COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (21/25)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (21/25) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (21/25)
• Il est bientôt l’heure de passer à table, veux-tu venir à la maison ?
Hier au soir, j’ai cuisiné des choux farcis.

C’est Michelle la commissaire de Cannes où je suis allé rapporter un portefeuille trouvé dans un caniveau qui me fait cette proposition.
Une vague de jeunes pickpockets sévissant sur la côte a failli me faire incarcérer, le vieux con à qui il avait été volé semblant me reconnaitre lorsque la commissaire le convoque pour le récupérer.
Blonde, ses cheveux ramassés en chignon, certainement pour pouvoir mettre son Borsalino, lorsqu’elle se promène dans son costume trois-pièces à rayures.
Éliot Ness, c’est le surnom qu’en ville on lui a donné depuis qu’elle a été nommée à ce poste.
Bref, par chance, deux des vrais pickpockets sont amenés au poste ce qui permet à Michelle de me libérer.
Michelle, car par chance, elle connaît Pierre et Nadia en plus de Lauriane et Hugo !
Chez les libertins cannois, ce que j’ai découvert au fil de l’avancée de mes vacances, peut-être, mais aucune des personnes que j’ai rencontrées pour le confirmer.
Par compte, le golf c’est certain puisqu’elle me propose de faire un parcours.
Nul, je suis nul avec la carte que je rends lorsque nous arrivons au trou 18 par rapport à elle qui est à plus trois.
Les golfeurs si certains me lisent vont se foutre de ma jolie gueule, j’ai même réussi à percher une balle dans la fourche de deux branches d’un gros arbre.
C’est devant un verre que Michelle me propose de venir manger des choux farcis qu’elle a mitonnés avec amour hier au soir.
Je dois avoir des dons de voyance, car lorsqu’un peu plus tôt on m’a parlé de choux, j’ai eu envie de ce plat dont je raffole, maman les cuisinant elle aussi avec amour.
C’est ainsi qu’à une vitesse normale, laissant le gyrophare éteint que nous rejoignons le bord de mer et son appartement.

• Entre, je m’excuse du bordel, je suis une femme active et les tâches ménagères je les laisse à d’autres.
• Soit sans crainte, moi aussi si par chance Georgette la femme qui gère la villa de Pierre et Nadia laissait ma chambre dans l’état où elle se trouve le matin, j’aurais un bordel identique.

Un bordel il y en a un, mais bien plus important que le mien, je vois un soutien-gorge et une petite culotte sur le dossier d’un fauteuil.
Culotte bleue, ainsi que le soutif.
Aujourd’hui, s’ils sont là, est-elle nue sous son pantalon de golf à la Tintin et son chemisier blanc avec un gilet ?
Une femme bien de sa personne invitant un jeune beau gosse, à manger des choux farcis, j’espère que je vais découvrir les charmes de cette femme, comme j’en connais quelques-unes depuis que j’ai accepté de venir donner des cours à ma petite peste de Valentine.
Sur le fauteuil et un peu partout dans la salle, des livres d’histoire de flic trainent eux aussi.
Sur la table de la salle, un ordinateur portable éteint.

• Je vais prendre une douche, j’ai horreur de le faire dans les vestiaires de ces lieux ouvert au public, alors dès que je rentre, je fonce dans la mienne.

Je m’attends à ce qu’elle me propose de venir la prendre avec elle, je suis déçu, mais tout est-il perdu pour autant.
Il y a des papiers près de l’ordi, je résiste au début, mais au bout de quelques minutes j’entends l’eau de la douche couler, je saisis une feuille.
« Le tireur étant repéré, la commissaire Jacques l’a abattue de deux balles avant d’être visée elle-même. »
C’est un texte imprimé sur l’imprimante connecté à l’ordinateur et des corrections au stylo étant faites.

• Tu regardes mon travail, j’écris et je lis des polards par passion.
J’en ai déjà publié cinq sous le nom de Raymonde de Chandelière.
Regarde, sur mon fauteuil, il y a le premier « La commissaire est touchée au bas-ventre. » J’en ai vendu presque 5 000 exemplaire.
Un record pour un premier dans cette catégorie.
C’est romancé, mais au départ, c’est sur des faits réels, j’ai réellement été à deux doigts de mourir de cette manière.
• Comment cela s’est-il passé ?
• Je venais d’être reçu à mes examens de commissaire de police, major de ma promotion.
J’ai été affecté à un poste à Lille, que j’ai rejoint.
Dès mon arrivée, j’ai dû subir les railleries de mes collèges policiers peu enchantés de recevoir des ordres d’une femme.
Deux jours que je venais d’arriver et nous avons reçu une alerte, un malade armé venait de prendre en otage, le président de la région Haut-de-France.
Nous nous y sommes rendus, mais tout à dégénérer et le fou s'est mis à tirer dans tous les sens.
J’avais passé mon gilet pare-balle, mais une balle a fait ricochet et est venue me toucher aux bas-ventres.
Manque de chance, la balle est passée à un centimètre de la protection, me labourant et me faisant tomber dans les pommes.
Mes collègues m’ont expliqué que les secours, déjà sur place en cas de nécessité mon sauvé, mais que l’opération m’avait enlevé ce qui nous permet d’avoir des enfants.
Il m’avait pratiqué l’ablation de mon utérus.

Michelle était revenue vers moi recouverte d’un peignoir en soie, qu’elle ouvre pour ma faire voir les dégâts que son corps a subis.

• Presque un an pour me remettre en état, avant que l’on me propose un nouveau poste, considérant ma bravoure, ayant fait la une des journaux.
Au ministère de l’Intérieur, j’ai eu les félicitations du ministre, car j’ai compris que lorsque j'avais reçu cette balle, j’avais tiré un coup vers le fou et que je l’avais abattu d’une balle dans la tête.
Regarde, sur le meuble, ils m’ont même remis une médaille et j’ai choisi le soleil à la place de la pluie du Nord.
Pendant ma convalescence, j’ai commencé à écrire et j’ai créé mon personnage d’Éliot Ness, habillé d’un costume trois-pièces et coiffé d’un Borsalino.
Ça m’a permis de coiffer mes cheveux blonds, avec un chignon, me masculinisant un peu plus et ainsi d’avoir le respect de mes adjoints.

Peignoir ouvert, me montrant les dégâts que la balle a faits, je m’approche et je défais son chignon.
Ses cheveux tombes sur ses épaules et lorsque je les déroule, ils atteignent la chute de ses reins.
Nos corps se rapprochent et à travers mon polo, je sens ses seins de bonne taille, se frotter sur mes pectoraux.
Je dis, « de bonne taille, » sans préciser, j’ai déjà entendu parler de bonnets et autres noms du même genre, sans pouvoir en dire plus.
Ce qui est certain, c’est lorsque je commence à l’embrasser, nos langues tournant dans nos bouches, c’est ma main gauche qui prend son droit, ma main a du mal à le recouvrir.

• Viens, je vais te montrer comment j’aimais que mon fiancé me baise avant mon accident.
Il est parti en courant après que la doctoresse qui m’a opéré lui ait annoncé qu’il me serait impossible d’avoir des enfants.

Michelle me prend par la main nos corps se détachant et va jusqu’au fauteuil.
Elle se met à quatre pattes, il est facile pour moi étant près côté protection de la pénétrer.
Je dois dire qu’à un moment de notre joutte amoureuse, j’ai eu un peu peur que le sexe de Michelle soit devenu insensible.
C’est loin d’être le cas, dès ma pénétration profonde, elle se met à glousser puis me dire « encore, encore, oui, bien à fond ».
Ma main passe devant elle et lorsque je vais pour lui caresser le clito, ses doigts sont là eux aussi et le caressent déjà.
Je sens que je vais partir avant que son plaisir l’ait dévasté.
Je sors, je l’aide à s’asseoir, les cuisses écartées et c’est ma bouche qui vient s’occuper de lui.
J’ai devant mes yeux la cicatrice, à croire que la balle a labouré de droite à gauche son sexe blond.
J’arrive à la faire jouir avec ma langue, ce qui me rassure sur mes possibilités de mâle à savoir la satisfaire, qui a-t-il de pire qu’une femme frustrée d’avoir été loupé par son amant.
De son salon à sa cuisine, je pourrais la reprendre là comme elle est lascive dans son fauteuil, mais le golf, plus le début de ce moment intime m’a donné faim.

• Et si tu me faisais goûter tes fameux « choux farcis que tu as mitonnés avec amour sans savoir que ce serait moi qui les dégusterais. »
• Tu as raison Christian, moi aussi j’ai une faim de loup, ces préliminaires m’ont ouvert l’appétit.
Merci de m’avoir considéré comme une femme, j’ai eu quelques aventures depuis que je suis sur la côte, mais sans réel plaisir.
Je sentais ces messieurs énormément mal à l’aise en voyant ma cicatrice.

Le plat de choux sorti du frigo dans sa cuisine américaine, réchauffés au micro-ondes, est très bon, surtout avec la coupe de champagne servi dans la bouteille qui attendait bien sagement ma venue.
Nous sommes assis sur des chaises hautes avec vue sur la salle et le salon, je crois que ça s’appelle une cuisine à l’Américaine.
C’est elle qui après la crème au chocolat, vient finir son repas sur ma queue après l’avoir enduit de cette bonne crème.
Une nouvelle fois, nous changeons de place et comme il reste assez de crème j’en badigeonne avec mes mains son bas-ventre avant de tout lécher, retrouvant son clitoris.
C’est ainsi que je la reprends, elle les fesses sur la chaise, moi sur la pointe des pieds, mais avec assez de force, pour la voire partir dans un orgasme libérateur pour elle et moi.
Mon pantalon au bas de mes pieds, la capote, une dernière ressortie de ma poche, je m’écroule sur Michelle qui au bout d’un moment me repousse.
Il faut dire que sa position doit être très inconfortable après les nombreuses minutes que notre coït a duré.
C’est vers la salle de bain que nos jeux se poursuivent, je devrais dire, les bains douches, lorsque ma verge et sa chatte sont propres débarrassées de tout ce chocolat, c’est une vraie piscine dans laquelle nous nous trouvons.

Essuyé, recoiffé, Michelle gardant ses cheveux dénoués et tous les deux de nouveau en tenue décente, nous récupérons sa voiture, direction la villa de Pierre et Nadia.
J’espère avoir de ses nouvelles, enfin de tous.
Dans la montée, nous croisons la voiture électrique de Charles, sans penser qu’un drame venait de survenir.

Michelle remercié de la bonne journée, j’entre dans la maison puis dans la salle, de la cuisine m’arrivent des pleurs, je m’avance, Georgette est là assise en larmes.

• Monsieur Christian, si vous saviez le malheur qui nous frappe ?...

Les avis des lecteurs

Merci Cyrille
Et je crois savoir j'ai eu quelques confidence de Christian que les rebondissements sont loin d'être terminé...
Chris

Histoire Erotique
Quel bonheur de retrouver Christian....

Merci Chris

Cyrille



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