COLLECTION FOLLE DU CUL. Les aventures d’Audrey. Son blog. Série 1 (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Les aventures d’Audrey. Son blog. Série 1 (1/1)
Vous vous souvenez, je suis Tony, le mari d’Audrey, cette femme que j’aime et qui sous couvert de timidité accepte toutes les situations insolites qu’elle est amenée à vivre.
M’entendant comme larron en foire avec Chris71 qu’elle consulte régulièrement pour ces écrits,0 même si elle les garde pour elle, il m’envoie un message pour me dire qu’elle écrit ses aventures dans un blog.
Connaissant ma douce, il m’est facile de casser ses codes d’accès et de lire régulièrement ce qu’elle écrit chaque fois que j’ai le temps et surtout l’isolement de le faire.
« Pourquoi ai-je crevé et que le destin a frappé. »
C’est tout ce qu’elle a écrit.
Tient, c’est drôle pourquoi m’a-t-elle caché qu’elle avait crevé ?
Je vais rarement contrôler notre comptabilité, mais là je regarde.
« Dépanne Auto. »3 août 350 €.
La vache, une crevaison à 350 €, je me sens obligé de lui en parler.
• Heu, heu, j’avais abimé le pneu, la chambre à air, la jante et ils ont refait, heu à oui le parallélisme.
J’ai rarement aimé être pris pour un con, mais là plusieurs choses me choc.
Le pneu, je veux bien, la jante aussi, mais si le gars lui a dit qu’il avait changé la chambre à air alors que sa voiture a des pneus Tubeless, c’est trop gros.
Je vais voir la société « Dépanne auto » à l’autre bout de Bondues, notre ville dans le 59.
C’est la gérante qui me reçoit et qui interroge la facture.
• C’est normal monsieur, notre camion de dépannage est intervenu, il a mis deux heures pour réparer.
Tient, c’est vrai, pourquoi 2 heures pour un dépannage de pneu.
Vous avez de la chance, le camion revient avec une voiture accidentée, je vais demander à Adrien, c’est lui qui a fait le dépannage et la facture.
Adrien, tu peux venir me voir !
Le garçon beau gosse, du genre de ceux qu’Audrey regarde dès qu’elle en voit un, nous rejoint.
• Ce dépannage, c’est bien toi !
• Oui, heu.
C’est une maladie, ces heus.
• À oui, la petite dame, Audrey je crois, avais crevé.
• Elle avait commencé à défaire sa roue et comme elle avait oublié de mettre le frein à main, la voiture a glissé et est tombée.
• Tu as mis autant de temps pour remettre un cric et remettre la roue.
• Il a commencé à pleuvoir et avec la petite dame pour la protéger, nous nous sommes réfugiés dans la cabine de la dépanneuse.
• C’est bien, tu as pris soin de la femme de ce monsieur, mais tu aurais pu faire cadeau de ce temps d’attente avant que la pluie s’arrête.
C’est bon, je reprends l’affaire en main, va décharger ta voiture accidentée.
Tu as une autre intervention qui vient d’être programmée, le patron va te donner la fiche.
Le gars nous laisse.
• Bon voilà, mon gars vous a facturé trop de frais, je vous fais un avoir de 100 € à valoir sur votre prochaine intervention dans nos services.
• Merci de ce geste commercial.
Je vais à mon travail et j’oublie et l’incident et le blog.
J’ai aussi oublié de lui parler de la chambre à air !
C’est deux jours plus tard qu’étant seul, je retourne sur le blog d’Audrey.
« Je reviens de loin, Tony a contrôlé la compta, il m’a demandé pourquoi j’avais payé 350 € à « Dépanne Auto, » adresse trouvé en interrogeant Internet.
J’étais incapable de desserrer un boulon et même de mettre le cric.
Dans la dépanneuse qui est arrivée, un beau gosse comme je les aime.
Cher blog, un aparté, ce genre de confidence, c’est à toi seul que je les ferais.
J’aime Tony et mes enfants, mais même si je semble une femme réservée, je bous de l’intérieur.
Ce doit être les restes de ce que m’a fait faire Chris71 à Amsterdam en me prostituant en me mettant dans une vitrine de la ville.
Bref , il est arrivé et sous sa chemise, j’ai vu ses biceps quand en quelques secondes après avoir desserré les boulons et placée mon cric la voiture a été soulevé.
J’étais fascinée avec la facilité ou tout ça fonctionnais.
Dans mon petit short, je commençais à mouiller, même si ma timidité maladive m’empêche d’en faire plus.
C’est là que, ce qui devait être mon destin a frappé.
Un orage, un méga orage.
Ma voiture impossible, sur le cric, ça aurait été une connerie.
Sans nous concerter, les éclaires zébrant le ciel, je suis montée côté passager et lui côté chauffeur dans son camion.
Il y avait de la place entre nous, mais j’étais déjà bien mouillée.
Mon débardeur que je portais sans sous-vêtement comme Tony aime que je les porte, mouillé, montrait mes seins comme s’ils avaient été nus.
Comment écrire la suite dans ce premier blog, je vais essayer de rapporter nos propos le plus fidèlement possible ?
Je me rends compte qu’il est plus facile de faire la bêtise que j’ai fait que d’écrire ce que nous avons fait.
• Vous êtes mouillée madame malgré que nous ayons couru.
Vous allez attraper la mort, attendez, dans mon sac derrière moi, j’ai une serviette depuis que ce problème m’est arrivé.
Rapide comme l’éclaire, malgré l’exiguïté de l’endroit, il s’agenouille et sort une petite serviette rose.
Il a avancé sur ses genoux et a commencé à me frotter les cheveux.
A-t-il senti que je mouillais d’envies, je l’ignore, mais quand la serviette est descendue sur ma poitrine, je l’ai regardé et laissé faire.
De toute manière dans ces situations, je me laisse toujours faire, même si c’est mal.
Tony quand il me baise, dit que je suis une folle du cul.
Mais je me disperse.
Sa main à travers la serviette me caressait et j’aimais beaucoup.
S’il avait soulevé directement mon débardeur, il aurait vu les pointes tétanisées par la texture de la serviette.
Il m’a embrassé, ou c’est moi, mais bref, nos bouches et nos langues étaient fusionnelles.
Pas le moindre millimètre entre elles.
Il a glissé sous le tableau de bord et c’est sa bouche qui est venue directement sur ma chatte, mais à travers mon short, même s’il était ras cet endroit était en feu dès ce moment-là.
Suis-je de mauvaise foi comme toute femme qui va commettre un acte adultérin ?
Oui, car c’est moi qui me soulève pour qu’il fasse glisser mon short.
Oh ! en tout bien tout honneur, car il était mouillé.
Je vais faire une confidence à mon blog, lui saura se taire, alors que si je fais une confidence à une copine, rapidement tout Bondues apprendra que la petite Audrey est une salope.
Pour mes enfants, si j’aime le sexe, je voudrais qu’ils ignorent mon penchant pour les belles queues.
J’ai souhaité ce qui a suivi.
Il s’est fait glisser sur le côté avec du mal à cause du volant, mais sa queue était à ma disposition lorsqu’il la sortie de son pantalon fourni par « Dépanne Auto. »
• Suce salope.
C’est tout ce qu’il m’a dit au moment où j’ai plongé dessus la faisant entrer dans ma bouche.
Alors la salope elle a sucé, avec plaisir et envie.
Il bandait d’une façon fort intéressante, une vraie bite, comme celle dont toutes femmes à envie, même si Tony est bien monté, lui aussi.
Il m’a fait jouir lorsqu’il m’a fait mes trois enfants, mais le morceau que je suçais était d’un autre calibre.
J’aime le sperme dans ma bouche, non pas le goût, mais l’onctuosité, mais là, j’avais peur qu’en chien fou, il me donne ses longs jets alors que c’était mon vagin qui en avait envie.
• Non, continu.
• Non, baise-moi.
Ce sont les seuls mots que nous avons prononcés cher blog, mon dieu, c’est vrai que j’ai dit ça, « baise-moi. »Et encore, et encore, et encore, et encore.
Il avait réussi à s’assoir à ma place et c’est moi qui me suis enfilée sa queue bien au fond de moi en mettant mes jambes repliées de chaque côté de lui.
Jusqu’aux amygdales que son sexe remontait en moi, la plus grosse et la plus grande qu’il m’ait été de recevoir.
Du moins, je veux le croire, car en écrivant ces lignes, je sens qu’au fure et à mesure mes turpitudes s’effacent.
Ma chatte en feu était comblée, quand j’ai donné un coup plus violant le faisant sortir de mon vagin pour qu’il dérape vers mon anus.
Me faire sodomiser oui, mais quand je suis prête.
Mais bon il semble apprécier alors pourquoi je le recadreraisQuand j’ai joui comme jamais, et que son sperme m’a inondé, j’ignore comment tout ça a commencé, les mots se sont effacés dans ma tête.
Alors que du temps de ma jeunesse, je devais aller à confesse chaque fois que je me masturbais ce qu’en ce temps-là j’appelais ma minette.
Depuis comme les mots s’efface dans ma pensée, je peux écrire chatte, vagin, craquette, garage à bite et autres mots que moi seule je lirais.
Bref, j’ai joui, il a joui, nous avons joui au moment où l’orage s’arrêtait.
• Il va falloir que j’y aille.
Merde, comment justifier que j’ai mis autant de temps.
• Facture-moi ce temps en parlant de ma voiture étant tombé, car j’avais mal mis mon cric.
• Mais au bas mot ça va faire 350 €.
• Pour le plaisir que tu m’as donné ça les vaut bien. »
Il m’a changé ma roue.
Quand je suis rentrée, Tony regardait notre comptabilité.
Il m’a trouvé très en beauté et il m’a fait venir sur ses genoux.
Il a simplement sorti son sexe et écarter le bas de mon short.
Quand j’ai rejoint ma salle de bain, mon anus débordait du sperme d’Adrien et ma chatte du sperme de Tony.
C’est ce que l’on appelle un plaisir double. »
C’est là que s’arrêtent les confidences de ma femme Audrey dans ce premier blog.
La salope, quelle salope.
J’aime la fin quand elle parle de la compta, dans l’avenir c’est principalement son blog que je regarderais dans l’espoir d’autres turpitudes.
La salope, quelle salope.
Non, pas parce qu’elle m’a trompé, ça c’est courant depuis Amsterdam, mais parce qu’elle s’est payé une partie de trou du cul avec mon argent.
Quoique, grâce à sa partie de jambes en l’air, même dans une cabine de camion, je vais économiser 100 € sur ma prochaine vidange.
On se rassure avec ce que l’on peut.
M’entendant comme larron en foire avec Chris71 qu’elle consulte régulièrement pour ces écrits,0 même si elle les garde pour elle, il m’envoie un message pour me dire qu’elle écrit ses aventures dans un blog.
Connaissant ma douce, il m’est facile de casser ses codes d’accès et de lire régulièrement ce qu’elle écrit chaque fois que j’ai le temps et surtout l’isolement de le faire.
« Pourquoi ai-je crevé et que le destin a frappé. »
C’est tout ce qu’elle a écrit.
Tient, c’est drôle pourquoi m’a-t-elle caché qu’elle avait crevé ?
Je vais rarement contrôler notre comptabilité, mais là je regarde.
« Dépanne Auto. »3 août 350 €.
La vache, une crevaison à 350 €, je me sens obligé de lui en parler.
• Heu, heu, j’avais abimé le pneu, la chambre à air, la jante et ils ont refait, heu à oui le parallélisme.
J’ai rarement aimé être pris pour un con, mais là plusieurs choses me choc.
Le pneu, je veux bien, la jante aussi, mais si le gars lui a dit qu’il avait changé la chambre à air alors que sa voiture a des pneus Tubeless, c’est trop gros.
Je vais voir la société « Dépanne auto » à l’autre bout de Bondues, notre ville dans le 59.
C’est la gérante qui me reçoit et qui interroge la facture.
• C’est normal monsieur, notre camion de dépannage est intervenu, il a mis deux heures pour réparer.
Tient, c’est vrai, pourquoi 2 heures pour un dépannage de pneu.
Vous avez de la chance, le camion revient avec une voiture accidentée, je vais demander à Adrien, c’est lui qui a fait le dépannage et la facture.
Adrien, tu peux venir me voir !
Le garçon beau gosse, du genre de ceux qu’Audrey regarde dès qu’elle en voit un, nous rejoint.
• Ce dépannage, c’est bien toi !
• Oui, heu.
C’est une maladie, ces heus.
• À oui, la petite dame, Audrey je crois, avais crevé.
• Elle avait commencé à défaire sa roue et comme elle avait oublié de mettre le frein à main, la voiture a glissé et est tombée.
• Tu as mis autant de temps pour remettre un cric et remettre la roue.
• Il a commencé à pleuvoir et avec la petite dame pour la protéger, nous nous sommes réfugiés dans la cabine de la dépanneuse.
• C’est bien, tu as pris soin de la femme de ce monsieur, mais tu aurais pu faire cadeau de ce temps d’attente avant que la pluie s’arrête.
C’est bon, je reprends l’affaire en main, va décharger ta voiture accidentée.
Tu as une autre intervention qui vient d’être programmée, le patron va te donner la fiche.
Le gars nous laisse.
• Bon voilà, mon gars vous a facturé trop de frais, je vous fais un avoir de 100 € à valoir sur votre prochaine intervention dans nos services.
• Merci de ce geste commercial.
Je vais à mon travail et j’oublie et l’incident et le blog.
J’ai aussi oublié de lui parler de la chambre à air !
C’est deux jours plus tard qu’étant seul, je retourne sur le blog d’Audrey.
« Je reviens de loin, Tony a contrôlé la compta, il m’a demandé pourquoi j’avais payé 350 € à « Dépanne Auto, » adresse trouvé en interrogeant Internet.
J’étais incapable de desserrer un boulon et même de mettre le cric.
Dans la dépanneuse qui est arrivée, un beau gosse comme je les aime.
Cher blog, un aparté, ce genre de confidence, c’est à toi seul que je les ferais.
J’aime Tony et mes enfants, mais même si je semble une femme réservée, je bous de l’intérieur.
Ce doit être les restes de ce que m’a fait faire Chris71 à Amsterdam en me prostituant en me mettant dans une vitrine de la ville.
Bref , il est arrivé et sous sa chemise, j’ai vu ses biceps quand en quelques secondes après avoir desserré les boulons et placée mon cric la voiture a été soulevé.
J’étais fascinée avec la facilité ou tout ça fonctionnais.
Dans mon petit short, je commençais à mouiller, même si ma timidité maladive m’empêche d’en faire plus.
C’est là que, ce qui devait être mon destin a frappé.
Un orage, un méga orage.
Ma voiture impossible, sur le cric, ça aurait été une connerie.
Sans nous concerter, les éclaires zébrant le ciel, je suis montée côté passager et lui côté chauffeur dans son camion.
Il y avait de la place entre nous, mais j’étais déjà bien mouillée.
Mon débardeur que je portais sans sous-vêtement comme Tony aime que je les porte, mouillé, montrait mes seins comme s’ils avaient été nus.
Comment écrire la suite dans ce premier blog, je vais essayer de rapporter nos propos le plus fidèlement possible ?
Je me rends compte qu’il est plus facile de faire la bêtise que j’ai fait que d’écrire ce que nous avons fait.
• Vous êtes mouillée madame malgré que nous ayons couru.
Vous allez attraper la mort, attendez, dans mon sac derrière moi, j’ai une serviette depuis que ce problème m’est arrivé.
Rapide comme l’éclaire, malgré l’exiguïté de l’endroit, il s’agenouille et sort une petite serviette rose.
Il a avancé sur ses genoux et a commencé à me frotter les cheveux.
A-t-il senti que je mouillais d’envies, je l’ignore, mais quand la serviette est descendue sur ma poitrine, je l’ai regardé et laissé faire.
De toute manière dans ces situations, je me laisse toujours faire, même si c’est mal.
Tony quand il me baise, dit que je suis une folle du cul.
Mais je me disperse.
Sa main à travers la serviette me caressait et j’aimais beaucoup.
S’il avait soulevé directement mon débardeur, il aurait vu les pointes tétanisées par la texture de la serviette.
Il m’a embrassé, ou c’est moi, mais bref, nos bouches et nos langues étaient fusionnelles.
Pas le moindre millimètre entre elles.
Il a glissé sous le tableau de bord et c’est sa bouche qui est venue directement sur ma chatte, mais à travers mon short, même s’il était ras cet endroit était en feu dès ce moment-là.
Suis-je de mauvaise foi comme toute femme qui va commettre un acte adultérin ?
Oui, car c’est moi qui me soulève pour qu’il fasse glisser mon short.
Oh ! en tout bien tout honneur, car il était mouillé.
Je vais faire une confidence à mon blog, lui saura se taire, alors que si je fais une confidence à une copine, rapidement tout Bondues apprendra que la petite Audrey est une salope.
Pour mes enfants, si j’aime le sexe, je voudrais qu’ils ignorent mon penchant pour les belles queues.
J’ai souhaité ce qui a suivi.
Il s’est fait glisser sur le côté avec du mal à cause du volant, mais sa queue était à ma disposition lorsqu’il la sortie de son pantalon fourni par « Dépanne Auto. »
• Suce salope.
C’est tout ce qu’il m’a dit au moment où j’ai plongé dessus la faisant entrer dans ma bouche.
Alors la salope elle a sucé, avec plaisir et envie.
Il bandait d’une façon fort intéressante, une vraie bite, comme celle dont toutes femmes à envie, même si Tony est bien monté, lui aussi.
Il m’a fait jouir lorsqu’il m’a fait mes trois enfants, mais le morceau que je suçais était d’un autre calibre.
J’aime le sperme dans ma bouche, non pas le goût, mais l’onctuosité, mais là, j’avais peur qu’en chien fou, il me donne ses longs jets alors que c’était mon vagin qui en avait envie.
• Non, continu.
• Non, baise-moi.
Ce sont les seuls mots que nous avons prononcés cher blog, mon dieu, c’est vrai que j’ai dit ça, « baise-moi. »Et encore, et encore, et encore, et encore.
Il avait réussi à s’assoir à ma place et c’est moi qui me suis enfilée sa queue bien au fond de moi en mettant mes jambes repliées de chaque côté de lui.
Jusqu’aux amygdales que son sexe remontait en moi, la plus grosse et la plus grande qu’il m’ait été de recevoir.
Du moins, je veux le croire, car en écrivant ces lignes, je sens qu’au fure et à mesure mes turpitudes s’effacent.
Ma chatte en feu était comblée, quand j’ai donné un coup plus violant le faisant sortir de mon vagin pour qu’il dérape vers mon anus.
Me faire sodomiser oui, mais quand je suis prête.
Mais bon il semble apprécier alors pourquoi je le recadreraisQuand j’ai joui comme jamais, et que son sperme m’a inondé, j’ignore comment tout ça a commencé, les mots se sont effacés dans ma tête.
Alors que du temps de ma jeunesse, je devais aller à confesse chaque fois que je me masturbais ce qu’en ce temps-là j’appelais ma minette.
Depuis comme les mots s’efface dans ma pensée, je peux écrire chatte, vagin, craquette, garage à bite et autres mots que moi seule je lirais.
Bref, j’ai joui, il a joui, nous avons joui au moment où l’orage s’arrêtait.
• Il va falloir que j’y aille.
Merde, comment justifier que j’ai mis autant de temps.
• Facture-moi ce temps en parlant de ma voiture étant tombé, car j’avais mal mis mon cric.
• Mais au bas mot ça va faire 350 €.
• Pour le plaisir que tu m’as donné ça les vaut bien. »
Il m’a changé ma roue.
Quand je suis rentrée, Tony regardait notre comptabilité.
Il m’a trouvé très en beauté et il m’a fait venir sur ses genoux.
Il a simplement sorti son sexe et écarter le bas de mon short.
Quand j’ai rejoint ma salle de bain, mon anus débordait du sperme d’Adrien et ma chatte du sperme de Tony.
C’est ce que l’on appelle un plaisir double. »
C’est là que s’arrêtent les confidences de ma femme Audrey dans ce premier blog.
La salope, quelle salope.
J’aime la fin quand elle parle de la compta, dans l’avenir c’est principalement son blog que je regarderais dans l’espoir d’autres turpitudes.
La salope, quelle salope.
Non, pas parce qu’elle m’a trompé, ça c’est courant depuis Amsterdam, mais parce qu’elle s’est payé une partie de trou du cul avec mon argent.
Quoique, grâce à sa partie de jambes en l’air, même dans une cabine de camion, je vais économiser 100 € sur ma prochaine vidange.
On se rassure avec ce que l’on peut.
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