COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (22/25)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (22/25)
• Monsieur Christian, si vous saviez le malheur qui nous frappe ?
J’en étais là de mon récit lorsque j’ai été interrompu par Chris71, il est vieux et si c’est Charles III qui a des problèmes de prostate, il a une vessie qu’il a dû aller vider.
Je viens vers Georgette et je la prends par les épaules.
• Dis-moi, nous avons croisé Pierre avec une amie qui me raccompagnait, il roulait vers le bas de la côte.
Que vous arrive-t-il vous vous êtes disputés, il a appris pour toi et moi.
• Oui, non, il a un enfant.
• Je l’ignorais Georgette, il est ou et quel âge a-t-il, c’est un garçon ou une fille !
Quand l’avez-vous eu, quel âge a-t-il ?
Je pose toutes ces questions et plus j’en pause, plus elle fond en larme, il y avait piscine dans la salle d’eau de ma maîtresse, une de plus.
Là dans la villa de mes vacances qui vont devenir cauchemardesques, ses larmes à elles seules vont noyer la cuisine.
• Attends, je vais au salon pour te donner un petit remontant, c’est clair comme de l’eau de roche, Georgette !
Je vais dans le salon, je reviens avec un petit verre et une bouteille d’alcool, inutile de me demander ce que s’est, je bois des jus de fruits.
Certes, j’ai bu une coupe de champagne, mais maman m’a toujours dit que le champagne c’était simplement du velours pour l’estomac.
• Tiens, bois et sèche tes larmes.
• Ou ! c’est fort, vous êtes fou, l’armagnac de monsieur Pierre vingt-cinq ans d’âge.
L’enfant, c’est madame Marthe qui l’a eu avec Charles, mais c’est une longue histoire, c’était il y a bien longtemps.
Et Georgette certainement au souvenir de la tromperie de son mari avec la maman de Pierre dont Annie m’a dit qu’elle avait le feu au cul, repart dans une vague de larmes.
Dans le même temps elle, se ressert un verre à dégustation d’armagnac.
• Je crois comprendre que ton mari a couché avec la maman de Pierre et qu’ils ont eu un enfant et que tu as tout pardonné !
• Quand je lui ai pardonné, j’ignorais que cette salope avait eu un enfant et Charles aussi.
Elle pleure de nouveau et de nouveau un petit verre d’armagnac disparait cul sec dans son gosier.
• C’est normal, c’est le bon dieu qui me punit d’avoir trompé Charles avec vous monsieur Christian !
• Que vient faire le bon dieu, dans cette histoire, quel âge à l’enfant, c’est un garçon ou une fille ?
• C’est un garçon d’une douzaine d’années, je suis sûr que le bon dieu me punit d’avoir couché avec vous monsieur Christian, pourtant ça été si bon.
Combien de fois devrais-je dire que Georgette se remet à pleurer inondant un peu plus la cuisine ?
Ce qui est sûr, c’est le petit verre dont elle se ressert.
• Arrête de pleurer, ce serait dramatique s’il y avait, mort d’homme, si je comprends bien que Marthe a été la maîtresse de ton mari et ils ont eu un enfant tous les deux.
• Oui, le bon dieu me punit mais Charles aussi, c’est tout de même son fils, il est trisomique, c’est pour cela que Marthe l’avait caché et que monsieur Pierre l’a découvert lorsqu’il s’est occupé de l’enterrement de sa maman.
Les pleurs se tarissent, mais après qu’elle se soit enfilée un énième verre, rendant l’usage de sa parole incertaine, elle continue à vouloir m’expliquer.
• C’est pour ça que monsieur Pierre a demandé à Charles de venir près de Limoges.
Victor, c’est par ce nom que Marthe l’a déclaré à la mairie de père inconnu, est le demi-frère, de monsieur Pierre.
C’est pour cela qu’il est parti avec notre voiture électrique, vous voyez ce périple qu’il va faire, jusqu’à maintenant, à part le stade vélodrome, il est resté dans la région.
Un dernier petit verre pour la route, la bouteille étant presque vide, il faudra que j’attende pour savoir quel problème s’est fait jour pour requérir la présence de ce père inconnu à Limoges.
Ce qu’il y a de sur, je craignais le retour auprès de Georgette après les galipettes faites avec elle, mais le drame qui les frappe semble surplanter ces moments de plaisir pris ensemble.
Bien sûr, il y a le bon dieu qui la contrarie d’avoir trahi son serment de mariage même si les confidences d’Annie que j’ai réussi à taire à Georgette semblent la travailler.
J’en sais assez entre Annie qui m’a balancé les premières informations, et Georgette qui a précisé certains points de leur histoire, cette dernière après avoir vidé un dernier verre semble ronde comme une queue de pelle.
Ronde comme une queue de pelle ?
« Rond », je peux comprendre, mais « queue de pelle, » ça parait étrange.
Bref, je sens l’utilité d’éloigner des mains de Georgette la bouteille que je vois se vider de plus en plus.
Je veux la prendre en main, Georgette m’en empêche.
• Non, monsieur Christian, ça c’est à moi, ça m’aide à continuer à vivre.
Viens que je te suce, j’ai envie de te sucer, oh ! pardon, monsieur Christian, je vous ai tutoyé !
• Tu veux me sucer, mais que dira ton bon dieu si je te permets de le faire, demain lorsqu’il fera jour et que tu verras la vie plus clairement, tu me le reprocheras.
• Demain, j’irai acheter une bonne bouteille comme celle-là, le bon dieu, j’en ai rien à foutre.
C’est carrément dans sa bouche qu’elle met le goulot, je voudrais bien intervenir, mais elle est dans un tel état qu’elle serait capable de me la casser sur la tête.
J’ai une autre idée.
• Georgette, on va dans ta chambre, si tu laisses ta bouteille ici, tu me pomperas la queue !
• Tient, c’est une idée et vous finirez par me baiser à la place de ce fumier de Charles, là où il dort.
Je me rends compte des méfaits de l’alcool, pas plus tard qu’il y a cinq minutes, Georgette jurait ses grands dieux, que ce qui lui arrivait était survenus car elle avait trompé Charles avec moi.
Ce mensonge a la vertu qu’elle laisse tomber la bouteille et qu’elle me suive soutenue dans l’état où elle s’est mise vers leurs appartements prévus dès la construction pour le personnel.
Je savais où ces pièces se trouvent attenant au corps principal de la maison des maîtres sans y être jamais venu.
Je trouve la chambre du couple et comme il fait assez chaud, je dépose celle que je soutiens sur son lit, la plaçant en position latérale de sécurité.
C’est d’une voix pâteuse, qu’elle me dit.
• Beau gosse, allonge-toi près de moi, je vais te sucer, même si je dois aller en enfer, ta bite est si belle et si bonne.
Il a sauté sa salope, j’ai bien le droit à une petite compensation.
• Mince, on a oublié la bouteille, reste allongée, je retourne la chercher.
• J’ai soif et après je te sucerai et tu feras de nouveau un cocu de Charles, c’est ignoble ce qu’il m’a fait.
Sa voix s’éteint petit à petit lorsqu’elle prononce ces mots.
Il va de soi que la bouteille est bien, là où elle est, sur la table de la cuisine.
Il y a un fauteuil dans un coin de la pièce, je m’installe, repensant à ma journée « d’initiation à la sécurité » nous ayant été enseigné au collège, il y a déjà six ou sept ans.
C’est ce jour que j’ai retenu deux choses, la « position latérale de sécurité » qui m’a permis de placer Georgette sur son côté évitant ainsi de mourir dans son vomi.
Ça s’est fait, Georgette commençant à émettre de petits ronflements et mes premiers émois envers Françoise, mon amoureuse du moment comme on peut en avoir du temps de nos boutons.
Sans aller jusqu’aux bouches à bouche et les massages cardiaques, ça c’est la démonstration que la gendarmette a faite sur un mannequin sans bras ni jambe.
Cette position latérale de sécurité, elle et son collège nous l’on fait pratiquer à tour de rôle.
Je suis tombé avec Françoise et dans l’exercice ma main a touché sa poitrine juvénile.
Elle avait encore peu de seins et ils étaient libres, mais ce frôlement a suffi la nuit suivante à ce que ma queue se tende et que je pratique ma première masturbation.
Depuis j’ai connu de vraies femmes, il est vrai que Françoise restera un fantasme.
Un jour avant que je puisse lui dire tout mon amour, un camion de déménageur est venu la chercher avec toute sa famille pour une destination inconnue.
En me rappelant ce souvenir de jeunesse, j’ai pris ma queue en main et devant Georgette qui est à mille lieues de voir ce que je fais, malgré que j’ai eu des rapports avec Éliot Ness et cette balle perdue qui aurait pu lui ôté la vie, je prends mon manche en main, l’astiquant.
J’éjacule, mes jets inondant la moquette et terminée, mes yeux se ferment.
Combien de temps ai-je dormi, la nuit est entièrement tombée, je me lève.
Georgette est toujours dans la même position où je l'ai mis dormant comme la pochetronne que j'ai déclenché en allant chercher la bouteille d'armagnac.
Je quitte sa chambre, c’est une grande fille, elle sait garder tout ce qu’elle a ingurgité.
Je retourne à la cuisine, la bouteille est là, je la prends en main, certains vont croire que je la termine, j’ai déjà dit que j’évite l’alcool, sauf la coupe de champagne, je vais dans le salon la ranger.
De retour, je vais dans le frigo, les émotions ça creuse.
Devant moi, un plat, on m’en veut ce sont les choux farcis que Georgette m’a dit avoir cuisiné.
Au-dessus du frigo, une boîte à pain, je l’ouvre, de la baguette.
Je cherche, au petit déjeuner sur la table il y a du chocolat en poudre, je le trouve dans un placard.
Beurre et chocolat en poudre, c’est tout juste ce que ma grand-mère me faisait à quatre heures, la position latérale de sécurité m’a ramené vers Françoise.
La tartine que je me confectionne me ramène vers mémé Denise, hélas, pouvant dire à Georgette lorsque cette dernière se réveillera de sa cuite, si l’enfer existe.
Bien que je sache que pour mémé ce sera le paradis des gentilles personnes âgées.
Le ventre plein, je déclenche les lumières autour de la piscine, un bain de minuit serait le bienvenu, la canicule étant bien présente.
Je plonge, c’est divin...
J’en étais là de mon récit lorsque j’ai été interrompu par Chris71, il est vieux et si c’est Charles III qui a des problèmes de prostate, il a une vessie qu’il a dû aller vider.
Je viens vers Georgette et je la prends par les épaules.
• Dis-moi, nous avons croisé Pierre avec une amie qui me raccompagnait, il roulait vers le bas de la côte.
Que vous arrive-t-il vous vous êtes disputés, il a appris pour toi et moi.
• Oui, non, il a un enfant.
• Je l’ignorais Georgette, il est ou et quel âge a-t-il, c’est un garçon ou une fille !
Quand l’avez-vous eu, quel âge a-t-il ?
Je pose toutes ces questions et plus j’en pause, plus elle fond en larme, il y avait piscine dans la salle d’eau de ma maîtresse, une de plus.
Là dans la villa de mes vacances qui vont devenir cauchemardesques, ses larmes à elles seules vont noyer la cuisine.
• Attends, je vais au salon pour te donner un petit remontant, c’est clair comme de l’eau de roche, Georgette !
Je vais dans le salon, je reviens avec un petit verre et une bouteille d’alcool, inutile de me demander ce que s’est, je bois des jus de fruits.
Certes, j’ai bu une coupe de champagne, mais maman m’a toujours dit que le champagne c’était simplement du velours pour l’estomac.
• Tiens, bois et sèche tes larmes.
• Ou ! c’est fort, vous êtes fou, l’armagnac de monsieur Pierre vingt-cinq ans d’âge.
L’enfant, c’est madame Marthe qui l’a eu avec Charles, mais c’est une longue histoire, c’était il y a bien longtemps.
Et Georgette certainement au souvenir de la tromperie de son mari avec la maman de Pierre dont Annie m’a dit qu’elle avait le feu au cul, repart dans une vague de larmes.
Dans le même temps elle, se ressert un verre à dégustation d’armagnac.
• Je crois comprendre que ton mari a couché avec la maman de Pierre et qu’ils ont eu un enfant et que tu as tout pardonné !
• Quand je lui ai pardonné, j’ignorais que cette salope avait eu un enfant et Charles aussi.
Elle pleure de nouveau et de nouveau un petit verre d’armagnac disparait cul sec dans son gosier.
• C’est normal, c’est le bon dieu qui me punit d’avoir trompé Charles avec vous monsieur Christian !
• Que vient faire le bon dieu, dans cette histoire, quel âge à l’enfant, c’est un garçon ou une fille ?
• C’est un garçon d’une douzaine d’années, je suis sûr que le bon dieu me punit d’avoir couché avec vous monsieur Christian, pourtant ça été si bon.
Combien de fois devrais-je dire que Georgette se remet à pleurer inondant un peu plus la cuisine ?
Ce qui est sûr, c’est le petit verre dont elle se ressert.
• Arrête de pleurer, ce serait dramatique s’il y avait, mort d’homme, si je comprends bien que Marthe a été la maîtresse de ton mari et ils ont eu un enfant tous les deux.
• Oui, le bon dieu me punit mais Charles aussi, c’est tout de même son fils, il est trisomique, c’est pour cela que Marthe l’avait caché et que monsieur Pierre l’a découvert lorsqu’il s’est occupé de l’enterrement de sa maman.
Les pleurs se tarissent, mais après qu’elle se soit enfilée un énième verre, rendant l’usage de sa parole incertaine, elle continue à vouloir m’expliquer.
• C’est pour ça que monsieur Pierre a demandé à Charles de venir près de Limoges.
Victor, c’est par ce nom que Marthe l’a déclaré à la mairie de père inconnu, est le demi-frère, de monsieur Pierre.
C’est pour cela qu’il est parti avec notre voiture électrique, vous voyez ce périple qu’il va faire, jusqu’à maintenant, à part le stade vélodrome, il est resté dans la région.
Un dernier petit verre pour la route, la bouteille étant presque vide, il faudra que j’attende pour savoir quel problème s’est fait jour pour requérir la présence de ce père inconnu à Limoges.
Ce qu’il y a de sur, je craignais le retour auprès de Georgette après les galipettes faites avec elle, mais le drame qui les frappe semble surplanter ces moments de plaisir pris ensemble.
Bien sûr, il y a le bon dieu qui la contrarie d’avoir trahi son serment de mariage même si les confidences d’Annie que j’ai réussi à taire à Georgette semblent la travailler.
J’en sais assez entre Annie qui m’a balancé les premières informations, et Georgette qui a précisé certains points de leur histoire, cette dernière après avoir vidé un dernier verre semble ronde comme une queue de pelle.
Ronde comme une queue de pelle ?
« Rond », je peux comprendre, mais « queue de pelle, » ça parait étrange.
Bref, je sens l’utilité d’éloigner des mains de Georgette la bouteille que je vois se vider de plus en plus.
Je veux la prendre en main, Georgette m’en empêche.
• Non, monsieur Christian, ça c’est à moi, ça m’aide à continuer à vivre.
Viens que je te suce, j’ai envie de te sucer, oh ! pardon, monsieur Christian, je vous ai tutoyé !
• Tu veux me sucer, mais que dira ton bon dieu si je te permets de le faire, demain lorsqu’il fera jour et que tu verras la vie plus clairement, tu me le reprocheras.
• Demain, j’irai acheter une bonne bouteille comme celle-là, le bon dieu, j’en ai rien à foutre.
C’est carrément dans sa bouche qu’elle met le goulot, je voudrais bien intervenir, mais elle est dans un tel état qu’elle serait capable de me la casser sur la tête.
J’ai une autre idée.
• Georgette, on va dans ta chambre, si tu laisses ta bouteille ici, tu me pomperas la queue !
• Tient, c’est une idée et vous finirez par me baiser à la place de ce fumier de Charles, là où il dort.
Je me rends compte des méfaits de l’alcool, pas plus tard qu’il y a cinq minutes, Georgette jurait ses grands dieux, que ce qui lui arrivait était survenus car elle avait trompé Charles avec moi.
Ce mensonge a la vertu qu’elle laisse tomber la bouteille et qu’elle me suive soutenue dans l’état où elle s’est mise vers leurs appartements prévus dès la construction pour le personnel.
Je savais où ces pièces se trouvent attenant au corps principal de la maison des maîtres sans y être jamais venu.
Je trouve la chambre du couple et comme il fait assez chaud, je dépose celle que je soutiens sur son lit, la plaçant en position latérale de sécurité.
C’est d’une voix pâteuse, qu’elle me dit.
• Beau gosse, allonge-toi près de moi, je vais te sucer, même si je dois aller en enfer, ta bite est si belle et si bonne.
Il a sauté sa salope, j’ai bien le droit à une petite compensation.
• Mince, on a oublié la bouteille, reste allongée, je retourne la chercher.
• J’ai soif et après je te sucerai et tu feras de nouveau un cocu de Charles, c’est ignoble ce qu’il m’a fait.
Sa voix s’éteint petit à petit lorsqu’elle prononce ces mots.
Il va de soi que la bouteille est bien, là où elle est, sur la table de la cuisine.
Il y a un fauteuil dans un coin de la pièce, je m’installe, repensant à ma journée « d’initiation à la sécurité » nous ayant été enseigné au collège, il y a déjà six ou sept ans.
C’est ce jour que j’ai retenu deux choses, la « position latérale de sécurité » qui m’a permis de placer Georgette sur son côté évitant ainsi de mourir dans son vomi.
Ça s’est fait, Georgette commençant à émettre de petits ronflements et mes premiers émois envers Françoise, mon amoureuse du moment comme on peut en avoir du temps de nos boutons.
Sans aller jusqu’aux bouches à bouche et les massages cardiaques, ça c’est la démonstration que la gendarmette a faite sur un mannequin sans bras ni jambe.
Cette position latérale de sécurité, elle et son collège nous l’on fait pratiquer à tour de rôle.
Je suis tombé avec Françoise et dans l’exercice ma main a touché sa poitrine juvénile.
Elle avait encore peu de seins et ils étaient libres, mais ce frôlement a suffi la nuit suivante à ce que ma queue se tende et que je pratique ma première masturbation.
Depuis j’ai connu de vraies femmes, il est vrai que Françoise restera un fantasme.
Un jour avant que je puisse lui dire tout mon amour, un camion de déménageur est venu la chercher avec toute sa famille pour une destination inconnue.
En me rappelant ce souvenir de jeunesse, j’ai pris ma queue en main et devant Georgette qui est à mille lieues de voir ce que je fais, malgré que j’ai eu des rapports avec Éliot Ness et cette balle perdue qui aurait pu lui ôté la vie, je prends mon manche en main, l’astiquant.
J’éjacule, mes jets inondant la moquette et terminée, mes yeux se ferment.
Combien de temps ai-je dormi, la nuit est entièrement tombée, je me lève.
Georgette est toujours dans la même position où je l'ai mis dormant comme la pochetronne que j'ai déclenché en allant chercher la bouteille d'armagnac.
Je quitte sa chambre, c’est une grande fille, elle sait garder tout ce qu’elle a ingurgité.
Je retourne à la cuisine, la bouteille est là, je la prends en main, certains vont croire que je la termine, j’ai déjà dit que j’évite l’alcool, sauf la coupe de champagne, je vais dans le salon la ranger.
De retour, je vais dans le frigo, les émotions ça creuse.
Devant moi, un plat, on m’en veut ce sont les choux farcis que Georgette m’a dit avoir cuisiné.
Au-dessus du frigo, une boîte à pain, je l’ouvre, de la baguette.
Je cherche, au petit déjeuner sur la table il y a du chocolat en poudre, je le trouve dans un placard.
Beurre et chocolat en poudre, c’est tout juste ce que ma grand-mère me faisait à quatre heures, la position latérale de sécurité m’a ramené vers Françoise.
La tartine que je me confectionne me ramène vers mémé Denise, hélas, pouvant dire à Georgette lorsque cette dernière se réveillera de sa cuite, si l’enfer existe.
Bien que je sache que pour mémé ce sera le paradis des gentilles personnes âgées.
Le ventre plein, je déclenche les lumières autour de la piscine, un bain de minuit serait le bienvenu, la canicule étant bien présente.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
c est bientôt la fin de cette histoire
Quelle délicieuse lecture, tu nous offres mon cher Chris...
Cyrille
Cyrille