COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (3/8) - histoire érotique

Au pardon !
C’est ce que j’entends quand étant connecté au portable de mon fils je me rends compte qu’il regardait de nombreux sites relayant des films pornographiques.
Je me caresse le bouton quand j’entends ces mots.
Chrystel, ma voisine entre dans la chambre où je suis les jambes écartées en train de me masturber.

• Continue, je sais ce que sais, moi aussi j’aime me caresser.
Si ça te fait du bien, continue, je me suis toujours demandé si tu avais une libido.
Mais dit moi, c’est le portable de Franck, as-tu réussi à le connecter ?
• Heu, moi non, mais un ami oui.
• Toi, tu as des amis, sais-tu comment les miens t’appellent ?
• Non !
• La veuve, tu leur sembles vivre avec l’ombre du père de ton fils.

Je me rends compte de l’erreur de ma vie pour que mes quelques amis se soient rendu compte que toute mon existence était orientée vers le bonheur de mon fils.
On parle et j’ai toujours en tête la position impudique ou Chrystel m’a trouvé quand elle est entrée.
Elle a la place de passer sous ma jambe et l’incroyable se produit.
En moins de vingt-quatre heures, deux bouches se posent sur ma chatte pour me la lécher.
Sébastien, le mâle et Chrystel la femelle.
Chrystel, la gouine, car pour moi dans mon inconscient, deux femmes se caressant sont des gouines.
Je pensais être complètement étrangère à cette forme de sexualité me trompais-je ?
Dans mon métier, je tripote de nombreuses femmes, jeunes ou vieilles souvent en sous-vêtements ou en maillot de bain sans avoir la moindre pensée libidineuse.
Pourtant, je dois être honnête, les seins !
Peut-être les seins de certaines femmes, plus gros que les miens, tombant jusqu’à leurs bas-ventres.
Je me suis posé la question du comment, elles faisaient pour porter cette masse de chair, heureusement, je suis loin de les envier.

• Continue, ta langue est divine, c’est vrai, le départ de mon fils m’a fait comprendre que j’ai tout sacrifié pour lui, c’est bon.

Je jouis une nouvelle fois.
Mes jambes tombent sur ses épaules.
Nous nous retrouvons au sol quand elle veut se dégager.
Incroyable, c’est sur le tapis placé devant le bureau de mon fils ou nos bouches se trouve et qu’elle saisit ma main pour la poser sur sa chatte.
Sa jupe est tirebouchonnée sur son ventre et son string rose est loin de protéger sa fente, je rentre deux doigts.
Moi, la presque vierge s’ils ont exclu la naissance de mon fils et mon amant d’un soir, je mets deux doigts dans la chatte de ma copine.
Je revois le moment où elle venait au cabinet pour sa cheville, je la prenais délicatement pour finir la séance par un massage.
C’est vrai quand j’y repense, j’aimais lui masser le pied sans savoir que si j’avais porté ma main sur son maillot de bain à la fin de mes massages dans ma piscine, nous serions déjà amante.
Le film que je regardais c’était un homme et deux femmes, l’homme prenait la blonde en levrette.
Levrette, ce mot que j’ai appris dans les bras de Sébastien.
Où est-il, comment c’est passé son retour chez lui, sa femme et sa fille l’ont-elles déjà quitté ?
Est-il enfin libre, cette pensée est conne, il est prévu que c’était un coup d’un soir ?
La même femme qu’il a trouvé se faisant enfiler par un homme pendant qu’elle suçait sa copine.
J’ai la chatte de Chrystel sous ma langue et c’est ainsi que nous démarrons toutes les deux en parfaite harmonie.

• Pardon Véronique, quand je t’ai vu dans cette position impudique, une bouffée d’envie est monté en moi.
• C’est bon ma chérie, si ça sait passer, c’est que ça devait se passer.
• C’est comme avec…

Chrystel s’interrompt, elle est comme ça Chrystel, elle démarre, elle s’enflamme et elle voit qu’elle va dire une connerie.
Là, quelle connerie allait-elle débiter quand elle a coupé sa phrase.

• C’est si terrible que ça à dire ce que tu allais dire pour que tu t’interrompes.
• Non, mais pour toi oui, comment vas-tu le prendre !

Nous nous sommes redressés le long du lit de mon fils et c’est côte à côte qu’elle me fait une révélation.

• Bon, je vais être franche, j’ai été la maîtresse de ton fils, c’est moi qui l’ai déniaisé.

J’éclate de rire.
Chrystel quarante ans comme moi, celle qui vient de devenir ma maîtresse, est aussi celle de mon fils.
À bien y regarder, j’ai bien été cette nuit la maîtresse d’un jeune homme dix ans moins vieux que moi et je semble très bien m’en portée.

• Et ça dure toujours.
• Oh non, il a repris son indépendance quand…

Ça recommence, que veut-elle me cacher.

• Tu en as trop dit, déballe tout.
• Tu vas être fâchée.
• Pourquoi tu as appris à mon fils à être un bon amant, du moins je l’espère ! Comme tu viens de m’apprendre, comment nous gouiner et que je dois reconnaitre que c'était très bon, pourquoi serais-je fâchée !
Est-il homo ?

Là, c’est elle qui éclate de rire.

• Tu me fais rire, c’est un bon coup, un très bon coup.
C’est un mercredi où il préparait ses cours que je suis venue lui apporter son repas.
Tu te souviens, c’est moi qui le nourrissais jusqu’à ce qu’il parte pour Dijon.
Un midi, je suis venue lui apporter ses endives aux jambons, son plat préféré comme tu le sais.
Nous l’avons mangé froid sur ce lit où nous sommes.
Permets-moi d’éviter les détails, même si ça été mon premier et dernier amant, ça reste ton fils.
• Pourquoi as-tu arrêté s’il te satisfaisait, il suffisait de m’en faire la confidence savoir mon fils heureux et bon amant aurait suffi à mon bonheur ?
• Car il a rencontré une jeune femme et il est très amoureux.
• Lory, il a rencontré Lory qui semble née le lendemain de Noël 1997.
• Peut-être, comment sais-tu son nom et sa date de naissance, tu es médium !
Quand Pierre les a aidés à emménager à Dijon te faisant croire qu’il lui avait trouvé un logement étudiant, ton fils avait peur de ta jalousie envers cette jeune fille, tu es si exclusive avec lui !
• C’est vrai, je dois reconnaître que je l’ai trop cocooné, mais j’espère lui faire voir que j’ai bien évolué.
Tu vois, tu viens de me dire que tu as été son initiatrice en amour comme tu viens de l’être avec moi et je t’en remercie.
Puisque tu es dans toutes ses confidences, je vais te dire, son mot de passe, c’est « Lory971226 », je m’interrogeais qui étais cette Lory dont j’ignorais l’existence.
• Je vais te dire, tu es terrible, j’ai promis de me taire, mais j’ignore pourquoi tu sembles ouverte à une avancée entre vous.
Tu te souviens du dimanche où il s’est coupé et qu’il a fallu aller aux urgences à l’hôpital de Chalon.
• Oui, j’ai eu peur qu’il ne faille l’amputer.
• Tu vois, tu es excessive.
La jeune interne blonde qui vous a reçu, lui a mis un point de suture, car tu t’es interposée, elle voulait simplement lui mettre un stick pour resserrer les bords.
• Mais ça saignait !
• Arrête, regarde même maintenant, tu défends ta thèse contre un médecin.
• Une élève médecin pas encore un médecin.
C’est cette petite blonde qui est sa maîtresse maintenant ?
• Merde, arrête de divaguer.
Lory est son amie après être retourné la voir le lendemain pour s’excuser pour ton comportement.
• Ils couchent peut-être ensemble, mais c’est leur affaire, ils sont majeurs.
Mais dit moi, quel âge a-t-elle, pour être déjà interne.
• Franck quand ils sont venus nous demander notre aide nous a expliqué.
Lory a eu son bac à seize ans avec mention très bien.
2e en fin de sa première année d’études et interne à Chalon, elle va avoir vingt-trois ans en décembre prochain donc peu d’écart avec ton fils.
La seule chose qui doit t’importer, c’est l’équilibre qu’elle lui apporte et sur ce point tu dois avoir confiance en eux.

Chrystel me parle, mais je phosphore, la nuit que je viens de passer avec un homme plus jeune que moi m’a-t-elle posé le moindre un problème !
Oui, un peu, mais j’ai su le surmonter, il faut dire que Sébastien m’y a bien aidé.
Si demain sa femme étant partie, Sébastien vient me dire, « emmène-moi chez toi », je suis à peu près certaine de ma réponse.
Sébastien par ci, Sébastien par là, hélas, il m’a quitté avec un simple mot me remerciant de l’avoir aidé à passer le cap du départ de sa femme.

• Bien, il faut que j’aille préparer la soupe de mon mari, es-tu prête à recommencer ce que nous avons fait ?
• T’ai-je repoussé.

Elle me quitte me laissant pantoise sur tout ce qui me tombe sur la tête en si peu de temps.
Les jours suivants, je reste calme.
Seuls les films pornographiques sur le portable de mon cabinet que je ramène à la maison m’apprennent bien des choses sur ce que j’ai loupé en privilégiant l’éducation de mon fils à ma sensualité.
Je vois des filles de tout âge s’exhiber, se faire prendre par un, deux voire plusieurs hommes.
J’apprends ce que deux femmes peuvent se donner comme plaisir.
Ça pourra me servir avec Chrystel quand nous aurons un moment d’intimité, car depuis mon aventure avec Sébastien j’ai trop tendance à me reposer sur Jennifer et Pablo.
Une chose me choque, j’ignorais que cela se pratiquait.
Je sais, je vais passer pour une nunuche.
La sodomie.
Oserais-je un jour me laisser prendre par l’anus comme ces filles qui semblent faire ça régulièrement.
Dois-je dire ce que je ressens quand dans mon lit, je m’enfile deux de mes doigts dans ma rosette sans pour autant ressentir ce que j’ai ressenti quand on m’a sucé mon clito.
À la vitesse ou les choses se produisent, je voudrais bien savoir ce que l’avenir me réserve…