COLLECTION FOLLE DU CUL. La femme du consul. Début de la saison IV (10/12)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. La femme du consul. Début de la saison IV (10/12)
À la fin de la saison III, prise dans mes mensonges et mes contradictions, je suis sérieusement dans la merde quand afin de régler les papiers d’embauche, monsieur Léon me demande ma carte d’identité.
J’ai bien mon passeport diplomatique tanzanien au nom de Victoria alors que j’ai dit à Cassy que j’étais rwandaise et que je m’appelais Radia.
- Monsieur Léon, j’ai un souci.
- J’ai compris tu es immigrée sans papier, avec moi aucun souci.
Monsieur Léon prend le téléphone à ses côtés tout en se grattant les couilles.
- Hamed, tu peux venir me voir, j’ai besoin de tes services.
J’ignore si Hamed est loin, mais dix minutes après, j’entends frapper.
- Hamed, as-tu toujours ton ami à la préfecture ?
- Oui, il vous faut des papiers.
- Un jeu complet, le plus tôt possible, c’est pour qui ?
- Radia, suis Hamed, il va te photographier.
Hamed, tu fais aussi celles de la vitrine en bas, dénudé mais sans plus, elle sera notre sauvage que les gens devront venir découvrir.
Attends, j’ai une idée, regarde dans cette malle, il doit il y a un masque africain, fait des photos au format habituel, nous choisirons après.
Hamed récupère le masque et monsieur Léon se lève, rentre son matériel et va dans un bureau.
Il en sort une liasse qu’Hamed saisi.
- Tient avec ça tu devrais t’en sortir, tu auras le reste lorsque tu m’amèneras le matos.
Les filles suivez-le, Cassy forme Radia à la barre et à l’effeuillage d’une façon plus sensuelle que les tortillements qu’elle m’a montrés tout à l’heure.
Voilà, c’est vrai, il a fallu que je m’améliore pour monter sur la scène, je le fais rapidement et cette après-midi, c’est le grand jour, je suis lancée dans le grand bain.
La séance photo s’est bien passée, même si Hamed a eu les mains un peu baladeuses.
Je pourrais me plaindre, mais lorsqu’il demande à Cassy de me titiller les pointes de seins pour les faire bander, je regrette presque qu’Hamed le fasse personnellement.
Aujourd’hui lorsque j’arrive, Cyprien, le garçon qui tient la caisse me demande de monter chez monsieur Léon.
Au lieu de tourner à droite vers la loge où nous nous préparons, je prends à gauche et je monte l’escalier, je frappe.
« Entre Radia ».
Comment a-t-il su que c’était moi, je lève ma tête, il y a une caméra.
- Tient voilà tes papiers, tu as même un permis de conduire.
Dis, serais-tu disponible samedi soir à partir de 21 heures jusqu’à tard dans la nuit comme l’est Cassy.
Vous serez payée 5 000 € chacune si tu es coopérative !
Vous commencerez par un numéro en duo et après vous serez à la disposition des clients qui seront là.
Rien que du beau monde venu s’encanailler à Paris avec les petites femmes de Pigalle.
Je vois ce que monsieur Léon voulait dire lorsqu’il demandait à Cassy si j’étais susceptible de faire certaines choses.
Je suis tombée sur un réseau de prostitution qui organise des soirées avec des clients fortunés.
Je devrais me sauver en courant, mais plusieurs choses me retiennent.
Cassy pour commencer, qu’arrivera-t-il à Cassy si je me sauve, serait-elle en danger de m’avoir présenté à monsieur Léon.
Une autre chose, j’ai dit que j’étais immigrée vivant en foyer et quelle fille dans ma situation refuserait 5 000 € !
Et pour finir quand monsieur Léon sort sa queue, je comprends que je dois le sucer et l’envie de voir ce qui se passe dans ces soirées, l’emporte sur tout le reste.
Paris est plein de mystères que je souhaite découvrir avant de retourner dans mon pays où les femmes sont tenues sous une chape de plomb.
Une fois le sperme de monsieur Léon au fond de ma gorge, je récupère mes papiers, à partir de cet instant je deviens une autre.
Je suis Radia, née à Paris 14e, je sais conduire et j’ai même une carte Vital pour mes soins si nécessaire.
- Radia, la panthère doit faire son numéro dans 10 minutes, il est marrant monsieur Léon, c’est toujours son plaisir avant celui de ses clients.
Grouille, grouille.
Je me grouille, j’ai envie de lui parler des soirées à 5 000 € qu’elle m’a caché pratiquer.
Je suis certaine que ses clients et cette somme qui nous est payée sont loin d’être liés à un simple numéro de strip.
« Venue de sa jungle ou elle a été capturée voici venir sur scène Radia la panthère.
C’est sa première à Paris lors de sa tournée mondiale.
Applaudissez là. »
J’entre sur scène à quatre pattes, j’ai mon masque africain qui me préserve dans un certain anonymat.
Il y a deux clients, à cette heure les clients sont rares, mais j’ai compris que 2 ou 10, je dois faire mon show.
Parmi les accessoires que je vais enlever, il m’a été confectionné une queue en velours noir du plus bel effet.
Me promener sans la perdre a été le plus difficile car simplement retenue par du VelcroCette panthère a une différence avec celles que l’on trouve dans les jungles, lorsqu’elle voit un tronc d’arbre assez droit, elle s’en sert jusqu’à être nue.
Pour finir, comme Cassy me l’a appris, je fini la tête en bas, les cuisses écartées, ce qui ouvre ma chatte rose entre mes lèvres noires.
Ils étaient deux au départ, ils sont cinq à la fin.
Le noir vient, je sors de scène et je rejoins la loge.
- Bravo Radia, c’était parfait.
Cassy t’a bien formée, le patron va être en joie.
« Venue spécialement pour vous des USA... »
On connaît la suite, Cassy m’a remplacée.
Dans la loge, Vicky et Susy sont arrivées, la première fois je les ai vues en photo avant de les rencontrer.
Les clients savent que ce sont des jumelles, elles se font appeler les « Demoiselles de Rochefort. »Après Cassy, elles entrent ensemble, mais Vicky ressort pendant que sa sœur se dénude.
Cassy a chauffé la salle, presque toutes les tables sont remplies lorsque pour la deuxième fois je fais mon numéro.
Me montrer nue devant cette salle pleine, me fait mouiller et pendant que Cassy continue à chauffer les mecs, Vicky et Susy vraies pipelettes veulent tous savoir de mon pays.
Je savais certaines femmes portées sur le sexe, j’ai devant moi une belle brochette d’obsédées sexuelles semblant entre elles sans aucune pudeur.
- Au Rwanda, les hommes pensent qu’ils sont les maîtres de nos corps.
- J’ai entendu que les musulmans étaient tous d’affreux machos !
- C’est loin d’être un problème de religion, je suis catholique et pourtant tous les hommes que j’ai séduits ont essayé.
Regardez, je suis là et je fais ce qui me semble bon pour moi alors que mes amants sont loin là-bas en Afrique.
- En as-tu eu beaucoup ?
- Quelques-uns !
Et là je repars dans mes délires, il semble qu’ici à Paris, je sois faite pour vivre dans le mensonge.
- Avant de fuir jusqu’ici, j’ai même eu le Consul de Tanzanie comme amant dans mon pays.
- Un consul, il s’appelait comment et était-il marié ?
- Il s’appelait Saïd et il était marié à Victoria son épouse.
Voilà que je nous ressuscite, Saïd et moi, je vais éviter de me faire l’amour.
- Saïd m’a séduite lors d’une soirée et c’est en trio que nous avons fini la nuit.
Incroyable, je l’ai fait, c’est la pause afin de vider la salle et que certains clients restent plus que de raison.
Cassy rentre, j’ai un quart d’heure pour être plausible.
- C’est avec Victoria que j’ai fait l’amour pour la première fois avec une femme.
Elle était aussi longiligne que moi avec des seins comme les miens.
Quand je lui ai léché la chatte recouverte d’une toison aussi noire qu’elle, j’ai vu qu’elle était bouclée comme un petit mouton venant de naître.
Cassy est derrière elles, elle m’écoute raconter mes balivernes.
- C’est pourquoi toi et Cassy vous semblez si bien vous entendre ?
- Oui, et même plus que ça, je suis tombée amoureuse de cette fille qui a du chien.
- Les filles, qu’est-ce que vous foutez, en scène dans cinq minutes.
Ouf, une nouvelle fois sauvée, Vicky et Susy se lèvent et s’en prennent à Cyprien.
- Combien de fois devrons-nous te dire que les loges des artistes te sont interdit.
- Vous êtes extraordinaires les jumelles, je vois vos chattes plusieurs fois par jour et ici, vous êtes prudes.
- Dehors.
C’est en cœur que les jumelles obligent notre régisseur à quitter les loges.
Elles se lèvent et prennent le petit couloir menant à la scène.
- Radia, peux-tu me raconter ton aventure avec Saïd et Victoria ?
Je croyais pouvoir m’en sortir, plus j’avance et plus j’ai l’impression de reculer...
J’ai bien mon passeport diplomatique tanzanien au nom de Victoria alors que j’ai dit à Cassy que j’étais rwandaise et que je m’appelais Radia.
- Monsieur Léon, j’ai un souci.
- J’ai compris tu es immigrée sans papier, avec moi aucun souci.
Monsieur Léon prend le téléphone à ses côtés tout en se grattant les couilles.
- Hamed, tu peux venir me voir, j’ai besoin de tes services.
J’ignore si Hamed est loin, mais dix minutes après, j’entends frapper.
- Hamed, as-tu toujours ton ami à la préfecture ?
- Oui, il vous faut des papiers.
- Un jeu complet, le plus tôt possible, c’est pour qui ?
- Radia, suis Hamed, il va te photographier.
Hamed, tu fais aussi celles de la vitrine en bas, dénudé mais sans plus, elle sera notre sauvage que les gens devront venir découvrir.
Attends, j’ai une idée, regarde dans cette malle, il doit il y a un masque africain, fait des photos au format habituel, nous choisirons après.
Hamed récupère le masque et monsieur Léon se lève, rentre son matériel et va dans un bureau.
Il en sort une liasse qu’Hamed saisi.
- Tient avec ça tu devrais t’en sortir, tu auras le reste lorsque tu m’amèneras le matos.
Les filles suivez-le, Cassy forme Radia à la barre et à l’effeuillage d’une façon plus sensuelle que les tortillements qu’elle m’a montrés tout à l’heure.
Voilà, c’est vrai, il a fallu que je m’améliore pour monter sur la scène, je le fais rapidement et cette après-midi, c’est le grand jour, je suis lancée dans le grand bain.
La séance photo s’est bien passée, même si Hamed a eu les mains un peu baladeuses.
Je pourrais me plaindre, mais lorsqu’il demande à Cassy de me titiller les pointes de seins pour les faire bander, je regrette presque qu’Hamed le fasse personnellement.
Aujourd’hui lorsque j’arrive, Cyprien, le garçon qui tient la caisse me demande de monter chez monsieur Léon.
Au lieu de tourner à droite vers la loge où nous nous préparons, je prends à gauche et je monte l’escalier, je frappe.
« Entre Radia ».
Comment a-t-il su que c’était moi, je lève ma tête, il y a une caméra.
- Tient voilà tes papiers, tu as même un permis de conduire.
Dis, serais-tu disponible samedi soir à partir de 21 heures jusqu’à tard dans la nuit comme l’est Cassy.
Vous serez payée 5 000 € chacune si tu es coopérative !
Vous commencerez par un numéro en duo et après vous serez à la disposition des clients qui seront là.
Rien que du beau monde venu s’encanailler à Paris avec les petites femmes de Pigalle.
Je vois ce que monsieur Léon voulait dire lorsqu’il demandait à Cassy si j’étais susceptible de faire certaines choses.
Je suis tombée sur un réseau de prostitution qui organise des soirées avec des clients fortunés.
Je devrais me sauver en courant, mais plusieurs choses me retiennent.
Cassy pour commencer, qu’arrivera-t-il à Cassy si je me sauve, serait-elle en danger de m’avoir présenté à monsieur Léon.
Une autre chose, j’ai dit que j’étais immigrée vivant en foyer et quelle fille dans ma situation refuserait 5 000 € !
Et pour finir quand monsieur Léon sort sa queue, je comprends que je dois le sucer et l’envie de voir ce qui se passe dans ces soirées, l’emporte sur tout le reste.
Paris est plein de mystères que je souhaite découvrir avant de retourner dans mon pays où les femmes sont tenues sous une chape de plomb.
Une fois le sperme de monsieur Léon au fond de ma gorge, je récupère mes papiers, à partir de cet instant je deviens une autre.
Je suis Radia, née à Paris 14e, je sais conduire et j’ai même une carte Vital pour mes soins si nécessaire.
- Radia, la panthère doit faire son numéro dans 10 minutes, il est marrant monsieur Léon, c’est toujours son plaisir avant celui de ses clients.
Grouille, grouille.
Je me grouille, j’ai envie de lui parler des soirées à 5 000 € qu’elle m’a caché pratiquer.
Je suis certaine que ses clients et cette somme qui nous est payée sont loin d’être liés à un simple numéro de strip.
« Venue de sa jungle ou elle a été capturée voici venir sur scène Radia la panthère.
C’est sa première à Paris lors de sa tournée mondiale.
Applaudissez là. »
J’entre sur scène à quatre pattes, j’ai mon masque africain qui me préserve dans un certain anonymat.
Il y a deux clients, à cette heure les clients sont rares, mais j’ai compris que 2 ou 10, je dois faire mon show.
Parmi les accessoires que je vais enlever, il m’a été confectionné une queue en velours noir du plus bel effet.
Me promener sans la perdre a été le plus difficile car simplement retenue par du VelcroCette panthère a une différence avec celles que l’on trouve dans les jungles, lorsqu’elle voit un tronc d’arbre assez droit, elle s’en sert jusqu’à être nue.
Pour finir, comme Cassy me l’a appris, je fini la tête en bas, les cuisses écartées, ce qui ouvre ma chatte rose entre mes lèvres noires.
Ils étaient deux au départ, ils sont cinq à la fin.
Le noir vient, je sors de scène et je rejoins la loge.
- Bravo Radia, c’était parfait.
Cassy t’a bien formée, le patron va être en joie.
« Venue spécialement pour vous des USA... »
On connaît la suite, Cassy m’a remplacée.
Dans la loge, Vicky et Susy sont arrivées, la première fois je les ai vues en photo avant de les rencontrer.
Les clients savent que ce sont des jumelles, elles se font appeler les « Demoiselles de Rochefort. »Après Cassy, elles entrent ensemble, mais Vicky ressort pendant que sa sœur se dénude.
Cassy a chauffé la salle, presque toutes les tables sont remplies lorsque pour la deuxième fois je fais mon numéro.
Me montrer nue devant cette salle pleine, me fait mouiller et pendant que Cassy continue à chauffer les mecs, Vicky et Susy vraies pipelettes veulent tous savoir de mon pays.
Je savais certaines femmes portées sur le sexe, j’ai devant moi une belle brochette d’obsédées sexuelles semblant entre elles sans aucune pudeur.
- Au Rwanda, les hommes pensent qu’ils sont les maîtres de nos corps.
- J’ai entendu que les musulmans étaient tous d’affreux machos !
- C’est loin d’être un problème de religion, je suis catholique et pourtant tous les hommes que j’ai séduits ont essayé.
Regardez, je suis là et je fais ce qui me semble bon pour moi alors que mes amants sont loin là-bas en Afrique.
- En as-tu eu beaucoup ?
- Quelques-uns !
Et là je repars dans mes délires, il semble qu’ici à Paris, je sois faite pour vivre dans le mensonge.
- Avant de fuir jusqu’ici, j’ai même eu le Consul de Tanzanie comme amant dans mon pays.
- Un consul, il s’appelait comment et était-il marié ?
- Il s’appelait Saïd et il était marié à Victoria son épouse.
Voilà que je nous ressuscite, Saïd et moi, je vais éviter de me faire l’amour.
- Saïd m’a séduite lors d’une soirée et c’est en trio que nous avons fini la nuit.
Incroyable, je l’ai fait, c’est la pause afin de vider la salle et que certains clients restent plus que de raison.
Cassy rentre, j’ai un quart d’heure pour être plausible.
- C’est avec Victoria que j’ai fait l’amour pour la première fois avec une femme.
Elle était aussi longiligne que moi avec des seins comme les miens.
Quand je lui ai léché la chatte recouverte d’une toison aussi noire qu’elle, j’ai vu qu’elle était bouclée comme un petit mouton venant de naître.
Cassy est derrière elles, elle m’écoute raconter mes balivernes.
- C’est pourquoi toi et Cassy vous semblez si bien vous entendre ?
- Oui, et même plus que ça, je suis tombée amoureuse de cette fille qui a du chien.
- Les filles, qu’est-ce que vous foutez, en scène dans cinq minutes.
Ouf, une nouvelle fois sauvée, Vicky et Susy se lèvent et s’en prennent à Cyprien.
- Combien de fois devrons-nous te dire que les loges des artistes te sont interdit.
- Vous êtes extraordinaires les jumelles, je vois vos chattes plusieurs fois par jour et ici, vous êtes prudes.
- Dehors.
C’est en cœur que les jumelles obligent notre régisseur à quitter les loges.
Elles se lèvent et prennent le petit couloir menant à la scène.
- Radia, peux-tu me raconter ton aventure avec Saïd et Victoria ?
Je croyais pouvoir m’en sortir, plus j’avance et plus j’ai l’impression de reculer...
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