COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (14/15) - histoire érotique

Hugo s’assoit dans un fauteuil de jardin, faut être tordu pour regarder sa femme se faire mettre par deux jeunes en double pénétration.
Mes premières vacances de rêve, ce continu.
J’en étais là de ces vacances de rêve lorsque Lauriane semble déchainée prise par nos deux bites sur le gazon de sa terrasse.
Chaque fois que j’ai fait l’amour à une femme, je l’ai dévasté, la faisant souvent jouir plusieurs fois avant de remplir ma capote.
Là, c’est une tornade que nous avons dans nos bras.
Combien de fois, sa jouissance est plus forte que celle avec moi dans les vestiaires du club de golf et des toilettes du restaurant de ce même club.
Nous libérons notre salope qui se redresse avec des difficultés.

• Hugo offre un verre à nos invités, ils l’ont bien mérité, je vais prendre un bain, ça m’aidera à revenir sur terre.

Lauriane nous quitte chancelante et Hugo va jusqu’au bar pour nous offrir un verre.

• Champagne, vous l’avez bien mérité.

Il ouvre un petit frigo dans le bar et en sort une bouteille de cette boisson qui m’a posé des problèmes avec Valentine au Domino.
Servi, nous trinquons, la tension est papable, nous avons tout de même baisé sa femme et moi surtout trois fois, je veux décontracter l’atmosphère.

• Monsieur Hugo, permettez-moi de vous poser une question, il va de soi que vous me répondiez si vous le désirez.
• Je crois connaitre la question, j’y suis confronté très souvent, chaque fois que j’offre ma femme à des inconnus.
• Vous avez raison, j’allais vous poser cette question.
• Pour commencer, tutoyez-moi et je vous réponds.
J’ai connu Lauriane au lycée et nous sommes tombées follement amoureux, nous avions dix-sept ans tous les deux.
Nos parents étant sans le sou, nous avons décidé d’arrêter nos études de nous mettre ensemble, mais nous mangions ce que l’on appelle de la vache enragée.
Chômage pour moi, allant de petits boulots en petit boulot et touchant des aides de l’État.
Travail dans un restaurant rapide, mais beaucoup d’heures et peu de salaire.
L’amour s’est étiolé, je parle de l’amour physique, Lauriane faisait des frites avec une huile de basse qualité et elle avait beau se laver dans une bassine, cette odeur m’indisposait.
Un jour où nous faisions l’amour tout de même, j’ai vu qu’elle simulait.
J’ai cru que c’était la seule fois, nos ennuis la désorientent.
Nous nous sommes disputés et elle m’a avoué que malgré tout l’amour qu’elle avait pour moi, depuis le jour où nous nous étions mutuellement dépucelés, elle simulait.
Les femmes à un moment ou à un autre ressentent le grand frisson, elle calme plat de ce côté.
J’étais tellement affecté me prenant pour un étalon que je l’ai fichu dehors.
Pendant presque deux ans, je suis resté chaste, juste quelques petites pignoles lorsque la pression était trop forte, mais je pense que j’étais toujours amoureux d’elle.
J’ai commencé à tout vous dire, c’est un peu pour toi Gabriel qui a toujours connu l’opulence.
• Hugo, tu as raison, sans être dans une misère noire à la maison, je découvre depuis le début de ce mois de vacances ce que c’est d’être riche, ce sont mes premières vacances de rêve.
• À la vôtre, voulez-vous que je nous réverse cette boisson mise en bouteilles et prisée des gens d’ici ?

Hugo nous ressert une dose de pastis et cinq doses d’eau, quant aux gens d’ici, le pastis marseillais, c’est plutôt aller le PSG, mais chute, nous risquerions de vexer cet homme et sa salope de femme.
Salope dans le bon sens du terme, Lauriane venant de nous faire découvrir les plaisirs du sexe à plusieurs.

• Ou en suis-je ?
Oui, ma séparation avec Lauriane et le galère qui s’en est suivi, je vous ai dit que je vous dirais la vérité.
J’étais tombé si bas qu’il m’arrivait de sucer des bites dans le métro pour deux ou trois euros.
Et un jour, en sortant du métro où j’avais sucé un vieux pour vingt euros, j’ai failli emplafonner Lauriane.
Nous nous sommes embrassés sur les joues et comme j’ai ressenti la même chose que pendant notre vie commune étant riche de ce beau billet, je lui ai proposé un café.
Nous étions dans la salle, il y avait un jeu de café ou après des numéros tirés, on gagne de l’argent.
J’ai dû aller à la Française des jeux pour toucher un gros paquet d’euros pour les dix que j’avais joués.
Lauriane m’a donné son numéro, j’aimais les courses de chevaux et je suis allé à Vincennes ou Longchamp et j’ai pu cagner de grosses sommes.
J’avais de l’argent et je me suis mis à m’intéresser à la bourse.
J’ai téléphoné à Lauriane pour l’inviter au restaurant.
Nous avions l’air de deux pouilleux parmi ces gens bourrés de pognon.
Nous nous sommes remis ensemble sachant que sexuellement même si nous avions recommencé à faire l’amour de son côté s’était calme plat sauf qu’elle arrêtait de simuler.
Nous avions acheté un petit logement et un jour, nous étions au restaurant avec près de nous un couple de nos âges.
Je consultais le journal en cherchant un bon profit lorsque l’homme m’a demandé si je m’y connaissais en bourse, car il avait vu que je regardais la page financière.
Ils avaient touché un petit héritage qu’ils comptaient faire fructifier.
Sur mes conseils, ils avaient gagné gros, ils nous ont invités à déjeuner chez eux.
Ils nous ont avoué qu’ils étaient des libertins, car Judith aimait la diversité dans ses rapports.
Salomon espérait que je baise sa femme qui, parlant entre elles, ils nous ont proposé d’aller dans un club échangiste non loin de chez nous.
Lauriane et Judith se sont fait baiser alors que nous parlions de nos prochains investissements.
C’est là que j’ai rencontré ton père Gabriel, c’était la première fois qu’il venait emmené par des copains, ta mère s’étant barrée avec son saxophoniste américain.
Il venait de créer sa boîte et ayant besoin de capitaux pour un développement pendant que nos femmes se faisaient faire l’amour.
Lauriane prenant son pied avec d’autres qu’avec moi, j’ai vu le rapprochement entre Pierre et Nadia cette dernière étant libertine.
• Comment, mon père est un libertin et il aime voir sa femme se faire baiser par d’autres ?

Je sens la catastrophe, découvrir que celui que l’on a mis en haut d’un piédestal aime baiser avec d’autres et regarder sa femme se faire baiser, vous tombez de haut.
Depuis que j’ai baisé Lauriane et surtout Nadia, je sais tout cela et je sais m’en servir.

• Bravo Hugo, tu as le chic pour te mettre dans la merde, je savais que les enfants de Pierre ignoraient que leur père et sa nouvelle compagne pratiquaient l'échangisme.

Lauriane revenant des chambres et de la salle d’eau enroulée dans une grande serviette de bain fait son retour parmi nous.

• C’est en partie vrai Lauriane, un jour Valentine a eu un doute quant aux pratiques sexuelles de nos parents, elle me l’a dit, mais j’avais des œillères et je l’en ai dissuadé.

Valentine m’a petite peste, elle s’est bien gardée de me dire qu’elle savait pour Pierre et Nadia, comme elle doit ignorer que j’ai fait l’amour à sa belle-mère ou encore leur amie Éloise.

• Maintenant lorsque j’y pense à Paris ils vont fréquemment à des soirées et aussi ici.
• Tu as raison Gabriel, comme Hugo vous l’a si gentiment dévoilée, lorsqu’il s’est agi de mariage entre Nadia et Pierre, malgré leur différence d’âge, il fallait trouver une solution pour donner le change.

Lauriane perfide comme à son habitude sent que c’est Gabriel, le point de blocage dans la suite de leur récit.
Elle vient ouvertement s’assoir sur les genoux du jeune garçon.

• C’est moi qui leur ai suggéré de créer un poste de secrétaire, de faire croire à un choix de sa part parmi plusieurs candidates.
Vous allez rire, pour nous facilité la tâche, pour les employés de Pierre, le casting était entre moi et Nadia.
• C’est vrai ma chérie, j’avais oublié ce détail, le soir tu m’as raconté que dans son bureau vous avez baisé tous les trois et le plaisir que tu as pris lorsque Nadia t’avait sucé la chatte.
• Nadia se gouine et toi aussi Lauriane !

Je sens un nouveau point de blocage dans la tête de Gabriel.

• Tu sais Gabriel, lorsque tu as emmené Christine sur votre voilier à la place de Jennifer, tu as indirectement fait de l’échangisme.
Lorsque tu m’as suivi ici pour faire l’amour à Lauriane, nous en avons fait de même, ouvrent les yeux, la vie est plus complexe qu’on veut bien le croire !
• Tu as raison Christian, surtout que je sens que de nouveau tu bandes mon gentil Gabriel.

Elle se penche, embrasse Gabriel qui prend sa bouche dans un baiser passionné.

• Je vous parlais de cette période où nous avons investi dans cet appartement, nos amoureux mariés, Pierre, mais surtout Nadia souhaitait se rapprocher de nous.
C’est moi qui ai débusqué la villa où vous passez vos vacances, ce qui nous a permis de faire de belles rencontre, il y a de nombreux échangistes sur cette côte.
La vie est belle et il faut savoir en profiter !
• Tu as raison chérie, regarde-moi aujourd’hui, je croyais que notre chance s’était évanouie lorsque mon affaire à capoté.
Je rentrais à la maison dépitée lorsque j’ai entendu des bruits caractéristiques d’un couple faisant l’amour.
C’était Lauriane qui s’envoyait en l’air avec vous.
Je vous ai observé de longues minutes avant de vous interpeller.
Vous m’avez montré que ma chance et celle de Lauriane était toujours là tant qu’elle se ferait faire l’amour par deux beaux gars comme vous sachant la satisfaire.
• Me satisfaire, pas tout à fait...