COLLECTION FOLLE DU CUL. Maryse et Monsieur X (4/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Maryse et Monsieur X (4/4)
Par l’intermédiaire de Chris71, j’ai commencé à vous raconter ma vie depuis mon mariage.
Après l’après-midi passé dans ma chambre, à me faire baiser par monsieur X, ma vie avait pris un sacré virage.
De statut de femme mariée, je prenais celui de prostitué de monsieur X.
Comme il me l’a demandé, c’est une femme un peu honteuse qui rejoint la chambre 69 de l’hôtel indiqué sur l’enveloppe.
Les 400 francs qu’elle contenait, je les prends comme paiement de l’équivalent d’une passe d’une prostituée.
Pute et femme mariée aimant son mari, je le serais jusqu’à la fin de mes remboursements.
Quinze jours entre chaque folie qu’il me faisait faire font que certaines fois, c’est loin d’être ma petite culotte que je souillais.
C’est directement à ma source qu’il buvait malgré ces quelques jours de fin de cycle naturel.
Ses abjections sont telles qu’un jour, c’est moi qui ai pris l’initiative.
Il me donnait généralement toujours la même somme, 400 francs une fois sur deux.
Je voulais qu’il en ait pour son argent alors je me suis mise en levrette.
C’est sa position favorite, certainement à cause de son embonpoint.
Quant à son hygiène, il est toujours égal à lui-même.
À croire que c’est un personnage qu’il s’est créé et que cela en fait parti.
Je vois monsieur X les lundis, ma belle-mère s’absente fréquemment les mercredis.
Connaît-elle la chambre 69 comme je la connais après des mois ?
Je préfère l’ignorer.
Je m’entends parler quand je lui ordonne de franchir une étape dans nos rapports assez ignobles.
• Monsieur enculé-moi.
Les mots étaient prononcés et dans la position où j’étais, je savais avoir du mal à m’en échapper.
• Êtes-vous sur de ce que vous me demandez.
Par chance cette question avec toujours ce vouvoiement réciproque a été prononcée sans coupure dans l’action démarrée.
J’ai senti son gros gland au contact de mon anus et c’est moi qui ai commencé à pousser pour le faire entrer.
J’ai eu quelques douleurs, mais j’étais fière pour une fois d’avoir pris l’initiative.
• Putain, j’ai connu de nombreuses salopes depuis que je suis devenu la banque de ces dames.
Mais une salope comme toi on en redemande.
Il m’a pilonné et non content de me dépuceler l’anus, est-ce les sécrétions, mes sécrétions qu’il avait sur la queue, mais il m’a quitté avec un peu de regret de ma part.
Il s’est allongé.
• Venez, sucez-moi, je veux finir dans votre bouche.
Que cette chose était délicatement demandée en passant par ses vous.
J’ai eu un petit mouvement de recul.
Comment pouvait-on demander à une jeune femme de vous sucer la bite alors qu’une fraction de seconde avant elle se trouvait dans votre conduit anal.
Un gentleman se serait levé, aurait rejoint la salle de bains se serait rafraichi avant de revenir vous la fourrer jusqu’à votre glotte.
Mais monsieur X semblait se foutre comme de sa première chemise d’en être un.
Ce qu’il aimait par-dessus tout, c’était de contraindre le plus de femme possible d’être tributaire de leurs ennuis d’argent et de leur montrer que son fric était à leur disposition pour ses jeux pervers.
Il me l’a prouvé à la fin de l’après-midi, alors que nous allions nous séparer, lorsqu’il a sorti son portefeuille de sa veste de costume défraichi.
Il était plein de billets, de grosses coupures, en sortant une, de 500 francs, plus gros billet jamais vu à cette époque, me montrant que mon cul valait cette somme.
Je l’ai pris comme je prenais tous les autres.
Pute un jour, pute toujours.
Un samedi où nous étions vu le lundi précédent et où il m’avait baisé m’emportant vers des sommets de luxures et de perversions, nous étions dans une boîte de nuit à la mode avec Claudio et des amis.
Je l’ai vu entrer, j’étais face à lui.
Heureusement, que la lumière était tamisée, car j’étais rouge de honte et de confusion.
Il nous a vus et il est venu directement vers nous, saluant les hommes et pratiquant le baisemain à chaque femme.
C’est Claudio qui m’a apporté le coup de grâce.
• Monsieur X, cher voisin, installez-vous à notre table.
Si vous saviez les éloges que ma mère vous fait.
S’il savait que de l’endroit ou il avait vu le jour, cet homme y mettait sa verge et la baisait régulièrement.
Il a remis une tourner, il avait ses yeux dans les miens ou est-ce la peur qu’un incident fasse savoir à tous que je remboursais encore la voiture avec laquelle Claudio m’avait amené !
Un moment j’ai cru que j’étais fichu, tous allaient savoir que j’étais à la limite d’être la prostituée de cet homme qui enjôlait mon mari.
Ils étaient tous fascinés par cet homme que j’aurais voulu voir à des lieux de la table basse et des banquettes moelleuses où nous étions installées.
• On vous voit toujours seul, avez-vous une amoureuse cachée.
Ça y est mon sang se glace.
• Des femmes, j’en ai autant que je veux, j’ai baisé la plupart de mes voisines.
C’est fait, adieu mariage.
Dans ces années-là, les boîtes diffusaient de la musique où il y avait des slows.
Ils commençaient à en diffuser un.
Il s’est levé et a pris ma main ajoutant.
• Sauf vous madame.
M’accorderez-vous cette danse, si votre mari est consentant, il va de soi.
Je retrouvais là toute la perfidie du bonhomme, les lundis dans le lit conjugal, à l’hôtel lorsqu’il me baisait sans les moindres tabous.
• Mais oui, monsieur X si Maryse est d’accord !
Je me lève, je me coule dans ses bras.
Je sens son bras appuyer sur mes reins pour me plaquer à lui.
Sans bander complètement, sachant le volume qu’elle aurait représenté, je la sentais contre mon ventre.
Je mouillais.
• 500 pour vous baiser dans les toilettes.
Il voit que j’hésite.
• 1 000, vous savez que je les ai sur moi.
Il serait dommage que votre cher mari apprenne la salope que vous êtes, vous encule-t-il comme je l’ai encore fait lundi à l’hôtel.
Vous avez cinq minutes, pour vous y rendre, je trouverais le moyen de vous rejoindre.
Je l’ai fait, j’y suis allée.
En peu de temps, je me suis retrouvée appuyée les mains sur la cuvette.
Dans l’une d’elles, je voyais les deux billets qu’il venait de me donner.
Des grosses coupures étaient rares à cette époque et je savais que j’aurais du mal à les écouler, la fausse monnaie étant courante.
Il a soulevé ma robe et déchirant ma petite culotte il m’a pris comme la chienne qu’il avait réussi à faire de moi.
Il va de soi, que la peur et la situation ont décuplé mon plaisir jusqu’à ce qu’il se vide les couilles avant de m’abandonner.
Le lundi suivant, c’était le lundi du dernier versement.
J’avais toujours la même sensation d’abjection et de plaisir qui tapissait ma vie depuis que mes mains les avaient posées sur ce paquet de billets afin d’éviter le chômage à mon mari.
• Madame, voulez-vous que nous nous retrouvions ici comme nous le faisons régulièrement depuis un an.
• Vous seriez très...
• Généreux, oui, je le serais.
Voilà, j’arrive au bout de mon histoire avec monsieur X.
Pendant des mois, environ cinq, mon mari a profité des largesses de monsieur X.
J’arrivais à lui cacher, je lui offrais des vêtements toujours à la mode sans qu’il cherche à savoir, comment je me procurais l’argent liquide.
Je lui offrais aussi des vacances au bord de la mer où nous mangions au resto nous regardant les yeux dans les yeux avec Claudio.
Claudio dont je vous raconterais ma rencontre jusqu’à mon mariage et ma vie.
À bientôt.
Encore merci à Chris.
Après l’après-midi passé dans ma chambre, à me faire baiser par monsieur X, ma vie avait pris un sacré virage.
De statut de femme mariée, je prenais celui de prostitué de monsieur X.
Comme il me l’a demandé, c’est une femme un peu honteuse qui rejoint la chambre 69 de l’hôtel indiqué sur l’enveloppe.
Les 400 francs qu’elle contenait, je les prends comme paiement de l’équivalent d’une passe d’une prostituée.
Pute et femme mariée aimant son mari, je le serais jusqu’à la fin de mes remboursements.
Quinze jours entre chaque folie qu’il me faisait faire font que certaines fois, c’est loin d’être ma petite culotte que je souillais.
C’est directement à ma source qu’il buvait malgré ces quelques jours de fin de cycle naturel.
Ses abjections sont telles qu’un jour, c’est moi qui ai pris l’initiative.
Il me donnait généralement toujours la même somme, 400 francs une fois sur deux.
Je voulais qu’il en ait pour son argent alors je me suis mise en levrette.
C’est sa position favorite, certainement à cause de son embonpoint.
Quant à son hygiène, il est toujours égal à lui-même.
À croire que c’est un personnage qu’il s’est créé et que cela en fait parti.
Je vois monsieur X les lundis, ma belle-mère s’absente fréquemment les mercredis.
Connaît-elle la chambre 69 comme je la connais après des mois ?
Je préfère l’ignorer.
Je m’entends parler quand je lui ordonne de franchir une étape dans nos rapports assez ignobles.
• Monsieur enculé-moi.
Les mots étaient prononcés et dans la position où j’étais, je savais avoir du mal à m’en échapper.
• Êtes-vous sur de ce que vous me demandez.
Par chance cette question avec toujours ce vouvoiement réciproque a été prononcée sans coupure dans l’action démarrée.
J’ai senti son gros gland au contact de mon anus et c’est moi qui ai commencé à pousser pour le faire entrer.
J’ai eu quelques douleurs, mais j’étais fière pour une fois d’avoir pris l’initiative.
• Putain, j’ai connu de nombreuses salopes depuis que je suis devenu la banque de ces dames.
Mais une salope comme toi on en redemande.
Il m’a pilonné et non content de me dépuceler l’anus, est-ce les sécrétions, mes sécrétions qu’il avait sur la queue, mais il m’a quitté avec un peu de regret de ma part.
Il s’est allongé.
• Venez, sucez-moi, je veux finir dans votre bouche.
Que cette chose était délicatement demandée en passant par ses vous.
J’ai eu un petit mouvement de recul.
Comment pouvait-on demander à une jeune femme de vous sucer la bite alors qu’une fraction de seconde avant elle se trouvait dans votre conduit anal.
Un gentleman se serait levé, aurait rejoint la salle de bains se serait rafraichi avant de revenir vous la fourrer jusqu’à votre glotte.
Mais monsieur X semblait se foutre comme de sa première chemise d’en être un.
Ce qu’il aimait par-dessus tout, c’était de contraindre le plus de femme possible d’être tributaire de leurs ennuis d’argent et de leur montrer que son fric était à leur disposition pour ses jeux pervers.
Il me l’a prouvé à la fin de l’après-midi, alors que nous allions nous séparer, lorsqu’il a sorti son portefeuille de sa veste de costume défraichi.
Il était plein de billets, de grosses coupures, en sortant une, de 500 francs, plus gros billet jamais vu à cette époque, me montrant que mon cul valait cette somme.
Je l’ai pris comme je prenais tous les autres.
Pute un jour, pute toujours.
Un samedi où nous étions vu le lundi précédent et où il m’avait baisé m’emportant vers des sommets de luxures et de perversions, nous étions dans une boîte de nuit à la mode avec Claudio et des amis.
Je l’ai vu entrer, j’étais face à lui.
Heureusement, que la lumière était tamisée, car j’étais rouge de honte et de confusion.
Il nous a vus et il est venu directement vers nous, saluant les hommes et pratiquant le baisemain à chaque femme.
C’est Claudio qui m’a apporté le coup de grâce.
• Monsieur X, cher voisin, installez-vous à notre table.
Si vous saviez les éloges que ma mère vous fait.
S’il savait que de l’endroit ou il avait vu le jour, cet homme y mettait sa verge et la baisait régulièrement.
Il a remis une tourner, il avait ses yeux dans les miens ou est-ce la peur qu’un incident fasse savoir à tous que je remboursais encore la voiture avec laquelle Claudio m’avait amené !
Un moment j’ai cru que j’étais fichu, tous allaient savoir que j’étais à la limite d’être la prostituée de cet homme qui enjôlait mon mari.
Ils étaient tous fascinés par cet homme que j’aurais voulu voir à des lieux de la table basse et des banquettes moelleuses où nous étions installées.
• On vous voit toujours seul, avez-vous une amoureuse cachée.
Ça y est mon sang se glace.
• Des femmes, j’en ai autant que je veux, j’ai baisé la plupart de mes voisines.
C’est fait, adieu mariage.
Dans ces années-là, les boîtes diffusaient de la musique où il y avait des slows.
Ils commençaient à en diffuser un.
Il s’est levé et a pris ma main ajoutant.
• Sauf vous madame.
M’accorderez-vous cette danse, si votre mari est consentant, il va de soi.
Je retrouvais là toute la perfidie du bonhomme, les lundis dans le lit conjugal, à l’hôtel lorsqu’il me baisait sans les moindres tabous.
• Mais oui, monsieur X si Maryse est d’accord !
Je me lève, je me coule dans ses bras.
Je sens son bras appuyer sur mes reins pour me plaquer à lui.
Sans bander complètement, sachant le volume qu’elle aurait représenté, je la sentais contre mon ventre.
Je mouillais.
• 500 pour vous baiser dans les toilettes.
Il voit que j’hésite.
• 1 000, vous savez que je les ai sur moi.
Il serait dommage que votre cher mari apprenne la salope que vous êtes, vous encule-t-il comme je l’ai encore fait lundi à l’hôtel.
Vous avez cinq minutes, pour vous y rendre, je trouverais le moyen de vous rejoindre.
Je l’ai fait, j’y suis allée.
En peu de temps, je me suis retrouvée appuyée les mains sur la cuvette.
Dans l’une d’elles, je voyais les deux billets qu’il venait de me donner.
Des grosses coupures étaient rares à cette époque et je savais que j’aurais du mal à les écouler, la fausse monnaie étant courante.
Il a soulevé ma robe et déchirant ma petite culotte il m’a pris comme la chienne qu’il avait réussi à faire de moi.
Il va de soi, que la peur et la situation ont décuplé mon plaisir jusqu’à ce qu’il se vide les couilles avant de m’abandonner.
Le lundi suivant, c’était le lundi du dernier versement.
J’avais toujours la même sensation d’abjection et de plaisir qui tapissait ma vie depuis que mes mains les avaient posées sur ce paquet de billets afin d’éviter le chômage à mon mari.
• Madame, voulez-vous que nous nous retrouvions ici comme nous le faisons régulièrement depuis un an.
• Vous seriez très...
• Généreux, oui, je le serais.
Voilà, j’arrive au bout de mon histoire avec monsieur X.
Pendant des mois, environ cinq, mon mari a profité des largesses de monsieur X.
J’arrivais à lui cacher, je lui offrais des vêtements toujours à la mode sans qu’il cherche à savoir, comment je me procurais l’argent liquide.
Je lui offrais aussi des vacances au bord de la mer où nous mangions au resto nous regardant les yeux dans les yeux avec Claudio.
Claudio dont je vous raconterais ma rencontre jusqu’à mon mariage et ma vie.
À bientôt.
Encore merci à Chris.
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