COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (26/30)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (26/30) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (26/30)
Je suis de retour, vous vous souvenez, Christian, le beau gosse qui est venu sur la côte avec son copain Gabriel pour aider sa sœur à réussir son bac après de nombreuses mauvaises notes en mathématiques pour la préparation des études de la nouvelle année si importante pour elle et son avenir.
Lorsque je dis la côte, c’est celle de la Méditerranée, Pierre et Nadia sa jeune femme ayant une magnifique villa sur les hauteurs de Cannes.
Nadia femme me paraissant inaccessible, l’était moins que penser, le couple s’étant rencontré dans une soirée libertine, libertinage qu’elle pratiquait depuis qu’elle est devenue femme.
Ses parents pratiquant l’amour libre, elle a suivi le chemin et s’est donnée à moi comme l’a fait depuis plusieurs autres de ces jeunes femmes sur cette côte où un grand nombre semble être très portées sur le cul.
Ces femmes me font passer mes premières vacances de rêve.
Éloise fait partie des femmes que j’ai ou bien qui m’ont séduite, là encore avec Nadia me faisant découvrir que l’on peut gagner des millions grâce à des vidéos sponsorisées par de grandes marques.
La spécialité de cette « youtubeuse, » dit aussi « influenceuse, » c’est la plongée sous-marine qui cartonne sur les réseaux avec des millions de followers.
Un rien peut faire un succès rapportant gros, comme le travail que je l’aide à faire cette après-midi.
À plusieurs dont Ariane la fille d’Annie la commerçante de la rue piétonne que j’ai elle aussi séduite.
Que j’ai séduite, je m’avance, il est plus probable que c’était-elle, qui l’ait fait en simulant une chute dans mes bras sous couvert d’attraper des chaussures de sport taille 42 qui existait en ses rayons.
Ariane, je l’ai vu mettre un casque sur sa chevelure rousse et monter derrière un garçon, qu’Annie sa mère m’a dit être son fiancé.
L’eau dans le gaz entre ces jeunes gens a libéré une place qu’Éloise me propose dans son équipe de nettoyage du vieux port en faisant de la plongée en apnée et une vidéo qu’elle publiera pour lui faire gagner de l’argent.
J’ai déjà sorti un tas de merde, du style couche pour bébé, aux vélos en libres services de la ville plus facile à balancer à la flotte que de les remettre à leur place dans le parc prévu à cet effet.
Une bonne partie du temps, Ariane ayant viré celui dont sa mère doit ignoré qu’il la convoitait a plongé avec moi.
Je me rends compte de l’intérêt que me porte la jeune rousse, mais si les choses se présentent favorablement, maintenant que nous nous connaissons, aurais-je ce qui peut être pris pour du courage de la baiser après sa mère.
Il est vrai que l’état de certains des cartons qu’un livreur lui avait livré, peut montrer que la petite est loin d’être farouche.
Le soi-disant fiancé, viré l’a peut-être été, certes car il voulait baiser la mère, mais aussi pour retrouver une certaine liberté côté sexe.
Ce qui est certain c’est que le peu de temps où nous nous sommes croisés et le moment où elle m’a viré, je suis étranger à cette rupture.
Si ça avait été elle que j’avais défoncée dans cette remise, tout aurait été possible dans ces vacances de rêve.

Mon travail étant presque terminé, je m’apprête à sortir de l’eau lorsque venant près du quai, ma palme accroche un objet très lourd.
J’enlève mon tuba de ma bouche et j’apostrophe Jean-François qui est resté sur le quai.

• Envoi moi une corde, je viens de trouver un objet très lourd, je vais sortir pour t’aider à le remonter sur le quai, à toi tous seul, malgré tes gros bras tu seras dans l’incapacité de tout remonter.
• Stop, on arrête tous, laissez reposer la vase, je vais chercher à voir ce qui te semble si lourd Christian.
J’ai l’autorisation de la mairie et de la police pour cette opération, mais nous devons prévenir si nous trouvons quelque chose d’insolite.
Il y a eu la guerre ici et quelques fois, des obus de cette guerre ressortent du fond de l’eau ou ils ont été oubliés.

J’ai peur de rien, quoique, si mon pied a tapé un obus de la dernière guerre, j’aie tout de même un peu les pétoches.
Nous sortons de l’eau, intrépide, il faut l’être, mais faire joujou avec des engins de guerre très peu pour moi, je tiens à rester entier jusqu’à la fin de ces vacances.
Éloise l’intrépidité elle connaît, plonger parmi les requins ou avec une maman baleine et jouer avec son petit baleineau, c’est soit du courage soit de l’inconscience.

• C’est bon, soyez détendu, j’ai vu un guidon, de ce qui doit être une grosse moto enfoncée dans la vase.
Mais c’est tout de même un objet insolite, qui a pu fait plonger une grosse moto dans l’eau d’un port pour la laver, je vais prévenir les autorités qui vont faire le nécessaire.

Elle remonte à bord, sans saluer le drapeau, elle fera huit jours de prison.
Un peu d’humour dans ce monde si brutal, ça détend, surtout après le grand stresse que nous avons traversés pensant avoir affaire à une bombe.
J’entends une voiture de police et l’agent que j’ai vus devant le commissariat nous rejoint sur le quai.

• Ariane, tu es là, c’est toi qui as trouvé la moto ?
• Non, Roland, c’est Christian, sa palme ayant tapé dessus, il voulait la remonter avec Jean-François.

Un peu vieille folle, avec les mimiques que font les homos lorsqu’il s’explique, Jean-François prend la parole.

• Tu te rends compte Roland si ça avait été une bombe, nous aurions tous sauté.
Demain, j’aurai fait la première page de Nice-matin, je serais devenu célèbre.
• Jean-François ici en ville si quelqu’un est célèbre, c’est toi, inutile que tu te disloques pour le devenir d’avantage, reste comme tu es !
• Tu es gentil Roland, dommage que tu te sois mis avec la maman d’Ariane, je t’aurais invité ce soir au restaurant tu es chou.

C’est à ce moment qu’une deuxième voiture de police arrive, gyrophare allumé et alarme sonore à fond la caisse.
Du quai, je vois descendre Éliot Ness cette fois avec son Borsalino sur la tête.

• Tu es là Christian, c’est très bien de participer au nettoyage du vieux port, alors qu’avez-vous trouvé, on m’a parlé d’une moto ?
• Oui, j’ai vu le guidon le reste étant dans la vase.
• Roland, aller voir la capitainerie, qu’ils viennent pour faire fonctionner la grue servant à sortir les bateaux de l’eau, nous allons gagner du temps !
• Commissaire, vous vous connaissez avec Christian, vous l’appelez par son petit nom !

J’ai un instant de panique, Michelle va-t-elle dire que nous nous connaissons et sommes devenus amants !

• Éloise, oui je connais Christian, il a trouvé un portefeuille dans un caniveau non loin d’ici, volé par les petites frappes de pickpocket qui sévissent en ville.
En bon citoyen, il nous l’a rapporté, nous avons convoqué son propriétaire, qui a été très agressif, mais j’ai réussi à calmer le jeu et tout est rentré dans l’ordre.
• Madame la commissaire, est-il possible de faire attacher cette moto que je la remonte, je fini mon service dans quelques minutes et vous connaissez Germaine, c’est son anniversaire, si j’ai le moindre retard, je suis mort.
• Tu as raison Gaspard, ta bourgeoise est du genre pète-sec, bien des gens te connaissant se demandent comment tu fais pour rester avec elle !
• L’habitude, madame la commissaire, l’habitude et surtout des moments cachés qui me font tenir le choc, en tête à tête, elle a de bons moments, vous faut-il un dessin !

Le capitaine du port semble dire que sa femme est comme bien de celle que je rencontre depuis ma venue dans la villa pour les vacances que sa femme est, elle aussi, portée sur le cul qui semble régire les gens sur la côte.
Avec Éloise, nous sautons dans l’eau et très rapidement la corde que je tiens enserre le guidon de la moto.
Tout en nous maintenant ç la surface nous faisons signe à Gaspard de faire fonctionner le treuil et nous voyons sortir de l’eau une moto rouge qu’il finit par reposer sur le quai.
Nous sortons de l’eau, c’est à ce moment qu’Éliot Ness semble avoir une intuition.

• Roland en mars, le braquage du salon de l’alliance, la moto de celui qui l’a braqué, était de quelle couleur d’après les témoins dans le rapport que vous avez rédigé ?
• Rouge, madame, je suis formel, rouge de marque Kawasaki ninja 1000, le braqueur avait un flingue et un casque rouge comme sa moto.
Cette dernière avait été volée la veille du braquage, devant la mairie, là où il y avait une caméra détériorée par de petits voyous.
• Ou par le braqueur avant de voler cette moto.
• Et il court toujours, nous avons perdu sa trace sans pensé qu’il l’avait jetée au fond du vieux port.
Il faut trouver comment il a pu disparaitre après l’avoir balancé là où nous venons de la retrouver.
• Michelle, loin de moi l’envie de m’initier dans ton enquête, mais un port, une moto jetée, il est possible que le voleur eût prévu une embarcation qui l’attendait pour l’aider à disparaitre des lieux de son attaque.
Un tel casse se prépare, il y a une caméra au bout de ce quai, il y a longtemps qu’elle est là !
• Vous pouvez avoir raison jeune homme, cette caméra a été placée le 13 mars deux jours avant le casse du salon.

C’est Roland qui vient de prendre la parole, il a dû mener l’enquête avec ma maitresse.

• Merci capitaine, vous pouvez rejoindre votre femme, nous nous occupons du reste, Roland pouvez-vous aller voir les bandes vidéo au centre de sécurité.
Notre voleur peut avoir fait un repérage avant sa mise en place et apparaitre lors de sa fuite.
La mer, c’est un bon plan pour brouiller les pistes et accoster ou il veut le long de la côte, côté Italie ou côté Saint-Raphaël, sans éveiller les soupçons !

Le policier quitte le quai, j’ignore de combien était le vol, à Paris si les journaux ont parlé du casse, mes études ont fait que cette information est restée loin de moi.
Foutre à la flotte une telle moto, ça a dû lui rapporter gros.
Un temps d’attente et Michelle reçoit un appel sur le portable qu’elle tient en main, alors qu’il y a peu chez elle s’était ma bite qu’elle tenait.
Elle s’éloigne pour entendre, nous coupant des renseignements que le flic en tenue a récoltés, mais elle vient revient vers moi.

• Tu avais raison Christian, un petit hors-bord se trouvait amarré à la place du yacht d’Éloise qui était en mer.
• Oui, j’étais parti filmer les pingouins dans leur environnement au pôle Nord.
• Regarde la photo que m’envoi mon adjoint Christian, le monde est petit...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Merci Chris pour cette histoire pleine de rebondissement...

Cyrille



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