COLLECTION FOLLE DU CUL. Les aventures d’Audrey et les Villages Peoples (4/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-04-2021 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Les aventures d’Audrey et les Villages Peoples (4/4)
Les lumières clignotantes nous montrent que c’est bientôt la fin de la fête à Karène certainement nymphomane comme moi lorsque Christ71 s’empare de mon corps.
J’ai du mal à admettre qu’il m’obligeant à de multiples turpitudes dans le dos de Tony, mon cher et tendre, père de mes deux filles.
Mes deux filles, m’en suis-je préoccupé quand Ted le motard me sodomisait sur la scène devant toutes mes nouvelles copines.
Non, bien sûr, dans ces moments ou ma chatte en feu prend possession de mon corps tout entier, seul le plaisir que je vais en tirer guide mes pas.
Cette nuit, quand elle sera définitivement terminée, un coin du voile sera levé.
Lorsque j’ai repensé à mon directeur d’école se masturbant derrière son bureau, dès le premier jour dans son établissement, aie conditionné toute ma vie de femme soumise aux sexes des hommes et depuis à celui des femmes.
Dans le fond de ma tête, je dois regretter d’être parti en courant alors que j’avais là l’occasion de goûter aux fruits défendus.
Ce que Chris71 arrive à me faire faire, c’est ce que j’aurais dû découvrir dès cette première fois.
Lorsque je disais que ce sont de vrais pros, le marin en ayant terminé avec Karène s’approche du buffet.
Il s’essuie la verge dans la nappe me confirmant qu’il avait bien déchargé et comme un seul homme avec ses autres copains part vers la scène.
Ils se mettent en formation comme au début, mais nus et alors que « Macho Man » se fait entendre, ce sont six machos qui dansent le final.
Six mains sur scène, six pour applaudir en cadence.
Sylvie se met à siffler sans se servir de ses doigts, imitée par Lucrécia, mais en en mettant quatre dans sa bouche.
La vedette de la soirée dort debout sur l’épaule de la petite Marocaine.
Belle salope on l’a vue, mais petite joueuse, je pète le feu.
Mon Dieu, quel étalage de verges, s’ils voulaient une dernière fois.
Le morceau va se terminer, un par un ils viennent sur le devant de la scène, un coup de bite en avant et il nous quitte nous faisant un signe de la main.
À tout seigneur tout honneur, Ted, est devant à son tour, il a remis sa paire de Ray-ban. J’ai l’impression que c’est vers moi qu’il lance son coup de verge, mais passe à Karène, Sylvie et consorts.
La soirée finit par s’éteindre, il va être temps de retourner à Bondues.
Nos tenues remises en état, nous nous dirigeons vers les voitures.
Les garçons sont près de leur camionnette, ils rentrent à Paris.
À six, leur sono, l’éclairage et leurs vêtements sont vite rangés.
Nous faisons la bise à Sophie, Sonia et Karène baillant, elle va bien dormir au retour.
• Les filles, je vous en conjure, aucun mot à mon fiancé pour ce que nous avons fait ce soir et surtout à ce que j’ai fait.
Il est puceau.
• Karène, si tu croises nos maris, pas un mot non plus.
Cette phrase que Radia lâche sur le ton de la plaisanterie met en joie toute la troupe.
Nous montons dans ma voiture, Lucrecia à mes côtés, Radia à l’arrière appuyé entre les deux sièges.
Je vois malgré la nuit, la petite salope descendre son bras autour des épaules de Lucrecia et je vois dans un des derniers lampadaires allumés de Mouscron sa main entrée dans son décolleté.
Les filles entre des moments de baise ont un peu picolé, moi bien sûr je peux souffler, je suis sobre.
Elles chantent, In The Navy, je vais être accompagné par ce morceau pendant des jours.
Nous venons de rentrer en France sans nous arrêter comme l’a prévu l’Europe.
Je suis derrière Sophie lorsque je vois ses stops s’allumer.
Dans la même seconde, le bâton lumineux d’un agent de la circulation me montre que nous avons affaire à un contrôle de police.
Sophie passe, je suis arrêtée, j’ouvre ma vitre.
• Bonjour mesdames.
Contrôle d’alcoolémie, veuillez souffler dans cet appareil, l’emboue est neuf.
Je m’exécute, je suis sereine, zéro gramme, c’est normal.
• C’était sur monsieur le gentil policier, c’est notre capitaine de soirée, elle est restée sobre.
• Mais vous madame, vous semblez avoir un peu allumé.
Connaissez-vous le code de la route mesdames.
• Oui, une personne éméchée doit monter à l’arrière du véhicule, j’ai oublié ce point du code monsieur l’agent.
• S’il veut, je passe derrière.
Radia laisse-moi passer.
Lucrécia passe par-dessus le siège nous montrant un temps sa chatte puis ses deux mappemondes bien charnues et que je compte bien dévorer dans les jours prochains.
Nous avions rigolé une nouvelle fois dans la salle, la coquine était dans l’impossibilité de retrouver son string.
Nul doute que quelqu’un a su se l’accaparer.
Un trophée de guerre si c’est l’un des garçons.
Je m’attends à une amande.
• C’est bon roulez, vous êtes en règle.
Merci mesdames d’avoir égaillé ma nuit.
Je continue ma route, rapidement les deux filles dorment dans les bras l’une l’autre.
J’allume la radio.
« In The Navy » je suis vraiment maudite.
Presque quatre heures, j’ai déposé les filles, enfin chez moi, tous dorment.
J’embrasse mes filles et je prends un bain réparateur, sans pour autant réveiller Tony qui semble rêvé à ce que sa femme fasse ce que j’ai fait ce soir.
Je me glisse près de lui évitant de le réveiller, même si j’aime faire mon devoir conjugal, j’ai eu ma dose de sexe pour cette nuit.
Au moment où je m’endors, je sens son bras passer et sa main venir empaumer mon sein.
Tient, c’est drôle, les draps sentent le frais.
Je les change toutes les semaines, c’est ce dimanche que je devais le faire.
• Alors mesdames, on est en infraction, on est bourré sur le siège passager.
Descendez que je vous passe les menottes, je vais, toutes vous emmenez avec mon collège dans une cellule de dégrisement au commissariat.
Il pointe son arme sur moi, je sens ma chatte mouiller.
Certainement l’excitation que me procure cette arme posée sur mon sein.
• On peut s’arranger, il y a des années que j’attends à ce que tu me suces la queue dans mon bureau.
Pourquoi t’es-tu sauvée, on allait bien s’amuser comme avec bon nombre de salopes que j’ai baisées tout au long de ma carrière de directeur de ton collège ?
Je lève la tête, l’agent de police, beau gosse a été remplacé par le directeur de collège adipeux qui a été le premier à me faire voir une verge d’homme.
D’un coup, il disparaît, des cris d’enfants me font émerger.
Quelle heure est-il, il fait jour malgré les volets roulants, sur mon réveil je vois cinq heures, ouf j’ai rêvé même si ce souvenir de jeunesse est revenu me poursuivre.
Je me lève, car j’entends les filles jouer.
• Maman.
• Maman.
Elles me sautent dans les bras lorsque je les rejoins.
• Tu as changé les draps Tony !
Un léger blanc.
• Oui, je savais que tu rentrerais tard, sans penser que tu dormirais presque toute la journée, j’ai bien fait à ce que je vois.
J’ai programmé la machine pour cette nuit, les draps seront lavés pour que tu les étendes dehors demain matin.
Bref, c’est rapidement que nous nous couchons, ma chatte est reposée, prête à se donner, sans penser au directeur, mais plutôt à Ted ou le Peau-rouge et aussi le marin.
Mais Tony rapidement ronfle du sommeil du juste à côté de sa femelle de femme.
Je pense qu’il comprend ce que je vis avec nos deux petites chipies à s’en occuper tout un dimanche.
Bien sûr, à 6 heures du matin, je suis debout pour faire le petit déjeuner à mes trois amours.
Dans la buanderie, j’entends la machine qui se termine, je vais l’étendre rapidement dehors, le soleil va les sécher dès que je serais seule.
Tous m’embrassent et partent.
Il est temps de m’occuper des draps.
Je les sors, un par un, commençant à les plier pour mieux les étendre sans les resalir.
Surprise, une petite culotte rose, un string pour mieux le définir tombe à mes pieds.
Impossible que ce soit celui de Ludivine.
Trop petites pour être à moi et à mes filles portant encore des petits bateaux.
Minces, je comprends mieux pourquoi nos draps ont été changés.
Je suis dubitative, je me vois mal poser la question à Tony pour savoir à qui elle appartient vu ce que j’ai fait toute la nuit.
Il était cocu, je suis cocue.
La balle au centre, mais à qui appartient cette petite culotte.
Eh oui, à qui appartient cette petite culotte.
J’ai la réponse, je suis Chris71, je suis machiavélique, il m’a été facile récupérer la petite culotte de Lucrécia lorsque les filles étaient parties.
Je l’ai glissé entre les draps dans la machine à laver alors que Tony est resté sagement à garder ses filles ce samedi soir et qu’il est vrai que c’est pour aider sa femme qu’il les a changés.
Tony, il est un peu con, de vouloir rechercher les turpitudes de sa femme alors que j’en fais ce que je veux en quelques lignes.
La seule chose que j’espère, c’est qu’il a pris son pied à savoir sa femme être la salope avec ses copines, comme elle l’a été quand je lui ai fait faire la pute auprès de Maggy.
Avec un peu de chance, Tony me demandera d’écrire une suite posant la question.
Ce couple me donne l’occasion de les faire vivres des situations qui je l’espère vous plairont cher lecteur et lectrice.
À oui, je voulais vous dire, le directeur, je pense qu’il va souvent venir la hanter, il est bien commode pour la transformer en chienne lubrique.
J’ai du mal à admettre qu’il m’obligeant à de multiples turpitudes dans le dos de Tony, mon cher et tendre, père de mes deux filles.
Mes deux filles, m’en suis-je préoccupé quand Ted le motard me sodomisait sur la scène devant toutes mes nouvelles copines.
Non, bien sûr, dans ces moments ou ma chatte en feu prend possession de mon corps tout entier, seul le plaisir que je vais en tirer guide mes pas.
Cette nuit, quand elle sera définitivement terminée, un coin du voile sera levé.
Lorsque j’ai repensé à mon directeur d’école se masturbant derrière son bureau, dès le premier jour dans son établissement, aie conditionné toute ma vie de femme soumise aux sexes des hommes et depuis à celui des femmes.
Dans le fond de ma tête, je dois regretter d’être parti en courant alors que j’avais là l’occasion de goûter aux fruits défendus.
Ce que Chris71 arrive à me faire faire, c’est ce que j’aurais dû découvrir dès cette première fois.
Lorsque je disais que ce sont de vrais pros, le marin en ayant terminé avec Karène s’approche du buffet.
Il s’essuie la verge dans la nappe me confirmant qu’il avait bien déchargé et comme un seul homme avec ses autres copains part vers la scène.
Ils se mettent en formation comme au début, mais nus et alors que « Macho Man » se fait entendre, ce sont six machos qui dansent le final.
Six mains sur scène, six pour applaudir en cadence.
Sylvie se met à siffler sans se servir de ses doigts, imitée par Lucrécia, mais en en mettant quatre dans sa bouche.
La vedette de la soirée dort debout sur l’épaule de la petite Marocaine.
Belle salope on l’a vue, mais petite joueuse, je pète le feu.
Mon Dieu, quel étalage de verges, s’ils voulaient une dernière fois.
Le morceau va se terminer, un par un ils viennent sur le devant de la scène, un coup de bite en avant et il nous quitte nous faisant un signe de la main.
À tout seigneur tout honneur, Ted, est devant à son tour, il a remis sa paire de Ray-ban. J’ai l’impression que c’est vers moi qu’il lance son coup de verge, mais passe à Karène, Sylvie et consorts.
La soirée finit par s’éteindre, il va être temps de retourner à Bondues.
Nos tenues remises en état, nous nous dirigeons vers les voitures.
Les garçons sont près de leur camionnette, ils rentrent à Paris.
À six, leur sono, l’éclairage et leurs vêtements sont vite rangés.
Nous faisons la bise à Sophie, Sonia et Karène baillant, elle va bien dormir au retour.
• Les filles, je vous en conjure, aucun mot à mon fiancé pour ce que nous avons fait ce soir et surtout à ce que j’ai fait.
Il est puceau.
• Karène, si tu croises nos maris, pas un mot non plus.
Cette phrase que Radia lâche sur le ton de la plaisanterie met en joie toute la troupe.
Nous montons dans ma voiture, Lucrecia à mes côtés, Radia à l’arrière appuyé entre les deux sièges.
Je vois malgré la nuit, la petite salope descendre son bras autour des épaules de Lucrecia et je vois dans un des derniers lampadaires allumés de Mouscron sa main entrée dans son décolleté.
Les filles entre des moments de baise ont un peu picolé, moi bien sûr je peux souffler, je suis sobre.
Elles chantent, In The Navy, je vais être accompagné par ce morceau pendant des jours.
Nous venons de rentrer en France sans nous arrêter comme l’a prévu l’Europe.
Je suis derrière Sophie lorsque je vois ses stops s’allumer.
Dans la même seconde, le bâton lumineux d’un agent de la circulation me montre que nous avons affaire à un contrôle de police.
Sophie passe, je suis arrêtée, j’ouvre ma vitre.
• Bonjour mesdames.
Contrôle d’alcoolémie, veuillez souffler dans cet appareil, l’emboue est neuf.
Je m’exécute, je suis sereine, zéro gramme, c’est normal.
• C’était sur monsieur le gentil policier, c’est notre capitaine de soirée, elle est restée sobre.
• Mais vous madame, vous semblez avoir un peu allumé.
Connaissez-vous le code de la route mesdames.
• Oui, une personne éméchée doit monter à l’arrière du véhicule, j’ai oublié ce point du code monsieur l’agent.
• S’il veut, je passe derrière.
Radia laisse-moi passer.
Lucrécia passe par-dessus le siège nous montrant un temps sa chatte puis ses deux mappemondes bien charnues et que je compte bien dévorer dans les jours prochains.
Nous avions rigolé une nouvelle fois dans la salle, la coquine était dans l’impossibilité de retrouver son string.
Nul doute que quelqu’un a su se l’accaparer.
Un trophée de guerre si c’est l’un des garçons.
Je m’attends à une amande.
• C’est bon roulez, vous êtes en règle.
Merci mesdames d’avoir égaillé ma nuit.
Je continue ma route, rapidement les deux filles dorment dans les bras l’une l’autre.
J’allume la radio.
« In The Navy » je suis vraiment maudite.
Presque quatre heures, j’ai déposé les filles, enfin chez moi, tous dorment.
J’embrasse mes filles et je prends un bain réparateur, sans pour autant réveiller Tony qui semble rêvé à ce que sa femme fasse ce que j’ai fait ce soir.
Je me glisse près de lui évitant de le réveiller, même si j’aime faire mon devoir conjugal, j’ai eu ma dose de sexe pour cette nuit.
Au moment où je m’endors, je sens son bras passer et sa main venir empaumer mon sein.
Tient, c’est drôle, les draps sentent le frais.
Je les change toutes les semaines, c’est ce dimanche que je devais le faire.
• Alors mesdames, on est en infraction, on est bourré sur le siège passager.
Descendez que je vous passe les menottes, je vais, toutes vous emmenez avec mon collège dans une cellule de dégrisement au commissariat.
Il pointe son arme sur moi, je sens ma chatte mouiller.
Certainement l’excitation que me procure cette arme posée sur mon sein.
• On peut s’arranger, il y a des années que j’attends à ce que tu me suces la queue dans mon bureau.
Pourquoi t’es-tu sauvée, on allait bien s’amuser comme avec bon nombre de salopes que j’ai baisées tout au long de ma carrière de directeur de ton collège ?
Je lève la tête, l’agent de police, beau gosse a été remplacé par le directeur de collège adipeux qui a été le premier à me faire voir une verge d’homme.
D’un coup, il disparaît, des cris d’enfants me font émerger.
Quelle heure est-il, il fait jour malgré les volets roulants, sur mon réveil je vois cinq heures, ouf j’ai rêvé même si ce souvenir de jeunesse est revenu me poursuivre.
Je me lève, car j’entends les filles jouer.
• Maman.
• Maman.
Elles me sautent dans les bras lorsque je les rejoins.
• Tu as changé les draps Tony !
Un léger blanc.
• Oui, je savais que tu rentrerais tard, sans penser que tu dormirais presque toute la journée, j’ai bien fait à ce que je vois.
J’ai programmé la machine pour cette nuit, les draps seront lavés pour que tu les étendes dehors demain matin.
Bref, c’est rapidement que nous nous couchons, ma chatte est reposée, prête à se donner, sans penser au directeur, mais plutôt à Ted ou le Peau-rouge et aussi le marin.
Mais Tony rapidement ronfle du sommeil du juste à côté de sa femelle de femme.
Je pense qu’il comprend ce que je vis avec nos deux petites chipies à s’en occuper tout un dimanche.
Bien sûr, à 6 heures du matin, je suis debout pour faire le petit déjeuner à mes trois amours.
Dans la buanderie, j’entends la machine qui se termine, je vais l’étendre rapidement dehors, le soleil va les sécher dès que je serais seule.
Tous m’embrassent et partent.
Il est temps de m’occuper des draps.
Je les sors, un par un, commençant à les plier pour mieux les étendre sans les resalir.
Surprise, une petite culotte rose, un string pour mieux le définir tombe à mes pieds.
Impossible que ce soit celui de Ludivine.
Trop petites pour être à moi et à mes filles portant encore des petits bateaux.
Minces, je comprends mieux pourquoi nos draps ont été changés.
Je suis dubitative, je me vois mal poser la question à Tony pour savoir à qui elle appartient vu ce que j’ai fait toute la nuit.
Il était cocu, je suis cocue.
La balle au centre, mais à qui appartient cette petite culotte.
Eh oui, à qui appartient cette petite culotte.
J’ai la réponse, je suis Chris71, je suis machiavélique, il m’a été facile récupérer la petite culotte de Lucrécia lorsque les filles étaient parties.
Je l’ai glissé entre les draps dans la machine à laver alors que Tony est resté sagement à garder ses filles ce samedi soir et qu’il est vrai que c’est pour aider sa femme qu’il les a changés.
Tony, il est un peu con, de vouloir rechercher les turpitudes de sa femme alors que j’en fais ce que je veux en quelques lignes.
La seule chose que j’espère, c’est qu’il a pris son pied à savoir sa femme être la salope avec ses copines, comme elle l’a été quand je lui ai fait faire la pute auprès de Maggy.
Avec un peu de chance, Tony me demandera d’écrire une suite posant la question.
Ce couple me donne l’occasion de les faire vivres des situations qui je l’espère vous plairont cher lecteur et lectrice.
À oui, je voulais vous dire, le directeur, je pense qu’il va souvent venir la hanter, il est bien commode pour la transformer en chienne lubrique.
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En meme temps le mari aurait bien raison, mais à force de jouer avec le feu, il risquerait
de se bruler les ailes.
de se bruler les ailes.