COLLECTION FOLLE DU CUL. La femme du consul. Début de la saison III (7/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. La femme du consul. Début de la saison III (7/9)
Comment me sortir du piège où je m’enferme, je suis de plus en plus emportée par mon délire, à la limite de jouir de ce que je raconte ?
Si Cassy savait que je suis venue en avion et que mon mari m’attend dans notre ambassade de Tanzanie, elle me prendrait certainement pour une folle.
Alors, je décide de rester sur cette ligne qui semble intéresser mon interlocutrice.
• À la tienne, comme on dit en France.
Comment, dit-on dans ton pays ?
Un piège de plus, mais je traduis d’un mot, comment pourra-t-elle vérifier, c’est en Swahili.
• Nous disons Shangwe.
• Alors Shangé.
Nos bouteilles s’entrechoquent.
Je pourrais la reprendre, mais j’ai déjà assez à faire avec mes mensonges.
Alors, j’attaque.
• À oui, la traversée.
Coup de chance, à Tunis, j’avais vu un reportage montrant des personnes entassées sur ces bateaux gonflables.
Ils avaient été repéchés par un navire d’organisme humanitaire.
Après bien des tractations, ils avaient débarqué à Marseille, l’Italie les ayant refusés.
Une fois de plus emporté par mon élan, j’en rajoute.
• J’avais pris place sur un bateau gonflable sur le boudin gauche.
Après plus d’une heure de navigation poussée par un moteur ayant du mal à nous faire avancer, le boudin droit s’est mis à se dégonfler.
Je retenais une maman avec son bébé, mais comme un après l’autre ils étaient éjectés, elle me l’a tendue, je m’en suis saisi et elle a disparu dans les flots.
Ce doit être moi qui ai écrit les misérables, Gavroche va certainement apparaître dans mon récit.
• Ayant tout perdu, mon vêtement étant déchiré, je montrais à tous mon sein.
La petite croyant que c’était celui de sa mère, c’est mis à me téter.
• Incroyable, ça t’a fait mouiller, tout à l’heure, quand je t’ai sucé, mes doigts sentaient que ta chatte était humide.
Que je suis conne, comment lui dire qu’elle est ignoble alors que je viens de faire mourir noyé une femme ajouté à cela mon mari.
• Arrête, tu es ignoble.
Nous avions parcouru une grande distance quand nous avons entendu la corme d’un navire sur notre arrière.
C’était un bateau d’une organisation international qui nous rattrapait.
Par chance, ils avaient trouvé toutes les personnes tombées.
Parmi eux il y avait la maman.
Ces personnes ont été sauvées et ils nous ont fait monter à bord.
• Pourquoi avez-vous débarqué à Marseille ?
• Pourquoi je l’ignore ?
Comme j’étais placé sur le pont, je voyais celui qui devait être le commandant s’égosiller à travers une vitre un micro à la main, puis nous avons changé de route.
• C’est pour cela que tu es en France, tu aurais atterri en Italie, tu aurais demandé l’asile là-bas.
• Et nous serions passés près de tous ces bons moments entre nous.
Amoureuse nous nous embrassons.
Sa main retrouve mon sein, moi sa chatte, il faut que j’en finisse et lui dire la vérité.
Hélas, je risque de la perdre même si c’est une fosse rousse et ça c’est impossible.
Avec elle, je me sens libre, loin des ronds de jambe de notre ambassade.
• Veux-tu une autre mousse ?
• Tu veux me saouler, non, de l’eau.
Elle se lève, qu’elle est belle dans sa nudité.
• Et de Marseille, comment es-tu venue à Paris ?
Qu’ai-je fait à Marseille ?
À oui, les services de la Croix-rouge française.
• Nous avons été séparés, les hommes célibataires à droite, les couples à gauche et les femmes seules même avec enfants dans un troisième paquet.
Merde, trouvons rapidement quelque chose à lui dire.
• Je savais que si je restais, je risquais de me faire expulser, il fallait que je retrouve mon indépendance.
J’avais appris à jouer avec mon corps et là encore j’allais le faire pour m’en sortir.
Fini les viols, autant se donner comme avant d’embarquer sur notre radeau pourri en Afrique.
Nous faisions la queue pour passer dans une cabane comme celle que l’on voit sur les chantiers du métro parisien.
J’en avais vu une lors de mon retour en taxi, l’autre jour.
• Il y avait un groupe de dockers du port qui était assis et qui nous regardait.
J’ai fait de l’œil à l’un d’entre eux, celui qui me semblait le mieux membré avec ses gros bras.
J’ai passé ma langue sur mes lèvres comme ça et je lui ai fait ça.
• Tu as sorti et entré ta langue rapidement comme si tu voulais qu’il te suce.
• Oui, discrètement pour qu’il soit le seul à me voir, j’ai mis mon index et mon pouce comme ça et j’ai fait coulisser l’index de mon autre main dans le vagin que cela faisait.
• Putain, tu l’allumais !
• Oui, je sentais que c’était la seule façon d’échapper à un retour à la case départ.
Il a parlé à ses copains, ils se sont levés tous les cinq, ils se sont rapprochés.
L’un a dit.
« Regarde toutes ces putains, laquelle tu te farcirais. »
• Un autre a commencé à s’engueuler avec celui qui semblait nous insulter.
Nous étions gardés par des policiers, deux devant notre cabane.
Quatre dans les deux autres baraques des couples et des hommes seules.
Tous se sont bagarrés, les policiers au milieu sauf Youssef, celui à qui j’avais fait signe.
Il m’a pris par le bras et m’a tiré vers une sortie.
J’ai détaché le gilet de sauvetage orange qui nous avait été mis sur le dos en montant à bord du bateau.
J’avais conscience que mes seins étaient de nouveaux visibles, mais nous courrions tellement vite que peu importe, j’étais libre.
• Et vous avez été chez lui et tu l’as baisé !
• Tu y étais, c’est exactement ça.
Il habitait dans un immeuble près du port.
La seule chose que je souhaitais en priorité c’était qu’il me montre la salle de bains.
Hassan, mon mari m’avait parlé, qu’en France chacun avait sa baignoire alors que chez nous, c’est au puits qu’il nous fallait aller chercher l’eau.
Quand je vous dis que je vais arriver à faire croire que je vivais avec Gavroche.
Plus je mens et plus je m’enfonce dans mon mensonge, mais bizarrement j’adore.
Serais-je une manipulatrice ?
• Ce bain chaud était divin et bien sûr, il s’est déshabillé et m’a rejoint.
• Il voulait toucher son dû !
Il avait une grosse verge !
• La plus grosse jamais vue et prise dans ma bouche.
Pour commencer, à califourchon sur lui ma chatte coulissant à la perfection et rapidement j’ai joui.
Ah ! ah ! ahhhhh !
Excuser, je revivais la scène sans m’apercevoir que Cassy avait mis trois doigts dans ma chatte.
C’est une nouvelle fois sa bouche qui vient trouver la mienne.
Nouveaux ébats sur son lit, dans un parfait 69 avant que Cassy me prenne en plaçant nos jambes en ciseaux nous permettant de nous frotter les clitoris.
Mais il fallait que j’achève mon parfait mensonge.
• Eh bien, ma salope, j’ai joui comme jamais.
Je suis restée presque une semaine avec lui, il me baisait comme un lapin, j’en avais mal à la chatte.
Par chance, il a ignoré mon anus, il m’aurait défoncé !
Est-ce un regret ?
• Il m’avait acheté un jean des baskets et un débardeur avec un petit sac à main ou il avait mis quelques billets.
Je voulais rejoindre Paris, persuadé que c’était dans la capitale que je m’en sortirais.
Je suis arrivée par un train direct, qui roulait à une vitesse incroyable, pour moi la grande Africaine.
• Tu étais dans le TGV !
• Oui, et à Paris j’ai vécu sous des tentes avant de rejoindre le foyer ou je suis en ce moment à attendre une légalisation de mes papiers et une place dans l’ambassade qui m’a promis une embauche.
• Et ton centre ou est-il ?
Un dernier mensonge et c’est bon, j’ai fini la boucle qui me reproche d’elle.
• Près d’un stade de foot.
Il y a toujours un stade de foot quelque part, difficile de louper mon mensonge.
• Le Parc des Princes ?
• C’est ça !
Mais dit moi pourquoi toutes ces photos de fille les seins à l’air, j’ai l’impression que tu es dessus ?
Ouf, changement de questionneur, je vais peut-être m’en sortir les cuisses propres...
Si Cassy savait que je suis venue en avion et que mon mari m’attend dans notre ambassade de Tanzanie, elle me prendrait certainement pour une folle.
Alors, je décide de rester sur cette ligne qui semble intéresser mon interlocutrice.
• À la tienne, comme on dit en France.
Comment, dit-on dans ton pays ?
Un piège de plus, mais je traduis d’un mot, comment pourra-t-elle vérifier, c’est en Swahili.
• Nous disons Shangwe.
• Alors Shangé.
Nos bouteilles s’entrechoquent.
Je pourrais la reprendre, mais j’ai déjà assez à faire avec mes mensonges.
Alors, j’attaque.
• À oui, la traversée.
Coup de chance, à Tunis, j’avais vu un reportage montrant des personnes entassées sur ces bateaux gonflables.
Ils avaient été repéchés par un navire d’organisme humanitaire.
Après bien des tractations, ils avaient débarqué à Marseille, l’Italie les ayant refusés.
Une fois de plus emporté par mon élan, j’en rajoute.
• J’avais pris place sur un bateau gonflable sur le boudin gauche.
Après plus d’une heure de navigation poussée par un moteur ayant du mal à nous faire avancer, le boudin droit s’est mis à se dégonfler.
Je retenais une maman avec son bébé, mais comme un après l’autre ils étaient éjectés, elle me l’a tendue, je m’en suis saisi et elle a disparu dans les flots.
Ce doit être moi qui ai écrit les misérables, Gavroche va certainement apparaître dans mon récit.
• Ayant tout perdu, mon vêtement étant déchiré, je montrais à tous mon sein.
La petite croyant que c’était celui de sa mère, c’est mis à me téter.
• Incroyable, ça t’a fait mouiller, tout à l’heure, quand je t’ai sucé, mes doigts sentaient que ta chatte était humide.
Que je suis conne, comment lui dire qu’elle est ignoble alors que je viens de faire mourir noyé une femme ajouté à cela mon mari.
• Arrête, tu es ignoble.
Nous avions parcouru une grande distance quand nous avons entendu la corme d’un navire sur notre arrière.
C’était un bateau d’une organisation international qui nous rattrapait.
Par chance, ils avaient trouvé toutes les personnes tombées.
Parmi eux il y avait la maman.
Ces personnes ont été sauvées et ils nous ont fait monter à bord.
• Pourquoi avez-vous débarqué à Marseille ?
• Pourquoi je l’ignore ?
Comme j’étais placé sur le pont, je voyais celui qui devait être le commandant s’égosiller à travers une vitre un micro à la main, puis nous avons changé de route.
• C’est pour cela que tu es en France, tu aurais atterri en Italie, tu aurais demandé l’asile là-bas.
• Et nous serions passés près de tous ces bons moments entre nous.
Amoureuse nous nous embrassons.
Sa main retrouve mon sein, moi sa chatte, il faut que j’en finisse et lui dire la vérité.
Hélas, je risque de la perdre même si c’est une fosse rousse et ça c’est impossible.
Avec elle, je me sens libre, loin des ronds de jambe de notre ambassade.
• Veux-tu une autre mousse ?
• Tu veux me saouler, non, de l’eau.
Elle se lève, qu’elle est belle dans sa nudité.
• Et de Marseille, comment es-tu venue à Paris ?
Qu’ai-je fait à Marseille ?
À oui, les services de la Croix-rouge française.
• Nous avons été séparés, les hommes célibataires à droite, les couples à gauche et les femmes seules même avec enfants dans un troisième paquet.
Merde, trouvons rapidement quelque chose à lui dire.
• Je savais que si je restais, je risquais de me faire expulser, il fallait que je retrouve mon indépendance.
J’avais appris à jouer avec mon corps et là encore j’allais le faire pour m’en sortir.
Fini les viols, autant se donner comme avant d’embarquer sur notre radeau pourri en Afrique.
Nous faisions la queue pour passer dans une cabane comme celle que l’on voit sur les chantiers du métro parisien.
J’en avais vu une lors de mon retour en taxi, l’autre jour.
• Il y avait un groupe de dockers du port qui était assis et qui nous regardait.
J’ai fait de l’œil à l’un d’entre eux, celui qui me semblait le mieux membré avec ses gros bras.
J’ai passé ma langue sur mes lèvres comme ça et je lui ai fait ça.
• Tu as sorti et entré ta langue rapidement comme si tu voulais qu’il te suce.
• Oui, discrètement pour qu’il soit le seul à me voir, j’ai mis mon index et mon pouce comme ça et j’ai fait coulisser l’index de mon autre main dans le vagin que cela faisait.
• Putain, tu l’allumais !
• Oui, je sentais que c’était la seule façon d’échapper à un retour à la case départ.
Il a parlé à ses copains, ils se sont levés tous les cinq, ils se sont rapprochés.
L’un a dit.
« Regarde toutes ces putains, laquelle tu te farcirais. »
• Un autre a commencé à s’engueuler avec celui qui semblait nous insulter.
Nous étions gardés par des policiers, deux devant notre cabane.
Quatre dans les deux autres baraques des couples et des hommes seules.
Tous se sont bagarrés, les policiers au milieu sauf Youssef, celui à qui j’avais fait signe.
Il m’a pris par le bras et m’a tiré vers une sortie.
J’ai détaché le gilet de sauvetage orange qui nous avait été mis sur le dos en montant à bord du bateau.
J’avais conscience que mes seins étaient de nouveaux visibles, mais nous courrions tellement vite que peu importe, j’étais libre.
• Et vous avez été chez lui et tu l’as baisé !
• Tu y étais, c’est exactement ça.
Il habitait dans un immeuble près du port.
La seule chose que je souhaitais en priorité c’était qu’il me montre la salle de bains.
Hassan, mon mari m’avait parlé, qu’en France chacun avait sa baignoire alors que chez nous, c’est au puits qu’il nous fallait aller chercher l’eau.
Quand je vous dis que je vais arriver à faire croire que je vivais avec Gavroche.
Plus je mens et plus je m’enfonce dans mon mensonge, mais bizarrement j’adore.
Serais-je une manipulatrice ?
• Ce bain chaud était divin et bien sûr, il s’est déshabillé et m’a rejoint.
• Il voulait toucher son dû !
Il avait une grosse verge !
• La plus grosse jamais vue et prise dans ma bouche.
Pour commencer, à califourchon sur lui ma chatte coulissant à la perfection et rapidement j’ai joui.
Ah ! ah ! ahhhhh !
Excuser, je revivais la scène sans m’apercevoir que Cassy avait mis trois doigts dans ma chatte.
C’est une nouvelle fois sa bouche qui vient trouver la mienne.
Nouveaux ébats sur son lit, dans un parfait 69 avant que Cassy me prenne en plaçant nos jambes en ciseaux nous permettant de nous frotter les clitoris.
Mais il fallait que j’achève mon parfait mensonge.
• Eh bien, ma salope, j’ai joui comme jamais.
Je suis restée presque une semaine avec lui, il me baisait comme un lapin, j’en avais mal à la chatte.
Par chance, il a ignoré mon anus, il m’aurait défoncé !
Est-ce un regret ?
• Il m’avait acheté un jean des baskets et un débardeur avec un petit sac à main ou il avait mis quelques billets.
Je voulais rejoindre Paris, persuadé que c’était dans la capitale que je m’en sortirais.
Je suis arrivée par un train direct, qui roulait à une vitesse incroyable, pour moi la grande Africaine.
• Tu étais dans le TGV !
• Oui, et à Paris j’ai vécu sous des tentes avant de rejoindre le foyer ou je suis en ce moment à attendre une légalisation de mes papiers et une place dans l’ambassade qui m’a promis une embauche.
• Et ton centre ou est-il ?
Un dernier mensonge et c’est bon, j’ai fini la boucle qui me reproche d’elle.
• Près d’un stade de foot.
Il y a toujours un stade de foot quelque part, difficile de louper mon mensonge.
• Le Parc des Princes ?
• C’est ça !
Mais dit moi pourquoi toutes ces photos de fille les seins à l’air, j’ai l’impression que tu es dessus ?
Ouf, changement de questionneur, je vais peut-être m’en sortir les cuisses propres...
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