COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (12/15)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (12/15)
Vais-je assister à un échange lesbien entre Nadia, la belle-mère de Gabriel, mon ami et Valentine sa soeur avec Éloise, la jeune femme vivante sur un yacht dans le port de Cannes ?
Certes, yacht de taille moyenne, mais yacht tout de même.
Ce serait une première, pour moi, de les admirer dans leurs ébats.
La matinée a bien commencé lorsque je suis descendu prendre mon café dans la cuisine de la villa de Pierre et Nadia qui m’ont invité contre des heures de cours de maths à la jeune Valentine.
Je dois mettre à jour le niveau de cette jeune fille, sœur de Gabriel, mon copain de terminal, cette année où nous avons réussi notre bac.
J’avais déjà eu des rapports avec des femmes, après avoir travaillé dans un hôtel pendant mes vacances.
Maggy, la vieille anglaise cliente de l’hôtel, suivi de Geneviève employée comme moi au roomservice, c’est sur la Côte d’Azur, que je continue mon éducation sexuelle.
Nadia, comme diraient les jeunes, je l’ai « pécho » ce matin ou je dois le reconnaitre, c’est elle qui m’a chopé pour mon plus grand plaisir.
Ça, je le comprends lorsqu’elle m’annonce une visite pour déjeuner ce midi sans me dire qui va venir.
Devant moi, alors que je suis assis sur la terrasse ayant fini mon méga steak et grosse portion de frites venant de vraies pommes de terre, dans la piscine, les filles tombent dans les bras l’une l’autre.
Une nouvelle fois, leurs bouches se retrouvent comme à l’arrivée d’Éloise.
Une main se retrouve sur le sein de Nadia qui de son côté plonge sa main dans l’eau.
Inutile de chercher où elle se perd, certainement dans la chatte d’Éloise.
Quelques minutes de ces caresses et j’ai raison, Éloise semble flancher sur ses jambes à deux doigts de perdre l’équilibre.
Éloise se détache de Nadia et l’entraine sur le bord de la piscine.
Tel un chat, je dirais plutôt une chatte, elle pose sa main sur la margelle et saute sur le bord.
Nadia lui prend la main et elle se hisse, elle aussi, hors de l’eau.
J’ai le temps de voir le rose plus soutenu de sa chatte dans le mouvement et les deux s’affalent sur les coussins du lit de piscine en rotin.
Comme il est placé, je vois le haut de la blondeur de Nadia, Éloise m’étant caché.
Aucune équivoque, on m’aurait demandée de jurer que ces deux femmes s’étaient mises à se gouiner, je l’aurais certifié sans grande chance de me tromper.
Vu les préliminaires et la tête de Nadia allant de droite à gauche, seule la langue d’Éloise doit lui apporter du plaisir.
Je sais que je devrais me lever et les rejoindre, mais mon repas terminé et le verre de rosé encore frais que je déguste, m’empêche de bouger.
Si je devais me convaincre que celle qui me faisait envie depuis que Gabriel me l’a présentée est bisexuelle, ses cris de plaisir me parvenant aux oreilles me le confirmeraient.
Elle a dû jouir ou elle doit changer de position, car la tête disparait, les deux femmes m’étant cachées.
J’aurais bien fait une sieste, mais mon devoir de mâle m’appelant, je vide mon verre et me levant, je m’approche.
Dès que mes amis me sont de nouveau visibles, j’ai la confirmation que mon témoignage aurait tenu la route.
C’est en 69 que la langue de l’une suce le clito de l’autre.
Comme je suis placé, Nadia de ses doigts a décapuchonné le clito de son amie qui sous mes doigts lorsqu’elle était assise m’avait caché sa grosseur.
À quoi le comparer, certains diront une petite bite mâle, mais se serait exagéré.
Une bille avec laquelle je jouais il y a encore peu de temps, trop ronde et trop petite dans sa longueur.
Je trouve enfin, une balle de révolvers au bout rond, voilà c’est exactement ça, rond et un peu long.
Est-ce mon ombre ou ma vision qui déclenche la jouissance d’Éloise, je l’ignore, mais les jets de cyprine qui inonde la bouche et le visage de Nadia sont impressionnants.
Un, non, deux, non trois longs jets dont des gouttelettes comme elle tout à l’heure lorsqu’elle sortait de la piscine arrive jusqu’à mon visage.
Je m’essuie, je porte mes doigts de ma joue à ma bouche.
Un peu salé, mais pas si mauvais que ça.
Boire le plaisir d’une femme, même si Nadia en a plein la bouche et la figure, ça doit être plaisant à faire.
Nadia me regarde et déglutit ce qu’elle a avalé avant de m’interpeller.
• Christian avais-tu déjà vu une femme fontaine, Éloise en est une.
Les deux femmes s’écroulent en se séparant, est-ce Éloise qui jette l’éponge après sa jouissance ou les jets sortis de son corps qui m’a caché le plaisir qu’a pris Nadia ?
Mais une fois qu’elle est revenue dans une position normale, elle s’écarte pour que je puisse prendre place entre elles.
J’embrasse Nadia, je vais même jusqu’à lui sucer la figure voyant des gouttelettes commençant à sécher sur son visage.
Nos bouches se trouvent, ma main touche son sein qui frémit, je commence à redresser ma queue.
De l’autre côté, j’entends des petits bruits bien moins fort que ceux de mon Anglaise lorsqu’elle s’endormait après que je l’ai fait jouir, Éloise a dû s’assoupir.
Je libère la bouche de Nadia, nous nous regardons et un sourire illumine nos visages, elle aussi a entendu qu’Éloise ronflait légèrement.
Ce doit être lorsque je me rallonge, que le sommeil doit venir me visiter.
Combien de temps, je me suis assoupi, je l’ignore, le soleil s’est légèrement déplacé.
Je relève ma tête, à droite comme à gauche, des yeux me regardent en souriant.
• Tu t’es assoupi mon cher Christian, ça fait cinq minutes que nous te regardons dormir, un moment j’ai cru que tu allais prendre ton pouce dans ta bouche.
• Nadia a raison, ton pouce dans ta bouche, un vrai bébé.
• Foutez-vous de ma gueule les filles, vous mériteriez que je vous laisse en plan.
• Gros bêta, si tu nous laisses, en plan, tu te puniras deux fois toi-même et nous avec, attends une seconde qu’as-tu à dire contre ça ?
Que dire de la bouche d’Éloise et de sa main, l’une me suçant le gland, l’autre me masturbant, me redonnant de la vigueur ?
Nadia devançant mon besoin se lève et elle aussi nous interpelle, c’est la gardienne de notre santé.
• Il y a des capotes au fond du tiroir de la table réfrigérante, je vais nous en chercher.
Gazelle, Nadia saute du lit, j’entends l’ouverture d’un tiroir métallique et rapidement elle est de retour.
• Je nous en ai rapporté une bande, goût fraise, j’espère que tu aimes chérie.
Lorsque j’étais à un âge ou lorsque l’on m’appuyait sur le nez du lait en sortait, j’ai toujours entendu, maman, me dire qu’il était interdit de parler la bouche pleine.
C’est certainement le cas aussi pour Éloise, la « chérie » a bien du travail pour pouvoir répondre.
Je vois Nadia déchirer l’enveloppe de la première avec ses dents et me la passer pour que je l’enfile.
Ainsi, couvert, Éloise ayant laissé la place à celle qui lui dit « chérie », je la prends en levrette.
Pardon, c’est elle qui se place en levrette pour que je la pénètre.
Nadia lui présente sa chatte, comme je suis placée, je suis aux premières loges pour voir une femme en sucer une autre.
Nadia est bien bisexuelle comme l’est Éloise que je pilonne avec de grands coups de queue.
Si nous ronflions tous à l’heure, du moins légèrement, ce sont des cris de plaisir qui sortent de la bouche de Nadia, plus feutré pour Éloise qui comme je l’ai dit doivent éviter de parler la bouche pleine.
Je suis satisfait, mes deux maîtresses ont joui sans que j’aie eu besoin de décharger gardant des réserves pour le reste de l’après-midi, il doit être environ deux à trois heures.
J’ai même peur qu’elle trouve un nouveau jeu, m’achevant irrémédiablement, comme l’on dit, je noie le poisson.
• Éloise est-ce indiscret de te demander si tu aies marié, ton mari est-il un émir pour que tu vives une partie de ton temps sur son yacht ?
• Nadia, Christian est gentille, mais il fait partie de ces garçons qui pense qu’une femme doit sa fortune à un asservissement de la femme à l’homme.
• Quand nous disions qu’il suçait encore son pouce et que du lait en sortirait nous avions raison.
Christian, Éloise est ce que l’on appelle une « influenceuse » ayant plus que réussi grâce à la plongée.
• Je vais lui expliquer, Nadia, un jour, j’ai mis des photos sous-marines lors d’une de mes plongées sur les réseaux sociaux.
Elles ont fait fureur, j’ai eu plus de deux millions de followers et maintenant ça augmente à chaque nouvelle vidéo, je dois reconnaitre que je me fiche de leur nombre.
Mes vidéos, la première, « plongez parmi les requins blancs du Pacifique. »
Et aussi, « jouez avec un bébé et sa maman baleine de plusieurs tonnes. »
Et encire, « promenade parmi les bancs de coraux sur les îles françaises du Pacifique, » et bien d’autres depuis.
J’ai été contacté rapidement par des annonceurs, comme je voulais ouvrir un club de plongée, j’ai pu profiter de la guerre en Ukraine et, de la vente de yacht d’oligarque russe ayant été saisie.
Je suis sponsorisée, la première société était des détendeurs de bouteilles de plongée, de masque et autres palmes que je dois montrer dans mes vidéos.
Si j’avais mon portable que j’ai laissé au salon, je voulais être tranquille avec Nadia sans savoir que je te rencontrerais, je te montrerais des photos que j’ai prises lors de ma balade en vélo ce matin.
J’ai adossé mon vélo à un arbre avec le paysage de vignes derrière lui.
Sur la photo on voit la marque de mon vélo de cycles français près de Dijon.
Sur mon cadre, j’ai posé mes lunettes et mes gants ainsi que mon maillot, toutes ses marques me suivent comme pour la plongée et je touche des chèques de chacune d’elles.
J’étais seins à l’air sur une toute petite route, j’ai entendu trop tard un bruit de tracteur et un vieux paysan sur son engin enjambeur, que l’on voit travaillant les vignes, est passé près de moi.
Je lui ai fait signe bonjours, et j’ai pris une photo de la marque de son enjambeur, je vais l’envoyer à cette société avec mes followers, il faut être inventive lorsque l’on est une « influenceuse » connue.
Si ça marche, ce seront autant de chèques nouveaux rejoignant mon compte en banque.
Tu vois Christian, nul besoin de connaitre un émir pour posséder un yacht, il suffit d’avoir de l’imagination même si au départ, je mettais mes photos simplement pour les amis.
Dans deux semaines, c’est moi qui organise une de nos soirées libertines et nous naviguerons et plongerons dans une crique au large de Monaco.
Nadia, il va de soi que Christian est mon invité, nous lui ferons rencontrer nos meilleurs amis.
Ses meilleures amies, j’espère que « meilleures » et « amies », ce sera avec beaucoup de « e » et de « s »...
Certes, yacht de taille moyenne, mais yacht tout de même.
Ce serait une première, pour moi, de les admirer dans leurs ébats.
La matinée a bien commencé lorsque je suis descendu prendre mon café dans la cuisine de la villa de Pierre et Nadia qui m’ont invité contre des heures de cours de maths à la jeune Valentine.
Je dois mettre à jour le niveau de cette jeune fille, sœur de Gabriel, mon copain de terminal, cette année où nous avons réussi notre bac.
J’avais déjà eu des rapports avec des femmes, après avoir travaillé dans un hôtel pendant mes vacances.
Maggy, la vieille anglaise cliente de l’hôtel, suivi de Geneviève employée comme moi au roomservice, c’est sur la Côte d’Azur, que je continue mon éducation sexuelle.
Nadia, comme diraient les jeunes, je l’ai « pécho » ce matin ou je dois le reconnaitre, c’est elle qui m’a chopé pour mon plus grand plaisir.
Ça, je le comprends lorsqu’elle m’annonce une visite pour déjeuner ce midi sans me dire qui va venir.
Devant moi, alors que je suis assis sur la terrasse ayant fini mon méga steak et grosse portion de frites venant de vraies pommes de terre, dans la piscine, les filles tombent dans les bras l’une l’autre.
Une nouvelle fois, leurs bouches se retrouvent comme à l’arrivée d’Éloise.
Une main se retrouve sur le sein de Nadia qui de son côté plonge sa main dans l’eau.
Inutile de chercher où elle se perd, certainement dans la chatte d’Éloise.
Quelques minutes de ces caresses et j’ai raison, Éloise semble flancher sur ses jambes à deux doigts de perdre l’équilibre.
Éloise se détache de Nadia et l’entraine sur le bord de la piscine.
Tel un chat, je dirais plutôt une chatte, elle pose sa main sur la margelle et saute sur le bord.
Nadia lui prend la main et elle se hisse, elle aussi, hors de l’eau.
J’ai le temps de voir le rose plus soutenu de sa chatte dans le mouvement et les deux s’affalent sur les coussins du lit de piscine en rotin.
Comme il est placé, je vois le haut de la blondeur de Nadia, Éloise m’étant caché.
Aucune équivoque, on m’aurait demandée de jurer que ces deux femmes s’étaient mises à se gouiner, je l’aurais certifié sans grande chance de me tromper.
Vu les préliminaires et la tête de Nadia allant de droite à gauche, seule la langue d’Éloise doit lui apporter du plaisir.
Je sais que je devrais me lever et les rejoindre, mais mon repas terminé et le verre de rosé encore frais que je déguste, m’empêche de bouger.
Si je devais me convaincre que celle qui me faisait envie depuis que Gabriel me l’a présentée est bisexuelle, ses cris de plaisir me parvenant aux oreilles me le confirmeraient.
Elle a dû jouir ou elle doit changer de position, car la tête disparait, les deux femmes m’étant cachées.
J’aurais bien fait une sieste, mais mon devoir de mâle m’appelant, je vide mon verre et me levant, je m’approche.
Dès que mes amis me sont de nouveau visibles, j’ai la confirmation que mon témoignage aurait tenu la route.
C’est en 69 que la langue de l’une suce le clito de l’autre.
Comme je suis placé, Nadia de ses doigts a décapuchonné le clito de son amie qui sous mes doigts lorsqu’elle était assise m’avait caché sa grosseur.
À quoi le comparer, certains diront une petite bite mâle, mais se serait exagéré.
Une bille avec laquelle je jouais il y a encore peu de temps, trop ronde et trop petite dans sa longueur.
Je trouve enfin, une balle de révolvers au bout rond, voilà c’est exactement ça, rond et un peu long.
Est-ce mon ombre ou ma vision qui déclenche la jouissance d’Éloise, je l’ignore, mais les jets de cyprine qui inonde la bouche et le visage de Nadia sont impressionnants.
Un, non, deux, non trois longs jets dont des gouttelettes comme elle tout à l’heure lorsqu’elle sortait de la piscine arrive jusqu’à mon visage.
Je m’essuie, je porte mes doigts de ma joue à ma bouche.
Un peu salé, mais pas si mauvais que ça.
Boire le plaisir d’une femme, même si Nadia en a plein la bouche et la figure, ça doit être plaisant à faire.
Nadia me regarde et déglutit ce qu’elle a avalé avant de m’interpeller.
• Christian avais-tu déjà vu une femme fontaine, Éloise en est une.
Les deux femmes s’écroulent en se séparant, est-ce Éloise qui jette l’éponge après sa jouissance ou les jets sortis de son corps qui m’a caché le plaisir qu’a pris Nadia ?
Mais une fois qu’elle est revenue dans une position normale, elle s’écarte pour que je puisse prendre place entre elles.
J’embrasse Nadia, je vais même jusqu’à lui sucer la figure voyant des gouttelettes commençant à sécher sur son visage.
Nos bouches se trouvent, ma main touche son sein qui frémit, je commence à redresser ma queue.
De l’autre côté, j’entends des petits bruits bien moins fort que ceux de mon Anglaise lorsqu’elle s’endormait après que je l’ai fait jouir, Éloise a dû s’assoupir.
Je libère la bouche de Nadia, nous nous regardons et un sourire illumine nos visages, elle aussi a entendu qu’Éloise ronflait légèrement.
Ce doit être lorsque je me rallonge, que le sommeil doit venir me visiter.
Combien de temps, je me suis assoupi, je l’ignore, le soleil s’est légèrement déplacé.
Je relève ma tête, à droite comme à gauche, des yeux me regardent en souriant.
• Tu t’es assoupi mon cher Christian, ça fait cinq minutes que nous te regardons dormir, un moment j’ai cru que tu allais prendre ton pouce dans ta bouche.
• Nadia a raison, ton pouce dans ta bouche, un vrai bébé.
• Foutez-vous de ma gueule les filles, vous mériteriez que je vous laisse en plan.
• Gros bêta, si tu nous laisses, en plan, tu te puniras deux fois toi-même et nous avec, attends une seconde qu’as-tu à dire contre ça ?
Que dire de la bouche d’Éloise et de sa main, l’une me suçant le gland, l’autre me masturbant, me redonnant de la vigueur ?
Nadia devançant mon besoin se lève et elle aussi nous interpelle, c’est la gardienne de notre santé.
• Il y a des capotes au fond du tiroir de la table réfrigérante, je vais nous en chercher.
Gazelle, Nadia saute du lit, j’entends l’ouverture d’un tiroir métallique et rapidement elle est de retour.
• Je nous en ai rapporté une bande, goût fraise, j’espère que tu aimes chérie.
Lorsque j’étais à un âge ou lorsque l’on m’appuyait sur le nez du lait en sortait, j’ai toujours entendu, maman, me dire qu’il était interdit de parler la bouche pleine.
C’est certainement le cas aussi pour Éloise, la « chérie » a bien du travail pour pouvoir répondre.
Je vois Nadia déchirer l’enveloppe de la première avec ses dents et me la passer pour que je l’enfile.
Ainsi, couvert, Éloise ayant laissé la place à celle qui lui dit « chérie », je la prends en levrette.
Pardon, c’est elle qui se place en levrette pour que je la pénètre.
Nadia lui présente sa chatte, comme je suis placée, je suis aux premières loges pour voir une femme en sucer une autre.
Nadia est bien bisexuelle comme l’est Éloise que je pilonne avec de grands coups de queue.
Si nous ronflions tous à l’heure, du moins légèrement, ce sont des cris de plaisir qui sortent de la bouche de Nadia, plus feutré pour Éloise qui comme je l’ai dit doivent éviter de parler la bouche pleine.
Je suis satisfait, mes deux maîtresses ont joui sans que j’aie eu besoin de décharger gardant des réserves pour le reste de l’après-midi, il doit être environ deux à trois heures.
J’ai même peur qu’elle trouve un nouveau jeu, m’achevant irrémédiablement, comme l’on dit, je noie le poisson.
• Éloise est-ce indiscret de te demander si tu aies marié, ton mari est-il un émir pour que tu vives une partie de ton temps sur son yacht ?
• Nadia, Christian est gentille, mais il fait partie de ces garçons qui pense qu’une femme doit sa fortune à un asservissement de la femme à l’homme.
• Quand nous disions qu’il suçait encore son pouce et que du lait en sortirait nous avions raison.
Christian, Éloise est ce que l’on appelle une « influenceuse » ayant plus que réussi grâce à la plongée.
• Je vais lui expliquer, Nadia, un jour, j’ai mis des photos sous-marines lors d’une de mes plongées sur les réseaux sociaux.
Elles ont fait fureur, j’ai eu plus de deux millions de followers et maintenant ça augmente à chaque nouvelle vidéo, je dois reconnaitre que je me fiche de leur nombre.
Mes vidéos, la première, « plongez parmi les requins blancs du Pacifique. »
Et aussi, « jouez avec un bébé et sa maman baleine de plusieurs tonnes. »
Et encire, « promenade parmi les bancs de coraux sur les îles françaises du Pacifique, » et bien d’autres depuis.
J’ai été contacté rapidement par des annonceurs, comme je voulais ouvrir un club de plongée, j’ai pu profiter de la guerre en Ukraine et, de la vente de yacht d’oligarque russe ayant été saisie.
Je suis sponsorisée, la première société était des détendeurs de bouteilles de plongée, de masque et autres palmes que je dois montrer dans mes vidéos.
Si j’avais mon portable que j’ai laissé au salon, je voulais être tranquille avec Nadia sans savoir que je te rencontrerais, je te montrerais des photos que j’ai prises lors de ma balade en vélo ce matin.
J’ai adossé mon vélo à un arbre avec le paysage de vignes derrière lui.
Sur la photo on voit la marque de mon vélo de cycles français près de Dijon.
Sur mon cadre, j’ai posé mes lunettes et mes gants ainsi que mon maillot, toutes ses marques me suivent comme pour la plongée et je touche des chèques de chacune d’elles.
J’étais seins à l’air sur une toute petite route, j’ai entendu trop tard un bruit de tracteur et un vieux paysan sur son engin enjambeur, que l’on voit travaillant les vignes, est passé près de moi.
Je lui ai fait signe bonjours, et j’ai pris une photo de la marque de son enjambeur, je vais l’envoyer à cette société avec mes followers, il faut être inventive lorsque l’on est une « influenceuse » connue.
Si ça marche, ce seront autant de chèques nouveaux rejoignant mon compte en banque.
Tu vois Christian, nul besoin de connaitre un émir pour posséder un yacht, il suffit d’avoir de l’imagination même si au départ, je mettais mes photos simplement pour les amis.
Dans deux semaines, c’est moi qui organise une de nos soirées libertines et nous naviguerons et plongerons dans une crique au large de Monaco.
Nadia, il va de soi que Christian est mon invité, nous lui ferons rencontrer nos meilleurs amis.
Ses meilleures amies, j’espère que « meilleures » et « amies », ce sera avec beaucoup de « e » et de « s »...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujoursd aussi passionné cyrille j'aime beaucoup
Quelle délicieuse journée tu nous partages mon cher Chris(tian)...
Toujours à l'affût de la suite 🔥🔥
Cyrille
Toujours à l'affût de la suite 🔥🔥
Cyrille