COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (1/8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (1/8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (1/8)
Histoire en huit chapitres, les quatre premiers, quelques autres textes et les quatre derniers...

• Aller Franck dépêche-toi, on risque d’être en retard pour ton entré en fac.
• Je vérifie que toute ma jeunesse est bien rangée.
• Eh ! oui fiston, tu entres en fac pour un adolescent s’est important.
Je me souviens de la mienne lorsque j’avais ton âge, même si c’est là-bas que j’ai rencontré ton père et que j’ai manqué de balayer toutes mes études.
J’ai dû assumer seule, car il a refusé de reconnaître ta naissance, mais quand je vois le beau garçon devenu, je suis contente d’avoir assumé mon travail et ton éducation.

Je m’appelle Véronique, j’ai trente-neuf ans.
Je suis une mère célibataire et quand je dis que j’ai réussi à tout réaliser, je parle de la fin de mes études, la mise au monde de Franck et l’ouverture de mon cabinet de kinésithérapeute.
J’emploie deux autres professionnels, Jennifer trente ans et Pablo vingt-neuf ans.
Ce cabinet se trouve à Chalon-sur-Saône berceau de la photographie par Nicéphore Niepce.
Je travaille au sud de la ville alors que j’ai acheté une maison au Nord-Est surplombant la Saône.
Bref, malgré mon isolement sexuel, je suis une femme heureuse pensant avoir réussi ma vie.

Nous prenons l’autoroute à Chalon Nord, direction Dijon.
Nous arrivons devant l’immeuble où les jeunes potaches louent des studios à un prix abordable.
C’est grâce au mari de ma copine Chrystel, la voisine où j’habite qu’il a pu avoir ce logement.
Chrystel a une boutique de fleurs et est aussi une de mes clientes après une chute de cheval dans les monts morvandiaux.
Quand elle est venue, nous ignorions que nous avions des demeures voisines et comme moi travaillait à Chalon.

Affaires déposées, je veux rejoindre mon cabinet avant la fermeture.
Un bouchon puis une crevaison où un charmant monsieur d’une camionnette de patrouille me change ma roue, il est trop tard pour passer voir Jennifer qui assure en mon absence.
Est-ce ma nouvelle liberté depuis la naissance de mon fils, mais je regarde ce beau gosse avec d’autres yeux que ceux que j’aurais eus quand il était là.
Je parlais d’isolement sexuel, ce qui est sûr, c’est que depuis l’abandon du père de Franck à part quelques petites masturbations vite oubliées, le sexe et moi sommes restés lettre morte.
Je rentre chez moi, garant ma petit C3.
En prévision des études de mon fils même si la kinési marche bien, je vis chichement.
Il faut dire que très jeune j’avais tendance à l’embonpoint aussi depuis l’âge de seize ans, je fais très attention à ma ligne.
Pour l’entretenir, je pratique la course à pied tous les dimanches matin sauf quand il neige ou s’il y a du verglas.
Bref 1 mètre 60 et 58 kilos.
Je pourrais perdre quelques grammes si ma poitrine était moins volumineuse.
Lorsque je m’admire dans ma glace de salle de bains ayant laissé la porte ouverte pour la première fois depuis la naissance de Franck de peur d’être vue nue, je suis fier de son équilibre et de mes tétons en forme de poires.
À l’adolescence quand ils ont commencé à pousser, j’ai vu un poster de Clara Morgane, les miens sont en tout point identique.
Dommage qu’à part Franck qui les a tétés, ma peur de traumatiser mon fils ait fait qu’ils sont restés en état de léthargie.
Moi qui ai mis ma sexualité en sommeil quand je les regarde, une envie impérieuse de les masser s’empare de moi.
J’ose les caresser, j’ose en pincer la pointe les rendant ultra sensibles, prenant peur de leur réaction.
Comme je l’ai dit quelques masturbations, c’est tout et depuis le calme plat.
Je me calme, à mon âge, je vois mal me mettre des doigts pour me masturber.
Je prends mon bain, je me sèche, je passe mon peignoir d’été.
Il fait encore chaud et je vais dans ma cuisine récupérer ma salade verte avec tomate et œuf dur assaisonné d’un jus de citron.
Je sais habiter en Bourgogne pays du jambon persillé ou autres charcuteries de la région Morvandienne, sans oublier la poularde de Bresse, simplement lorsque je l’écris, j’en salive.
Hélas, mon repas du soir est frugal, mais c’est ce qu’il me faut pour garder ma ligne.

Au moment de sortir sur la terrasse manger ce festin sur le côté du micro-onde, je vois une bouteille de Mercurey ouverte, la valeur d’un verre bu.
J’en ai acheté 12 à la foire de Chalon, il y a un an et Franck en a ouvert une pour fêter son émancipation.
Il est vrai qu’au plus loin que mon cerveau est capable de remonter, c’est notre première séparation qui semble être définitive.
Le jeune oiseau prenant son envol même si je sais qu’une fois ses études de kinésithérapeute terminées, il me reviendra pour partager mon travail et préparer ma retraite dans une vingtaine d’années.
J’aime le vin et surtout ceux de Mercurey, vin très charpenté, je m’en sers un verre prenant comme motif que lorsque Franck reviendra, il sera éventé.
Je suis bien, je viens de finir ma salade et j’ai bu deux verres de vin.
Mon peignoir s'est ouvert montrant ma chatte épilée.
Ma chatte et mes cheveux, ce sont les deux parties de mon corps que depuis des années j’ai choyé.
Sans être pompette, je plane légèrement.
Ma main insidieusement m’échappe et viens se poser tout près de mon vagin.
Un instant, je sens que j’ai peur de franchir le pas.
Un autre verre me permet de gagner du temps quand je saisis la bouteille et que je me sers.
Mais cela prend peu de temps et la chaleur dans mon bas-ventre monte de plus en plus.
Ma main, non mon doigt vient se poser sur mon bouton sachant bien que je suis vaginale et non clitoridienne.
Ça c’est le père de Franck dont mon cerveau a oublié le nom ou que par principe je l’ai oublié, qui me l’a dit dans les rares rapports que nous avons eus avant sa fuite, vu ma grossesse.
Il avait raison, mon ventre me chauffe de l’intérieur, mais mon clito me laisse en plan.
J’ai une réaction inattendue.
Je me lève laissant mon peignoir sur la chaise où j’étais assise ainsi que le plat vide de salade, le verre et la bouteille.
Je vais dans la chambre dans un certain brouillard, je m’habille, je me regarde dans la glace, je fais pouffer mes cheveux et je descends au garage récupérer Titine.
Je sais Titine, ça fait clicher, mais c’est le vendeur qui l’a surnommé comme ça devant Franck et depuis ce jour, ce nom lui est resté.
Bien sûr, j’ai un peu bu, mais comme de nombreux conducteurs de chez moi jusqu’au parking près de l’île Saint-Laurent, ça roule.
Par chance aucun contrôle, je sais dans ces vieilles rues trouver le bar que j’ai vu un jour en me promenant avec mon fils.

J’entre, je vais m’asseoir au comptoir sur un grand tabouret.
Ma courte jupe remonte montrant mes jarretelles retenant mes bas noirs.
Mon chemisier en voile blanc ouvert jusqu’à la vallée de mes seins les mets en valeur.
Devant ma glace, j’en avais défait un de plus, mais je me suis senti trop provocante.

• Que voulez-vous boire belle dame ?
• Belle dame, comme vous y allez, un whisky coca, s’il vous plait.

Du vin oui, j’ai prouvé que j’en bois, mais de l’alcool pur même dilué dans une boisson gazeuse, c’est la première fois.

• Une cigarette.
• Pardon !
• Je vous demande si vous voulez une cigarette.
• Oui, merci, vous êtes bien aimable.
Non, ranger votre briquet, la fumée m’indispose.
• Vous prenez une cigarette sans fumer, vous êtes une femme très étrange.
Comment vous nomme-t-on ?
• Véronique, je m’appelle Véronique.
La cigarette, je voulais éviter de vous vexer.
• J’aime votre humour, vous habitez chez vos parents.
• Bien joués, mais ils m’ont dit d’éviter de parler à des inconnus.
• Sébastien, je m’appelle Sébastien, tes parents seront satisfaits, vous me connaissez maintenant.
Que fait une jolie femme comme toi dans un bar plutôt fréquenté par des hommes à cette heure !
• J’ai conduit mon fils à la fac de Dijon et quand je suis rentré chez moi, son absence m’a été insupportable et toi.

Le tutoiement nous est venu naturellement, pourtant avec ma clientèle il est très rare que j’emploie le « Tu » !
Quand je le regarde, alors que je joue avec la cigarette, ce jeune homme semble charmant, que peut-il faire, lui aussi dans ce bar.

• Je comprends, ça va m’arriver un jour avec ma fille alors que ce soir, moi aussi je viens de couper le cordon avec elle.
• Tu es bien jeune pour avoir une fille rentrant en fac.
• Détrompe-toi, c’est ma femme qui m’a annoncé il y a huit jours qu’elle me quittait emmenant ma fille de dix ans pour Saintes, tu connais, c’est en Charente-Maritime.
Elle va prendre un poste de prof de Français.
• Tu les verras quand elles seront en vacances, comme moi pour mon fils !
Tu les verras à Saintes ou ici lorsqu’elles te rejoindront !
• Non, demain matin, son amant vient la chercher et ils les emmènent loin de moi, elle a demandé le divorce.
En parlant Cognac, en veux-tu un ?
• Et toi aussi, rester près d’elles cette dernière soirée t’a été impossible.
Pour le cognac, quelle horreur, veux-tu me saouler ?
• C’est ça, je rentrerais quand elles seront parties.
J’ai signé un divorce à l’amiable, son nouveau jules est riche et il satisfera à leur bien-être, j’aurais ma fille aux vacances.
Christophe, un cognac ainsi qu'une orangeade pour moi.
Excuse, mon cœur saigne, mais je suis prof de gym et depuis ma naissance, à part dans des gâteaux sans le savoir, j’évite l’alcool.

La soirée avance, nous rigolons franchement.

• Bon, je vais rentrer, j’ai été heureuse de faire ta connaissance, demain c’est moi qui fais l’ouverture.
• Tout à l’heure tu m’as dit être kiné, tu travailles à Chalon.
• Oui, j’ai un cabinet non loin d’ici.
• Et tu comptes rentrer dans cet état.
• Tu veux que je te fasse voir si je suis saoule, je vais me lever et me mettre sur une jambe et toucher le bout de mon nez, tu verras.

Je le fais, bien sûr, je manque de me casser la figure, je pense que c’est le cognac qui a été de trop, pourtant j’aime bien.
Il me rattrape dans ses bras puissants et tatoués.
Il est en pantalon de Tergal et en débardeur, style chauffeur poids lourds.
Mes clefs sont sur le bar à côté de mon petit sac de ville.
Pardon, baiser, il est loin d’en être question, il est plus jeune que moi.

• C’est là que tu habites !

Il vient d’arrêter ma C3 devant mon cabinet fermé à cette heure.
Quand il m’a demandé mon adresse pour me reconduire, j’ai eu peur de l’amener à la maison.
J’ai trouvé plus malin de venir au travail de Véronique, car s’il cherche un peu, il aurait été facile de trouver la seule kinési dans les Bottins ayant mon nom à Chalon.

• Veux-tu te baigner ?

Je suis la seule Véronique et la seule ayant une piscine massant par l’eau à haute pression.
C’est nu tous les deux que nous rentrons dans l’eau encore chaude bien que les pompes et le système chauffant soient en position arrêt à cette heure de la nuit.
Une grande baie vitrée nous permettant grâce à la pleine lune de nous voir…

Les avis des lecteurs

Merci Daniel, lecteur fidèle

Histoire Erotique
Très beau début les des sont placés on attend la suite avec une libido qui se réveille Daniel



Texte coquin : COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (1/8)
Histoire sexe : Une rose rouge
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