COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (2/8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (2/8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (2/8)
Je viens de m’ouvrir à ma vie de femme, mais surtout à ma liberté.
La naissance de mon fils Franck ayant fait de moi une fille-mère, quand son père a refusé d’assumer son rôle, ce qui m’a conditionné jusqu’à aujourd’hui.
Je l’ai élevé sans penser à moi.
Rapidement, j’ai enfermé au plus profond de mon être, ma féminité, même si je suis coquette, j’assume d’avoir mis ma sexualité sous le tapis.
J’assume, mais ma sexualité oui, je l’ai oublié de peur d’un jugement négatif de la part de mon fils, si je faisais venir des hommes à la maison.
Je crois même que j’avais peur d’être prise pour une trainée, j’ai failli dire un mot trop fort comme une pute.
Ce matin, nous avons chargé ma voiture et je l’ai conduit dans sa colocation pour faire ses études de kinésithérapeute, profession que j’exerce moi-même.
Faire travailler des patients ayant subi les vicissitudes de la vie dans différentes salles de rééducation pouvait être son avenir.
Passer de l’un à l’autre et gagner largement sa vie, il a rapidement compris que prendre ma suite dans le cabinet que j’ai créé et que je dirige était ce qu’il y avait de mieux pour lui.
De retour dans la soirée, restée seule dans cette grande maison au-dessus de la Saône me stress.
Je décide de rejoindre un bar dans l’île Saint-Laurent de Chalon, l’ayant vu lorsque nous nous promenions dans ces petites rues avec mon lâcheur de fils.

Je fais la rencontre de Sébastien qui propose de prendre mon volant, car entre le mercurey bu chez moi et les whiskys coca il a peur de l’accident.
J’oubliais le verre de cognac qu’il m’a offert à croire qu’il voulait me beurrer pour profiter de moi.
Dans la soirée il m’a appris que sa femme passait une dernière nuit chez lui avant de partir pour Saintes rejoindre son amant.
Malgré qu’il soit plus jeune que moi, j’ai une envie impérieuse de sexe, mais l’emmener dans ma maison me fait un peu peur.
J’ai l’idée d’aller dans mon cabinet où je possède une piscine pour remettre les gens en forme.
La pleine lune nous permet de voir comme en plein jour et c’est naturellement que nous nous mettons nus pour entrer passer un petit moment dans cette eau chaude.
Nous nageons en rond, cette piscine est une piscine de travail faisant quatre mètres sur quatre.
Immanquablement Sébastien me rejoint.
Il arrive à me coincer le long de la margelle de débordement.
Nos bouches se rejoignent, j’espère être à la hauteur.
Il doit avoir environ la trentaine et moi presque quarante, mais c’est moi qui dois manquer d’expérience.
Nos poitrines se touchent électrisant mes pointes.
Ma chatte me fait mal d’attendre qu’on la prenne.
Fort comme un Turc, nos bouches se séparent et me saisissant sous mes aisselles, il m’assoit sur le bord de ma piscine.
Sans attendre pensant certainement que j’ai une grande expérience du sexe, sa bouche s’avance et après ma langue, c’est ma chatte qu’il se met à me lécher.
Il se sert de ses mains et de ses doigts pour m’ouvrir et à ce moment sa langue vient titiller mon sommet déclenchant des ondes nouvelles en moi.

Il était là tapi dans l'ombre mal exploitée par le père de Franck lui faisant dire que j’étais vaginale, ce qui est le cas puisqu’il avait réussi avec sa verge à me faire jouir avant de m’engrosser.
Quand mon bouton s’enflamme, je sais que je suis aussi clitoridienne surtout de la manière dont ce beau gosse qui me suce le démarre.
Je m’écroule en arrière sur le carrelage froid comparé à mes jambes dans l’eau chaude.
Il me tend les mains me relevant et me fait glisser entre lui et le bord de la piscine finissant par m’empaler sans avoir besoin de ses mains.
Baiser debout, surtout dans l’eau, pour moi c’est nouveau.
Avec le père de mon fils, c’est couché dans mon lit de jeune fille les jambes écartées qu’il m’a engrossées.
Nos bouches se soudent à nouveau.
Mes jambes naturellement enserrent ses hanches.
Pourquoi ai-je attendu si longtemps pour me servir de ma piscine.
Certes, les beaux gosses comme Sébastien sont rares et quand j’en reçois nous sommes toujours nombreux dans ces pièces bien que des tables de massage ou des tapis de sol pourraient être de bons terrains de jeu.
Je suis bête, au sein de notre région il y a un championnat de foot amateur et j’ai quelquefois des jeunes joueurs s’étant blessé, mais la plupart sont plus jeunes que mon fils.
Pour descendre dans la piscine des marches que nous franchissons sans que je touche terre mon intimité s’enflammant dès qu’il fait un pas.
Près de la piscine, un tas de tapis de sol sont entreposés.
Il me couche sans me quitter restant debout et comme ma chatte est à la bonne hauteur, comme sa bouche sur ma chatte sur la margelle, il me laboure à grands coups de bite.

• Oui, baise-moi, enfile-moi, fait de moi ta chose.

J’ai failli dire ta chienne, mais au dernier moment je suis plus pondéré.
Ces flots de mots sortent de ma bouche assez soft alors que j’ai envie de lui dire, défonce-moi, laboure-moi, saute la salope et fais de moi une, une, une.
Il me quitte à regret, car j’allais partir vers des sommets jamais atteints.
C’est un sportif, il saute sur les tapis me présentant sa verge tendue.
C’est encore une nouveauté pour moi et je l’avale jusqu’aux couilles.
Boire du sperme, pourquoi pas.
Ayant accepté de m’émanciper, il faut que je sois la parfaite petite maîtresse pour ce garçon même s’il est plus jeune que moi d’une dizaine d’années.
Assez, de culpabiliser sur mon âge et le sien, il a déjà été en moi et je continue à le faire remarquer.
Mais que je me sens conne d’avoir encore des états d’âme.

• Mets-toi en levrette Véronique.
• Pardon !
• En levrette, à quatre pattes.
• À oui, j’avais mal entendu.

Ça peut paraître bête, mais ce mot de levrette, c’est la première fois que je l’entends.
Je vois mal expliquer à ce garçon qu’il est le deuxième à m’enfiler, mon ignorance même de cette simple position.
Dès que je suis en situation, il m’empoigne les hanches et d’un coup puissant entre de nouveau en moi.
Je le sens bien, toujours des nouveautés avec mon amant et là, là, là.
Rideau.
Qu’avoir un orgasme est dévastateur.

• Véronique, vite, lève-toi, c’est une chance que je sois entrée sans aucun client.
J’étais étonnée que tu sois en retard, tu devais ouvrir pour lancer la piscine.
Bonjours monsieur, prenez vos affaires et suivez-moi, je vais vous faire sortir par l’issue de secours à l’arrière, il y a des clients dans la salle d’attente.

De mon côté je ramasse mes affaires et je vais dans mon bureau, c’est à ce moment que je me rends compte que même avec ma blouse je suis super sexy.

• Vous semblez rajeunir Véronique.

C’est un vieux client que je remets en état depuis des semaines.
Il a un traitement long, a-t-il remarqué ma tenue montrant une bonne partie de ma poitrine.
A-t-il remarqué qu’intérieurement, je suis toute autre que celle que j’étais hier quand je l’ai fait travailler !
C’est à ce moment que je me rends compte que j’ai laissé mon portable à la maison.
Je regarde mes rendez-vous sur l’ordi de mon bureau, deux patients à cette heure.
J’en place deux sur les tables dans l’une des salles à faire du ballon ou des mouvements avec des poids.
Ils se débrouilleront seuls jusqu’à leur massage.
Où sont mes clefs de voiture ?
Je passe le relais à Jennifer.

• Tu as raison, va te reposer, la nuit a dû être longue et agitée, tu as les yeux au milieu du visage.
• Pas un mot à Pablo, je compte sur toi.
• De quoi veux-tu parler ?

Un clin d’œil montre notre complicité, ma voiture est là, mes clefs de contact sont au volant.
Un mot sur le tableau de bord.

« Merci pour la bonne nuit, tu resteras un magnifique souvenir dans ma vie. »

Aucun mot supplémentaire, je comprends que c’est la fin d’une belle aventure d’une nuit.
Chez moi, je retrouve mon portable, sur mon répondeur plusieurs appels, tous avec les mêmes mots.

« Maman ou es-tu ? »

Franck quand nous avons été au moment de nous séparer m'a fait promettre d’éviter de l’appeler toutes les cinq minutes.
Mon petit, pourquoi a-t-il appelé et plusieurs fois, il doit être à l’article de la mort alors que moi je l’ai abandonné pour mon propre plaisir.
Je m’en veux déjà.

• Maman.
• Oui.
• Où étais-tu, j’ai appelé.
• Chez Chrystel, elle m’a invité, car j’étais seule pour la première fois.
Que veux-tu ?
• J’ai oublié mon ordi, je voulais te dire de le garder, une jeune femme passera samedi au cabinet à 11 heures pour le récupérer.
• Bien mon chéri, mais qui est cette jeune fille !
• Une amie, une simple amie qui loge ici dans un appartement.
• Bien, je lui remettrais.
• Excuse, je dois aller en cours, je te dirais quand je pense venir.
• Bisous, mon chéri.

Entendre la voix de mon fils me donne la pêche.
Qui est cette jeune femme, il m’a semblé qu’il était pressé de me quitter.
Je vais dans sa chambre, pas de portable.
En cherchant bien, je le trouve dans son lit, il est si plat que placer sous la couverture, j’étais dans l’incapacité de le voir.
Je l’ouvre, je constate que la batterie est déchargée.
Je trouve le fil sur le bureau et je le branche.
Mot de passe.
Dommage, j’aurais bien aimé voir ses centres d’intérêt, je sais, ce que je fais est mal.
Je reprends ma voiture direction "Infos Mécanique service".
C’est la société qui gère au cabinet mes ordis.

• Pierre, j’ai perdu mon mot de passe.

Il l’ouvre et tape sur le clavier.

• Es-tu sûr que tu l’as perdu ?
Connais-tu une « Lory971226 » ?
• Non, combien te dois-je ?
• Rien, je me rattraperais sur ta société.

Je reviens à la maison.
Toute la route, je cherche comment mon fils pourrait connaître, Lory peut être née en 1997 ?
Arrivé chez moi, je rebranche et je fais le code secret si intrigant.
Historique.
Ça, je connais, Pierre m’a fait voir en cas de perte pour ma société, comment voire ce que l’on a fait antérieurement.
Mince mon fils regarde des films pornographiques.
J’en regarde plusieurs, finissant par me caresser et sortant mon clito de son capuchon, les jambes posées sur le bureau bien calé dans son fauteuil, je me fais jouir.

• Véronique, es-tu là, j’ai vu ta voiture.
Au pardon…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bien Chris ton deuxième chapitre est aussi bon que le premier et nous promet des suites fantastiques avec Véronique et peut-être son fils Daniel



Texte coquin : COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (2/8)
Histoire sexe : Une rose rouge
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