COLLECTION FOLLE DU CUL. Les aventures d’Audrey. Son blog. Série 3 (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Les aventures d’Audrey. Son blog. Série 3 (1/1)
Je reviens écrire sur mon blog ce que je ressens chaque fois que je trompe Tony, l’être aimé, mais que je trahis allégrement, car je suis folle du cul.
C’est Chris71 qui m’a conseillée d’écrire un blog au fur et à mesure des turpitudes que je fais avec son aide.
Il y a quelques semaines que j’avais réussi d’être sage, me contentant de mon mari et élevant mes deux filles Anna 8 ans et Élisa 5 ans.
Je dois reconnaître que certains jours, le gode que j’ai fait venir de la redoute m’est bien utile quand Tony s’endort sur ses lauriers et me tourne le dos, sous-couvert qu’il a un travail harassant.
Allez boire des bières au café de notre petite ville de Bondues, ça c’est harassant surtout lorsqu’il rentre bourré rempli comme une barrique.
Bien sûr, le gode je m’en sers souvent l’été au bord de notre piscine, la seule que vous verrez en photo aérienne dans notre petite cité.
Même s’il est bourré, en hiver comme en ce moment en ce mois de décembre, j’attends que tous soient partis pour le sortir de sa cachette et me l’introduire là où ça fait du bien, du moins pour moi.
Quand feront-ils des godes sur batteries rechargeables, du moins s’il en existe, pourrait-on m’en indiquer un que je m’empresserais d’acheter !
Hier, Tony a été voir un match de rugby du club de Bondues, bien sûr, malgré la branlée que nos joueurs ont prise par ceux de Lille dans cette coupe départementale, il est allé avec ses copains au bistrot.
Bistrot, entraîne une cuite, sans compter les tournées payées.
Mais là comme il gagne bien notre vie, je peux lui pardonner la petite robe que je pensais m’acheter ce mois-ci.
Bref, ma chatte a soif et le robinet qui en temps normal la satisfait est resté morne plaine hier au soir.
Ce qui me pose problème, c’est que j’aime la satisfaire et au matin j’empoigne Firmin.
Oui, je sais pourquoi Firmin, Radia ma copine d’origine marocaine à le sien qu’elle appelle Prosper, c’est loin d’être mieux.
Firmin d’une main, mon peignoir ouvert, je décide de m’en servir ayant fini mes lits et mon ménage.
Tony mange à son travail et mes filles à la cantine.
Canapé, gode, je tourne pour démarrer la pile et mettre en marche les vibrations de la petite excroissance qui caresse mon clito m’envoyant vers les nuages de mon plaisir.
Rien, pas une vibration, la pile est morte, comment s’ouvre ce machin, je galère.
Heureusement, que je suis seule dans notre salon, quelle vision aurait-il de moi les cuisses ouvertes essayant vainement de démonter Firmin ayant une réserve de piles dans notre cagibi.
Qui dit qu’une blonde est conne comme un balai, enfin je l’ouvre, une pile plate CR2032 ?
C’est quoi ce machin, LR6, L14, des piles rondes classiques, mais des plates CR2032, aucune.
J’essaye de le faire aller et venir en moi, mais la décharge est loin de me satisfaire.
De toute façon, je dois aller chercher du pain pour la tablée de ce soir.
Tony est un mangeur de pain !
J’ai beau lui dire de faire gaffe, le sport dans les tribunes, plus la bière en grande quantité, ça fait loin de faire bon ménage avec le pain.
Le dimanche, je fais réchauffer la brioche que j’ai préparée la veille, plus ça va, plus c’est son ventre qui ressemble à une brioche.
Bref, j’enfile ma petite robe achetée l’hiver dernier et je prends la route du supermarché situé à la sortie de Bondues.
J’arrive à la sortie du village lorsque je longe l’ancienne filature Talairan victime des Chinois et ayant fermé il y a trois ans.
J’ai crevé, comment une roue se change, bonne question.
Là, on peut dire que je suis blonde, à part la carte de contact que je place dans son logement, la mécanique et moi ça fait deux.
Bien sûr, le carnet d’entretien est manquant, j’ignore même où se trouve la roue de secours.
Je sais que dans la vieille poubelle des premiers jours de mon mariage, elle était dans le coffre.
Blonde, mais maline, je l’ouvre, un plancher, comment s’ouvre-t-il, je reviens au point de départ par manque du livre pour l’entretien.
C’est à ce moment que sortant de la porte murée, mais les parpaings étant au sol.
Apparaît un jeune garçon, la vingtaine et certainement étranger, car il a le teint légèrement bronzé.
• Je peux aider la dame, je parle mal le français, je suis afghan.
Je prends conscience que je suis sur la ligne d’immigration amenant certainement ce jeune garçon à vouloir rejoindre Calais afin d’embarquer dans un camion pour l’Angleterre.
• Tu cherches la roue, en Allemagne, j’ai aidé dans un garage pour les sous, regarde, tu tournes ça et voilà c’est ouvert.
• Merci, tu sais changer une roue, je te donnerai quelques euros, ça t’aidera.
Sans plus me demander quoi que ce soit, en deux temps trois mouvements, ma roue est changée, je sors quelques billets.
• Ça vous permettra de vous débrouiller, je comprends bien que vous êtes un immigré.
• Tu viens, je vais te préparer le thé.
Je m’appelle Rafik et j’ai 22 ans, je veux rejoindre mon frère en Angleterre, il a ouvert un petit restaurant.
• Rafik, moi c’est Audrey, je suis plus vieille, j’ai 32 ans, dix ans de plus.
Je suis curieuse, j’entre dans la filature.
Tout est délabré, mais de suite je prends conscience de l’ampleur du problème de ces gens qui veulent rejoindre l’Angleterre pour diverses causes qui me dépassent.
À la place des machines qui sont parties ailleurs, créant de la misère chez nous, ce sont des tentes qui les ont remplacées.
Une vingtaine plus ou moins grande suivant des personnes seules ou des familles avec enfants.
Une misère remplace une autre misère.
• Pourquoi ces gens sont là, Calais est bien loin ?
• C’est une base arrière, il y a eu un nettoyage de police près de Calais et nous nous sommes repliés ici.
Ces gens retourneront là-bas dès que les choses se seront calmées.
Viens, j’habite dans les anciens bureaux de la direction en haut de cet escalier.
Je monte avec il est vrai un peu de crainte malgré les familles qui sont en bas de cette pièce où se trouve un matelas gonflable deux places et une natte posée au sol avec un petit réchaud à gaz.
Rafik s’assoit en tailleur comme je l’ai vu souvent dans des films ou des documentaires.
Il prend un briquet et allume le réchaud sur lequel une petite bouilloire est posée.
Je veux m'asseoir comme lui, ma jupe remonte, il a une vue sur ma chatte ayant comme de nombreuses fois oubliées mes sous-vêtements.
C’est une nouveauté depuis quelque temps, je veux faire plaisir à Tony, je sais qu’il aime savoir que les autres ignorent que je suis nue dans la rue lorsque je les croise.
• Ouahou, ta qat est sans le moindre poil.
• Qat, veux-tu dire chatte en français ?
• Oui, chatte, minou, en Angleterre, je veux gagner plein d’argent avant de retourner au pays, m’acheter une femme avec une très grosse touffe noire !
• Tu en as vu !
• Non, je suis neuf, comment on dit en français ?
• Puceau, tu es puceau.
Et chez toi une femme, ça s’achète !
• Contre des moutons, des chèvres, plus tu en offres à son père, plus la famille sera contente de la transaction.
L’eau bouillonne, il prend deux tasses, prend une boîte à côté du briquet et après avoir récupéré des feuilles de thé broyées, il fait couler l’eau.
Je suis assise assez prêt pour prendre une initiative, j’aimerais que Tony lise mon blog, mais j’ai trop peur qu’il prenne mal que je m’offre à qui veut de moi suivant les vœux de Chris71.
Depuis notre voyage à Amsterdam où j’ai aimé me faire matter par des vieux ventripotents bavant sur mon soutien-gorge bien rempli par mes seins.
Chris71 m’avait fait prendre une place dans une vitrine de cette ville et en plus de me faire matter, il m’a fait faire ma pute.
J’aime être regardée comme un objet de désir et avec Rafik, je suis à mon affaire.
Ces yeux regardent ma main, qui défait sa ceinture et un à un les boutons de sa braguette.
Je sors sa verge, j’étais parti acheter des piles pour mon gode, autant le remplacer par une verge bien vivante et qui plus est brute de forme.
On m’a toujours dit que se faire un puceau, c’est source de chance pour une longue période.
Je vais voir si ce dicton est vrai lorsque je le mets dans ma bouche.
Je le veux dans ma chatte, car s’il décharge dans ma bouche, le travail aura été à moitié fait concernant son pucelage.
Le thé a fini d’infuser, il va être froid.
• Allonge-toi, je vais m’empaler, après je me mettrai en levrette, comme ça j’adore aussi.
Aussitôt dit aussitôt fait, il est en moi.
Est-ce le fait qu’il soit vierge, ma chatte dégouline tellement je mouille.
J’ai rarement autant mouillé et après une chevauchée fantastique, il me retourne et me prends comme je lui avais suggéré.
Dire que je connais des femmes, refusant la levrette, ce doit être des refroidies du cul alors que moi je suis chaude et même très chaude.
C’est au moment où j’éclate, fière de m’être faite un puceau que nous entendons les sirènes de police.
Rafik prend le temps de décharger avant de se relever, ranger sa queue qu’aucune autre que moi pourrais dire, « j’étais la première ! »
« Police, sortez un par un. »
Cette voix me glace le sang.
Comment vais-je expliquer à Tony au téléphone de venir me chercher au commissariat ?
Je me croyais une honorable mère de famille alors qu’il saura que je suis une pute, une roulure, avec un sexe étant une boîte à sperme.
• Audrey ouvre cette porte, je vais les retarder, l’escalier de fer arrive dans un parking servant certainement à l’ancienne direction.
La grille, nous l’avons tordue pour pouvoir passer, ta voiture est à deux pas, rentre chez toi.
Je m’exécute, l’avantage de me faire baiser avec ma robe tire-bouchonnée autour de ma taille, c’est que lorsque j’entends mes bottines taper sur les marches de fer.
Il me suffit de la tirer vers le bas pour redevenir présentable.
Je me glisse par le petit passage, dans la rue, la confusion est telle, que je suis rapidement au volant de ma voiture.
Je pourrais démarrer rapidement, mais je veux me calmer et voir qui monte dans les bus qui ont été amenés.
Hélas, Rafik sort avec un sac à dos et après être monté dans l’un d’eux, disparaît de ma vue.
Je suis à deux doigts de suivre ces bus, mais ma montre de tableau de bord me rappelle que se faire baiser, c’est bien, mais que d’aller à l’école chercher mes filles, c’est mieux.
J’ai mis du temps à relater mon aventure, tous les jours je trouve un motif pour passer devant les filatures, mais les pavés ont été replacés et la grille sur le côté redressée.
Rafik aura été un agréable divertissement d’un bel après-midi.
Pourtant en montant les marches intérieures, j’ai pu voir deux ou trois beaux immigrés que j’aurais pu partager avec Rafik ces jours-ci.
Voilà, Tony est parti au stade voir ses copains prendre une pâtée en championnat.
Mes filles sont au salon à regarder la télé et Firmin inutilisable, j’oublie toujours la pile.
Je tape d’un doigt, mes autres doigts me caressant la chatte.
Je peux, Tony sera trop bourré ce soir et tiens, si demain, dès les filles à l’école, je prenais la route de Calais !
Peut-être y retrouverais-je la queue de mon amant ou celle d’un autre jeune immigré en mal de dépucelage.
Audrey me fait rire, bien sûr, je suis rentré bourré, mais pas suffisamment pour être incapable de lire ce que ma petite chérie a fait et qu’elle a pris l’habitude de relater dans son blog.
Elle dort, je vais aller la rejoindre après ce que je viens de lire et la baiser comme la chienne que Chris71 a faite d’elle.
Et si c’était moi qui la conduisais à Calais samedi prochain en prenant une chambre dans un hôtel ?
Non, mauvais plan, Audrey me donne bien plus de plaisir par l’intermédiaire de son blog.
Si je sais attendre, la série 4, elle me la racontera et je giclerai comme je viens de le faire en relisant la série 3.
Merde, Audrey va de nouveau être frustrée, inutile de lui dire que des CR2032, il y en avait dans le tiroir de la vieille armoire de notre cagibi.
C’est Chris71 qui m’a conseillée d’écrire un blog au fur et à mesure des turpitudes que je fais avec son aide.
Il y a quelques semaines que j’avais réussi d’être sage, me contentant de mon mari et élevant mes deux filles Anna 8 ans et Élisa 5 ans.
Je dois reconnaître que certains jours, le gode que j’ai fait venir de la redoute m’est bien utile quand Tony s’endort sur ses lauriers et me tourne le dos, sous-couvert qu’il a un travail harassant.
Allez boire des bières au café de notre petite ville de Bondues, ça c’est harassant surtout lorsqu’il rentre bourré rempli comme une barrique.
Bien sûr, le gode je m’en sers souvent l’été au bord de notre piscine, la seule que vous verrez en photo aérienne dans notre petite cité.
Même s’il est bourré, en hiver comme en ce moment en ce mois de décembre, j’attends que tous soient partis pour le sortir de sa cachette et me l’introduire là où ça fait du bien, du moins pour moi.
Quand feront-ils des godes sur batteries rechargeables, du moins s’il en existe, pourrait-on m’en indiquer un que je m’empresserais d’acheter !
Hier, Tony a été voir un match de rugby du club de Bondues, bien sûr, malgré la branlée que nos joueurs ont prise par ceux de Lille dans cette coupe départementale, il est allé avec ses copains au bistrot.
Bistrot, entraîne une cuite, sans compter les tournées payées.
Mais là comme il gagne bien notre vie, je peux lui pardonner la petite robe que je pensais m’acheter ce mois-ci.
Bref, ma chatte a soif et le robinet qui en temps normal la satisfait est resté morne plaine hier au soir.
Ce qui me pose problème, c’est que j’aime la satisfaire et au matin j’empoigne Firmin.
Oui, je sais pourquoi Firmin, Radia ma copine d’origine marocaine à le sien qu’elle appelle Prosper, c’est loin d’être mieux.
Firmin d’une main, mon peignoir ouvert, je décide de m’en servir ayant fini mes lits et mon ménage.
Tony mange à son travail et mes filles à la cantine.
Canapé, gode, je tourne pour démarrer la pile et mettre en marche les vibrations de la petite excroissance qui caresse mon clito m’envoyant vers les nuages de mon plaisir.
Rien, pas une vibration, la pile est morte, comment s’ouvre ce machin, je galère.
Heureusement, que je suis seule dans notre salon, quelle vision aurait-il de moi les cuisses ouvertes essayant vainement de démonter Firmin ayant une réserve de piles dans notre cagibi.
Qui dit qu’une blonde est conne comme un balai, enfin je l’ouvre, une pile plate CR2032 ?
C’est quoi ce machin, LR6, L14, des piles rondes classiques, mais des plates CR2032, aucune.
J’essaye de le faire aller et venir en moi, mais la décharge est loin de me satisfaire.
De toute façon, je dois aller chercher du pain pour la tablée de ce soir.
Tony est un mangeur de pain !
J’ai beau lui dire de faire gaffe, le sport dans les tribunes, plus la bière en grande quantité, ça fait loin de faire bon ménage avec le pain.
Le dimanche, je fais réchauffer la brioche que j’ai préparée la veille, plus ça va, plus c’est son ventre qui ressemble à une brioche.
Bref, j’enfile ma petite robe achetée l’hiver dernier et je prends la route du supermarché situé à la sortie de Bondues.
J’arrive à la sortie du village lorsque je longe l’ancienne filature Talairan victime des Chinois et ayant fermé il y a trois ans.
J’ai crevé, comment une roue se change, bonne question.
Là, on peut dire que je suis blonde, à part la carte de contact que je place dans son logement, la mécanique et moi ça fait deux.
Bien sûr, le carnet d’entretien est manquant, j’ignore même où se trouve la roue de secours.
Je sais que dans la vieille poubelle des premiers jours de mon mariage, elle était dans le coffre.
Blonde, mais maline, je l’ouvre, un plancher, comment s’ouvre-t-il, je reviens au point de départ par manque du livre pour l’entretien.
C’est à ce moment que sortant de la porte murée, mais les parpaings étant au sol.
Apparaît un jeune garçon, la vingtaine et certainement étranger, car il a le teint légèrement bronzé.
• Je peux aider la dame, je parle mal le français, je suis afghan.
Je prends conscience que je suis sur la ligne d’immigration amenant certainement ce jeune garçon à vouloir rejoindre Calais afin d’embarquer dans un camion pour l’Angleterre.
• Tu cherches la roue, en Allemagne, j’ai aidé dans un garage pour les sous, regarde, tu tournes ça et voilà c’est ouvert.
• Merci, tu sais changer une roue, je te donnerai quelques euros, ça t’aidera.
Sans plus me demander quoi que ce soit, en deux temps trois mouvements, ma roue est changée, je sors quelques billets.
• Ça vous permettra de vous débrouiller, je comprends bien que vous êtes un immigré.
• Tu viens, je vais te préparer le thé.
Je m’appelle Rafik et j’ai 22 ans, je veux rejoindre mon frère en Angleterre, il a ouvert un petit restaurant.
• Rafik, moi c’est Audrey, je suis plus vieille, j’ai 32 ans, dix ans de plus.
Je suis curieuse, j’entre dans la filature.
Tout est délabré, mais de suite je prends conscience de l’ampleur du problème de ces gens qui veulent rejoindre l’Angleterre pour diverses causes qui me dépassent.
À la place des machines qui sont parties ailleurs, créant de la misère chez nous, ce sont des tentes qui les ont remplacées.
Une vingtaine plus ou moins grande suivant des personnes seules ou des familles avec enfants.
Une misère remplace une autre misère.
• Pourquoi ces gens sont là, Calais est bien loin ?
• C’est une base arrière, il y a eu un nettoyage de police près de Calais et nous nous sommes repliés ici.
Ces gens retourneront là-bas dès que les choses se seront calmées.
Viens, j’habite dans les anciens bureaux de la direction en haut de cet escalier.
Je monte avec il est vrai un peu de crainte malgré les familles qui sont en bas de cette pièce où se trouve un matelas gonflable deux places et une natte posée au sol avec un petit réchaud à gaz.
Rafik s’assoit en tailleur comme je l’ai vu souvent dans des films ou des documentaires.
Il prend un briquet et allume le réchaud sur lequel une petite bouilloire est posée.
Je veux m'asseoir comme lui, ma jupe remonte, il a une vue sur ma chatte ayant comme de nombreuses fois oubliées mes sous-vêtements.
C’est une nouveauté depuis quelque temps, je veux faire plaisir à Tony, je sais qu’il aime savoir que les autres ignorent que je suis nue dans la rue lorsque je les croise.
• Ouahou, ta qat est sans le moindre poil.
• Qat, veux-tu dire chatte en français ?
• Oui, chatte, minou, en Angleterre, je veux gagner plein d’argent avant de retourner au pays, m’acheter une femme avec une très grosse touffe noire !
• Tu en as vu !
• Non, je suis neuf, comment on dit en français ?
• Puceau, tu es puceau.
Et chez toi une femme, ça s’achète !
• Contre des moutons, des chèvres, plus tu en offres à son père, plus la famille sera contente de la transaction.
L’eau bouillonne, il prend deux tasses, prend une boîte à côté du briquet et après avoir récupéré des feuilles de thé broyées, il fait couler l’eau.
Je suis assise assez prêt pour prendre une initiative, j’aimerais que Tony lise mon blog, mais j’ai trop peur qu’il prenne mal que je m’offre à qui veut de moi suivant les vœux de Chris71.
Depuis notre voyage à Amsterdam où j’ai aimé me faire matter par des vieux ventripotents bavant sur mon soutien-gorge bien rempli par mes seins.
Chris71 m’avait fait prendre une place dans une vitrine de cette ville et en plus de me faire matter, il m’a fait faire ma pute.
J’aime être regardée comme un objet de désir et avec Rafik, je suis à mon affaire.
Ces yeux regardent ma main, qui défait sa ceinture et un à un les boutons de sa braguette.
Je sors sa verge, j’étais parti acheter des piles pour mon gode, autant le remplacer par une verge bien vivante et qui plus est brute de forme.
On m’a toujours dit que se faire un puceau, c’est source de chance pour une longue période.
Je vais voir si ce dicton est vrai lorsque je le mets dans ma bouche.
Je le veux dans ma chatte, car s’il décharge dans ma bouche, le travail aura été à moitié fait concernant son pucelage.
Le thé a fini d’infuser, il va être froid.
• Allonge-toi, je vais m’empaler, après je me mettrai en levrette, comme ça j’adore aussi.
Aussitôt dit aussitôt fait, il est en moi.
Est-ce le fait qu’il soit vierge, ma chatte dégouline tellement je mouille.
J’ai rarement autant mouillé et après une chevauchée fantastique, il me retourne et me prends comme je lui avais suggéré.
Dire que je connais des femmes, refusant la levrette, ce doit être des refroidies du cul alors que moi je suis chaude et même très chaude.
C’est au moment où j’éclate, fière de m’être faite un puceau que nous entendons les sirènes de police.
Rafik prend le temps de décharger avant de se relever, ranger sa queue qu’aucune autre que moi pourrais dire, « j’étais la première ! »
« Police, sortez un par un. »
Cette voix me glace le sang.
Comment vais-je expliquer à Tony au téléphone de venir me chercher au commissariat ?
Je me croyais une honorable mère de famille alors qu’il saura que je suis une pute, une roulure, avec un sexe étant une boîte à sperme.
• Audrey ouvre cette porte, je vais les retarder, l’escalier de fer arrive dans un parking servant certainement à l’ancienne direction.
La grille, nous l’avons tordue pour pouvoir passer, ta voiture est à deux pas, rentre chez toi.
Je m’exécute, l’avantage de me faire baiser avec ma robe tire-bouchonnée autour de ma taille, c’est que lorsque j’entends mes bottines taper sur les marches de fer.
Il me suffit de la tirer vers le bas pour redevenir présentable.
Je me glisse par le petit passage, dans la rue, la confusion est telle, que je suis rapidement au volant de ma voiture.
Je pourrais démarrer rapidement, mais je veux me calmer et voir qui monte dans les bus qui ont été amenés.
Hélas, Rafik sort avec un sac à dos et après être monté dans l’un d’eux, disparaît de ma vue.
Je suis à deux doigts de suivre ces bus, mais ma montre de tableau de bord me rappelle que se faire baiser, c’est bien, mais que d’aller à l’école chercher mes filles, c’est mieux.
J’ai mis du temps à relater mon aventure, tous les jours je trouve un motif pour passer devant les filatures, mais les pavés ont été replacés et la grille sur le côté redressée.
Rafik aura été un agréable divertissement d’un bel après-midi.
Pourtant en montant les marches intérieures, j’ai pu voir deux ou trois beaux immigrés que j’aurais pu partager avec Rafik ces jours-ci.
Voilà, Tony est parti au stade voir ses copains prendre une pâtée en championnat.
Mes filles sont au salon à regarder la télé et Firmin inutilisable, j’oublie toujours la pile.
Je tape d’un doigt, mes autres doigts me caressant la chatte.
Je peux, Tony sera trop bourré ce soir et tiens, si demain, dès les filles à l’école, je prenais la route de Calais !
Peut-être y retrouverais-je la queue de mon amant ou celle d’un autre jeune immigré en mal de dépucelage.
Audrey me fait rire, bien sûr, je suis rentré bourré, mais pas suffisamment pour être incapable de lire ce que ma petite chérie a fait et qu’elle a pris l’habitude de relater dans son blog.
Elle dort, je vais aller la rejoindre après ce que je viens de lire et la baiser comme la chienne que Chris71 a faite d’elle.
Et si c’était moi qui la conduisais à Calais samedi prochain en prenant une chambre dans un hôtel ?
Non, mauvais plan, Audrey me donne bien plus de plaisir par l’intermédiaire de son blog.
Si je sais attendre, la série 4, elle me la racontera et je giclerai comme je viens de le faire en relisant la série 3.
Merde, Audrey va de nouveau être frustrée, inutile de lui dire que des CR2032, il y en avait dans le tiroir de la vieille armoire de notre cagibi.
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