COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (5/8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (5/8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (5/8)
Depuis que j’ai lâché les chevaux, je vois mieux les signes que le destin m’envoie, sexuellement bien sûr.
C’est le cas une nouvelle fois quand je suis ce couple à quelques mètres du restaurant où je viens de les rencontrer lorsqu’ils sont venus s’installer à mes côtés.

• J’espère que tu es sportive, nous habitons au quatrième et dans ces vieilles maisons, on est obligé de monter à pied.

Pavillons de pleins pieds et cabinet idem, monter quatre étages, je pense que c’est dans mes cordes.
Mais une fois arrivée, je suis contente de m’affaler dans le fauteuil que Gaston met à ma disposition.
Il s’installe dans son jumeau pendant que Karola part vers la pièce attenante qui doit être la cuisine.
C’est ça, j’entends faire tourner un moulin à café pendant quelques instants.

• Putain, c’est haut, vivement que je sois à la retraite pour que nous quittions cet appartement.
• Tu pourrais trouver une maison de pleins pieds dans les environs.
• Quand nous nous sommes installés ici, nous étions jeunes et les étages pour nous c’était faire du sport, le montais les marches quatre à quatre.
• C’est vous sur la photo.
• Oui, le jour de notre mariage, Gaston tu as bien profité.

C’est Karola qui nous rejoint.
Elle a laissé tomber ses vêtements ayant gardé seulement ses bas et ses jarretières.
À non, ses hauts talons qui lui donnent ses allures de femmes élancées.

• Tu m’excuses Véronique, chez moi j’aime être à l’aise.

Sans plus de pudeur, elle me met sa chatte blonde sous les yeux quand elle me donne ma tasse de café.
Elle sert Gaston qui a un sourire ironique.
Je devrais me sauver en courant.
Pardon avant le départ de mon fils, je me serais sauvé en courant.
Là je veux voir ou la situation va me mener.
Nous ayant servi elle s’assoit sur mon accoudoir.
Je bois mon café amusé de la situation.
Elle récupère ma tasse et la pose sur un petit guéridon à nos côtés.
Elle se penche et me prend les lèvres que je devrais serrer, mais qui s’ouvrent permettant à sa langue de trouver la mienne.
Sa main ouvre, mon chemisier et écartant mon bonnet attrape mon sein, sa pointe s’érigeant immédiatement.
Je sens mon entrejambe s’échauffer.

• Tu aimes, je savais au premier regard que je t’étais acquise.
Veux-tu me rendre service ?
• Je ferais tout ce que tu désires.
• Fesse-moi.
• Comment ?

Elle se lève, se place à quatre pattes sa poitrine sur mes genoux.
Elle tourne sa tête vers moi, ses yeux sont embués de ce qu’elle veut subir.

• Fesse-moi, claque-moi mon joli cul, j’ai été très méchante.

Par chance, dans les pornos lesbiens que j’ai vu deux actrices se faisait ce qu’elle me demande à un détail près, je le saurais après de lui faire.
Ma main s’abat sur ses jolies joues pommelées, car malgré son âge, aucune trace de cellulite.

• Oui, comme ça bien à plat.
Continue même si elle commence à gémir.
Le plaisir vient avec la répétition des claques sur son joufflu.
• Dis, Gaston, comment tout ça a commencé ?

Je continue mes frappes à espace régulier sur la fesse gauche puis la droite.

• On peut distinguer deux étapes dans la vie de Karola.
Sa petite enfance avec un père brutal et la dépression qu’elle a subi un an après notre mariage à la mort de son tortionnaire.
Beaucoup de femmes auraient été satisfaites de voir disparaître celui qui l’avait torturé depuis sa plus tendre enfance.
Elle ça été le contraire, elle s’est mise à dépérir.

Les fesses sont rubicondes et je sens du liquide couler sur mes jambes.
Son corps semble se vider de grandes quantités de cyprine.

• Elle est devenue anorexique et j’ai failli la perdre.

Dimension extraordinaire, j’ai mal à la main, mais je continue à fesser et cet homme qui parle de celle que je fesse.

• Je suis non violent, mais un soir elle m’avait tellement exaspéré que j’ai fini par l’attraper, la coucher sur mes genoux et faire ce que tu lui fais.
Je sais, c’était mal, mais elle a tellement joui que son anorexie a disparu.
Ce soir-là, elle avait faim et depuis je la fesse régulièrement chaque fois que son moral retombe.
Une idée noire, une fessée.
Je crois qu’elle a son compte, veux-tu essayer.

Au point où j’en suis sur le largage des vannes de ma libido.
Elle se relève.
Je l’imite.
Dans un souffle avant de m’embrasser, elle me lâche dans son accent chantant.

• Regarde ta robe est maculé, plus tu me fessais et plus ma chatte coulait.
• C’est ta cyprine qui l’a maculée ?

Elle s’assoit à ma place.
Détache ma jupe qui tombe au sol.
Elle baise ma petite culotte et je me couche en travers de ces jambes.
Je me sens ridicule, mais je me laisse faire.
Avant que je me place, elle m’attire à elle et me suce le clito.
Il apprécie, je suis comme Karola, je mouille.
Les premières claques me sont indifférentes, mais je reste stoïque.
Gaston s’approche d’une armoire empire.
Il l’ouvre, en sort ce que j’avais chez moi, mais qui restait accroché par un clou dans le placard de l’entrée.
Un martinet.
Il s’approche, je suis à deux doigts de refuser, mais les claques commençant à me faire de l’effet positivement, j’attends pour voir.

• Aie, excuse, ça m’a surpris.

Régulièrement comme le ferait un mouvement perpétuel, les lanières s’abattent sur mes fesses qui doivent être rubicondes.
Mais comme pour Karola, je sens ma chatte s’humecter de plus en plus, pour mon plus grand plaisir.
Je suis humiliée, comment à mon âge puis-je accepter d’être ainsi fessée, mais quand d’un coup une boule monte du tréfonds de mon corps, je sens une sorte de plénitude s’emparer de moi.
C’est presque à regret que les coups s’arrêtent, mais je sais que je viens de vivre une expérience pleine de promesse de moments très agréables trouver dans la fessée.

Je quitte le couple avec regret, non sans échanger nos portables et nous promettant de nous retrouver un dimanche prochain chez moi cette fois.
Je retrouve ma voiture dans une rue adjacente, mais nettement moins passante que celle où le couple habite.
Dès que j’ai commencé à descendre, la fessée reçue a fait son effet.
Les terminaisons nerveuses entre mes fesses et ma chatte semblent s’enflammer.
Dans la rue à quelques mètres de ma voiture, je fais un écart ayant flanché sur mes hanches.
Je m’assieds, mon cul me brûle, mais mon vagin aussi.
Sans calcul, j’insinue ma main sous ma jupe et dans cette voiture, dans cette rue, je me masturbe.
Rapide jouissance, mais bonne jouissance, un autre monde s’ouvre à moi.
C’est au moment où ce que l’on appelle la petite mort que je vois arriver un grand noir.
J’ai vu des films avec de grosses bites noires, je ferme les yeux au moment où je jouis, grâce aux vitres teintées de ma voiture il passe sans me voir.

Reprends-toi jeune fille, si tu continues tu vas faire le quartier chalonnais où un grand nombre habitent.
Je démarre ma voiture après m’être essuyé mes doigts, maculés de ma cyprine après avoir joui.
Je retourne au cabinet, le temps a filé et il est fermé.
Ça m’arrange, je me mets nue, l’eau de ma piscine est encore assez chaude et en tournant en rond, dans une brasse réparatrice je calme les lancements de mon postérieur.
J’ignore si la fessée va devenir une partie de moi, mais ce qu’il y a de sur, c’est que j’ai ma piscine pour soulager la chaleur que mon cul dégage.

Dans les jours suivants, j’entretiens une conversation avec Karola et surtout Chrystel qui chaque fois qu’elle le peut, vient me voir pour que nous nous donnions du bon temps.
Je deviens une gougnotte accomplie, comment s’appelle cette position lorsque nous croisons nos jambes et frottons nos clitos l’un avec l’autre.
À oui, le ciseau ou en ciseau...

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Texte coquin : COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (5/8)
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