures, il y a un problème avec votre traitement.
Je suis à l’heure.
Quand j’entre Léonard est là.
• J’étais en vacances et au retour, j’ai vu l’interdiction de commercialisation du Lacsus que je vous prescris.
Le docteur Léonard m’a contacté et j’ai souhaité sa visite après lui avoir annoncé pourquoi j’étais absent.
Je prends ma retraite et j’étais allé la maison où nous allons nous retirer avec mon épouse.
Il cherchait un cabinet mieux situé qu’à Barbès.
Nous sommes tombés d’accord pour mon remplacement et surtout le prix d’achat.
• Quand j’ai parlé de votre cas madame Véronique, Martin m’a expliqué que votre patron vous harcelait.
Il vous a suggéré de changer de travail.
Aline son attachée médicale avait émis le souhait d’arrêter elle aussi.
Pour la remplacer, je vous propose le poste si les conditions vous conviennent.
Avec moi soyez confiante aucun harcèlement.
J’ai adoré le vouvoiement nous qui nous tutoyons quand nous baisions hier.
Voilà, j’ai arrêté le Lacsus mais le sexe est toujours là.
Blanc avec Lionel et noir avec Léonard.
Lionel m’a demandé de lui pardonner son infidélité avec une de leurs secrétaires.
J’ai un toutou à la maison, surtout que je suis bien payée par Léonard qui me paye en euros et en liquide chaque fois que je le suce où qu’il me prenne dans son cabinet ses derniers clients étant parti.
Grâce à mes deux mâles je suis une femme comblée sans la moindre drogue dans mon corps.
Mon médecin le docteur Martin m’arrête et me donne un premier traitement faisant de moi un légume.
Même si avec mon mari les liens se sont un peu distendus, surtout quand des cheveux blonds se retrouvent sur ses vestes quand il rentre du boulot, le peu d’empressement que je mets à me faire baiser pose un problème.
J’en parle à mon médecin qui me propose un nouveau traitement qui semble être impeccable, je retrouve tonicité et sexualité.
Il veut me faire reprendre mon travail, mais la peur de me retrouver à côté de ce gros porc, il accepte de me prolonger d’un mois.
Un jour, le besoin de sortir m’amène sur les Champs-Élysées, sentant la fatigue, je veux descendre dans le métro, mais au dernier moment, je me retrouve à un bar où je bois cul sec un whisky.
C’est dans le métro que l’impensable se produit, j’écarte mes cuisses devant un homme qui m’emmène dans une Sanisette et qui me fait jouir comme jamais.
De retour je suis dans mon bain et je cogite sur ce qui vient de m’arriver.
Il est loin d’avoir eu mort d’homme et qui le saura, la fleuriste que j’ai vu m’avoir vu sortir de ce lieu infect !
Je pense que mon mari est loin d’être un de ses clients.
Je veux me faire pardonner, je mets mes dessous affriolants avant l’arrivée de Lionel.
Je nous prépare un petit repas tête à tête.
Il est tellement heureux de retrouver sa petite femme aimante, que lorsqu’il me prend assise sur sa chaise, l’idée me vient que sa queue baigne dans le sperme de mon amant d’un instant bien que je me sois baignée.
Pendant trois jours, je suis sage, ma chatte a bien tendance à me relancer, mais je tiens bon.
Le quatrième jour, il est quatorze heures quand je sens le besoin de boire un coup, je sais que dans son bar Lionel à ce que je veux trouver.
Je me mets en condition en buvant carrément mon bourbon à la bouteille.
Je ferme ma porte ayant revêtu ma tenue la plus sexy.
Est-ce volontaire, j’ai oublié de mettre une petite culotte.
Je vais, je viens, ignorant où je suis, j’entre dans un bar, au comptoir, un homme me regarde, je le regarde, je le vois se diriger vers les toilettes, je le suis.
Mon corps est chaud, dès que je suis entrée dans les w.c hommes, il m’attend la porte ouverte.
Ce que j’aime, comme la première fois, c’est que nous n’échangeons pas une parole, je pose les mains sur la cuvette en écartant mes cuisses.
Étant sans culotte ça lui facilite le chemin.
J’entends qu’il se dégrafe et moins d’une minute après, je me sens pénétrer.
Je retrouve la sensation et je m’envole jusqu’à ce qu’il se vide en moi.
Il me quitte, je me retourne, m’assieds sur la lunette, ma chatte se vide de son sperme et de ma cyprine, j’entends nettement le flop que fait chaque goutte atteignant l’eau.
Je quitte le café sous les regards amusés des clients, qui ont remarqué notre manège et qui savent que je me suis donnée à l’homme qui est remonté avant moi.
Je prends un taxi, où j’étais, il faudra que je fasse attention, je suis dans un quartier plutôt mal famé.
J’essaye d’éviter de recommencer, mais c’est plus fort que moi, je plane tellement avec ces cachets que chaque fois, j’ai le besoin de boire de l’alcool, moi qui suis sobre depuis ma jeunesse.
J’ai l’impression de tomber un peu plus bas chaque fois que je vais me donner à des hommes sans jamais les revoir.
Aujourd’hui, je suis en chasse, sans rien trouver dans un premier temps, je me retrouve vers les bords de seine, trempée par la pluie qui tombe.
Il n’y a personne jusqu’au moment où je me retrouve sous un pont pensant m’abriter.
• T’as pas cent balles ?
Celui qui me dit cela est répugnant, mais c’est sans aucun scrupule que je lui donne ma bouche avant de me glisser à l’intérieur du réduit fait de palette et de toiles cirées, il a une couverture qui lui sert de lit.
Je m’agenouille, il sort sa queue.
Depuis combien de temps n’a-t-elle pas vu un morceau de savon et d’eau, mais je la prends tout de même dans ma bouche, m’en délectant.
Il éjacule, je me régale de son sperme bien épais qu’il devait conserver dans ses bourses depuis des années.
Quand, j’entre chez moi, je devrais prendre un bain, mais je veux garder le goût le plus longtemps possible.
Où vais-je m’arrêter, pourquoi ne vais-je pas voir mon médecin, c’est sûrement pour les jours entre deux débauches où je suis en pleine forme, mais c’est surtout après les sensations que je ressens ?
Je me sens redevable envers Lionel, certes il semble être revenu à de meilleurs sentiments, plus aucun cheveux blonds.
Elle a dû le quitter ou il a eu des remords surtout que ce soir, je veux lui faire une surprise.
• Encule-moi, Lionel, j’ai très envie.
• Tu es sûr chérie, que t’arrive-t-il, je t’ai rarement vu aussi chaude, mais pourquoi me plaindre ?
Je me suis posée en levrette, il se place, me perfore, me faisant mal, mais pour qu’il évite d’avoir des soupçons sur mes infidélités, me faire enculer m’a semblé nécessaire.
J’ai mis quatre jours avant de pouvoir remettre un pas devant l’autre sans souffrance.
Tartinade de pommade après tartinade de pommade, je me sens prête à recommencer.
Mon envie de sexe est toujours présente.
Je vais essayer une technique pour que la chance soit de la partie.
Je prends le métro, je dois être loin de mon quartier.
Une pointe de stylo, un plan du métro, yeux fermés, Barbès – Rochechouart, je m’y rends.
Dès la sortie, je constate que je suis dans un quartier cosmopolite, jaune et black.
Mon Dieu des blacks, je vais sur Internet depuis quelques jours regarder du cul en me masturbant.
Grosses, bien grosses, c’est celle que je préfère regarder pensant qu’un jour j’en aurais une en moi.
Je suis tellement perturbée que je tombe au sol.
• Vous êtes-vous fait mal, vous semblez perdue, vous titubez, vous avez bu ?
• Un peu monsieur.
J’ai envie de lui dire pourquoi je suis devenue accro à mes cachets et à mon whisky.
Hier Lionel m’a demandé si j’avais reçu quelqu’un, sa bouteille étant descendue !
Ce matin j’ai fait livrer mes coursesJ’ai commandé deux bouteilles de bourbon que j’ai cachées au milieu des produits d'entretien sûrs qu’à cet endroit elles sont bien planquées.
• Venez, je suis médecin, mon cabinet est à deux pas.
Je suis en repos aujourd’hui, mais une vieille patiente qui vient de décéder.
Je me suis rendu chez elle pour faire son constat de décès.
Votre genou saigne, je vais vous soigner.
Il est vrai qu’ayant reçu deux bouteilles, j’ai un peu abusé et c’est loin d’être gratuitement que je suis entrée.
Docteur Léonard, la maison est crasseuse et très délabrée et c’est bien chez un médecin que j’entre dans son cabinet.
J’ai une pensée malhonnête quand je m’assoie sur la chaise près d’une table où se trouvent divers flacons.
• Donnez-moi votre jambe.
Posez là sur mon genou attention ça va piquer.
Il a pris un tampon de gaze sur lequel il met du liquide blanc.
• Aie !
• Douillette, attendez que je pose la gaze sur votre blessure.
Une pensée me vient, a-t-il une grosse bite.
• Je vais être indiscret, vous sortez souvent sans votre culotte ?
Un médecin, je suis enclin à des confidences, je lui raconte ma dépression due à mon supérieur me harcelant et le nouveau médicament que je prends.
• Vous prenez du Lacsus et vous buvez de l’alcool, vous me rapportez avoir des envies de sexe jamais ressenti.
• Quel docteur voyez-vous ?
Je lui donne le nom du docteur Martin dans mon quartier, il va le contacter.
• Votre docteur va vous appeler car les responsables du médicament viennent de le retirer du marché car chez certaines femmes, alcool et Lacsus ont les effets que vous avez remarqués.
• Tu veux éteindre le feu qui couve en moi ?
Je te jure je vais arrêter mais en attendant, ma chatte est en feu simplement à sentir la chaleur de ton corps passant par ton genou.
Je me lève, je m’agenouille et avant qu’il dise oui ou non, je le suce.
Noire et belle pas exceptionnelles, mais j’aime quand même.
Un peu plus grosse que celle de Lionel.
Léonard se laisse sucer contre toutes déontologies.
Son bras black étant tendu je m’empale pour mon plus grand plaisir.
Si ce médicament est ôté du marché il sera impossible de le trouver et ma vie va redevenir tout à fait normale.
Pour la première fois étant face à lui il entre distendant un peu plus ma chatte.
Sa bouche étant face à moi et pour la première fois depuis le SDF, je roule une pelle à un autre homme que le mien.
Avec les autres, j’offrais simplement mon cul surtout mon vagin.
Avec Léonard mon cœur s’accélère à ma porte de la crise cardiaque.
Je me fais énormément plaisir, l’orgasme qui m’atteint me dévaste.
Je dois être honnête, jamais au grand jamais j’ai joui autant avant qu’il me remplisse avec de longs jets frappant mon utérus.
Je le quitte repu de sexe, je constate qu’une jolie bite bien servi par son propriétaire sait faire jouir sa partenaire.
• Madame Véronique, vous pouvez passer me voir à 17 heures, il y a un problème avec votre traitement.
Je suis à l’heure.
Quand j’entre Léonard est là.
• J’étais en vacances et au retour, j’ai vu l’interdiction de commercialisation du Lacsus que je vous prescris.
Le docteur Léonard m’a contacté et j’ai souhaité sa visite après lui avoir annoncé pourquoi j’étais absent.
Je prends ma retraite et j’étais allé la maison où nous allons nous retirer avec mon épouse.
Il cherchait un cabinet mieux situé qu’à Barbès.
Nous sommes tombés d’accord pour mon remplacement et surtout le prix d’achat.
• Quand j’ai parlé de votre cas madame Véronique, Martin m’a expliqué que votre patron vous harcelait.
Il vous a suggéré de changer de travail.
Aline son attachée médicale avait émis le souhait d’arrêter elle aussi.
Pour la remplacer, je vous propose le poste si les conditions vous conviennent.
Avec moi soyez confiante aucun harcèlement.
J’ai adoré le vouvoiement nous qui nous tutoyons quand nous baisions hier.
Voilà, j’ai arrêté le Lacsus mais le sexe est toujours là.
Blanc avec Lionel et noir avec Léonard.
Lionel m’a demandé de lui pardonner son infidélité avec une de leurs secrétaires.
J’ai un toutou à la maison, surtout que je suis bien payée par Léonard qui me paye en euros et en liquide chaque fois que je le suce où qu’il me prenne dans son cabinet ses derniers clients étant parti.
Grâce à mes deux mâles je suis une femme comblée sans la moindre drogue dans mon corps.
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