COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (25/25)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (25/25)
Le yacht d’Éloise, Vespa garée en haut des pontons, je me dirige vers le bateau, notre amie me voit.
• Autorisation de monter à bord commandant ?
Je me crois entré dans la marine nationale saluant le drapeau à la passerelle du bateau.
J’ai vu les membres d’équipage d’un film de guerre le faire au cinéma.
• Autorisation accordée, moussaillon, repos !
Cet ordre tombe lorsque je mets le pied sur le pont du yacht où une nouvelle fois se trouve des tenues de plonger, notre commandant, déjà, en combinaison courte, si Éloise s’apprête à partir plonger, le temps chaud presque orageux permet une telle combinaison.
Je me prête au jeu avant de prendre Éloise dans mes bras, sa poitrine aux petits seins, toujours en comparaison avec ceux de Nadia étant comprimé sous la mousse de cette tenue.
• Respectez le commandant moussaillon, contentez-vous de saluer à trois pas !
Nous éclatons de rire, content de notre blague, surtout que je me vois mal dans la marine, mon esprit indépendant ferait des étincelles avec les ordres reçus.
Une nouvelle fois, ma langue trouve la mienne, j’aime l’odeur mentholée qui s’en dégage.
• Tu vas sortir avec une équipe faire un reportage, alimentant les sujets que tu suis et qui te permettent de remplir tes contrats comme influenceuse ?
• Oui et non, oui pour les tenus de plonger, mais en restant à quai et non car c’est en apnée avec ces masques et ces tubas que nous allons nettoyer le vieux port avec mon équipe.
Je tourne un reportage sur les méfaits du tourisme sur la côte, montrant même que dans ce vieux port les gens jettent des choses insensées.
Veux-tu nous aider si tu as le temps bien sûr ?
• J’ignore si tu le sais, Nadia est rentrée ce matin avec les jeunes !
• Oui, elle m’a téléphoné pendant qu’elle conduisait, ils dormaient tous et elle avait un coup de fatigue.
Je repense à la piscine et nos ébats joignants Gabriel à nos jeux, elle était parfaitement réveillée.
C’est vrai que lorsque j’ai quitté la villa, tous étaient partis dormir.
• Elle m’a parlé de son, comment pourrait-on l’appeler...
• Son beau-frère, ils sortent tous les deux, Pierre et Victor du même moule, même si celui-ci est définitivement cassé.
• Tu as raison, mais c’est bizarre d’avoir fait cette découverte, les gens se comportent bizarrement dans la vie.
Je suis à deux doigts de lui dire qu’elle aussi est bizarre, faire des films sur la nature ou les méfaits de l’homme sur cette dernière et avoir pu s’acheter un petit yacht, ça aussi c’est plutôt bizarre.
Maman m’a toujours dit, tourne ta langue dans ta bouche avant de parler, sinon savonne toi là.
• As-tu le temps de nous aider ?
J’ai un membre de mon équipe qui est empêché et ça limite la sécurité des plongeurs, tu verras si l’apnée c’est nouveau pour toi, c’est plus facile que la plongée avec bouteilles.
Il est de ta taille et cette combinaison t’ira très bien, à moins que la natation et toi fasse deux, chez Nadia, nous avons fait un autre sport que celui pratiqué chez les Manaudou.
• Sans problème, même si je vais moins vite que Florent, le frère de Laure, par compte, l’apnée je vais découvrir.
C’est à ce moment que j’entends des motos s’arrêter en haut du ponton.
• Voilà mon équipe, entre dans la cabine pour te changer lorsqu’ils nous auront rejoints.
Deux filles, deux garçons, j’ai déjà vu l’une des filles.
• Je vais faire les présentations, Isabelle et Adrien son copain, ils sont venus malgré le repas en famille que leurs parents donnent pour leurs fiançailles ce soir.
Ariane et Jean-François.
Tous ont enlevé leur casque, je reconnais Ariane.
• Vous êtes la fille d’Annie, la jeune femme qui tient la boutique de vêtements de sport en ville ?
Je suis à deux doigts de faire, un imper, malgré le casque qu’il portait, Jean-François qui se tient à côté d’Ariane, est plus massif que le motard qu’elle a embrassé devant la boutique de sa mère.
• Oui, je suis sa fille, je vois que tu as tiqué lorsque Éloise t’a présenté Jean-François.
Ta discrétion t’honore, comment t’appelles-tu ?
• Christian !
• Ok, Jean-François est un poteau, alors que tu m’as vu avec ce connard de Joseph, je l’ai largué hier, il avait des vues sur ma mère.
Il s’est vanté d’avoir baisé la fille et de vouloir se faire la mère.
Il serait tombé sur un bec, maman vit avec policier de la ville et ils sont très amoureux, ils parlent de mariage.
Une nouvelle fois, maman et sa langue à tourner plusieurs fois me revient en mémoire.
Je suis à deux doigts de l’interrompre pour lui donner le nom de Roland, qu’Annie m’a donné avant que je la baise.
Sait-elle que sa gentille maman se fait mettre un jouet intime dans le trou de bal afin de penser à lui toute la journée et que malgré le soi-disant amour de sa vie, je lui ai bourré la chatte sur les cartons qu’elle avait reçus ?
Il vaut mieux que je garde cela pour moi, inutile d’ajouter des problèmes à Ariane sur la fidélité de sa mère.
Si Joseph avait tenté sa chance auprès d’Annie, en venant acheter des chaussures, je pense qu’il se serait retrouvé dans l’arrière-boutique à la retenir lorsqu’elle serait tombée dans ses bras.
Nous passons dans la cabine et sans plus de manières, tous se mettent à poil afin d’enfiler leur combinaison.
Il va sans dire que je me rince l’œil, non les deux, deux nanas, une blonde avec sa toison jaune paille et Ariane la rousse avec sa toison conservée d’une couleur flamboyante.
Hélas, les choses s’arrêtent là, les deux filles et les deux garçons enfilent leur combinaison comme je le fais moi aussi.
Je prends mon temps lorsque mes attributs libres surtout que si je matte, je suis matté par les yeux de trois personnes, Éloise malgré qu’elle m’ait sucé, semble toujours intéressé.
Non quatre, je comprends lorsque Jean-François s’adresse à Éloise.
Quant à Adrien, il semble être obnubilé par Isabelle sa copine
• Bon moi, je reste sur le quai, avec cette paire de gants et je tire sur la corde lorsque vous l’avez attachée à un objet lourd et je les porte au bout du quai dans cette benne !
Écrit, ça semble normal, mais dit comme le dit Jean-François avec les intonations de sa voix, on comprend pourquoi c’est moi qu’il matte !
Jean-François semble être ce que je dirais être un homo, « comme ils disent. »
Me matter ça passe, mais venir essayer de me pécho, cette grande tarlouse est bien là ou il est.
Pardon pour le mot « tarlouse, » mais dans mon bahut, Gabriel timide avant que je l’aborde et soit seulement son ami, était un peu considéré comme un garçon ayant des mœurs divergentes.
Pour Gabriel, Jennifer, sa copine Christine et Lauriane m’ont prouvé que de ce côté tous faisaient fausse route.
Merde, avec Lauriane sur sa terrasse, j’étais prêt à la sodomiser si Gabriel avait hésité à la prendre pour une double pénétration.
Et pour appuyer mes doutes, si Roland le flic avait laissé libre l’anus d’Annie, l’aurais-je sodomisée à la place de ce plug obstruant son fondement ?
Serais-je moi aussi attiré par ce genre de mœurs, je me secoue afin d’effacer de ma vision, la verge de ce bellâtre entrant dans ma bouche.
Une fois prêts, tous, nous descendons la coupée, allant sur le quai avec masque, un tuba et de courte palmes.
Éloise nous en a fait mettre des petites afin d’éviter de faire trop bouger la vase nous obstruant rapidement la vue dans ce vieux port.
Pour sa part, elle a avec elle une mini caméra étanche.
Ça peut paraitre drôle, j’en ai déjà vu le midi à la télé gagné par un candidat dans un de ces jeux que ma mère adore regarder, faisant pester mon père qui lorsqu’il est là veut regarder les chaînes d’infos.
J’ai réglé le litige, l’un et l’autre me gavant, jusqu’à midi, info et à partir de là jeux.
Même s’ils continuent à faire la gueule, chaque fois que l’un ou l’autre a le dos tourné, ils appuient sur la télécommande.
Je suis obligé de la garder près de moi.
Je manque de me casser la figure, Jean-François me rattrape dans ses bras virils.
• Oh ! mon dieu tu as failli tomber à l’eau !
J’ai envie de lui dire pauvre con, je vais le faire dans deux minutes et je suis protégé par une combinaison.
Ce grand garçon m’a rendu service qu’est que j’ai dit sur ma langue tournant dans ma bouche, pourquoi dis-je « pauvre con ? »
Pendant une heure, je plonge avec mon tuba dans ma bouche, heureusement que nous aussi nous sommes gantés, couche de bébé en décomposition.
Bouteille de plastique ou canette en alu, que j’apporte à Jean-François en même temps qu’Ariane, Éloise tournant autour de nous et Isabelle semblant se rapprocher de moi.
Malgré le fait de faire attention, la visibilité est vite impossible lorsque d’un coup je perds une palme en tapant dans un objet dur.
Ce fait va déclencher des situations qui vont nous entrainer dans une suite de découvertes toutes plus étranges les unes que les autres...
Fin de cinq chapitres, la suite dans quelques jours, le temps de les coucher dans mon ordinateur.
• Autorisation de monter à bord commandant ?
Je me crois entré dans la marine nationale saluant le drapeau à la passerelle du bateau.
J’ai vu les membres d’équipage d’un film de guerre le faire au cinéma.
• Autorisation accordée, moussaillon, repos !
Cet ordre tombe lorsque je mets le pied sur le pont du yacht où une nouvelle fois se trouve des tenues de plonger, notre commandant, déjà, en combinaison courte, si Éloise s’apprête à partir plonger, le temps chaud presque orageux permet une telle combinaison.
Je me prête au jeu avant de prendre Éloise dans mes bras, sa poitrine aux petits seins, toujours en comparaison avec ceux de Nadia étant comprimé sous la mousse de cette tenue.
• Respectez le commandant moussaillon, contentez-vous de saluer à trois pas !
Nous éclatons de rire, content de notre blague, surtout que je me vois mal dans la marine, mon esprit indépendant ferait des étincelles avec les ordres reçus.
Une nouvelle fois, ma langue trouve la mienne, j’aime l’odeur mentholée qui s’en dégage.
• Tu vas sortir avec une équipe faire un reportage, alimentant les sujets que tu suis et qui te permettent de remplir tes contrats comme influenceuse ?
• Oui et non, oui pour les tenus de plonger, mais en restant à quai et non car c’est en apnée avec ces masques et ces tubas que nous allons nettoyer le vieux port avec mon équipe.
Je tourne un reportage sur les méfaits du tourisme sur la côte, montrant même que dans ce vieux port les gens jettent des choses insensées.
Veux-tu nous aider si tu as le temps bien sûr ?
• J’ignore si tu le sais, Nadia est rentrée ce matin avec les jeunes !
• Oui, elle m’a téléphoné pendant qu’elle conduisait, ils dormaient tous et elle avait un coup de fatigue.
Je repense à la piscine et nos ébats joignants Gabriel à nos jeux, elle était parfaitement réveillée.
C’est vrai que lorsque j’ai quitté la villa, tous étaient partis dormir.
• Elle m’a parlé de son, comment pourrait-on l’appeler...
• Son beau-frère, ils sortent tous les deux, Pierre et Victor du même moule, même si celui-ci est définitivement cassé.
• Tu as raison, mais c’est bizarre d’avoir fait cette découverte, les gens se comportent bizarrement dans la vie.
Je suis à deux doigts de lui dire qu’elle aussi est bizarre, faire des films sur la nature ou les méfaits de l’homme sur cette dernière et avoir pu s’acheter un petit yacht, ça aussi c’est plutôt bizarre.
Maman m’a toujours dit, tourne ta langue dans ta bouche avant de parler, sinon savonne toi là.
• As-tu le temps de nous aider ?
J’ai un membre de mon équipe qui est empêché et ça limite la sécurité des plongeurs, tu verras si l’apnée c’est nouveau pour toi, c’est plus facile que la plongée avec bouteilles.
Il est de ta taille et cette combinaison t’ira très bien, à moins que la natation et toi fasse deux, chez Nadia, nous avons fait un autre sport que celui pratiqué chez les Manaudou.
• Sans problème, même si je vais moins vite que Florent, le frère de Laure, par compte, l’apnée je vais découvrir.
C’est à ce moment que j’entends des motos s’arrêter en haut du ponton.
• Voilà mon équipe, entre dans la cabine pour te changer lorsqu’ils nous auront rejoints.
Deux filles, deux garçons, j’ai déjà vu l’une des filles.
• Je vais faire les présentations, Isabelle et Adrien son copain, ils sont venus malgré le repas en famille que leurs parents donnent pour leurs fiançailles ce soir.
Ariane et Jean-François.
Tous ont enlevé leur casque, je reconnais Ariane.
• Vous êtes la fille d’Annie, la jeune femme qui tient la boutique de vêtements de sport en ville ?
Je suis à deux doigts de faire, un imper, malgré le casque qu’il portait, Jean-François qui se tient à côté d’Ariane, est plus massif que le motard qu’elle a embrassé devant la boutique de sa mère.
• Oui, je suis sa fille, je vois que tu as tiqué lorsque Éloise t’a présenté Jean-François.
Ta discrétion t’honore, comment t’appelles-tu ?
• Christian !
• Ok, Jean-François est un poteau, alors que tu m’as vu avec ce connard de Joseph, je l’ai largué hier, il avait des vues sur ma mère.
Il s’est vanté d’avoir baisé la fille et de vouloir se faire la mère.
Il serait tombé sur un bec, maman vit avec policier de la ville et ils sont très amoureux, ils parlent de mariage.
Une nouvelle fois, maman et sa langue à tourner plusieurs fois me revient en mémoire.
Je suis à deux doigts de l’interrompre pour lui donner le nom de Roland, qu’Annie m’a donné avant que je la baise.
Sait-elle que sa gentille maman se fait mettre un jouet intime dans le trou de bal afin de penser à lui toute la journée et que malgré le soi-disant amour de sa vie, je lui ai bourré la chatte sur les cartons qu’elle avait reçus ?
Il vaut mieux que je garde cela pour moi, inutile d’ajouter des problèmes à Ariane sur la fidélité de sa mère.
Si Joseph avait tenté sa chance auprès d’Annie, en venant acheter des chaussures, je pense qu’il se serait retrouvé dans l’arrière-boutique à la retenir lorsqu’elle serait tombée dans ses bras.
Nous passons dans la cabine et sans plus de manières, tous se mettent à poil afin d’enfiler leur combinaison.
Il va sans dire que je me rince l’œil, non les deux, deux nanas, une blonde avec sa toison jaune paille et Ariane la rousse avec sa toison conservée d’une couleur flamboyante.
Hélas, les choses s’arrêtent là, les deux filles et les deux garçons enfilent leur combinaison comme je le fais moi aussi.
Je prends mon temps lorsque mes attributs libres surtout que si je matte, je suis matté par les yeux de trois personnes, Éloise malgré qu’elle m’ait sucé, semble toujours intéressé.
Non quatre, je comprends lorsque Jean-François s’adresse à Éloise.
Quant à Adrien, il semble être obnubilé par Isabelle sa copine
• Bon moi, je reste sur le quai, avec cette paire de gants et je tire sur la corde lorsque vous l’avez attachée à un objet lourd et je les porte au bout du quai dans cette benne !
Écrit, ça semble normal, mais dit comme le dit Jean-François avec les intonations de sa voix, on comprend pourquoi c’est moi qu’il matte !
Jean-François semble être ce que je dirais être un homo, « comme ils disent. »
Me matter ça passe, mais venir essayer de me pécho, cette grande tarlouse est bien là ou il est.
Pardon pour le mot « tarlouse, » mais dans mon bahut, Gabriel timide avant que je l’aborde et soit seulement son ami, était un peu considéré comme un garçon ayant des mœurs divergentes.
Pour Gabriel, Jennifer, sa copine Christine et Lauriane m’ont prouvé que de ce côté tous faisaient fausse route.
Merde, avec Lauriane sur sa terrasse, j’étais prêt à la sodomiser si Gabriel avait hésité à la prendre pour une double pénétration.
Et pour appuyer mes doutes, si Roland le flic avait laissé libre l’anus d’Annie, l’aurais-je sodomisée à la place de ce plug obstruant son fondement ?
Serais-je moi aussi attiré par ce genre de mœurs, je me secoue afin d’effacer de ma vision, la verge de ce bellâtre entrant dans ma bouche.
Une fois prêts, tous, nous descendons la coupée, allant sur le quai avec masque, un tuba et de courte palmes.
Éloise nous en a fait mettre des petites afin d’éviter de faire trop bouger la vase nous obstruant rapidement la vue dans ce vieux port.
Pour sa part, elle a avec elle une mini caméra étanche.
Ça peut paraitre drôle, j’en ai déjà vu le midi à la télé gagné par un candidat dans un de ces jeux que ma mère adore regarder, faisant pester mon père qui lorsqu’il est là veut regarder les chaînes d’infos.
J’ai réglé le litige, l’un et l’autre me gavant, jusqu’à midi, info et à partir de là jeux.
Même s’ils continuent à faire la gueule, chaque fois que l’un ou l’autre a le dos tourné, ils appuient sur la télécommande.
Je suis obligé de la garder près de moi.
Je manque de me casser la figure, Jean-François me rattrape dans ses bras virils.
• Oh ! mon dieu tu as failli tomber à l’eau !
J’ai envie de lui dire pauvre con, je vais le faire dans deux minutes et je suis protégé par une combinaison.
Ce grand garçon m’a rendu service qu’est que j’ai dit sur ma langue tournant dans ma bouche, pourquoi dis-je « pauvre con ? »
Pendant une heure, je plonge avec mon tuba dans ma bouche, heureusement que nous aussi nous sommes gantés, couche de bébé en décomposition.
Bouteille de plastique ou canette en alu, que j’apporte à Jean-François en même temps qu’Ariane, Éloise tournant autour de nous et Isabelle semblant se rapprocher de moi.
Malgré le fait de faire attention, la visibilité est vite impossible lorsque d’un coup je perds une palme en tapant dans un objet dur.
Ce fait va déclencher des situations qui vont nous entrainer dans une suite de découvertes toutes plus étranges les unes que les autres...
Fin de cinq chapitres, la suite dans quelques jours, le temps de les coucher dans mon ordinateur.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quatre cinq jours et il revient pour la fin de ses vacances
J'adore tes histoires, toujours des surprises fantasques et originales...
Tout est ouvert pour la suite...
Merci Chris et à très bientôt Christian 😘
Cyrille
Tout est ouvert pour la suite...
Merci Chris et à très bientôt Christian 😘
Cyrille