COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (7/8)
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Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION FOLLE DU CUL. L’éloge de la fessée (7/8)
• Bonjour, vous êtes dans votre lit, j’ai vu votre voiture en arrivant, je vous ai vainement cherché.
C’est en venant me doucher que je vous ai trouvé.
Vous étiez sur le sol de la douche, ce martinet dans votre main, l’eau coulant sur votre dos où j’ai tout de suite vu les traces de la flagellation que vous vous étiez infligée.
J’ai fermé l’eau, je vous ai sortie de la douche et je vous ai essuyée avant de vous tirer dans votre lit.
Je vous ai passé une pommade bien plus efficace que celle que j’ai trouvée dans votre armoire à pharmacie.
Pourquoi vous infligez ces sévices ?
• C’est de ta faute, Lory !
• Ma faute ?
• Hier, avant que tu me quittes, tu as semblé oublié que tu m’avais provoqué pour que je te flagelle m’ayant dit que tu avais fait pipi au lit.
Elle me prend dans ses bras, et m’embrasse sur mon front.
• J’ai certainement fait ce que vous dites, mais c’était dans un état que j’atteins parfois, sorte de somnambulisme lorsque je suis épuisée.
C’est le cas après ces longues gardes à répétition que le manque de personnel à l’hôpital nous oblige à faire.
• Mais tu semble aimé te faire fesser, pire te faire martyriser !
• Ça date de ma jeunesse, si j’ai mouillé mes draps pour vous attirer, c’est lorsque j’étais petite et jusqu’à l’âge de huit ans, je faisais régulièrement pipi dans mon lit.
Ma mère excédée me fessait espérant que cela allait se passer, ce qui a entrainé ce traumatisme qui apparait lorsque je suis épuisée.
Dans ces moments-là, je tutoie les gens comme si c’était des copains.
C’est à ça que l’on sait que je suis en crise.
• Mais tu pourrais continuer à le faire, hors de ces périodes, j’en serais la plus heureuse !
• C’est dur, vu mon éducation rigoriste, mais je te promets de faire un effort.
• Franck t’a-t-il vu en crise ?
• Deux fois déjà, il s’en amuse, ça a pimenté notre vie de couple, mieux même ça a participé à ce que nous apercevions l’amour que nous avons l’un pour l’autre.
• Et si nous sortions en fille, j’aimerais te faire connaitre l’endroit que je préfère dans la région.
Je t’invite au restaurant, j’en connais un là où nous allons.
Bien sûr, c’est à Beaune que j’entraine celle que je peux considérer comme ma bru, se voir nue, un martinet en main pour moi sous cette douche ayant coulé pendant des heures, ça rapproche.
• C’est drôle, je fais souvent Chalon à Dijon, sans jamais être passé dans cette ville, je prends toujours l’autoroute.
• Je te comprends, c’est plus rapide, mais tu peux le voir, c’est magnifique de rouler entre les vignes, mais nous sommes arrivés et par chance voilà une place ou nous garer.
Nous descendons et je conduis Lory dans la rue où se trouve le restaurant.
• Bonjour Lucien vous nous apporterez le menue du jour, de la tête de veau à ce que j’ai vu.
• Oui, en hiver, tous les premiers mercredis, nous avons ce plat au menu.
Nous refusons du monde, vous avez de la chance deux d’entre eux ont téléphoné pour se décommander.
Mais vous les connaissez, ils ont mangé à vos côtés la dernière fois que vous êtes venue.
Vous êtes même parti ensemble, Karola et Gaston son mari.
• Ils sont malades !
• Non, au téléphone elle m’a dit que son mari était parti en urgence s’occuper de l’un de ses clients et elle voulait éviter de manger seule !
Ça lui est arrivé quelquefois et a horreur d’être sollicitée par des inconnus des tables voisines.
• Elle est donc seule chez elle, la table est pour quatre, je peux lui dire de venir, j’aimerais la présenter à l’amie de mon fils, elles sont faites pour s’entendre.
Les numéros de portable, ça sert à rapprocher les gens, Karola arrive, toujours aussi belle.
• Bonjour Karola, je te présente, He !...
• Lory, mais tu peux dire la petite amie de Franck ton fils.
Nous nous faisons la bise, ma main vient se poser sur sa fesse sans le faire exprès.
Nous sommes montés en haute tension, j’ai l’impression de ressentir le passage de courant dans ma main.
• Lucien qu’est-ce que tu as à nous proposer ce midi.
• Vous le savez bien Karola, nous sommes le mercredi, premier mercredi du mois, ce midi c’est tête de veau.
• C’est vrai quelle horreur, lorsque je suis arrivée en France, il y avait ce que vous appeliez des triperies.
Ils vendaient de la tétine de vache et surtout un jour dans la devanture, il y avait une tête de veau avec du persil dans les oreilles et les narines, j’ai cru mourir.
Sert-moi une bonne salade de chèvre chaud, si vous voulez que je reste en vie.
Lorsque Jennifer nous a amené notre tête de veau, la vision du persil dans le nez et les oreilles, nous a légèrement coupé l’envie.
• Laissez Jennifer, mettez la note sur le compte de mon mari, il sera content d’apprendre que nous savons vivre sans lui.
Venez les filles, je vous invite à prendre un autre café chez moi.
Ceci dit avec son accent, je vois que Lory semble fascinée par notre amie, je comprends qu’elle soit facilement sollicitée lorsque Gaston s’absente.
Nous nous retrouvons dans le salon du couple sans la partie mâle de celui-ci.
Karola va vers sa chambre, je sais qu’elle va nous revenir nue, sous les yeux médusés de Lory.
J’enlève mes affaires pour me retrouver nue, Karola revient.
• À d’accord !
Et sans autre forme de procès elle se dévêtit posant ses affaires sur les miennes.
J’ai déjà vu Lory nue lors de la séance du martinet, mais dans ce salon dans le vieux Beaune cela prend une tout autre proportion.
• Karola, me permets-tu, d’ouvrir ton armoire Empire d’où Gaston a sorti son martinet, j’ai eu le temps de voir qu’elle contenait d’autres choses bien sympathiques ?
Je fais les trois pas avant son acceptation, j’ouvre, ce sont bien des trésors, que j’y trouve...
Cravaches, fouets, certainement servant à l’extérieur, car la lanière est trop longue pour s’en servir ici dans cet espace plutôt restreint.
J’ai parlé de cravache style jockey, il y en a trois avec des spatules plus ou moins larges et des balles de couleurs avec des lanières réglables.
J’en ai vu sur Internet en regardant les films pornographiques, ce sont des balles à bouches, comme je l’ai dit de couleurs différentes et dans des sachets en plastique, certainement désinfecté.
Et, c’est à ce moment que je prends en main un objet insolite.
• Ce que tu tiens en main, c’est mon vieil ennemi si cher à mon cœur.
Mon chat à neuf queues et ses billes de buis.
Si les martinets déchirent la peau, si l’on insiste trop, quelques coups de ces billes bien placées et vous avez un plaisir maximum.
• Gaston a dû s’en servir il y a peu, vu l’état de tes fesses !
Dans sa nudité, Karola nous montre l’état de ses fesses et ses seins rayés de traces identiques à ce que j’ai infligé à Lory, soi-disant lors de trans dû à ses longues gardes.
• Hier, mais c’est lié à son absence de ce jour, là où il a eu rendez-vous, il y rencontrerait une narttu, pardon, une pétasse blonde.
« Narttu, » c’est dans ma langue d’origine le Finnois, il m’arrive encore de faire des erreurs et de mélanger les mots entre nos deux langues.
• Il te trompe avec celle que tu appelles une « pétasse blonde, une...
• Narttu, je sais, ma langue est un peu compliquée, mais le français ne l’est pas moins !
Me tromper, quelle horreur, non, il a porté le livre de Jacques Serguine à cette jeune femme que nous avons rencontrée aux hospices de Beaune.
Lory, veux-tu que je me serve de mon chat, sur ton joli petit cul ?
Incroyable, mais ça me trouble, jusqu’à où Lory me joue-t-elle la comédie.
Cette fois, contrairement à celle de la séance de martinet, elle a fait une garde simple de 24 heures.
Pas de quoi entrer en trans, je sais que j’ai affaire à une belle salope, se fichant allègrement de ma gueule.
Surtout lorsqu’elle se retourne et se positionne à genoux sur le fauteuil de Gaston.
• Frappe, sans retenue Karola, tu me rendras service, cette jolie jeune fille est une fieffée menteuse.
• Si elle ment, elle va recevoir la correction qu’elle mérite, tu es prête !
Lory rentre sa tête dans ses épaules, un coup tombe.
Comme je suis placé, je vois ses yeux se fermer, elle serre les dents et ses lèvres, nul doute qu’elle a déjà gouté à des sévices aussi violents que ce que lui assène Karola. Ma belle-fille est une adepte des fessées violentes.
J’ai mal pour elle, heureusement que Karola est une experte dans le maniement de cet objet de torture.
D’où je suis, la croupe de Lory se marque chaque fois que les boules de buis touchent leurs cibles.
Douze, c’est le nombre de fois ou son cul est marqué à chacun des impacte et non pour rire.
À la douzième, Lory est restée muette, mais des larmes coulent de ses yeux.
Dès la douzième Karola lâche son engin de torture et venant s’assoir sur le fauteuil, elle attire ma belle-fille dans ses bras.
Lory pleure dans l’épaule de sa tortionnaire, certainement sans rancune, car elle tend ses lèvres que Karola accepte comme elle avait accepté les miennes lorsque je me suis retrouvée dans une situation presque identique.
• Karola, dis-moi, tu viens de dire que Gaston était allé apporter le livre d’un certain Jacques Serguine, je dois reconnaitre que j’ignore ce qu’à écrit ce monsieur et pourquoi il intéresse cette jeune narttu ?...
C’est en venant me doucher que je vous ai trouvé.
Vous étiez sur le sol de la douche, ce martinet dans votre main, l’eau coulant sur votre dos où j’ai tout de suite vu les traces de la flagellation que vous vous étiez infligée.
J’ai fermé l’eau, je vous ai sortie de la douche et je vous ai essuyée avant de vous tirer dans votre lit.
Je vous ai passé une pommade bien plus efficace que celle que j’ai trouvée dans votre armoire à pharmacie.
Pourquoi vous infligez ces sévices ?
• C’est de ta faute, Lory !
• Ma faute ?
• Hier, avant que tu me quittes, tu as semblé oublié que tu m’avais provoqué pour que je te flagelle m’ayant dit que tu avais fait pipi au lit.
Elle me prend dans ses bras, et m’embrasse sur mon front.
• J’ai certainement fait ce que vous dites, mais c’était dans un état que j’atteins parfois, sorte de somnambulisme lorsque je suis épuisée.
C’est le cas après ces longues gardes à répétition que le manque de personnel à l’hôpital nous oblige à faire.
• Mais tu semble aimé te faire fesser, pire te faire martyriser !
• Ça date de ma jeunesse, si j’ai mouillé mes draps pour vous attirer, c’est lorsque j’étais petite et jusqu’à l’âge de huit ans, je faisais régulièrement pipi dans mon lit.
Ma mère excédée me fessait espérant que cela allait se passer, ce qui a entrainé ce traumatisme qui apparait lorsque je suis épuisée.
Dans ces moments-là, je tutoie les gens comme si c’était des copains.
C’est à ça que l’on sait que je suis en crise.
• Mais tu pourrais continuer à le faire, hors de ces périodes, j’en serais la plus heureuse !
• C’est dur, vu mon éducation rigoriste, mais je te promets de faire un effort.
• Franck t’a-t-il vu en crise ?
• Deux fois déjà, il s’en amuse, ça a pimenté notre vie de couple, mieux même ça a participé à ce que nous apercevions l’amour que nous avons l’un pour l’autre.
• Et si nous sortions en fille, j’aimerais te faire connaitre l’endroit que je préfère dans la région.
Je t’invite au restaurant, j’en connais un là où nous allons.
Bien sûr, c’est à Beaune que j’entraine celle que je peux considérer comme ma bru, se voir nue, un martinet en main pour moi sous cette douche ayant coulé pendant des heures, ça rapproche.
• C’est drôle, je fais souvent Chalon à Dijon, sans jamais être passé dans cette ville, je prends toujours l’autoroute.
• Je te comprends, c’est plus rapide, mais tu peux le voir, c’est magnifique de rouler entre les vignes, mais nous sommes arrivés et par chance voilà une place ou nous garer.
Nous descendons et je conduis Lory dans la rue où se trouve le restaurant.
• Bonjour Lucien vous nous apporterez le menue du jour, de la tête de veau à ce que j’ai vu.
• Oui, en hiver, tous les premiers mercredis, nous avons ce plat au menu.
Nous refusons du monde, vous avez de la chance deux d’entre eux ont téléphoné pour se décommander.
Mais vous les connaissez, ils ont mangé à vos côtés la dernière fois que vous êtes venue.
Vous êtes même parti ensemble, Karola et Gaston son mari.
• Ils sont malades !
• Non, au téléphone elle m’a dit que son mari était parti en urgence s’occuper de l’un de ses clients et elle voulait éviter de manger seule !
Ça lui est arrivé quelquefois et a horreur d’être sollicitée par des inconnus des tables voisines.
• Elle est donc seule chez elle, la table est pour quatre, je peux lui dire de venir, j’aimerais la présenter à l’amie de mon fils, elles sont faites pour s’entendre.
Les numéros de portable, ça sert à rapprocher les gens, Karola arrive, toujours aussi belle.
• Bonjour Karola, je te présente, He !...
• Lory, mais tu peux dire la petite amie de Franck ton fils.
Nous nous faisons la bise, ma main vient se poser sur sa fesse sans le faire exprès.
Nous sommes montés en haute tension, j’ai l’impression de ressentir le passage de courant dans ma main.
• Lucien qu’est-ce que tu as à nous proposer ce midi.
• Vous le savez bien Karola, nous sommes le mercredi, premier mercredi du mois, ce midi c’est tête de veau.
• C’est vrai quelle horreur, lorsque je suis arrivée en France, il y avait ce que vous appeliez des triperies.
Ils vendaient de la tétine de vache et surtout un jour dans la devanture, il y avait une tête de veau avec du persil dans les oreilles et les narines, j’ai cru mourir.
Sert-moi une bonne salade de chèvre chaud, si vous voulez que je reste en vie.
Lorsque Jennifer nous a amené notre tête de veau, la vision du persil dans le nez et les oreilles, nous a légèrement coupé l’envie.
• Laissez Jennifer, mettez la note sur le compte de mon mari, il sera content d’apprendre que nous savons vivre sans lui.
Venez les filles, je vous invite à prendre un autre café chez moi.
Ceci dit avec son accent, je vois que Lory semble fascinée par notre amie, je comprends qu’elle soit facilement sollicitée lorsque Gaston s’absente.
Nous nous retrouvons dans le salon du couple sans la partie mâle de celui-ci.
Karola va vers sa chambre, je sais qu’elle va nous revenir nue, sous les yeux médusés de Lory.
J’enlève mes affaires pour me retrouver nue, Karola revient.
• À d’accord !
Et sans autre forme de procès elle se dévêtit posant ses affaires sur les miennes.
J’ai déjà vu Lory nue lors de la séance du martinet, mais dans ce salon dans le vieux Beaune cela prend une tout autre proportion.
• Karola, me permets-tu, d’ouvrir ton armoire Empire d’où Gaston a sorti son martinet, j’ai eu le temps de voir qu’elle contenait d’autres choses bien sympathiques ?
Je fais les trois pas avant son acceptation, j’ouvre, ce sont bien des trésors, que j’y trouve...
Cravaches, fouets, certainement servant à l’extérieur, car la lanière est trop longue pour s’en servir ici dans cet espace plutôt restreint.
J’ai parlé de cravache style jockey, il y en a trois avec des spatules plus ou moins larges et des balles de couleurs avec des lanières réglables.
J’en ai vu sur Internet en regardant les films pornographiques, ce sont des balles à bouches, comme je l’ai dit de couleurs différentes et dans des sachets en plastique, certainement désinfecté.
Et, c’est à ce moment que je prends en main un objet insolite.
• Ce que tu tiens en main, c’est mon vieil ennemi si cher à mon cœur.
Mon chat à neuf queues et ses billes de buis.
Si les martinets déchirent la peau, si l’on insiste trop, quelques coups de ces billes bien placées et vous avez un plaisir maximum.
• Gaston a dû s’en servir il y a peu, vu l’état de tes fesses !
Dans sa nudité, Karola nous montre l’état de ses fesses et ses seins rayés de traces identiques à ce que j’ai infligé à Lory, soi-disant lors de trans dû à ses longues gardes.
• Hier, mais c’est lié à son absence de ce jour, là où il a eu rendez-vous, il y rencontrerait une narttu, pardon, une pétasse blonde.
« Narttu, » c’est dans ma langue d’origine le Finnois, il m’arrive encore de faire des erreurs et de mélanger les mots entre nos deux langues.
• Il te trompe avec celle que tu appelles une « pétasse blonde, une...
• Narttu, je sais, ma langue est un peu compliquée, mais le français ne l’est pas moins !
Me tromper, quelle horreur, non, il a porté le livre de Jacques Serguine à cette jeune femme que nous avons rencontrée aux hospices de Beaune.
Lory, veux-tu que je me serve de mon chat, sur ton joli petit cul ?
Incroyable, mais ça me trouble, jusqu’à où Lory me joue-t-elle la comédie.
Cette fois, contrairement à celle de la séance de martinet, elle a fait une garde simple de 24 heures.
Pas de quoi entrer en trans, je sais que j’ai affaire à une belle salope, se fichant allègrement de ma gueule.
Surtout lorsqu’elle se retourne et se positionne à genoux sur le fauteuil de Gaston.
• Frappe, sans retenue Karola, tu me rendras service, cette jolie jeune fille est une fieffée menteuse.
• Si elle ment, elle va recevoir la correction qu’elle mérite, tu es prête !
Lory rentre sa tête dans ses épaules, un coup tombe.
Comme je suis placé, je vois ses yeux se fermer, elle serre les dents et ses lèvres, nul doute qu’elle a déjà gouté à des sévices aussi violents que ce que lui assène Karola. Ma belle-fille est une adepte des fessées violentes.
J’ai mal pour elle, heureusement que Karola est une experte dans le maniement de cet objet de torture.
D’où je suis, la croupe de Lory se marque chaque fois que les boules de buis touchent leurs cibles.
Douze, c’est le nombre de fois ou son cul est marqué à chacun des impacte et non pour rire.
À la douzième, Lory est restée muette, mais des larmes coulent de ses yeux.
Dès la douzième Karola lâche son engin de torture et venant s’assoir sur le fauteuil, elle attire ma belle-fille dans ses bras.
Lory pleure dans l’épaule de sa tortionnaire, certainement sans rancune, car elle tend ses lèvres que Karola accepte comme elle avait accepté les miennes lorsque je me suis retrouvée dans une situation presque identique.
• Karola, dis-moi, tu viens de dire que Gaston était allé apporter le livre d’un certain Jacques Serguine, je dois reconnaitre que j’ignore ce qu’à écrit ce monsieur et pourquoi il intéresse cette jeune narttu ?...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours aussi intéressant les fessées sont bien expliquées on voit bien l’evolution de Véronique et on comprend la demande de Lori c’est d’un érotisme et d’une sensualité généreuse on attend le dernier volet avec impatience .Daniel

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