COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (6/8)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2458 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 226 147 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 586 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (6/8)
Nos jambes en ciseau, c’est la pensée qui me vient lorsque je viens rouler sur le lit que nous venons de monter avec Chrystel et Karola lorsque l’une et l’autre viennent me voir.
J’attends, j’allais dire ma belle-fille, Lory la copine de mon fils Franck demain matin.
Je vais être obligé de réfréner mes nouvelles tendances sexuelles, surtout la fessée que j’apprécie de plus en plus.
Même avec Chrystel j’apprécie qu’elle me claque les fesses lorsque je suis à quatre pattes et qu’elle vient derrière moi pour feindre de me prendre comme un homme sait le faire.
Karola est venue en coup de vent, elle allait livrer une caisse de Pommard dans un des meilleurs restaurants de l’île Saint-Laurent.
Proposer des Pommards sur leur carte des vins, peu de restaurants de l’île est capable de le faire, même si certains présentent de bons crus de la côte chalonnaise ou dijonnaise.
Avec elle s’est plus simple, fessée directe et broutage de sa chatte jusqu’au plaisir que cela nous apporte.
Il va falloir que je pense à acheter des godes ceintures, j’en ai vu dans un film bien que si c’est pour faire l’amour me prenant pour un homme, c’est loin d’être mon truc.
J’ai déjà cherché un martinet que j’ai eu du mal à trouver.
C’est dans une petite rue derrière la cathédrale de Chalon que je me suis rendue, mais au dernier moment passer ce rideau m’a paru insurmontable.
Quelle conne, Internet et le lendemain la plate-forme me livre de façon anonyme l’objet de mes désirs.
Depuis chaque fois que je suis seule, les lanières s’abattent sur moi pendant que de ma main libre je fouille ma chatte.
Seule, je suis devenue une parfaite salope, hélas, de plus en plus accro à ces jeux érotiques, un peu pervers.
L’autre matin, mon fils était là dans sa chambre et contre toute prudence, j’ai senti le besoin de me servir de mon martinet, j’ai fait très attention.
J’ai pu partir au travail remise sur pied, mais le cul me brulant.
Lory, elle est là de temps en temps dans la semaine, les week-ends ou elle est de repos, elle rejoint mon coquin de fils ayant fait des cachoteries à sa maman.
Je dois faire attention que mon secret soit bien gardé, quelle honte si elle savait que je me livre à des jeux pervers faute de savoir où Sébastien habite pour que j’essaye de le voir.
Sébastien saurait-il jouer avec mes fesses avec mon martinet comme j’aime le faire depuis que j’ai rencontré Karola.
Ce matin, je l’ai entendu rentrer vers 6 heures après sa nuit de garde à l’hôpital.
Pensant qu’elle dormait profondément je me suis servie de mon martinet, j’ai encore les fesses rougies.
Vers midi je vais la réveiller à sa demande, ayant trouvé un Post-it sur la table de la cuisine.
Dès que je rentre, elle me présente une physionomie loin de celle que j’attendais.
• Maman, j’ai été méchante !
Se faire appeler maman par celle qui vient de rentrer dans ma vie, je suis flattée.
J’ai réussi à me faire aimer de ma belle-fille, faisant abstraction de l’amour pour mon fils, contrairement à ce que pensais Christel.
• Pourquoi, ma petite, ça me fait mal de te voir pleurer, dit moi ?
• J’ai honte, regarde mon lit est tout mouillé, j’ai fait pipi.
• Ça arrive mon cœur, nous allons garder ça pour nous, inutile de le dire à mon fils, c’est le nouveau lit qui en ait la cause.
Le matelas est si épais que tu as dû te sentir à l’aise et faire pipi sans t’en apercevoir !
Elle redouble de pleur.
• Non, j’ai été une méchante fille, je sais que tu te sers d’un martinet, je t’ai entendu, va le chercher et puni moi.
Je suis abasourdi, pas qu’elle m’est entendue, mais qu’elle joue un jeu avec moi.
Surtout qu’en levant les yeux vers la table de nuit, je vois le verre d’eau que j’avais mis hier avec qu’elle rentre, bien sûr vide.
Comme elle a ouvert son lit, je peux constater qu’il est mouillé, si je me penche, je suis sûr que l’odeur d’urine est inexistante.
Elle veut jouer, je joue et je vais récupérer mon martinet.
• Qu’est-ce que je vois, tu as encore mouillé ton lit, tu sais à quoi tu t’exposes malgré l’amour que je te porte ?
• Oui maman, l’autre jour je t’avais dit que c’était la dernière fois, j’ai trahi ta confiance, j’accepte ma punition.
Elle se retourne, j’ai le temps de voir sa fente imberbe, à son âge soit-elle s’épile, soit-elle se rase.
Ses fesses sont encore des fesses de jeune fille, chaque fesse me présente une bien jolie fossette, ou est le temps où j’en avais moi aussi.
Je commence à frapper mollement, je sais ce que font les lanières de cuir de mon martinet, si je lui fais voir mes fesses et mes seins après la séance de ce matin, des stries doivent encore les barrer.
• Maman, une punition ces caresses, je t’ai entendue au bruit que les lanières faisaient, je suis sûr que tu tapais dix fois plus fort, frappe, c’est ce que mérite une petite salope comme moi.
Prise à son jeu, mes coups de lanières s’accélèrent, elle hurle de douleur et se tord en même temps.
Deux trois coups avec cette force et elle se retourne, le coup suivant l’atteint à son entrejambe.
Elle cherche à se protéger avec sa main, alors, ses seins étant dégagés, c’est eux que je prends pour cible.
Je suis en eau et je laisse tomber les lanières méthodiquement, jusqu’à ce que les traces rouges qui sont apparues commencent à laisser perler des gouttes de sang.
Comment peut-on recevoir de telles volées en hurlant, mais entre deux reprises de coups me dire ?
• Encore, là c’est bien, tient, retourne sur mon cul et continue à frapper si tu le peux !
Effectivement, elle se retourne, mais je suis au bout de ma violence, ai-je tapé plus fort alors que j’avais promis à Christel de rester sage avec celle qui me prenait mon fils.
D’un coup, je laisse tomber le martinet surtout lorsque les fesses se perlent de goutte de sang.
Je m’affale sur le côté de celle que je viens de martyriser autant que je l’ai pu.
Mon visage est près de gouttes de sang, malgré mon épuisement et mon mal au bras d’avoir trop fait marcher le martinet, ma langue sort de ma bouche, je les lèche.
J’ai dû m’endormir quelques minutes, lorsque j’émerge, je me lève encore difficilement et je vais dans ma salle de bains et mon armoire à pharmacie.
« Beaume apaisant, » comme je m’en souvenais, j’avais un tube du jour où Franck s’était fait mal à un pied.
Je regarde la date, le tube est périmé depuis deux mois.
Il m’arrive de manger des yaourts périmés d’une dizaine de jours, pour une pommade dont le tube est hermétiquement fermé, peu de risques.
Je retourne à la chambre de mon fils, ou Lory est toujours allongée sur le ventre.
Je l’entends pleurer et ça me peine, à quel jeu m’a-t-elle fait jouer !
Je prends de la pommade sur le bout de mes doigts et j’en passe sur chaque trace laissée par les lanières.
J’ai fessé Karola, mais avec moins de violence et ses pommes d’amour était loin d’avoir laissé les traces que j’ai faites ce matin sur le joli cul de Lory.
Mon travail fait, je la sens ronronner, je l’aide à se retourner et je fais de même avec ses seins, un peu confuse, est-ce leurs lourdeurs et leurs fermetés qui me troublent.
Je fais bien pénétrer la pommade, je suis à deux doigts de prendre dans ma bouche la petite fraise qui trône au sommet de son sein, mais je pense qu’il vaut mieux en rester là lorsqu’elle se réveille.
• Merci Véronique, vous avez des doigts de fée, vous m’avez permis de faire sortir le trop-plein de fatigue que ces gardes répétées m’apportent.
Elle se retourne sur le côté, sa main venant prendre sa tête et j’entends qu’elle est repartie à dormir.
Je me lève et les jambes encore un peu flageolante, je quitte la chambre retournant vers la salle de bains.
C’est sous l’eau tombant de ma douche à l’Italienne que je reste un certain temps repensant à ce qu’il vient de se passer.
J’ai pris goût à être fessé, mais Lory dépasse malgré son jeune âge tout ce que j’aurais pu connaitre des sévices qu’un corps aime qu’on lui inflige.
Heureusement que j’ai laissé le martinet sur la table de nuit de la chambre où Lory dort, car je me serais flagellée comme les pénitents expiatoires jusqu’à ce que moi aussi, mon dos se perle de mon sang.
Je finis par sortir, lorsque j’ai entendu Lory appeler sa maman, j’étais en avance, lorsque je récupère ma voiture et que je rejoins le cabinet, une nouvelle fois, je suis en retard.
• Madame Leroy est venue, j’avais deux clients en même temps et Pablo est de repos.
Elle a râlé, mais c’est calmé lorsque je lui ai dit que tu avais appellé et que tu étais souffrante, j’ai pris le temps de lui reporter son rendez-vous à demain après midi.
Tu lui avais promis d’être strict sur les horaires de ses rendez-vous, évite de la décevoir deux fois de suite.
À part ça comment ça se passe avec ta belle-fille, j’espère que tu lui fais bonne figure.
Je suis à deux doigts de lui dire la cause de mon retard et ce que j’ai découvert aidé par Lory.
Mais comment lui dire qu’elle aime les punitions et que celle que je lui ai donné ce matin dépassaient et de loin ce que je pensais faire en de telle circonstance ?
Je garde tout cela pour moi, mais cette épreuve a quelques conséquences sur mon travail.
Je dois manipuler des clients et je suis assez forte pour ça, là, les caresses que je fais à leur corps, seront loin de les réparer.
Bof, c’est la sécu qui paye, leurs médecins leur donneront quelques séances de plus où je me rattraperais.
Lorsque je rentre, je trouve Lory dans la cuisine, elle s’est fait un sandwich et coulé un café.
• Votre journée a été bonne, Véronique !
• Lory, ce matin quand tu m’as appelé maman pour que je vienne te voir, tu me disais « tu », maintenant tu me vouvoies ?
• Comment, je vous ai appelé dans ma chambre ?
Vous avez dû rêver, j’ai dormi comme un bébé jusqu’à il y a une demi-heure.
Pourquoi vous aurais-je appelé, quel motif j’aurais eu ?
C’est l’heure, je suis de nouveau de garde cette nuit à demain matin, Véronique.
Elle part vers la chambre et quelques minutes après j’entends sa voiture démarrée.
Je suis circonspect, je vais dans la chambre, le lit est fait, je regarde sur la table de nuit, aucune trace du martinet.
Je retourne dans ma chambre, dans le carton à chaussures où je le range, il est là me faisant un pied de nez.
Je fais tomber mes vêtements, je vais sous la douche, l’eau ruisselle sur moi, le premier coup de martinet s’abat sur mon dos.
Je sens que je dois faire pénitence...
J’attends, j’allais dire ma belle-fille, Lory la copine de mon fils Franck demain matin.
Je vais être obligé de réfréner mes nouvelles tendances sexuelles, surtout la fessée que j’apprécie de plus en plus.
Même avec Chrystel j’apprécie qu’elle me claque les fesses lorsque je suis à quatre pattes et qu’elle vient derrière moi pour feindre de me prendre comme un homme sait le faire.
Karola est venue en coup de vent, elle allait livrer une caisse de Pommard dans un des meilleurs restaurants de l’île Saint-Laurent.
Proposer des Pommards sur leur carte des vins, peu de restaurants de l’île est capable de le faire, même si certains présentent de bons crus de la côte chalonnaise ou dijonnaise.
Avec elle s’est plus simple, fessée directe et broutage de sa chatte jusqu’au plaisir que cela nous apporte.
Il va falloir que je pense à acheter des godes ceintures, j’en ai vu dans un film bien que si c’est pour faire l’amour me prenant pour un homme, c’est loin d’être mon truc.
J’ai déjà cherché un martinet que j’ai eu du mal à trouver.
C’est dans une petite rue derrière la cathédrale de Chalon que je me suis rendue, mais au dernier moment passer ce rideau m’a paru insurmontable.
Quelle conne, Internet et le lendemain la plate-forme me livre de façon anonyme l’objet de mes désirs.
Depuis chaque fois que je suis seule, les lanières s’abattent sur moi pendant que de ma main libre je fouille ma chatte.
Seule, je suis devenue une parfaite salope, hélas, de plus en plus accro à ces jeux érotiques, un peu pervers.
L’autre matin, mon fils était là dans sa chambre et contre toute prudence, j’ai senti le besoin de me servir de mon martinet, j’ai fait très attention.
J’ai pu partir au travail remise sur pied, mais le cul me brulant.
Lory, elle est là de temps en temps dans la semaine, les week-ends ou elle est de repos, elle rejoint mon coquin de fils ayant fait des cachoteries à sa maman.
Je dois faire attention que mon secret soit bien gardé, quelle honte si elle savait que je me livre à des jeux pervers faute de savoir où Sébastien habite pour que j’essaye de le voir.
Sébastien saurait-il jouer avec mes fesses avec mon martinet comme j’aime le faire depuis que j’ai rencontré Karola.
Ce matin, je l’ai entendu rentrer vers 6 heures après sa nuit de garde à l’hôpital.
Pensant qu’elle dormait profondément je me suis servie de mon martinet, j’ai encore les fesses rougies.
Vers midi je vais la réveiller à sa demande, ayant trouvé un Post-it sur la table de la cuisine.
Dès que je rentre, elle me présente une physionomie loin de celle que j’attendais.
• Maman, j’ai été méchante !
Se faire appeler maman par celle qui vient de rentrer dans ma vie, je suis flattée.
J’ai réussi à me faire aimer de ma belle-fille, faisant abstraction de l’amour pour mon fils, contrairement à ce que pensais Christel.
• Pourquoi, ma petite, ça me fait mal de te voir pleurer, dit moi ?
• J’ai honte, regarde mon lit est tout mouillé, j’ai fait pipi.
• Ça arrive mon cœur, nous allons garder ça pour nous, inutile de le dire à mon fils, c’est le nouveau lit qui en ait la cause.
Le matelas est si épais que tu as dû te sentir à l’aise et faire pipi sans t’en apercevoir !
Elle redouble de pleur.
• Non, j’ai été une méchante fille, je sais que tu te sers d’un martinet, je t’ai entendu, va le chercher et puni moi.
Je suis abasourdi, pas qu’elle m’est entendue, mais qu’elle joue un jeu avec moi.
Surtout qu’en levant les yeux vers la table de nuit, je vois le verre d’eau que j’avais mis hier avec qu’elle rentre, bien sûr vide.
Comme elle a ouvert son lit, je peux constater qu’il est mouillé, si je me penche, je suis sûr que l’odeur d’urine est inexistante.
Elle veut jouer, je joue et je vais récupérer mon martinet.
• Qu’est-ce que je vois, tu as encore mouillé ton lit, tu sais à quoi tu t’exposes malgré l’amour que je te porte ?
• Oui maman, l’autre jour je t’avais dit que c’était la dernière fois, j’ai trahi ta confiance, j’accepte ma punition.
Elle se retourne, j’ai le temps de voir sa fente imberbe, à son âge soit-elle s’épile, soit-elle se rase.
Ses fesses sont encore des fesses de jeune fille, chaque fesse me présente une bien jolie fossette, ou est le temps où j’en avais moi aussi.
Je commence à frapper mollement, je sais ce que font les lanières de cuir de mon martinet, si je lui fais voir mes fesses et mes seins après la séance de ce matin, des stries doivent encore les barrer.
• Maman, une punition ces caresses, je t’ai entendue au bruit que les lanières faisaient, je suis sûr que tu tapais dix fois plus fort, frappe, c’est ce que mérite une petite salope comme moi.
Prise à son jeu, mes coups de lanières s’accélèrent, elle hurle de douleur et se tord en même temps.
Deux trois coups avec cette force et elle se retourne, le coup suivant l’atteint à son entrejambe.
Elle cherche à se protéger avec sa main, alors, ses seins étant dégagés, c’est eux que je prends pour cible.
Je suis en eau et je laisse tomber les lanières méthodiquement, jusqu’à ce que les traces rouges qui sont apparues commencent à laisser perler des gouttes de sang.
Comment peut-on recevoir de telles volées en hurlant, mais entre deux reprises de coups me dire ?
• Encore, là c’est bien, tient, retourne sur mon cul et continue à frapper si tu le peux !
Effectivement, elle se retourne, mais je suis au bout de ma violence, ai-je tapé plus fort alors que j’avais promis à Christel de rester sage avec celle qui me prenait mon fils.
D’un coup, je laisse tomber le martinet surtout lorsque les fesses se perlent de goutte de sang.
Je m’affale sur le côté de celle que je viens de martyriser autant que je l’ai pu.
Mon visage est près de gouttes de sang, malgré mon épuisement et mon mal au bras d’avoir trop fait marcher le martinet, ma langue sort de ma bouche, je les lèche.
J’ai dû m’endormir quelques minutes, lorsque j’émerge, je me lève encore difficilement et je vais dans ma salle de bains et mon armoire à pharmacie.
« Beaume apaisant, » comme je m’en souvenais, j’avais un tube du jour où Franck s’était fait mal à un pied.
Je regarde la date, le tube est périmé depuis deux mois.
Il m’arrive de manger des yaourts périmés d’une dizaine de jours, pour une pommade dont le tube est hermétiquement fermé, peu de risques.
Je retourne à la chambre de mon fils, ou Lory est toujours allongée sur le ventre.
Je l’entends pleurer et ça me peine, à quel jeu m’a-t-elle fait jouer !
Je prends de la pommade sur le bout de mes doigts et j’en passe sur chaque trace laissée par les lanières.
J’ai fessé Karola, mais avec moins de violence et ses pommes d’amour était loin d’avoir laissé les traces que j’ai faites ce matin sur le joli cul de Lory.
Mon travail fait, je la sens ronronner, je l’aide à se retourner et je fais de même avec ses seins, un peu confuse, est-ce leurs lourdeurs et leurs fermetés qui me troublent.
Je fais bien pénétrer la pommade, je suis à deux doigts de prendre dans ma bouche la petite fraise qui trône au sommet de son sein, mais je pense qu’il vaut mieux en rester là lorsqu’elle se réveille.
• Merci Véronique, vous avez des doigts de fée, vous m’avez permis de faire sortir le trop-plein de fatigue que ces gardes répétées m’apportent.
Elle se retourne sur le côté, sa main venant prendre sa tête et j’entends qu’elle est repartie à dormir.
Je me lève et les jambes encore un peu flageolante, je quitte la chambre retournant vers la salle de bains.
C’est sous l’eau tombant de ma douche à l’Italienne que je reste un certain temps repensant à ce qu’il vient de se passer.
J’ai pris goût à être fessé, mais Lory dépasse malgré son jeune âge tout ce que j’aurais pu connaitre des sévices qu’un corps aime qu’on lui inflige.
Heureusement que j’ai laissé le martinet sur la table de nuit de la chambre où Lory dort, car je me serais flagellée comme les pénitents expiatoires jusqu’à ce que moi aussi, mon dos se perle de mon sang.
Je finis par sortir, lorsque j’ai entendu Lory appeler sa maman, j’étais en avance, lorsque je récupère ma voiture et que je rejoins le cabinet, une nouvelle fois, je suis en retard.
• Madame Leroy est venue, j’avais deux clients en même temps et Pablo est de repos.
Elle a râlé, mais c’est calmé lorsque je lui ai dit que tu avais appellé et que tu étais souffrante, j’ai pris le temps de lui reporter son rendez-vous à demain après midi.
Tu lui avais promis d’être strict sur les horaires de ses rendez-vous, évite de la décevoir deux fois de suite.
À part ça comment ça se passe avec ta belle-fille, j’espère que tu lui fais bonne figure.
Je suis à deux doigts de lui dire la cause de mon retard et ce que j’ai découvert aidé par Lory.
Mais comment lui dire qu’elle aime les punitions et que celle que je lui ai donné ce matin dépassaient et de loin ce que je pensais faire en de telle circonstance ?
Je garde tout cela pour moi, mais cette épreuve a quelques conséquences sur mon travail.
Je dois manipuler des clients et je suis assez forte pour ça, là, les caresses que je fais à leur corps, seront loin de les réparer.
Bof, c’est la sécu qui paye, leurs médecins leur donneront quelques séances de plus où je me rattraperais.
Lorsque je rentre, je trouve Lory dans la cuisine, elle s’est fait un sandwich et coulé un café.
• Votre journée a été bonne, Véronique !
• Lory, ce matin quand tu m’as appelé maman pour que je vienne te voir, tu me disais « tu », maintenant tu me vouvoies ?
• Comment, je vous ai appelé dans ma chambre ?
Vous avez dû rêver, j’ai dormi comme un bébé jusqu’à il y a une demi-heure.
Pourquoi vous aurais-je appelé, quel motif j’aurais eu ?
C’est l’heure, je suis de nouveau de garde cette nuit à demain matin, Véronique.
Elle part vers la chambre et quelques minutes après j’entends sa voiture démarrée.
Je suis circonspect, je vais dans la chambre, le lit est fait, je regarde sur la table de nuit, aucune trace du martinet.
Je retourne dans ma chambre, dans le carton à chaussures où je le range, il est là me faisant un pied de nez.
Je fais tomber mes vêtements, je vais sous la douche, l’eau ruisselle sur moi, le premier coup de martinet s’abat sur mon dos.
Je sens que je dois faire pénitence...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci je suis en train d'écrire une suite de cette histoire
Merci Daniel
Merci Daniel
Chris encore un chapitre magnifique ou le SM solo est entré puis une petite domination sur sa belle fille consentante vivement la suite avec de nouvelles surprises. Daniel

