COLLECTION FOLLE DU CUL. J’ai toujours vécu à mille à l’heure (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. J’ai toujours vécu à mille à l’heure (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. J’ai toujours vécu à mille à l’heure (1/2)
• Qui peut me dire ce que je fais dans ce lit et cette chambre inconnue.

Je prononce ces mots d’une voix incertaine, les sons ayant du mal à sortir de ma bouche.

• Je suis là Céline ma chérie, j’ai pris le premier avion disponible pour te rejoindre à Boston depuis Paris dès que l’on m’a prévenu.

Je toune ma tête, Serge mon mari est là, la lumière petit à petit me revient.
J’étais presque arrivée au marathon de Boston lorsque j’ai été fauché en pleine course et que la lumière s’est éteinte.
À mes côtés, un grand noir essayait de me battre refusant qu’une femme arrive avant lui.
Je serais les dents, car un léger coup d’œil de côté et je voyais le collant qui le recouvrait promesse d’une belle fin de journée après cette course de 42 kilomètres.
Que m’était-il arrivé ?

• Deux fous ont fait un attentat et tu fais partie des blessées, ils t’ont amené à l’hôpital central ou ils t’ont opéré !

Opérée, pour moi, ça me rappelle mes douze ans et une opération de l’appendicite sans plus, je suis une femme de vingt-cinq ans en pleine forme puisque je courrais ce marathon.
C’était le troisième après Paris et New York.
Ma vie de casse-cou, je l’ai commencé dès mon adolescence chez ma grand-mère.
J’étais arrivée à monter sur le mur de clôture et j’avançais à plus d’un mètre de haut en toute insouciance.
C’est la troisième fois que je suis tombée me fracturant le bras et obligeant l’infirmier à me mettre un plâtre.
Cette fois-là, ce fut un simple accident, l’adrénaline que me produisaient mes intrépidités, je les ai ressentis plus tard.
Le sexe, ce fut comme bien des jeunes femmes en solitaire que je devais découvrir mon corps et à sa base l’excitation que me produisaient mes intrépidités.
Adolescente pour mes premières intrépidités et environ douze ans pour les plaisirs solitaires et près de mes dix-huit ans ma première excitation due à un véritable homme.
Casse-cou, j’avais réussi à convaincre mes parents de sauter en parachute en duo avec Virgil, le père d’un copain, parachutiste chevronné.
Ce fut mon cadeau pour le jour de mes dix-huit ans, il voulait m’offrir une bague, mais j’ai réussi à les convaincre que ce saut serait plus bénéfique pour moi.

Malgré notre harnachement et le saut dans le vide à 3 000 mètres, je sentais sa verge sur l’arrière de mon corps.
Est-ce cette verge ou la peur du saut dans le vide, mais une fois au sol, j’ai constaté que mon collant de saut était trempé.
Un moment j’ai cru que j’avais pissé de peur, mais dès mes sauts en solo ce phénomène était toujours le même.
Avec Virgil il m’en fallait plus, je me suis mise aux vols libres.
Départ à 4 000 mètres et plongés dans le vide, nous nous mettions en position pour que l’air nous porte et nous arrivions même à nous rejoindre malgré la descente inexorable, la gravité faisant loi.
Une fois, dans l’arrière de l’avion, j’ai caressé Virgil, il bandait.
J’ai ôté ma combinaison avant de remettre mon parachute.
Je sais, j’étais folle, mais je voulais tenter quelque chose de nouveau lors de ce saut.
Il est parti avant moi le regard étonné et je l’ai rattrapé me collant à lui.
Il m’a attrapé ma chatte à la hauteur de sa bouche.
Je dégoulinais sous l’intrépidité de mon audace.
J’ai trouvé sa verge et ce fut ma première fellation.
Nos parachutes étaient réglés pour s’ouvrir automatiquement à 1 000 mètres, mais ce con a failli se faire émasculer en tirant sur sa poigner à 1 500 mètres.
Il est parti vers le haut moi continuant ma chute vertigineuse avec comme nous l’avions prévu une ouverture à 1 000 mètres.
Virgil a réussi à se poser à mes côtés, nous avons défait nos harnais et c’est en levrette dans un champ de levrette que j’ai perdu mon pucelage.
J’avais bien sûr prévu de me rhabiller et est-ce mes intrépidités, mais l’orgasme que Virgil m’a apporté devait seller mes envies de sexe chaque fois que je faisais monter mon adrénaline.
Une fois redevenue présentable, nous avons remonté le champ pour rejoindre la route qui se trouvait à quelques mètres en portant nos parachutes.
Avec son portable il a signalé où nous nous trouvions et c’est assis sur une barrière de sécurité que nous avons attendue la voiture de l’aéroclub.
Quelques jours plus tard, étant en vacances, il m’a appelé pour me dire qu’il était seul chez lui et qu’un Jacuzzi m’attendait, son fils et sa femme étant chez les grands-parents.
J’ai failli le rembarrer, je savais déjà ce que je voulais vivre à cent à l’heure et me servir d’homme comme de Kleenex, avec Virgil je pensais avoir fait le tour de ce qu’il pouvait m’apporter.
Par chance, je trainais ma flemme depuis le matin et changée d’air pour moi une fille hyperactive me sortirait de ma torpeur due à la chaleur.
Il m’a reçu nu et rapidement voyant le Spa bouillonné sur leur terrasse, je l’ai suivi en me dénudant.
Il est venu se coller à moi, j’allais laisser faire quand quelqu’un est entré dans l’eau.
C’était Enzo son fil un peu plus jeune que moi.

• Céline, je t’ai menti, mon fils est resté ici et il est puceau comme toi tu l’étais lorsque l’on a sauté et atterrit dans la luzerne, laisse-toi faire, rend-lui ce service.

La plupart des jeunes filles se seraient sauvées en courant, mais la queue qu’il me présente me fait envie.
Il s’assied sur un des sièges du Spa et c’est moi qui présente ma chatte au pieu dont le gland sort de l’eau.
Je m’empale, c’est à ce moment que je sens Virgil se déplacer et se coller à moi.
J’ai bien senti que le chemin qu’il désirait prendre était tout autre que dans la luzerne, de toute façon la première voie était déjà occupée par Enzo.
Ce fut ma première expérience avec deux hommes, depuis à la fin du marathon de New York j’ai remis ça, mais là je vais trop vite.
Avant ce marathon, il y a eu celui de Paris et ma première expérience lesbienne.
Là encore je vais trop vite, je l’ai dit même dans les mots, je suis une petite Speedy Gonzalès.
Lorsque je regarde Serge, mon mari, il y a eu ma rencontre avec celui que j’ai accepté d’épouser.
Après Virgil et Enzo, au grand dam de mes parents j’ai eu quelques amants.
Je faisais des études de chimie, mais profitant des largesses financières de mes parents, j’étais plus glandeuse que travailleuse.
Ce couple parfait avait tendance à m’exaspérer, ils étaient trop lisses, mais s’ils avaient une vie parallèle, je l’ignorais et je voulais rester en dehors de leurs turpitudes, j’avais assez des miennes.
Sans rentrer dans les détails, c’est dans le lit de notre médecin de famille que je me suis ouvert à cette vie intrépide m’apportant bien du plaisir, mais des tracas pour mes parents.
Il m’a conseillé de courir.
J’ai suivi son conseil dans le parc Montsouris que j’ai commencé la course à pied.
Un jour, j’ai croisé celui que je devais apprendre s’appeler Serge et être directeur de banque non loin du parc.
Serge qui dès le lendemain m’attendait pour que nous dépensions notre énergie ensemble.
Serge, qui bien vite a été le compagnon idéal pour mes parents par sa douceur et sa patience avec une fille comme moi.
Serge qui m’a rapidement fait l’amour sans les fioritures que j’appréciais, j’ai tenté la sodomie qui est restée lettre morte.
Il plaisait à maman, c’était là le principal, elle arrêterait de m’emmerder afin que je devienne la même femme qu’elle est depuis son mariage.
Je me suis mariée sachant que les mots « dans la fidélité» aussitôt prononcée aussitôt oubliée.
Du moins dans les semaines qui ont suivi, car avant il y a eu notre installation dans son appartement avec vue sur la Seine qui a freiné mes besoins sexuels.
J’ai couru jusqu’à être prête à faire plusieurs semi-marathons sur la planète France.
À ce stade Serge me suivait à Mâcon, en Bretagne jusqu’à ce qu’il décroche à cause de son travail et les distances que je lui mettais dans la vue.
C’est lui qui éteignait le feu qui couvait en moi jusqu’au marathon de Paris.
Vu mes résultats sur 20 kilomètres j’ai décroché un dossard si recherché tellement l’engouement était grand.
Les éthiopiennes et autres femmes de couleur noire m’ont devancé du moins une grande partie.
Pour les autres, je suis arrivée bien placé malgré l’aide que j’ai apporté à Sandrine une jeune femme déjà vue dans le parc Montsouris , mais sans aucun contact que des regards.
Elle avait un point de côté et était à deux doigts d’abandonné à moins de deux kilomètres de notre but.
La foule était telle qu’il m’a été impossible de retrouver Serge.
Sandrine habitait seule à quelques pâtés de maisons du lieu d’arrivée et m’a proposé de monter pour me réchauffer, car un orage avait balayé la ligne d’arrivée.
C’est chez elle que nous nous sommes dénudées, Sandrine aurait eu une bite, je lui aurais sauté dessus tellement malgré la fatigue, mon adrénaline avait passé quelques paliers.
Sandrine avait une salle de bain avec une douche à l’Italienne et c’est presque collé l’une à l’autre qu’elle a commencé à faire couler l’eau.
Sandrine était aussi blonde que je suis brune.
Pour la première fois de ma vie trépidante, les seins d’une femme sont collés aux miens.
Approchant sa bouche, je reçois son baiser avec avidité.
Depuis l’épisode de mon plongeon dans le vide et de mon dépucelage arrivé au sol, comme je l’ai dit, j’ai eu des amants d’un seul coup.
C’était tous des baisers virils, mais là ils sont suaves avec l’envie qu’ils durent le plus longtemps possible.
Lorsque je sens la main de Sandrine descendre le long de mon corps et se glisser entre nous pour pénétrer ma chatte, malgré la fatigue et les crampes qui commençaient à arriver deux pas de mon but, les 42 kilomètres.
Je fléchis les jambes pour me laisser pénétrer.
Dès que deux doigts me pénètrent, une jouissance me frappe.
Je voudrais que cette douceur soit sans fin.
Tous mes amants m’ont fait jouir, mais avec elle, c’est une succession de plaisirs qui me submerge.

Je sais, j’aime me raconter, mais je tiens dans un coin de ma tête, pourquoi suis-je dans une chambre d’hôpital à Boston avec Serge mon mari à mes côtés lui qui était dans l’impossibilité de venir directement avec moi...

Les avis des lecteurs

Chris sait créer le suspens pour tenir ses lecteurs en haleine!



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