COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (15/15)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (15/15)
« Vous m’avez montré que ma chance et celle de Lauriane était toujours là tant qu’elle se ferait faire l’amour par deux beaux gars comme vous, sachant la satisfaire.
Me satisfaire, pas tout à fait. »
C’est là que Christian et ses amis, avec plutôt « es » après le « i », nous ont laissés.
Tout en buvant un verre de pastis, Lauriane sent que Gabriel recommence à bander.
Sans plus de fioriture, elle s’agenouille et devant nous commence à le pomper.
Elle est entre Gabriel et moi, tour à tour ses divines lèvres viennent nous offrir une très belle fellation.
• Les jeunes, comprenez pourquoi je préfère que ce soit vous qui baisiez ma petite pute de femme.
Elle en veut toujours plus, au lieu de la regarder si c’est moi qui essayais de la satisfaire, je finirais hémiplégique après un AVC.
Suce les à fond ma salope, le temps sur terre est court.
C’est ce que nous nous sommes laissé faire, non seulement, Lauriane aime se faire prendre en double pénétration.
Mais en plus, elle adore boire du sperme et nos deux bites sur ce plan en quelques minutes arrivent à la satisfaire.
De retour à la villa, Valentine est à la piscine et nous fait la gueule d’être partie sans elle.
De plus, l’obligé à venir prendre son cours envenime la situation, ça a un avantage pour moi.
Boudeuse comme une jeune pucelle de dix-sept ans, elle me fiche une paix royale côté sexe.
• Christian, j’ai demandé à Pierre si je pouvais sortir le voilier seul, il m’a donné l’autorisation si tu venais avec moi.
Valentine, accompagne-nous, il est d’accord que tu viennes !
• Partez sans moi, ils ont débarqué et j’ai une migraine carabinée, je vais rester à me faire bronzer.
Je comprends mieux les bouderies de Valentine après notre retour de notre expédition chez Lauriane et Hugo.
Que dire des règles des femmes, je suis fils unique, mais j’ai une mère ?
J’ai mis du temps à comprendre qu’une maman était aussi une femme et c’est après ce temps que certaines migraines pouvaient déclencher de vrais maux de tête.
Certaines fois, maman restait dans le noir complet et son caractère, elle qui était toujours très gentille avec moi, devenait exécrable.
En moyenne ça durait deux à trois jours et je peux vous assurer que dans ces périodes mon père avait intérêt à filer droit.
Je dis ça, mais, filer droit, c’était tous les temps qu’il devait le faire.
Un jour de tension, alors que j’étais dans ma chambre, j’ai cru comprendre qu’il avait été conté fleurette à notre voisine et que maman l’avait surpris ayant été à deux pas divorcés.
C’est une autre fois que la catastrophe était survenue.
Ils m’ont appelée pour les aider à nettoyer, la cuisine étant couverte d’huile, surtout les rideaux de la fenêtre.
• Maman faisait une vinaigrette lorsque la bouteille d’huile lui a échappé.
Elle a voulu la rattraper et elle s’est écrasée sur la fenêtre, aide nous à tous nettoyer.
L’histoire de la bouteille d’huile lui ayant échappé pendant qu’elle faisait la vinaigrette était facile pour justifier le massacre qui nous a pris deux heures à nettoyer.
La vérité, je l’avais nettement entendue ce dimanche matin alors que je faisais mes devoirs dans ma chambre, excusez des mots, je vous les rapporte comme je les ai entendus.
Les parois de nos appartements étant du carton-pâte.
• Fumier, connard, tu as de la chance que je manque de courage pour prendre notre fils et de partir avec lui.
• De quel courage parles-tu, je me crève le cul à vous ramener du fric pour que vous ayez une vie heureuse et madame à la migraine, chaque fois que je veux lui en mettre un petit coup.
• Fumier tient !
C’est après se « tient » que j’ai entendu un grand bruit lorsque la bouteille d’huile s’est écrasée sur la fenêtre.
Bien plus tard, j’ai su le fin mot de cette histoire, la bouteille d’huile étant ouverte, maman l’a balancé sur papa.
Malgré que le tennis, c’est seulement à la télé qu’il le pratiquait, d’un revers digne de Federer ou de Gasquet, il l’a détourné sur la fenêtre.
Avant de partir, je suis à deux doigts de demander à Nadia de nous accompagner.
C’est à ce moment que j’apprends un phénomène de la nature féminine.
Il est fréquent lorsque les femmes ont des cycles proches l’une de l’autre, que les règles de l’une déclenchent celle des autres.
Nous garons les Vespas près du ponton, nous allons passer la nuit en mer, nous relayant pour surveiller la bonne marche du voilier.
La mer Méditerranée est sûre, mais de nombreux cargos la sillonnent et malgré le système de radar et le pilotage automatique, il faut tout surveiller.
Lorsque nous arrivons au ponton, le yacht d’Éloise est, lui aussi parti en mer.
Dans la nuit, je surveille la barre, Gabriel est parti se reposer dans sa cabine lorsque l’alarme présence d’un navire se déclenche.
Je prends les jumelles, c’est la pleine lune.
Tient, là aussi, je connais un phénomène pour les femmes de l’influence de la lune sur leurs règles.
Sur la revue médicale que je lisais en attendant de voir le médecin, ils appelaient ça la lune rouge.
Ce phénomène émis, je vois le bateau ayant déclenché l’alarme, c’est un yacht du même genre que celui d’Éloise.
C’est peut-être elle qui alimente ses influences lui faisant gagner du fric dans la mouvance actuelle.
Comme le veulent les quelques règles maritimes qui m’ont été données par Pierre le dimanche, nous avons priorité et elle nous laisse passer.
Je dis « elle », mais malgré la lune elle est trop loin, c’est peut-être un émir ou un russe qui circulent, la mer est à tout le monde.
C’est au matin en nous rapprochant de la côte qu’un message nous arrive et même un coup de fil sur le portable de Gabriel, une mauvaise nouvelle.
Marthe, sa maman inconnue de moi est en maison de retraite près de Limoges.
Elle est en mauvaise forme, il a retenu un avion et un hôtel pour aller la visiter.
Nous rejoignons la villa, le plus rapidement possible, mais dans les règles de sécurité, car un voilier de ce tonnage est loin de se manœuvrer comme une trottinette.
• Christian, cet incident de famille involontaire nous oblige à te laisser seule ici.
Seul, pas tout à fait, Charles a dû aller jusqu’à leur maison.
Le voisin qui la surveille pendant leur absence a lui aussi téléphoner à Charles.
Une canalisation a cédé à la sortie du compteur et la cave est inondée.
Soit sans crainte, Georgette reste ici et sera à ta disposition.
Pierre cette consigne passée monte dans sa limousine pour se rendre à l’aéroport Nice Côte d’Azur.
J’ai eu le temps d’embrasser Nadia et Valentine avant que le portail se referme.
• Monsieur Christian, je peux vous servir votre repas à vingt heures !
J’ai préparé des asperges avec une salade niçoise, ça vous ira !
• Avec beaucoup d’olives noires, j’adore ça.
Que dire du repas, je mange avec appétit, le grand large, ça creuse ?
Je monte dans ma chambre, j’ai de nouveau arrêté la clim, Valentine étant partie.
J’ai pu rouvrir la porte fenêtre pour essayer de trouver un peu d’air.
Je suis nu, il me vient une idée, je descends et je vais me coucher sur le lit de jardin.
Les matelas sont toujours en place, les autres jours, c’est Charles qui les rangeait et les ressortait au matin.
La lune est là, mais un quartier seulement, je m’assoupis une légère brise montant de la mer vers nos hauteurs.
Un bruit me réveille, quelqu’un nage dans la piscine près de moi.
J’ai un moment de peur lorsque je vois une forme humaine remonter les quelques marches.
La lueur blafarde que représente ce corps nu, un instant, me fait penser à un spectre.
Est-il possible que des fantômes antent cette maison neuve de quelques années ?
Je croyais que ces fantômes étaient réservés au touriste écossais dans de vieux manoirs de l’âge Victoria.
• Oh, monsieur Christian, vous m’avez fait peur, j’ignorais que vous étiez descendu près de la piscine, mais je vous comprends, il fait si chaud ce soir !
Un fantôme, ça ante, mais ça ferme sa gueule, tout juste fait-il des « hou », « hou » « houuuu. »
• Georgette, j’aurais dû vous prévenir, mais j’ignorais que vous aimiez vous baigner après avoir fini votre service.
• Monsieur Pierre nous a donné l’autorisation à Charles et à moi lorsqu’ils étaient absents de venir à la piscine.
Il est vrai que j’aurais dû penser que vous étiez là.
• Aucun problème, mais mettez-vous près de moi et profitez de la légère bise montant de la mer.
Elle le fait, j’entrevois sa chatte, non épilée, un vrai tablier de sapeur brun.
• Oh, monsieur Christian, la pénombre me rend audacieuse.
Je vois des personnes nues presque tous les jours depuis que, nous avons accepté de prendre en charge la maison de monsieur Pierre lorsqu’ils sont là.
J’en vois des dizaines lors des soirées qu’ils organisent sans jamais avoir le droit d’en profiter.
J’ai épousé Charles il y a trente ans et c’est la seule que j’ai eue en mains.
Monsieur Christian, la vôtre est la plus belle jamais vue ici.
Permettez que je la prenne en main, simplement l’avoir dans ma main !
J’ai nettement l’impression que le motif que Georgette m’a donné lorsqu’elle a vu que j’étais descendu à la piscine, était fallacieux, mais jusqu’à ou a-t-elle prévu d’aller ?...
J’espère que vous êtes nombreux à attendre la suite dans quatre à cinq jours...
Me satisfaire, pas tout à fait. »
C’est là que Christian et ses amis, avec plutôt « es » après le « i », nous ont laissés.
Tout en buvant un verre de pastis, Lauriane sent que Gabriel recommence à bander.
Sans plus de fioriture, elle s’agenouille et devant nous commence à le pomper.
Elle est entre Gabriel et moi, tour à tour ses divines lèvres viennent nous offrir une très belle fellation.
• Les jeunes, comprenez pourquoi je préfère que ce soit vous qui baisiez ma petite pute de femme.
Elle en veut toujours plus, au lieu de la regarder si c’est moi qui essayais de la satisfaire, je finirais hémiplégique après un AVC.
Suce les à fond ma salope, le temps sur terre est court.
C’est ce que nous nous sommes laissé faire, non seulement, Lauriane aime se faire prendre en double pénétration.
Mais en plus, elle adore boire du sperme et nos deux bites sur ce plan en quelques minutes arrivent à la satisfaire.
De retour à la villa, Valentine est à la piscine et nous fait la gueule d’être partie sans elle.
De plus, l’obligé à venir prendre son cours envenime la situation, ça a un avantage pour moi.
Boudeuse comme une jeune pucelle de dix-sept ans, elle me fiche une paix royale côté sexe.
• Christian, j’ai demandé à Pierre si je pouvais sortir le voilier seul, il m’a donné l’autorisation si tu venais avec moi.
Valentine, accompagne-nous, il est d’accord que tu viennes !
• Partez sans moi, ils ont débarqué et j’ai une migraine carabinée, je vais rester à me faire bronzer.
Je comprends mieux les bouderies de Valentine après notre retour de notre expédition chez Lauriane et Hugo.
Que dire des règles des femmes, je suis fils unique, mais j’ai une mère ?
J’ai mis du temps à comprendre qu’une maman était aussi une femme et c’est après ce temps que certaines migraines pouvaient déclencher de vrais maux de tête.
Certaines fois, maman restait dans le noir complet et son caractère, elle qui était toujours très gentille avec moi, devenait exécrable.
En moyenne ça durait deux à trois jours et je peux vous assurer que dans ces périodes mon père avait intérêt à filer droit.
Je dis ça, mais, filer droit, c’était tous les temps qu’il devait le faire.
Un jour de tension, alors que j’étais dans ma chambre, j’ai cru comprendre qu’il avait été conté fleurette à notre voisine et que maman l’avait surpris ayant été à deux pas divorcés.
C’est une autre fois que la catastrophe était survenue.
Ils m’ont appelée pour les aider à nettoyer, la cuisine étant couverte d’huile, surtout les rideaux de la fenêtre.
• Maman faisait une vinaigrette lorsque la bouteille d’huile lui a échappé.
Elle a voulu la rattraper et elle s’est écrasée sur la fenêtre, aide nous à tous nettoyer.
L’histoire de la bouteille d’huile lui ayant échappé pendant qu’elle faisait la vinaigrette était facile pour justifier le massacre qui nous a pris deux heures à nettoyer.
La vérité, je l’avais nettement entendue ce dimanche matin alors que je faisais mes devoirs dans ma chambre, excusez des mots, je vous les rapporte comme je les ai entendus.
Les parois de nos appartements étant du carton-pâte.
• Fumier, connard, tu as de la chance que je manque de courage pour prendre notre fils et de partir avec lui.
• De quel courage parles-tu, je me crève le cul à vous ramener du fric pour que vous ayez une vie heureuse et madame à la migraine, chaque fois que je veux lui en mettre un petit coup.
• Fumier tient !
C’est après se « tient » que j’ai entendu un grand bruit lorsque la bouteille d’huile s’est écrasée sur la fenêtre.
Bien plus tard, j’ai su le fin mot de cette histoire, la bouteille d’huile étant ouverte, maman l’a balancé sur papa.
Malgré que le tennis, c’est seulement à la télé qu’il le pratiquait, d’un revers digne de Federer ou de Gasquet, il l’a détourné sur la fenêtre.
Avant de partir, je suis à deux doigts de demander à Nadia de nous accompagner.
C’est à ce moment que j’apprends un phénomène de la nature féminine.
Il est fréquent lorsque les femmes ont des cycles proches l’une de l’autre, que les règles de l’une déclenchent celle des autres.
Nous garons les Vespas près du ponton, nous allons passer la nuit en mer, nous relayant pour surveiller la bonne marche du voilier.
La mer Méditerranée est sûre, mais de nombreux cargos la sillonnent et malgré le système de radar et le pilotage automatique, il faut tout surveiller.
Lorsque nous arrivons au ponton, le yacht d’Éloise est, lui aussi parti en mer.
Dans la nuit, je surveille la barre, Gabriel est parti se reposer dans sa cabine lorsque l’alarme présence d’un navire se déclenche.
Je prends les jumelles, c’est la pleine lune.
Tient, là aussi, je connais un phénomène pour les femmes de l’influence de la lune sur leurs règles.
Sur la revue médicale que je lisais en attendant de voir le médecin, ils appelaient ça la lune rouge.
Ce phénomène émis, je vois le bateau ayant déclenché l’alarme, c’est un yacht du même genre que celui d’Éloise.
C’est peut-être elle qui alimente ses influences lui faisant gagner du fric dans la mouvance actuelle.
Comme le veulent les quelques règles maritimes qui m’ont été données par Pierre le dimanche, nous avons priorité et elle nous laisse passer.
Je dis « elle », mais malgré la lune elle est trop loin, c’est peut-être un émir ou un russe qui circulent, la mer est à tout le monde.
C’est au matin en nous rapprochant de la côte qu’un message nous arrive et même un coup de fil sur le portable de Gabriel, une mauvaise nouvelle.
Marthe, sa maman inconnue de moi est en maison de retraite près de Limoges.
Elle est en mauvaise forme, il a retenu un avion et un hôtel pour aller la visiter.
Nous rejoignons la villa, le plus rapidement possible, mais dans les règles de sécurité, car un voilier de ce tonnage est loin de se manœuvrer comme une trottinette.
• Christian, cet incident de famille involontaire nous oblige à te laisser seule ici.
Seul, pas tout à fait, Charles a dû aller jusqu’à leur maison.
Le voisin qui la surveille pendant leur absence a lui aussi téléphoner à Charles.
Une canalisation a cédé à la sortie du compteur et la cave est inondée.
Soit sans crainte, Georgette reste ici et sera à ta disposition.
Pierre cette consigne passée monte dans sa limousine pour se rendre à l’aéroport Nice Côte d’Azur.
J’ai eu le temps d’embrasser Nadia et Valentine avant que le portail se referme.
• Monsieur Christian, je peux vous servir votre repas à vingt heures !
J’ai préparé des asperges avec une salade niçoise, ça vous ira !
• Avec beaucoup d’olives noires, j’adore ça.
Que dire du repas, je mange avec appétit, le grand large, ça creuse ?
Je monte dans ma chambre, j’ai de nouveau arrêté la clim, Valentine étant partie.
J’ai pu rouvrir la porte fenêtre pour essayer de trouver un peu d’air.
Je suis nu, il me vient une idée, je descends et je vais me coucher sur le lit de jardin.
Les matelas sont toujours en place, les autres jours, c’est Charles qui les rangeait et les ressortait au matin.
La lune est là, mais un quartier seulement, je m’assoupis une légère brise montant de la mer vers nos hauteurs.
Un bruit me réveille, quelqu’un nage dans la piscine près de moi.
J’ai un moment de peur lorsque je vois une forme humaine remonter les quelques marches.
La lueur blafarde que représente ce corps nu, un instant, me fait penser à un spectre.
Est-il possible que des fantômes antent cette maison neuve de quelques années ?
Je croyais que ces fantômes étaient réservés au touriste écossais dans de vieux manoirs de l’âge Victoria.
• Oh, monsieur Christian, vous m’avez fait peur, j’ignorais que vous étiez descendu près de la piscine, mais je vous comprends, il fait si chaud ce soir !
Un fantôme, ça ante, mais ça ferme sa gueule, tout juste fait-il des « hou », « hou » « houuuu. »
• Georgette, j’aurais dû vous prévenir, mais j’ignorais que vous aimiez vous baigner après avoir fini votre service.
• Monsieur Pierre nous a donné l’autorisation à Charles et à moi lorsqu’ils étaient absents de venir à la piscine.
Il est vrai que j’aurais dû penser que vous étiez là.
• Aucun problème, mais mettez-vous près de moi et profitez de la légère bise montant de la mer.
Elle le fait, j’entrevois sa chatte, non épilée, un vrai tablier de sapeur brun.
• Oh, monsieur Christian, la pénombre me rend audacieuse.
Je vois des personnes nues presque tous les jours depuis que, nous avons accepté de prendre en charge la maison de monsieur Pierre lorsqu’ils sont là.
J’en vois des dizaines lors des soirées qu’ils organisent sans jamais avoir le droit d’en profiter.
J’ai épousé Charles il y a trente ans et c’est la seule que j’ai eue en mains.
Monsieur Christian, la vôtre est la plus belle jamais vue ici.
Permettez que je la prenne en main, simplement l’avoir dans ma main !
J’ai nettement l’impression que le motif que Georgette m’a donné lorsqu’elle a vu que j’étais descendu à la piscine, était fallacieux, mais jusqu’à ou a-t-elle prévu d’aller ?...
J’espère que vous êtes nombreux à attendre la suite dans quatre à cinq jours...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Non il y a une autre série de 5 chapitres avant la fin
Je vais mettre en ligne une série en 11 chapitres que je viens de finir et qui vue la file d'attente déjà programmé paraitra fin mai.
11 chapitres que je vais découper en trois fois, pour passer de petits textes deux de quatre chapitre et un de trois ainsi vous saurez à quel moment de cette histoire on est arrivé;
Pour vous plaire cher lecteur et surtout toi Cyrille , l'un de mes meilleur soutien et lecteur...
Je vais mettre en ligne une série en 11 chapitres que je viens de finir et qui vue la file d'attente déjà programmé paraitra fin mai.
11 chapitres que je vais découper en trois fois, pour passer de petits textes deux de quatre chapitre et un de trois ainsi vous saurez à quel moment de cette histoire on est arrivé;
Pour vous plaire cher lecteur et surtout toi Cyrille , l'un de mes meilleur soutien et lecteur...
Moi qui avait peur que cette série était terminée, je me réjouis de lire la suite...
Cyrille
Cyrille