COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (17/20)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (17/20) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (17/20)
Que ces premières vacances soit de rêve, une omelette aux truffes, au prix que ça coûte, pourquoi pas du Beluga venu de Russie, c’est vrai que c’est l’embargo.
C’est devant deux assiettes que Georgette vient de remplir après avoir, en quelques minutes, cassée, battue et fait cuire dans de l’huile d’olive, cette succulente omelette.
Cette huile principale source de graisse dont se sert cette cuisinière contrairement à maman qui afin d’éviter le cholestérol de papa se sert de margarine.

• Vous voyez, cette huile, c’est nous qui la pressons dans notre maison où se trouve Charles, ce soir.
Nous avons des oliviers et un pressoir pour faire de l’huile vierge.
Lorsque vous repartirez, je lui demanderais de vous en donner un carton pour votre maman, ce sera meilleur pour leur santé et la vôtre.

Georgette sort une truffe, c’est la première fois que j’en vois et en coupe deux tranches sur chaque assiette.
Je comprends pourquoi les truffes s’appellent des truffes, j’en mange à Noël, mais au chocolat que maman m’a appris à les préparer.
C’est simple, râpez le chocolat pâtissier, ajoutez le beurre et le sucre pour faire une pâte bien homogène, mettre au frigo 24 heures.
Dès que c’est près, vous fabriquez des petites boulettes que vous roulez dans du chocolat en poudre et vous les mettez dans des petites barquettes de couleur leur donnant un air festif.

• Vous voyez monsieur Christian, cette recette, c’est maman qui me l’a apprise.
D’autres font différemment, ils coupent des lamelles qu’ils incorporent aux œufs battus avant de cuire.
J’ai du mal avec cette formule, on casse le goût de ces pépites noires.
Goûtez !

Je goûte comme elle me le propose, c’est divin, je comprends que, ce qui est rare à un prix que, familialement on aurait du mal à s’en acheter.

• J’aurais dû vous faire goûter des œufs de Beluga, c’est ce que l’on appelle du caviar.
Regardez à l’intérieur du frigo, il y en a une boîte de 100 grammes, elle coûte 1 000 €.

Je dois avoir des dons de voyance lorsque je parlais de Beluga en venant manger cette omelette aux truffes.
C’est en allant vers le frigo qu’elle passe vers moi.
Je l’attrape en la prenant par ses hanches, je l’assieds sur le plan de travail.
C’est d’elle-même qu’elle écarte ses jambes, ses scrupules à tromper Charles semblent s’être envolés.
De nouveau je me trouve confronté à ces poils formant son tablier de sapeur, une vraie forêt vierge.
En faisant pénétrer ma langue, j’ai peur d’être incapable de la retrouver dans cette forêt profonde et noire.

• Georgette, pourquoi laisses-tu tous ses poils poussés, tu devrais te raser, c’est plus dans l’air du temps.
• Je sais, c’est Charles, quand j’ai voulu les tailler comme le fond bon nombre de femmes qui m’a interdit de le faire, vous devez comprendre que ce que mon mari aime, je le satisfasse.
• Émancipe-toi, assume-toi, regarde ce soir, tu es venue te baigner et comme j’étais là, tu as assumé.
Chaque fois que tu me parles, son nom sort de ta bouche, libère-toi, soit toi-même.
Tu l’as bien fait lorsque tu as accepté de me prendre dans ta bouche sur le lit de la piscine.

Je bande à nouveau, je prends Georgette par ses hanches, je l’aide à glisser du plan de travail à ma bite.
Sa chatte une nouvelle fois vient s’emboiter comme deux pièces parfaites fabriquer pour que l’une entre dans l’autre sans forcée.
Il faut reconnaitre que son conduit est tellement lubrifié que mon tuyau s’ajuste très précisément.
C’est la première fois que je me promène avec une femme empalée sur ma verge dans une cuisine, ma musculature me le permet.
C’est comme ça que je finis par la faire jouir de nouveau tout en déchargeant dans son intimité.
Ça m’a épuisé et la reposant au sol dans un dernier baisé, je retourne vers ma chambre.
Qu’il fait bon vivre les fenêtres et les portes ouvertes permettant d’avoir un peu d’air frais sans que la petite peste de Valentine vienne troubler votre sommeil.

Il est l’heure, il faut vous réveiller.
C’est le soleil entrant dans ma chambre qui vient réchauffer mon corps, mais bien remis de ses émotions de la veille lorsque j’ai sauté la cuisinière des amis qui m’hébergent.
Je m’étire, lorsque mon portable mis en charge cette nuit me rappelle qu’il est là.

• Christian, c’est Nadia, je t’appelle des jardins de l’Epad de la maman de Pierre.
Il est effondré, les choses semblaient s’améliorer lorsque dans la nuit elle nous est partie.
Nous sommes obligés de prolonger notre séjour pendant trois à quatre jours le temps de l’incinération.
Je viens d’avoir Charles et Georgette, ils vont très bien s’occuper de toi.
• Toutes mes condoléances à toute la famille dans ces moments douloureux.
• Les démarches seront simplifiées, car nous avions été obligés de la placer et de liquider tous ses biens à cette période.
Une fois les obsèques ayant eu lieu, nos notaires s’occuperont du reste de la procédure et nous pourrons reprendre le cours à peu près normal de nos vacances.

Elle m’embrasse, je suis aussi triste que lors du décès de ma grand-mère même si cette dame m’était inconnue.
Je mets un pantalon de Tergal, mes baskets et un polo après avoir pris une douche bien froide, c’est revigorant et ça aide.
Je descends, j’entends du bruit dans la cuisine, je suis surpris de voir Charles alors que je le croyais encore dans sa maison à bricoler.

• Que monsieur Christian, nous excuse, je suis rentré il y a peu.
Je crains que Georgette couve quelque chose, c’est la première fois depuis notre mariage qu’elle dort encore à cette heure.

Je pourrais lui dire pourquoi, mais je préfère me taire, ce qui s’est passé hier au soir et ce matin est une affaire d’adulte consentant.
Je crains que cet homme un peu rigide dans sa façon d’être puisse avoir du mal à admettre que j’ai baisé sa femme plusieurs fois près de la piscine et de cette cuisine malgré qu’il serve des libertins.

• Vous avez reçu la mauvaise nouvelle, madame m’a dit qu’elle vous appelait !
• Oui, il y a quelques minutes, c’est bien triste pour Pierre, ais j’ignore qui elle était.
• Monsieur, moi, je la connaissais dans les premiers temps de notre prise de service dans cette villa.
Une vieille dame très digne à tout moment de sa vie.
Son fils l’invitait comme il l’a fait pour vous, mais avec le temps elle perdait énormément la tête, si vous saviez.

Savoir quoi, ce gros soupire que cet homme fait sortir de sa bouche, me fait penser, que si Georgette avait attendu cette nuit pour se lâcher sexuellement, lui avait fauté avec cette femme qui va redevenir poussière.
Il me fait déjeuner et je quitte la villa, satisfait d’avoir évité Georgette, surtout avec le retour de son mari.
Je récupère la Vespa, au retour de mes amis, nous serons le 15 août anniversaire de Gabriel grâce à qui, je passe ces premières vacances de rêve.
Je vais lui acheter une paire de baskets chez Annie là où Nadia m’a habillé de pied en cap.
Je passe vers le vieux port, Éloise est toujours en mer, ça m’évite de m’arrêter et de trouver porte close à la boutique où je sais trouver le cadeau pour mon ami.
Je suis respectueux du code de la route, feu rouge, je m’arrête posant mon pied-à-terre.
Je vais pour redémarrer, dans le caniveau par chance sec, je vois un portefeuille en cuir noir.
Je le ramasse et malgré le feu passé au vert, je l’ouvre et je regarde.
À l’intérieur, des cartes de fidélité de divers magasins, un permis de conduire et une carte d’identité.
Je m’en suis fait faire une et je sais que l’adresse est dessus.
« 22 impasse du port à Cannes »
Je demande à une passante, cette impasse, elle me la montre, elle est à cent mètres de ou je me trouve.
Pourquoi perdre du temps à aller le porter au commissariat, je décide d’y aller ?
Je trouve le 22, c’est un immeuble avec plusieurs étages, il y a un Digicode, mais aucun nom « Guillaume D. »
J’appuie au hasard, c’est à la quatrième tentative qu’une femme me répond.
Hélas, D. a déménagé et cette dame ignore ou.
C’est bien ma veine, un homme passe près de moi, je lui demande où se trouve le commissariat.
Là encore, j’ai de la chance, il est proche et je décide d’y aller, les papiers sont importants.
À l’accueil, on me prend le portefeuille et alors que je me retourne pour repartir, j’entends.

• Attendez, assayez-vous là, nous prévenons la commissaire.

Un peu contrarié, je m’assieds, papa m’a dit de toujours respecter les injonctions de la police, une balle perdue est si vite arrivée surtout qui comme moi, je suis blanc comme neige.
Il est plus de onze heures quand une femme, blonde et fort jolie au demeurant, vient me voir, elle a à la main l’objet du délit.

• Notre ville est victime d’une vague de pickpockets.
Avec le permis de conduire dans ce portefeuille nous avons pu rapidement retrouver le propriétaire, nous lui avons téléphoné, il sera là dans moins de cinq minutes.
Je pense qu’il vous remerciera.

Je vois un homme entrer, parler à l’agent de faction, qui désigne la commissaire du doigt sans que j’entende ce qu’il dit, il arrive sur nous.

• C’est ce petit salopard qui m’a volé mon portefeuille, commissaire, pourquoi ce petit connard qui me fait perdre mon temps est encore sans les bracelets.
Je le reconnais, il m’a croisé et m’a bousculé.

Une fraction de seconde et je me sens dans la merde...

Les avis des lecteurs

Et c 'est pas fini

Histoire Erotique
Les magnifique rebondissements de tes histoires.....
Ahhhhh...
Hâte de lire la suite...


Cyrille



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