COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (20/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (20/20)
Georgette soulève sa jupe.
Nous en étions là du récit des premières vacances de rêve que je passe sur la Côte d’Azur chez mon copain Gabriel.
Georgette fait partie de mon tableau de chasse, on peut croire que vivre sur les bords de la Méditerranée met le feu aux culs d’une grande partie de ces cougars.
Georgette dépasse un peu cette période de la vie des femmes que je viens de séduire depuis mon arrivée, certainement grâce à ma gueule d’ange et mes muscles bien développés.
Mais je crois que j’ai réussi à la décoincer, surtout lorsqu’elle me montre sa chatte.
• Monsieur Christian regardez, j’ai suivi votre conseil.
• C’est magnifique Georgette, tu t’es rasé comme le fond les femmes de notre temps, qu’en a dit Charles, s’il t’a déjà vu, qu’en a-t-il dit ?
• Au début, il s’est mis en colère, mais pas pour les poils.
Je me suis servi de son rasoir à main, comme l’on dit, un coupe-chou, il a trouvé, ça dégueulasse, il le met sur son visage.
• Et tes poils, tu as bien fait de laisser cette petite touffe, on dirait une jeune pucelle comme Valentine.
• Les poils, ça il a aimé, je peux dire qu’il était comme fou.
Lui aussi aurait aimé que je me rase bien avant, mais comme il m’avait fait une réflexion étant jeune, il s’était tu jusqu’à ce que tu me fasses prendre l’initiative.
Je suis indécente, monsieur Christian pour une femme de mon âge, mais nous avons fait l’amour comme des bêtes, sauf votre respect monsieur Christian.
Je suis à deux doigts de lui dire que trop de « messieurs » tuent les « messieurs ». Mais je sais que l’éducation que cette femme a reçue envers ceux qu’elle considère comme ses maîtres restera profondément ancrée en elle.
• Je peux vous laver le dos, je le faisais à Charles quand nous étions jeunes, depuis il est devenu un vieux ronchon et tout l’énerve.
Il est parti vers ses copains jouer aux boules, après qu’il s’est tout permis à cause de mes poils rasés !
• Georgette, dis-moi, il a essayé de t’enculer, excuse d’être direct ?
• Comment le savez-vous, je viens d’entendre le vélo à moteur entrer, vous étiez là ?
• Ma chère, enculer sa femme si elle est consentante est chose courante.
Ton initiative du côté de tes poils a dû lui faire penser que tu t’étais ouverte à cette pratique de la sexualité.
Lorsque tu fais ton service lors des partouzes de tes patrons, as-tu déjà vu des couples se prendre « comme des bêtes » ?
• Oui, ils font plein de choses que ma pudeur rejette d’en parler.
Sans dire leurs noms, certains, vous les connaissez, arrive à faire ça entre homme et vous avez raison des femmes aussi.
• En amour et surtout chez les libertins, après consentement, chacun exprime sa sexualité à sa manière Georgette, je réponds à ta question, « oui, tu peux le laver le dos », je suis consentant.
Entre hommes, Georgette a vu des hommes se sodomiser si j’ai bien compris, à ce jour, je leur échappe, à part Gabriel dont j’ai senti la queue lorsque nous avons sauté Lauriane en double pénétration.
Georgette attrape le savon et avec douceur, me le passe partout.
Je dis bien partout, en lui ouvrant l’esprit pour qu’elle se rase la chatte, ai-je enclenché en elle un parfum de jeunisme.
Annie m’a bien vidé les couilles, mais j’aurais dû être scout, « toujours prêt, » ma queue redresse la tête, mais elle la lâche pour prendre la pomme de douche et me rincer.
• Christian, levez-vous que, que, que...
• Que vous me rinciez là aussi.
• Non, vous me rendez folle, depuis hier j’ai toujours mon vagin en feu.
• Ton vagin, dit plutôt ta chatte, c’est plus bandant pour l’homme avec qui tu le dis !
• Oh ! monsieur Christian, vous êtes un coquin, vous me faites faire des choses et maintenant les dire depuis que je vous ai rencontré à la piscine, oui ma chatte !
Elle me rince et dès que ma verge est propre, elle lâche la pomme de douche pour s’emparer de ma bite.
Il va falloir que je me pèse, à ce rythme toutes ces salopes, doit me faire perdre les quelques grammes, j’allais dire kilos, mais là ça serait trop.
Sa bouche et surtout sa langue se promène tout au long de ma tige, si elle est en retard sur les mots crus et le rasage de sa chatte, Charles doit se faire faire des gâteries.
Sa langue et aussi ses mains, l’une montant et descendant le long de ma verge et ses mains s’occupant de mes boules.
Il y a peu s’était Annie, qui me vidait les couilles, chez mes amis Pierre et Nadia, c’est cette femme déjà d’âge mûr qui me fait gicler.
Sa bouche au moment où je fléchis sur mes jambes frappées par une décharge partant du bas de mon dos, elle a mis ses lèvres sur mon gland et reçoit le fruit de ses efforts.
Si effort il y a, surtout que les jets de sperme qui partent se tarissent vite et étant de petites quantités.
• Oh ! monsieur Christian, vous me faites faire des folies.
Vous avez entendu, la porte de la villa vient de grincer, ça fait des jours que je demande à Charles d’y mettre de la graisse.
Madame, lui a signalé aussi, je vous laisse, je vous servirais votre repas à 20 heures.
Georgette a l’ouïe fine, ou est-ce au moment où je lâchais mon sperme qu’elle a grincé ?
Georgette s’éclipse, je retourne dans l’eau, me laver mon costume trois-pièces, dans ma tête, suis-je déjà à demain avec la commissaire.
Aurais-je des vues sur cette femme dans les âges de celle que je baise, chacune l’une le lendemain de l’autre, Michelle me semble inatteignable, mais après avoir, dîner, je me couche dès que j’ai terminé.
Enfin, une nuit calme, jusqu’au matin où je me sens en pleine forme.
On frappe à ma porte.
• Monsieur a demandé que je le réveille à 6 heures pour son petit déjeuner.
Georgette m’a prévenu de vous servir à cette heure, elle dort encore, elle est toujours fatiguée ces jours-ci.
Il y a encore des cas de covid, faite attention à vous monsieur Christian.
J’ai envie que, certes, il y a des cas de covid, mais que les langueurs de sa femme doivent être dues à tout autre chose comme la découverte de certaines formes de sexe ou de sexualité.
Mais comment dire à un mari, même s’il a fauté lui-même que sa femme a découvert qu’elle est une salope, si salope il y a à aimer et découvrir le sexe ?
7 heures moins 5, j’ouvre la porte donnant sur la rue, il est vrai que la porte grince.
5 minutes et une voiture banalisée arrive, Michelle est au volant et je monte à ses côtés.
Ce qu’il m’étonne c’est lorsqu’elle arrive à fond la caisse, le gyrophare bleu est en service.
• Monte Christian, j’adore rouler vite, nous serons au terrain en deux trois mouvements.
Avec Pierre respectueux des limitations, nous avons mis un certain temps, là, Michelle fait le parcours en moitié du temps et peut-être un peu moins.
Dans certain virage, je freine avant elle-même si c’est elle qui a les pédales.
Lorsque nous sommes garés faisant un demi-tour au frein à main, je suis liquéfié.
Michelle me regarde et semble se ficher de moi.
Je peux voir que j’ai fait le trajet avec Tintin coiffé d’un Borsalino.
Elle sort du coffre de mon tombeau roulant un sac de golf sur un chariot que je m’empresse de tirer.
Chaussures de golfeur, un pantalon bouffant aux chevilles, chemisier blanc et petit pull à carreaux.
Il manque la veste, peu pratique pour jouer au golf, sinon je comprendrais pourquoi Eliot Ness, elle sort d’un étui un petit cigare noir qu’elle met dans sa bouche.
• Tu fumes !
• Non, j’ai arrêté depuis six mois, mais c’est un geste instinctif lorsque je sors de ma voiture.
Pour l’allumer, il faudrait un briquet et si tu cherches, tu feras chou blanc.
« Coupe-chou », « chou blanc », il faudra que je demande à Georgette de m’en préparer, j’adore le chou, si possible farci.
Que dire, de mon parcours, à part accompagner Michelle qui elle est championne ?
Si pour rester positif, un par 4 contournant un petit bosquet.
J’ai écouté la championne, j’ai fait passer la balle par-dessus avec un fer qu’elle m’a donnée et lorsque je l’ai contourné la balle se trouvait sur le green à 20 centimes de rentrer dans le trou.
20 centimètres, mais deux coups pour finir ce trou n° 6, celui ou j’avais abandonné pour conduire Lauriane au vestiaire et m’occuper de son intimité.
J’allais dire son « costume trois-pièces, » ça je le réserve à Michelle, si elle souhaite que je m’en occupe dans tous les sens du terme.
Ça, c’est pour le positif, pour le négatif, cinq balles perdues, mais trois non à moi dans des buissons ou dans le petit bois près du parcours.
L’une des miennes, je l’ai laissé, pourquoi ai-je levé ma tête, je l’ignore.
J’avais réussi à la broquer à trois ou quatre mètres de haut dans un arbre dont j’ignorais quelle essence, c’était.
Elle était dans la fourche d’un de ces arbres impossibles à récupérer, j’ai essayé de le secouer, mais il était trop gros pour le faire bouger.
Enfin, je découvre que les greens souvent sont protégés par des bunkers.
À part le 6, 17 des 18 trous, je les ai visités, certainement le record du golf où nous nous trouvons.
Je suis mort, tapé dans le sable pour faire sortir la balle, c’est épuisant.
Parcours péniblement terminé, inutile de dire si j’ai fait un Albator, héros de ma jeunesse en dessin animé, mais 3 trous en dessous du par.
Je dis Albator, mais c’est un mot de ce genre dont me parle Michelle semblant se foutre de ma jolie gueule.
Encore moins, un birdie ou bogey 1 en dessous, mais suivant le par initial, comprend qui peut, moi je me suis contenté de taper dans cette maudite balle, surtout celle perchée dans l’arbre.
Pour mon exploit, il faudrait trouver un mot comme quarantenaire, voire plus, le golf soit, je m’y mets intensément, soit je décare forfais.
Michelle range les clubs et petit cigare toujours au coin de ses lèvres, nous allons boire un verre.
• Une bière Christian ?
• Non, une bouteille d’Orangina, s’il te plait.
• On a mis le double du temps que je mets d’habitude, mais ça m’a vidé la tête chaque fois que tu te battais pour sortir ta balle d’un bunker.
Il est bientôt l’heure de passer à table, veux-tu venir à la maison ?
Hier au soir, j’ai cuisiné des choux farcis...
Nous en étions là du récit des premières vacances de rêve que je passe sur la Côte d’Azur chez mon copain Gabriel.
Georgette fait partie de mon tableau de chasse, on peut croire que vivre sur les bords de la Méditerranée met le feu aux culs d’une grande partie de ces cougars.
Georgette dépasse un peu cette période de la vie des femmes que je viens de séduire depuis mon arrivée, certainement grâce à ma gueule d’ange et mes muscles bien développés.
Mais je crois que j’ai réussi à la décoincer, surtout lorsqu’elle me montre sa chatte.
• Monsieur Christian regardez, j’ai suivi votre conseil.
• C’est magnifique Georgette, tu t’es rasé comme le fond les femmes de notre temps, qu’en a dit Charles, s’il t’a déjà vu, qu’en a-t-il dit ?
• Au début, il s’est mis en colère, mais pas pour les poils.
Je me suis servi de son rasoir à main, comme l’on dit, un coupe-chou, il a trouvé, ça dégueulasse, il le met sur son visage.
• Et tes poils, tu as bien fait de laisser cette petite touffe, on dirait une jeune pucelle comme Valentine.
• Les poils, ça il a aimé, je peux dire qu’il était comme fou.
Lui aussi aurait aimé que je me rase bien avant, mais comme il m’avait fait une réflexion étant jeune, il s’était tu jusqu’à ce que tu me fasses prendre l’initiative.
Je suis indécente, monsieur Christian pour une femme de mon âge, mais nous avons fait l’amour comme des bêtes, sauf votre respect monsieur Christian.
Je suis à deux doigts de lui dire que trop de « messieurs » tuent les « messieurs ». Mais je sais que l’éducation que cette femme a reçue envers ceux qu’elle considère comme ses maîtres restera profondément ancrée en elle.
• Je peux vous laver le dos, je le faisais à Charles quand nous étions jeunes, depuis il est devenu un vieux ronchon et tout l’énerve.
Il est parti vers ses copains jouer aux boules, après qu’il s’est tout permis à cause de mes poils rasés !
• Georgette, dis-moi, il a essayé de t’enculer, excuse d’être direct ?
• Comment le savez-vous, je viens d’entendre le vélo à moteur entrer, vous étiez là ?
• Ma chère, enculer sa femme si elle est consentante est chose courante.
Ton initiative du côté de tes poils a dû lui faire penser que tu t’étais ouverte à cette pratique de la sexualité.
Lorsque tu fais ton service lors des partouzes de tes patrons, as-tu déjà vu des couples se prendre « comme des bêtes » ?
• Oui, ils font plein de choses que ma pudeur rejette d’en parler.
Sans dire leurs noms, certains, vous les connaissez, arrive à faire ça entre homme et vous avez raison des femmes aussi.
• En amour et surtout chez les libertins, après consentement, chacun exprime sa sexualité à sa manière Georgette, je réponds à ta question, « oui, tu peux le laver le dos », je suis consentant.
Entre hommes, Georgette a vu des hommes se sodomiser si j’ai bien compris, à ce jour, je leur échappe, à part Gabriel dont j’ai senti la queue lorsque nous avons sauté Lauriane en double pénétration.
Georgette attrape le savon et avec douceur, me le passe partout.
Je dis bien partout, en lui ouvrant l’esprit pour qu’elle se rase la chatte, ai-je enclenché en elle un parfum de jeunisme.
Annie m’a bien vidé les couilles, mais j’aurais dû être scout, « toujours prêt, » ma queue redresse la tête, mais elle la lâche pour prendre la pomme de douche et me rincer.
• Christian, levez-vous que, que, que...
• Que vous me rinciez là aussi.
• Non, vous me rendez folle, depuis hier j’ai toujours mon vagin en feu.
• Ton vagin, dit plutôt ta chatte, c’est plus bandant pour l’homme avec qui tu le dis !
• Oh ! monsieur Christian, vous êtes un coquin, vous me faites faire des choses et maintenant les dire depuis que je vous ai rencontré à la piscine, oui ma chatte !
Elle me rince et dès que ma verge est propre, elle lâche la pomme de douche pour s’emparer de ma bite.
Il va falloir que je me pèse, à ce rythme toutes ces salopes, doit me faire perdre les quelques grammes, j’allais dire kilos, mais là ça serait trop.
Sa bouche et surtout sa langue se promène tout au long de ma tige, si elle est en retard sur les mots crus et le rasage de sa chatte, Charles doit se faire faire des gâteries.
Sa langue et aussi ses mains, l’une montant et descendant le long de ma verge et ses mains s’occupant de mes boules.
Il y a peu s’était Annie, qui me vidait les couilles, chez mes amis Pierre et Nadia, c’est cette femme déjà d’âge mûr qui me fait gicler.
Sa bouche au moment où je fléchis sur mes jambes frappées par une décharge partant du bas de mon dos, elle a mis ses lèvres sur mon gland et reçoit le fruit de ses efforts.
Si effort il y a, surtout que les jets de sperme qui partent se tarissent vite et étant de petites quantités.
• Oh ! monsieur Christian, vous me faites faire des folies.
Vous avez entendu, la porte de la villa vient de grincer, ça fait des jours que je demande à Charles d’y mettre de la graisse.
Madame, lui a signalé aussi, je vous laisse, je vous servirais votre repas à 20 heures.
Georgette a l’ouïe fine, ou est-ce au moment où je lâchais mon sperme qu’elle a grincé ?
Georgette s’éclipse, je retourne dans l’eau, me laver mon costume trois-pièces, dans ma tête, suis-je déjà à demain avec la commissaire.
Aurais-je des vues sur cette femme dans les âges de celle que je baise, chacune l’une le lendemain de l’autre, Michelle me semble inatteignable, mais après avoir, dîner, je me couche dès que j’ai terminé.
Enfin, une nuit calme, jusqu’au matin où je me sens en pleine forme.
On frappe à ma porte.
• Monsieur a demandé que je le réveille à 6 heures pour son petit déjeuner.
Georgette m’a prévenu de vous servir à cette heure, elle dort encore, elle est toujours fatiguée ces jours-ci.
Il y a encore des cas de covid, faite attention à vous monsieur Christian.
J’ai envie que, certes, il y a des cas de covid, mais que les langueurs de sa femme doivent être dues à tout autre chose comme la découverte de certaines formes de sexe ou de sexualité.
Mais comment dire à un mari, même s’il a fauté lui-même que sa femme a découvert qu’elle est une salope, si salope il y a à aimer et découvrir le sexe ?
7 heures moins 5, j’ouvre la porte donnant sur la rue, il est vrai que la porte grince.
5 minutes et une voiture banalisée arrive, Michelle est au volant et je monte à ses côtés.
Ce qu’il m’étonne c’est lorsqu’elle arrive à fond la caisse, le gyrophare bleu est en service.
• Monte Christian, j’adore rouler vite, nous serons au terrain en deux trois mouvements.
Avec Pierre respectueux des limitations, nous avons mis un certain temps, là, Michelle fait le parcours en moitié du temps et peut-être un peu moins.
Dans certain virage, je freine avant elle-même si c’est elle qui a les pédales.
Lorsque nous sommes garés faisant un demi-tour au frein à main, je suis liquéfié.
Michelle me regarde et semble se ficher de moi.
Je peux voir que j’ai fait le trajet avec Tintin coiffé d’un Borsalino.
Elle sort du coffre de mon tombeau roulant un sac de golf sur un chariot que je m’empresse de tirer.
Chaussures de golfeur, un pantalon bouffant aux chevilles, chemisier blanc et petit pull à carreaux.
Il manque la veste, peu pratique pour jouer au golf, sinon je comprendrais pourquoi Eliot Ness, elle sort d’un étui un petit cigare noir qu’elle met dans sa bouche.
• Tu fumes !
• Non, j’ai arrêté depuis six mois, mais c’est un geste instinctif lorsque je sors de ma voiture.
Pour l’allumer, il faudrait un briquet et si tu cherches, tu feras chou blanc.
« Coupe-chou », « chou blanc », il faudra que je demande à Georgette de m’en préparer, j’adore le chou, si possible farci.
Que dire, de mon parcours, à part accompagner Michelle qui elle est championne ?
Si pour rester positif, un par 4 contournant un petit bosquet.
J’ai écouté la championne, j’ai fait passer la balle par-dessus avec un fer qu’elle m’a donnée et lorsque je l’ai contourné la balle se trouvait sur le green à 20 centimes de rentrer dans le trou.
20 centimètres, mais deux coups pour finir ce trou n° 6, celui ou j’avais abandonné pour conduire Lauriane au vestiaire et m’occuper de son intimité.
J’allais dire son « costume trois-pièces, » ça je le réserve à Michelle, si elle souhaite que je m’en occupe dans tous les sens du terme.
Ça, c’est pour le positif, pour le négatif, cinq balles perdues, mais trois non à moi dans des buissons ou dans le petit bois près du parcours.
L’une des miennes, je l’ai laissé, pourquoi ai-je levé ma tête, je l’ignore.
J’avais réussi à la broquer à trois ou quatre mètres de haut dans un arbre dont j’ignorais quelle essence, c’était.
Elle était dans la fourche d’un de ces arbres impossibles à récupérer, j’ai essayé de le secouer, mais il était trop gros pour le faire bouger.
Enfin, je découvre que les greens souvent sont protégés par des bunkers.
À part le 6, 17 des 18 trous, je les ai visités, certainement le record du golf où nous nous trouvons.
Je suis mort, tapé dans le sable pour faire sortir la balle, c’est épuisant.
Parcours péniblement terminé, inutile de dire si j’ai fait un Albator, héros de ma jeunesse en dessin animé, mais 3 trous en dessous du par.
Je dis Albator, mais c’est un mot de ce genre dont me parle Michelle semblant se foutre de ma jolie gueule.
Encore moins, un birdie ou bogey 1 en dessous, mais suivant le par initial, comprend qui peut, moi je me suis contenté de taper dans cette maudite balle, surtout celle perchée dans l’arbre.
Pour mon exploit, il faudrait trouver un mot comme quarantenaire, voire plus, le golf soit, je m’y mets intensément, soit je décare forfais.
Michelle range les clubs et petit cigare toujours au coin de ses lèvres, nous allons boire un verre.
• Une bière Christian ?
• Non, une bouteille d’Orangina, s’il te plait.
• On a mis le double du temps que je mets d’habitude, mais ça m’a vidé la tête chaque fois que tu te battais pour sortir ta balle d’un bunker.
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Les avis des lecteurs
Le chou oui... mais bien farci...
Les grands esprits se rencontrent, vivement le chou...
Cyrille
Cyrille