COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (2/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2396 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 992 833 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 385 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (2/5)
Premières vacances de rêve, ce sont mes vacances de cette année en août qui va devenir déterminant pour le reste de ma vie.
Mais voyons la suite.
Nous nous sommes quittés alors que je venais de me faire surprendre par Valentine persuadé qu’elle me haïssait d’être venu avec eux en vacances principalement pour la faire travailler une heure à une heure trente les math.
Tout le voyage, elle a dormi me montrant de l’animosité à chaque arrêt lorsqu’elle se réveillait.
Cette pucelle a-t-elle compris que j’étais sa porte de sortie étant encore très jeune, mais les mots qu’elle emploie dès que nous venons dans sa chambre, sont directs.
« Elle perdra son pucelage avant la fin des vacances » et je viens de prendre une large place pour être le premier.
• Arrête Valentine, je suis chez tes parents et je dois les respecter.
Mettons-nous au travail, tu as apporté les livres de ton année que nous reprenions depuis le début !
• Dis-moi Christian, tu sembles avoir de l’assurance, je t’ai vu lors du voyage regarder Nadia avec envie.
Chaque fois que tu en avais l’occasion pour lui répondre, tu t’avançais vers son siège, tu mattais ses cuisses !
As-tu déjà fait l’amour avec une femme ?
• Valentine, tu es bien mignonne, mais ma vie, je la garde pour moi, tu as assez fait de bêtises pour un début de vacances.
Je tiens à rester avec mon pote et une petite peste comme toi, mériterait une bonne fessée de me provoquer comme tu le fais.
Aller au travail, le temps passe et mets un voile sur tes seins, je reconnais qu’ils me déconcentrent.
• Je...
• Silence, sinon je dis à ton père que tu es nul et même si tu as été reçu à ton bac de français, tu passeras tes soirées à te morfondre au fond de ton lit.
Valentine comprenant qu’elle risque de se fermer une porte vers la liberté familiale, se tait et va dans sa commode prendre un vêtement et s’en couvrir.
Je dois me méfier de sa pertinence, je croyais qu’elle dormait cette nuit lorsque nous roulions.
Elle devait m’épier, pour avoir vu que je m’approchais de sa belle-mère pour matter ses genoux, sa robe étant remontée vue la longueur qu’elle avait.
J’ai même surpris Pierre, posé sa main sur la cuisse de sa femme tout en roulant.
La lueur du tableau de bord et le passage à un croisement ou des lampadaires l’éclairaient, m’ont permis de le voir lâcher cette cuisse, mais trop tard, j’avais vu.
Nous nous installons sur le bureau composant sa chambre.
Il y en a un aussi dans la mienne avec stylo et papier comme c’est aussi le cas dans certains hôtels.
• Dis-moi comment tu interprète cette équation ?
Valentine lit, cherche, pendant ce temps mon esprit vague vers cet hôtel où il y a un an, j’ai perdu mon pucelage.
Pour aider mes parents, j’avais trouvé du travail dans l’hôtel près de chez nous.
Il était principalement fréquenté par des Anglais et ça me permettait de travailler la langue de Shakespeare tout en étant payé.
Mon travail était principalement de servir les petits déjeuners entre cinq et dix heures du matin.
Un jour, la chambre 30 m’a sonné, j’avais mis l’eau chaude près des sachets de thé sur la petite table que je montais dans les étages par l’ascenseur de service.
Il y avait du beurre et de la marmelade d’oranges, très prisé par les rosbifs et des toasts de pains grillés.
Chambre 30, j’ai frappé et j’ai entendu « Yes enter », j’ai ouvert avec ma carte, certains clients voulant éviter de se lever, c’est fou comme les Anglais adorent déjeuner au lit.
Dans cette chambre, se trouvait une vielle anglaise, du moins de l’âge de maman.
• Do you want to open the shutters?
( Note de Chris71, traducs d’Internet, l’Anglais apprit à l’école étant bien loin.)
• Yes.
Je me suis approché des rideaux et pendant ce temps, la cliente, s’est levée.
J’ai rarement vu maman nue, mais ses seins pleuraient que je les aide à se relever.
Je voulais que la France soit à la hauteur.
J’étais déjà assez fâché du PSG qui se fait régulièrement éliminer en 8ème de finale de la ligue des champions par les Allemands, Espagnols et Anglais, comme l’équipe de Manchester.
Manchester United, c’est pire, que les autres, éliminé sur un pénalty sifflé contre Kimpembe a la dernière seconde du match.
Vol de l’arbitre, manifeste, comme ce fut le cas lors de la remontada à Barcelone.
Mais je m’égare, revenons à mon Anglaise.
Bref, coup vite fait pour rester maître chez nous, après être remonté, mon service terminé.
Le plus drôle dans l’affaire, c’est lorsque j’ai vu Maggy appeler le roomservice pour que l’on nous monte un plateau-repas le midi.
La tête de Geneviève qui m’avait relevé au roomservice.
Lorsqu’elle m’a vu nu sur le lit de « cette vieille anglaise, » non pas le « Queen Mary » comme le chante Michel Sardou que j’entends en boucle à la maison, maman en étant une groupie.
Huit fois, elle l’a vue sur scène, huit fois ça gueulait à la maison, papa reprochant à maman de dépenser de l’argent pour aller voir ce facho.
Ça c’est papa, pour ma part, la politique et moi ça fait deux.
Geneviève était mariée, mais c’est avec elle que j’essayais de perdre mon pucelage.
Je pensais qu’après la vision de ma queue relevant le drap, elle me ferait la gueule.
À une relève où tout était calme, elle est venue se coller à moi comme Valentine l’a fait et c’est sur un tas de draps sales que nous avons baisé après qu’elle m’est sucée.
Gabriel sait tout ça, c’est ce qui a lié notre amitié, lui comme sa sœur, est puceau et mes exploits devaient le faire bander.
Il est timide, j’ai appris qu’ici sur la Côte, il avait en vue le dépucelage d’une copine qu’il connaît depuis bientôt dix ans qu’il vient en vacances dans cette magnifique villa.
Le peu que j’en sais, c’est qu’elle est rousse et a une forte poitrine, il l’a appellé Jennifer.
• C’est parfait Valentine, tu as bien travaillé, demain c’est dimanche, je vais essayer que ton père te laisse tranquille surtout si ce soir nous allons en boîte.
Je quitte mon élève, satisfait grâce à l’heure d’échapper à Valentine, qui par son comportement risque de mettre mes vacances en péril avant qu’elles aient vraiment commencé.
Je retourne dans ma chambre, j’enfile un short par-dessus mon maillot jaune avec débardeur et je rejoins Nadia qui m’attend près de sa voiture.
Un modèle du même constructeur allemand, mais le début de la gamme, mieux adapté pour les femmes, une A1.
La grosse berline que Pierre conduisait hier est absence.
• Pierre est descendu au port avec Gabriel, pour préparer notre voilier, le dimanche, c’est sorti en mer pour toute la famille, nous piqueniquerons à bord.
Monte, nous allons faire les courses que je t’ai promises.
Comment ça va avec Valentine, ce sera dur, de lui faire rattraper son retard ?
C’est en roulant vers le centre-ville qu’elle téléphone à Pierre pour lui donner des nouvelles de sa fille, je matte ses cuisses entièrement dégagées, elle porte un short avec chemisier léger.
Ce chemisier laissant apparaitre les aréoles de ses seins, une nouvelle fois je commence à bander.
• Dis à Christian que je compte sur lui ce soir pour la surveiller lorsque Charles les conduira à la boîte de nuit.
Dis-lui qu’ils devront rentrer à une heure.
• Pierre une heure, c’est un peu cour, deux c’est mieux, souvient toi lorsque tu étais jeune.
• C’est bien que c’est toi qui me le demande, car je t’aime, ok pour deux heures.
• J’ai tout entendu, monsieur, compter sur moi et merci pour tout ce que vous faites pour moi.
• C’est normal Christian, mais appelle-moi Pierre et dit moi tu, me vouvoyer, c’est me vieillir et pour satisfaire une femme jeune, il faut le rester.
Le centre-ville est là, Nadia gare sa voiture sur un stationnement payant et remontant une rue piétonne, nous arrivons devant le magasin où j’entre avec elle.
• Nadia vous êtes arrivés, je suis contente de te voir, pardon de vous voir, qui est-ce beau jeune homme ?
• C’est un copain de Gabriel, avec Pierre nous avons des doutes sur sa réussite au bac de Valentine à cause des maths.
Il est là pour l’aider à rattraper son retard en même temps qu’il est en vacances.
Christian va la faire réviser afin d’assurer cette réussite.
• Je sais pourquoi tu viens me voir, connaissant tes goûts pour les hommes bien habillés, tu es là pour refaire la garde-robe de ce beau garçon !
• Annie, tu connais mes goûts, ça je le sais, mais c’est la fille de Pierre Valentine qui a suggéré de venir l’habiller.
• Valentine, elle est sortie de sa période gothique, sinon si je dois t’aider à vêtir ce jeune homme, il faudra que tu cherches ailleurs.
• J’ai bien été punk à mes quinze ans, j’avais une crête rouge à l’iroquoise sur ma tête.
Je vois bien Nadia en punk et Valentine en gotique, par chance les deux filles ont traversé ces périodes oubliant les tatouages.
• Commençons par les maillots de bain, après nous regarderons les blazers, les pantalons blancs et les maillots Lacoste.
Enfin, nous lui choisirons des baskets tendance.
Mais commençons par les maillots de bain.
C’est à ce moment que sur le comptoir le portable d’Annie sonne, elle s’excuse et va décrocher.
Nadia prend des slips dans différents coloris et plusieurs tailles
• Viens dans une cabine, les essayer.
Je rentre seul, j’enlève mon pantalon, mais je garde mon slip.
Je viens à peine de monter le maillot de bain que le rideau s’ouvre et que Nadia passe une main sur mon sexe.
• Tu vois, celui-là te va à ravir, il moule impeccablement ton paquet.
Mince, il est plus gros que celui de Pierre, les femmes doivent aimer ou elles vont aimer.
Une nouvelle fois, je bande...
Mais voyons la suite.
Nous nous sommes quittés alors que je venais de me faire surprendre par Valentine persuadé qu’elle me haïssait d’être venu avec eux en vacances principalement pour la faire travailler une heure à une heure trente les math.
Tout le voyage, elle a dormi me montrant de l’animosité à chaque arrêt lorsqu’elle se réveillait.
Cette pucelle a-t-elle compris que j’étais sa porte de sortie étant encore très jeune, mais les mots qu’elle emploie dès que nous venons dans sa chambre, sont directs.
« Elle perdra son pucelage avant la fin des vacances » et je viens de prendre une large place pour être le premier.
• Arrête Valentine, je suis chez tes parents et je dois les respecter.
Mettons-nous au travail, tu as apporté les livres de ton année que nous reprenions depuis le début !
• Dis-moi Christian, tu sembles avoir de l’assurance, je t’ai vu lors du voyage regarder Nadia avec envie.
Chaque fois que tu en avais l’occasion pour lui répondre, tu t’avançais vers son siège, tu mattais ses cuisses !
As-tu déjà fait l’amour avec une femme ?
• Valentine, tu es bien mignonne, mais ma vie, je la garde pour moi, tu as assez fait de bêtises pour un début de vacances.
Je tiens à rester avec mon pote et une petite peste comme toi, mériterait une bonne fessée de me provoquer comme tu le fais.
Aller au travail, le temps passe et mets un voile sur tes seins, je reconnais qu’ils me déconcentrent.
• Je...
• Silence, sinon je dis à ton père que tu es nul et même si tu as été reçu à ton bac de français, tu passeras tes soirées à te morfondre au fond de ton lit.
Valentine comprenant qu’elle risque de se fermer une porte vers la liberté familiale, se tait et va dans sa commode prendre un vêtement et s’en couvrir.
Je dois me méfier de sa pertinence, je croyais qu’elle dormait cette nuit lorsque nous roulions.
Elle devait m’épier, pour avoir vu que je m’approchais de sa belle-mère pour matter ses genoux, sa robe étant remontée vue la longueur qu’elle avait.
J’ai même surpris Pierre, posé sa main sur la cuisse de sa femme tout en roulant.
La lueur du tableau de bord et le passage à un croisement ou des lampadaires l’éclairaient, m’ont permis de le voir lâcher cette cuisse, mais trop tard, j’avais vu.
Nous nous installons sur le bureau composant sa chambre.
Il y en a un aussi dans la mienne avec stylo et papier comme c’est aussi le cas dans certains hôtels.
• Dis-moi comment tu interprète cette équation ?
Valentine lit, cherche, pendant ce temps mon esprit vague vers cet hôtel où il y a un an, j’ai perdu mon pucelage.
Pour aider mes parents, j’avais trouvé du travail dans l’hôtel près de chez nous.
Il était principalement fréquenté par des Anglais et ça me permettait de travailler la langue de Shakespeare tout en étant payé.
Mon travail était principalement de servir les petits déjeuners entre cinq et dix heures du matin.
Un jour, la chambre 30 m’a sonné, j’avais mis l’eau chaude près des sachets de thé sur la petite table que je montais dans les étages par l’ascenseur de service.
Il y avait du beurre et de la marmelade d’oranges, très prisé par les rosbifs et des toasts de pains grillés.
Chambre 30, j’ai frappé et j’ai entendu « Yes enter », j’ai ouvert avec ma carte, certains clients voulant éviter de se lever, c’est fou comme les Anglais adorent déjeuner au lit.
Dans cette chambre, se trouvait une vielle anglaise, du moins de l’âge de maman.
• Do you want to open the shutters?
( Note de Chris71, traducs d’Internet, l’Anglais apprit à l’école étant bien loin.)
• Yes.
Je me suis approché des rideaux et pendant ce temps, la cliente, s’est levée.
J’ai rarement vu maman nue, mais ses seins pleuraient que je les aide à se relever.
Je voulais que la France soit à la hauteur.
J’étais déjà assez fâché du PSG qui se fait régulièrement éliminer en 8ème de finale de la ligue des champions par les Allemands, Espagnols et Anglais, comme l’équipe de Manchester.
Manchester United, c’est pire, que les autres, éliminé sur un pénalty sifflé contre Kimpembe a la dernière seconde du match.
Vol de l’arbitre, manifeste, comme ce fut le cas lors de la remontada à Barcelone.
Mais je m’égare, revenons à mon Anglaise.
Bref, coup vite fait pour rester maître chez nous, après être remonté, mon service terminé.
Le plus drôle dans l’affaire, c’est lorsque j’ai vu Maggy appeler le roomservice pour que l’on nous monte un plateau-repas le midi.
La tête de Geneviève qui m’avait relevé au roomservice.
Lorsqu’elle m’a vu nu sur le lit de « cette vieille anglaise, » non pas le « Queen Mary » comme le chante Michel Sardou que j’entends en boucle à la maison, maman en étant une groupie.
Huit fois, elle l’a vue sur scène, huit fois ça gueulait à la maison, papa reprochant à maman de dépenser de l’argent pour aller voir ce facho.
Ça c’est papa, pour ma part, la politique et moi ça fait deux.
Geneviève était mariée, mais c’est avec elle que j’essayais de perdre mon pucelage.
Je pensais qu’après la vision de ma queue relevant le drap, elle me ferait la gueule.
À une relève où tout était calme, elle est venue se coller à moi comme Valentine l’a fait et c’est sur un tas de draps sales que nous avons baisé après qu’elle m’est sucée.
Gabriel sait tout ça, c’est ce qui a lié notre amitié, lui comme sa sœur, est puceau et mes exploits devaient le faire bander.
Il est timide, j’ai appris qu’ici sur la Côte, il avait en vue le dépucelage d’une copine qu’il connaît depuis bientôt dix ans qu’il vient en vacances dans cette magnifique villa.
Le peu que j’en sais, c’est qu’elle est rousse et a une forte poitrine, il l’a appellé Jennifer.
• C’est parfait Valentine, tu as bien travaillé, demain c’est dimanche, je vais essayer que ton père te laisse tranquille surtout si ce soir nous allons en boîte.
Je quitte mon élève, satisfait grâce à l’heure d’échapper à Valentine, qui par son comportement risque de mettre mes vacances en péril avant qu’elles aient vraiment commencé.
Je retourne dans ma chambre, j’enfile un short par-dessus mon maillot jaune avec débardeur et je rejoins Nadia qui m’attend près de sa voiture.
Un modèle du même constructeur allemand, mais le début de la gamme, mieux adapté pour les femmes, une A1.
La grosse berline que Pierre conduisait hier est absence.
• Pierre est descendu au port avec Gabriel, pour préparer notre voilier, le dimanche, c’est sorti en mer pour toute la famille, nous piqueniquerons à bord.
Monte, nous allons faire les courses que je t’ai promises.
Comment ça va avec Valentine, ce sera dur, de lui faire rattraper son retard ?
C’est en roulant vers le centre-ville qu’elle téléphone à Pierre pour lui donner des nouvelles de sa fille, je matte ses cuisses entièrement dégagées, elle porte un short avec chemisier léger.
Ce chemisier laissant apparaitre les aréoles de ses seins, une nouvelle fois je commence à bander.
• Dis à Christian que je compte sur lui ce soir pour la surveiller lorsque Charles les conduira à la boîte de nuit.
Dis-lui qu’ils devront rentrer à une heure.
• Pierre une heure, c’est un peu cour, deux c’est mieux, souvient toi lorsque tu étais jeune.
• C’est bien que c’est toi qui me le demande, car je t’aime, ok pour deux heures.
• J’ai tout entendu, monsieur, compter sur moi et merci pour tout ce que vous faites pour moi.
• C’est normal Christian, mais appelle-moi Pierre et dit moi tu, me vouvoyer, c’est me vieillir et pour satisfaire une femme jeune, il faut le rester.
Le centre-ville est là, Nadia gare sa voiture sur un stationnement payant et remontant une rue piétonne, nous arrivons devant le magasin où j’entre avec elle.
• Nadia vous êtes arrivés, je suis contente de te voir, pardon de vous voir, qui est-ce beau jeune homme ?
• C’est un copain de Gabriel, avec Pierre nous avons des doutes sur sa réussite au bac de Valentine à cause des maths.
Il est là pour l’aider à rattraper son retard en même temps qu’il est en vacances.
Christian va la faire réviser afin d’assurer cette réussite.
• Je sais pourquoi tu viens me voir, connaissant tes goûts pour les hommes bien habillés, tu es là pour refaire la garde-robe de ce beau garçon !
• Annie, tu connais mes goûts, ça je le sais, mais c’est la fille de Pierre Valentine qui a suggéré de venir l’habiller.
• Valentine, elle est sortie de sa période gothique, sinon si je dois t’aider à vêtir ce jeune homme, il faudra que tu cherches ailleurs.
• J’ai bien été punk à mes quinze ans, j’avais une crête rouge à l’iroquoise sur ma tête.
Je vois bien Nadia en punk et Valentine en gotique, par chance les deux filles ont traversé ces périodes oubliant les tatouages.
• Commençons par les maillots de bain, après nous regarderons les blazers, les pantalons blancs et les maillots Lacoste.
Enfin, nous lui choisirons des baskets tendance.
Mais commençons par les maillots de bain.
C’est à ce moment que sur le comptoir le portable d’Annie sonne, elle s’excuse et va décrocher.
Nadia prend des slips dans différents coloris et plusieurs tailles
• Viens dans une cabine, les essayer.
Je rentre seul, j’enlève mon pantalon, mais je garde mon slip.
Je viens à peine de monter le maillot de bain que le rideau s’ouvre et que Nadia passe une main sur mon sexe.
• Tu vois, celui-là te va à ravir, il moule impeccablement ton paquet.
Mince, il est plus gros que celui de Pierre, les femmes doivent aimer ou elles vont aimer.
Une nouvelle fois, je bande...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai l'impression que le paquet va grossir....
Cyrille
Cyrille