COLLECTION FOLLE DU CUL. Économies d’énergie pour 1€ (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Économies d’énergie pour 1€ (1/2)
Depuis que Chris71, écris des textes sur des chaudasses, je me reconnais en elles.
Sans être chaudasse, il faut savoir que j’aime faire l’amour.
Même mieux, j’aime le sexe pour le sexe.
Durant l’année, moi Babeth, cette femme de cinquante-huit ans, j’aime profiter des occasions qui s’offrent à moi.
La nature, le travail et la pratique du sport ont fait qu’à la veille de ma soixantaine, je peux présenter aux hommes une silhouette encore agréable : 1m64 pour 60 kg.
Des cheveux courts, châtains et de petites rondeurs.
Mes seins sont durs et fermes, mais avec l’âge légèrement attiré par l’attraction terrestre.
Je sais, c’est un peu antinomique, ferme et tombant, mais avec un décolleté et un soutien pigeonnant, j'avoue que ma poitrine est loin de passer inaperçue.
Oui, leur masse commence à être attirée par la gravité, mais il y a pire.
Attention, je vois mon nombril, alors que d’autres les ont tombants comme des oreilles de cocker !
La nature veut que de tout temps, ils aient été magnifiques.
Des poires m'a-t-on souvent dit.
Je travaille, dans une entreprise de livraison de Dole, depuis ma sortie de l’école.
Je suis entourée de femmes et d’hommes au volant de leur camionnette, je les vois entrer et sortir depuis ma fenêtre.
Je suis secrétaire de direction, j’ai un revenu honnête, mais comme tout le monde, je serais payée plus, j’accepterais.
Le sport, jogging et piscine, j’aime faire des kilomètres.
Hélas, en ce mois d’avril la piscine est fermée avant l’été, travaux d’entretien obligent.
Je pourrais vous faire faire la connaissance de Christian, mon compagnon avec qui je partage des moments tendres, sans pour autant vivre l’un sur l’autre.
Christian dépasse les 70 ans et est à la retraite.
Il s’est trouvé près de moi à une période de ma vie un peu difficile entre mon divorce et le départ de mon fils.
Lui c’était pour la bonne cause, études puis indépendance que tout ado doit prendre quand la vie avance.
• Babeth, tu as reçu un coup de téléphone du conseil régional, dans le cadre de la loi du 1€ pour les économies d’énergie.
Un entrepreneur passera samedi matin pour évaluer les travaux que tu pourrais réaliser pour diminuer ta facture avec l’aide de l’état.
Il voulait venir vendredi, je l’aurais reçu, je lui ai dit que tu travaillais en semaine, il a proposé de passer samedi à 10 heures.
• Christian, des coups de téléphone pour ce genre d’arnaque on en reçoit tous les jours.
Tu le recevras et tu lui diras que nous nous excusons de l’avoir dérangé.
J’ai vérifié sur le site du conseil régional Bourgogne Franche-Comté, cet entrepreneur est référencé comme mandaté, alors où vois-tu une arnaque ?
Babeth, je serais là comme la plupart des samedis.
Samedi 10 heures, je suis persuadée de perdre une partie de mon temps surtout mon jour de repos.
Il est vrai que je me chauffe à l’électricité, la facture de cette maison des années 60 me coûte un bras, plus de 200 € par mois.
Heureusement, Christian est avec moi, questionne et écoute l'homme qui nous explique.
• Voilà, après calcul des surfaces, pour commencer, regardons les combles !
La laine de verre qu’ils posaient dans les années où la maison a été construite est fichue, c’est une vraie passoire thermique.
Après le calcul de tous les travaux, de vos revenues et des aides, il restera 400 € à votre charge.
Première partie la plus urgente, les combles, mais j’ai aussi regardé vos murs, vous avez une déperdition importante.
• Pour les murs, aussi, vous avez une solution !
Je vois, il faut les doubler par l’intérieur et ainsi certaines pièces seront de véritables timbres-poste.
• Erreur monsieur, c’est par l’extérieur que mes équipes travaillent.
Ils doublent les murs construits en matériau très peu isolant.
Il existe des matériaux modernes peu épais, mais à grand coefficient d’isolation et crépit à refaire pour finir.
Le vôtre arrive en fin de vie et il aurait fallu penser à un ravalement.
Votre maison retrouvera le lustre de sa jeunesse et à la revente, sa cote sera en hausse.
Tous vos voisins quand vous leur direz le prix restant à charge vous demanderont mon numéro pour que je passe un contrat avec eux.
Pour finir, vos poêles à frire, dans le métier, c’est ainsi que l’on nomme vos radiateurs des années 80.
Vous avez dû les changer une fois depuis la construction, ils seront aussi à remplacer, on fait beaucoup mieux.
Je vous installe des convecteurs de nouvelle génération avec masse de fonte rendant la chaleur qu’ils ont emmagasinée rapidement.
Calculons, combien ils vous coûteront.
• Tout ça c’est bien, mais combien pensez-vous que mon amie Babeth gagnera sur sa facture d’électricité ?
• Au moins 100 € au plus 120, par mois suivant les années et les hivers que nous rencontrerons.
En cinq ans, vous aurez récupéré votre investissement et vous pourrez commencer à prendre une semaine de vacances supplémentaire.
Ceci chaque année avec les économies faites.
• Babeth, il faut le faire, monsieur Charles à raison, j’ai quelques économies.
Je vais payer tous les travaux, tu me rembourseras chaque mois, bien sûr, sans intérêt.
Je suis assez souvent chez toi pour t’aider et quand tu seras à la retraite, tu viendras une quinzaine sur les plages de Marrakech au Maroc avec moi.
• Pour la laine de verre, ils viennent avec une équipe pour enlever le vieil isolant et insuffler le nouveau en peu de temps.
Ils pourront venir la semaine prochaine.
Pour les radiateurs, le temps de les commander, il faut des côtes et des puissances différentes, j’ai tout noté avant fin avril, ça sera fait.
Le plus long, l’extérieur, attendez, je regarde le planning de mes équipes.
La première qui est libre, ce serait vers le 15 mai, c’est ma meilleure, deux frères, des jumeaux, ils font toujours un travail impeccable.
Il faut compter 15 jours de travaux.
Tiens, vous qui parliez du Maroc, ils sont Marocains, ils bossent pour moi depuis des années, ils sont en règle.
Pour avoir la certification de notre conseil Régional, ils nous contrôlent sévèrement, impossible de tricher.
• Christian, qu’en penses-tu, nous acceptons !
• Signe Babeth, tu vas voir, ta maison sera tout autre.
Laine de verre, radiateurs, c’est fait, travail impeccable, Christian a supervisé les travaux.
La veille de l’attaque de la façade, je fais la connaissance d'Habib, le brun et d'Amir, le brun.
Entièrement identiques, ils sont grands et musclés.
Je suis sûr que même leur maman est dans l’impossibilité de les différencier.
Ils amènent leurs outils, échafaudage en tête qu’ils montent tout autour de ma maison.
Christian était là pour les travaux intérieurs, pour l’extérieur, il est parti au Maroc.
Il a pris des places d'avion pour rejoindre ses deux garçons pour ses vacances de printemps, toujours fin mai.
Aucun problème, je surveillerai seule le chanter.
Ce matin, ils sont là, ils ont de l’eau et comme ils travaillent dehors, ma maison est fermée à mes heures en entreprise.
Ils ont déjà déposé des éléments d’échafaudage, je me prends les pieds dans des attaches me tordant méchamment la cheville.
Résultat quinze jours sans poser le pied au sol.
Béquille et bandage que l’infirmière viendra me refaire chaque matin.
• Messieurs, vous aurez à me supporter le temps de vos travaux, je suis obligée de rester afin de reposer ma cheville.
Joli mois de mai, je peux enfin profiter de ma chaise longue que Christian m’a sortie avant de m’embrasser et d’aller prendre son avion.
L’échafaudage en place, je vois Habib parler à son frère qui monte dans leur camion et part.
Je vois Amir venir vers moi, une bouteille d’eau à la main.
• Vous avez une bien belle maison, Madame.
Charles nous a dit que vous vous appelez Babeth si je peux me permettre.
Il est en pantalon de travail et en maillot de corps.
Ses gros bras musclés brillent dans le soleil.
• Je peux vous faire un compliment.
• Un homme qui fait un compliment à une dame est toujours un gentleman.
• Vous avez une magnifique poitrine.
Il marque un temps, est-il gêné ou allait-il dire, pour votre âge ?
• Je m’excuse, je suis impoli de parler de ses seins à une dame, mais c’est si vrai.
Je rougis, gênée aussi, mais appréciant le compliment, je décide de changer de sujet.
• Au Maroc êtes-vous marié ?
• Amir oui, moi non, je suis célibataire.
J’ai donc tout faux, c’est Habib qui est devant moi.
• Vous retournez souvent dans votre pays où la femme de votre frère est-elle ici ?
• Non, elle est là-bas, ça posait trop de problèmes de la faire venir avec les enfants.
Il en a cinq avec Amira, on leur a refusé le droit au regroupement familial. Nous prenons l’avion après votre chantier pour trois jours avant de revenir en attaquer un nouveau.
Avec ces aides de la Région, c’est fou le boulot qu’il y a.
Il retourne à son travail, il fait chaud, je suis bien à bronzer.
Chouette cette année j’irai sur la côte méditerranéenne chez mon amie Josiane, je serai presque aussi noire qu’elle.
Je l’ai vu en février, nous avons passé des moments fous en présence de mon neveu Noël et de Lucette, son amie.
Un petit ennui bien naturel, une envie soudaine, m’oblige à me lever pour entrer à la maison.
J’avance avec mes béquilles, j’ignore, comment je fais, mais je me prends les pieds avec l’une d’elles et je fais un plat.
• Eh bien, ma petite dame, demandez-moi !
Je suis prêt à vous implanter une piscine, dans l’eau vous prendrez moins de risque à plonger régulièrement comme vous venez de le faire
Nous rigolons, il m’aide à me relever, plus de peur que de mal.
• Je vais vous accompagner, c’est plus sûr.
Il passe son bras derrière mon dos, sa main, sous mon bras, arrive sur mon sein.
J’ai parlé de chaudasses, là je le suis, cette main me fait frémir.
Je sens la pointe de mes mamelons tirer le soutien-gorge de mon maillot deux pièces.
• Attention à la marche.
Entrez, je vais rester derrière la porte et vous attendre pour vous raccompagner jusqu’à votre transat.
J’entre dans les toilettes, je pousse la porte et je m’assieds sur la lunette.
Savoir que cet homme d’une trentaine d'années doit entendre mon jet d’urine tomber au fond de la cuvette devrait me paniquer.
Non, au contraire, j’aime.
Quand j’ai terminé m’ayant essuyé ma chatte, je me redresse, mais au moment où mon pied blessé touche le sol, je sens une douleur.
Je retombe sans le vouloir, faisant un grand bruit avec l’abattant qui a dû casser.
• Que vous arrive-t-il, êtes-vous une nouvelle fois tombée ?
C’est loin d’être votre jour.
Habib est entré, j’ai ma petite culotte aux pieds.
Je suis assise.
Il m’aide à me redresser, ma tête est à hauteur de la braguette de son jean.
Que dire, c’est lui ou de moi, qui tir sur le Zip ?
Dans des années, on l’ignorera, mais à ce moment ce qu’il y a de sûr, c’est qu’une verge de bonne proportion se retrouve à l’air libre.
Je la saisis et sans plus me poser de questions, la masturbant, je me mets à la pomper.
Là, on peut dire que je suis une grosse cochonne !
Le sexe qui se tend devant moi est long et surtout épais.
Il est entouré de poils noirs très longs.
Christian avant de partir et depuis quelques jours m’a ignoré, comme il le fait à cause de son âge.
Je suis en manque, d'où ma réaction.
La fellation que je pratique à mon Marocain semble être le début de jeux entre nous, il est là pour quinze jours…
Sans être chaudasse, il faut savoir que j’aime faire l’amour.
Même mieux, j’aime le sexe pour le sexe.
Durant l’année, moi Babeth, cette femme de cinquante-huit ans, j’aime profiter des occasions qui s’offrent à moi.
La nature, le travail et la pratique du sport ont fait qu’à la veille de ma soixantaine, je peux présenter aux hommes une silhouette encore agréable : 1m64 pour 60 kg.
Des cheveux courts, châtains et de petites rondeurs.
Mes seins sont durs et fermes, mais avec l’âge légèrement attiré par l’attraction terrestre.
Je sais, c’est un peu antinomique, ferme et tombant, mais avec un décolleté et un soutien pigeonnant, j'avoue que ma poitrine est loin de passer inaperçue.
Oui, leur masse commence à être attirée par la gravité, mais il y a pire.
Attention, je vois mon nombril, alors que d’autres les ont tombants comme des oreilles de cocker !
La nature veut que de tout temps, ils aient été magnifiques.
Des poires m'a-t-on souvent dit.
Je travaille, dans une entreprise de livraison de Dole, depuis ma sortie de l’école.
Je suis entourée de femmes et d’hommes au volant de leur camionnette, je les vois entrer et sortir depuis ma fenêtre.
Je suis secrétaire de direction, j’ai un revenu honnête, mais comme tout le monde, je serais payée plus, j’accepterais.
Le sport, jogging et piscine, j’aime faire des kilomètres.
Hélas, en ce mois d’avril la piscine est fermée avant l’été, travaux d’entretien obligent.
Je pourrais vous faire faire la connaissance de Christian, mon compagnon avec qui je partage des moments tendres, sans pour autant vivre l’un sur l’autre.
Christian dépasse les 70 ans et est à la retraite.
Il s’est trouvé près de moi à une période de ma vie un peu difficile entre mon divorce et le départ de mon fils.
Lui c’était pour la bonne cause, études puis indépendance que tout ado doit prendre quand la vie avance.
• Babeth, tu as reçu un coup de téléphone du conseil régional, dans le cadre de la loi du 1€ pour les économies d’énergie.
Un entrepreneur passera samedi matin pour évaluer les travaux que tu pourrais réaliser pour diminuer ta facture avec l’aide de l’état.
Il voulait venir vendredi, je l’aurais reçu, je lui ai dit que tu travaillais en semaine, il a proposé de passer samedi à 10 heures.
• Christian, des coups de téléphone pour ce genre d’arnaque on en reçoit tous les jours.
Tu le recevras et tu lui diras que nous nous excusons de l’avoir dérangé.
J’ai vérifié sur le site du conseil régional Bourgogne Franche-Comté, cet entrepreneur est référencé comme mandaté, alors où vois-tu une arnaque ?
Babeth, je serais là comme la plupart des samedis.
Samedi 10 heures, je suis persuadée de perdre une partie de mon temps surtout mon jour de repos.
Il est vrai que je me chauffe à l’électricité, la facture de cette maison des années 60 me coûte un bras, plus de 200 € par mois.
Heureusement, Christian est avec moi, questionne et écoute l'homme qui nous explique.
• Voilà, après calcul des surfaces, pour commencer, regardons les combles !
La laine de verre qu’ils posaient dans les années où la maison a été construite est fichue, c’est une vraie passoire thermique.
Après le calcul de tous les travaux, de vos revenues et des aides, il restera 400 € à votre charge.
Première partie la plus urgente, les combles, mais j’ai aussi regardé vos murs, vous avez une déperdition importante.
• Pour les murs, aussi, vous avez une solution !
Je vois, il faut les doubler par l’intérieur et ainsi certaines pièces seront de véritables timbres-poste.
• Erreur monsieur, c’est par l’extérieur que mes équipes travaillent.
Ils doublent les murs construits en matériau très peu isolant.
Il existe des matériaux modernes peu épais, mais à grand coefficient d’isolation et crépit à refaire pour finir.
Le vôtre arrive en fin de vie et il aurait fallu penser à un ravalement.
Votre maison retrouvera le lustre de sa jeunesse et à la revente, sa cote sera en hausse.
Tous vos voisins quand vous leur direz le prix restant à charge vous demanderont mon numéro pour que je passe un contrat avec eux.
Pour finir, vos poêles à frire, dans le métier, c’est ainsi que l’on nomme vos radiateurs des années 80.
Vous avez dû les changer une fois depuis la construction, ils seront aussi à remplacer, on fait beaucoup mieux.
Je vous installe des convecteurs de nouvelle génération avec masse de fonte rendant la chaleur qu’ils ont emmagasinée rapidement.
Calculons, combien ils vous coûteront.
• Tout ça c’est bien, mais combien pensez-vous que mon amie Babeth gagnera sur sa facture d’électricité ?
• Au moins 100 € au plus 120, par mois suivant les années et les hivers que nous rencontrerons.
En cinq ans, vous aurez récupéré votre investissement et vous pourrez commencer à prendre une semaine de vacances supplémentaire.
Ceci chaque année avec les économies faites.
• Babeth, il faut le faire, monsieur Charles à raison, j’ai quelques économies.
Je vais payer tous les travaux, tu me rembourseras chaque mois, bien sûr, sans intérêt.
Je suis assez souvent chez toi pour t’aider et quand tu seras à la retraite, tu viendras une quinzaine sur les plages de Marrakech au Maroc avec moi.
• Pour la laine de verre, ils viennent avec une équipe pour enlever le vieil isolant et insuffler le nouveau en peu de temps.
Ils pourront venir la semaine prochaine.
Pour les radiateurs, le temps de les commander, il faut des côtes et des puissances différentes, j’ai tout noté avant fin avril, ça sera fait.
Le plus long, l’extérieur, attendez, je regarde le planning de mes équipes.
La première qui est libre, ce serait vers le 15 mai, c’est ma meilleure, deux frères, des jumeaux, ils font toujours un travail impeccable.
Il faut compter 15 jours de travaux.
Tiens, vous qui parliez du Maroc, ils sont Marocains, ils bossent pour moi depuis des années, ils sont en règle.
Pour avoir la certification de notre conseil Régional, ils nous contrôlent sévèrement, impossible de tricher.
• Christian, qu’en penses-tu, nous acceptons !
• Signe Babeth, tu vas voir, ta maison sera tout autre.
Laine de verre, radiateurs, c’est fait, travail impeccable, Christian a supervisé les travaux.
La veille de l’attaque de la façade, je fais la connaissance d'Habib, le brun et d'Amir, le brun.
Entièrement identiques, ils sont grands et musclés.
Je suis sûr que même leur maman est dans l’impossibilité de les différencier.
Ils amènent leurs outils, échafaudage en tête qu’ils montent tout autour de ma maison.
Christian était là pour les travaux intérieurs, pour l’extérieur, il est parti au Maroc.
Il a pris des places d'avion pour rejoindre ses deux garçons pour ses vacances de printemps, toujours fin mai.
Aucun problème, je surveillerai seule le chanter.
Ce matin, ils sont là, ils ont de l’eau et comme ils travaillent dehors, ma maison est fermée à mes heures en entreprise.
Ils ont déjà déposé des éléments d’échafaudage, je me prends les pieds dans des attaches me tordant méchamment la cheville.
Résultat quinze jours sans poser le pied au sol.
Béquille et bandage que l’infirmière viendra me refaire chaque matin.
• Messieurs, vous aurez à me supporter le temps de vos travaux, je suis obligée de rester afin de reposer ma cheville.
Joli mois de mai, je peux enfin profiter de ma chaise longue que Christian m’a sortie avant de m’embrasser et d’aller prendre son avion.
L’échafaudage en place, je vois Habib parler à son frère qui monte dans leur camion et part.
Je vois Amir venir vers moi, une bouteille d’eau à la main.
• Vous avez une bien belle maison, Madame.
Charles nous a dit que vous vous appelez Babeth si je peux me permettre.
Il est en pantalon de travail et en maillot de corps.
Ses gros bras musclés brillent dans le soleil.
• Je peux vous faire un compliment.
• Un homme qui fait un compliment à une dame est toujours un gentleman.
• Vous avez une magnifique poitrine.
Il marque un temps, est-il gêné ou allait-il dire, pour votre âge ?
• Je m’excuse, je suis impoli de parler de ses seins à une dame, mais c’est si vrai.
Je rougis, gênée aussi, mais appréciant le compliment, je décide de changer de sujet.
• Au Maroc êtes-vous marié ?
• Amir oui, moi non, je suis célibataire.
J’ai donc tout faux, c’est Habib qui est devant moi.
• Vous retournez souvent dans votre pays où la femme de votre frère est-elle ici ?
• Non, elle est là-bas, ça posait trop de problèmes de la faire venir avec les enfants.
Il en a cinq avec Amira, on leur a refusé le droit au regroupement familial. Nous prenons l’avion après votre chantier pour trois jours avant de revenir en attaquer un nouveau.
Avec ces aides de la Région, c’est fou le boulot qu’il y a.
Il retourne à son travail, il fait chaud, je suis bien à bronzer.
Chouette cette année j’irai sur la côte méditerranéenne chez mon amie Josiane, je serai presque aussi noire qu’elle.
Je l’ai vu en février, nous avons passé des moments fous en présence de mon neveu Noël et de Lucette, son amie.
Un petit ennui bien naturel, une envie soudaine, m’oblige à me lever pour entrer à la maison.
J’avance avec mes béquilles, j’ignore, comment je fais, mais je me prends les pieds avec l’une d’elles et je fais un plat.
• Eh bien, ma petite dame, demandez-moi !
Je suis prêt à vous implanter une piscine, dans l’eau vous prendrez moins de risque à plonger régulièrement comme vous venez de le faire
Nous rigolons, il m’aide à me relever, plus de peur que de mal.
• Je vais vous accompagner, c’est plus sûr.
Il passe son bras derrière mon dos, sa main, sous mon bras, arrive sur mon sein.
J’ai parlé de chaudasses, là je le suis, cette main me fait frémir.
Je sens la pointe de mes mamelons tirer le soutien-gorge de mon maillot deux pièces.
• Attention à la marche.
Entrez, je vais rester derrière la porte et vous attendre pour vous raccompagner jusqu’à votre transat.
J’entre dans les toilettes, je pousse la porte et je m’assieds sur la lunette.
Savoir que cet homme d’une trentaine d'années doit entendre mon jet d’urine tomber au fond de la cuvette devrait me paniquer.
Non, au contraire, j’aime.
Quand j’ai terminé m’ayant essuyé ma chatte, je me redresse, mais au moment où mon pied blessé touche le sol, je sens une douleur.
Je retombe sans le vouloir, faisant un grand bruit avec l’abattant qui a dû casser.
• Que vous arrive-t-il, êtes-vous une nouvelle fois tombée ?
C’est loin d’être votre jour.
Habib est entré, j’ai ma petite culotte aux pieds.
Je suis assise.
Il m’aide à me redresser, ma tête est à hauteur de la braguette de son jean.
Que dire, c’est lui ou de moi, qui tir sur le Zip ?
Dans des années, on l’ignorera, mais à ce moment ce qu’il y a de sûr, c’est qu’une verge de bonne proportion se retrouve à l’air libre.
Je la saisis et sans plus me poser de questions, la masturbant, je me mets à la pomper.
Là, on peut dire que je suis une grosse cochonne !
Le sexe qui se tend devant moi est long et surtout épais.
Il est entouré de poils noirs très longs.
Christian avant de partir et depuis quelques jours m’a ignoré, comme il le fait à cause de son âge.
Je suis en manque, d'où ma réaction.
La fellation que je pratique à mon Marocain semble être le début de jeux entre nous, il est là pour quinze jours…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
cher lecteur, je ne suis pas loin, je me la réserve...
Si cette histoire est vrai, je suis de Dole j'aimerai bien être mis en relation avec cette babeth
Babeth n'a pas laissé passer l'occasion!