COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (28/30)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (28/30)
Lorsque des bras m’enserrent.
J’ai un moment de panique, mon suborneur m’aurait-il suivi !
Non un doux parfum arrive à mes narines, Nadia est derrière moi et me fait sentir ses seins de femmes appliquées sur mon dos.
Ça me fait bander de nouveau, mais pour la bonne cause cette fois-ci, du moins je veux le croire.
• Tu sembles tendu Christian, moi je suis reposée après ces heures de conduite, autant j’aime rouler au volant de ma petite Mercedes, mais la grosse berline de Pierre me fatigue malgré toutes les options d’aide.
• Nadia, dis-moi suis-je homosexuel ?
• Ce que je sens dans ma main au travers de ton pantalon, me prouverait que non, mais je sens que tu sors d’une situation qui t’a troublé.
Dis-moi, je peux peut-être t’aider ?
• Connais-tu Jean-François le copain d’Ariane la fille d’Annie qui tient la boutique où tu m’as conduit pour refaire ma garde robe ?
• Directement non, j’en ai entendu parlé, pourquoi tu as eu affaire à lui ?
Je raconte le plus simplement possible une partie de ma journée lorsqu’ils sont tous allés se reposer de leur voyage.
J’oublie volontairement Françoise rencontré devant la librairie principale, elle a peu d’intérêt dans la suite de mon histoire.
J’arrive au remplacement de Joseph le fiancé d’Ariane que j’ai remplacé jusqu’à ce que nous ayons cru à une bombe dans le port et pour finir, le Jacuzzi et le grand lit.
• Tu te rends compte, je l’ai laissé me sucer et j’ai même éjaculé dans sa bouche sans pouvoir me retenir !
Je suis un PD qui s’ignore, Nadia !
Mon amie et maîtresse, je devrais dire l’une de mes nombreuses maîtresses, depuis qu’avec Pierre, ils m’ont conduit sur la côte, commence à éclater de rire.
• Christian, crois en mon expérience et tu sais comme elle est grande !
À ce que j’en sais, Jean-François est un parfait homo qui a du mal à s’assumer, bien que sa façon d’être et de se comporter en atteste.
Pierre mon mari est-il homo, car on dit homo évitant de parler de PD, ce qui se traduit par pédéraste ?
• Aux dernières nouvelles, il t’aime et aime les femmes, à ce jour à aucun moment il m’a montré de tels signes.
• Avant d’apprendre que sa maman était morte et nous laisse Victor dont il se sent obligé de s’occuper, nous sommes allés à une soirée échangiste pendant qu’avec les enfants Valentine prenait sa première cuite à la discothèque où tu étais censé les surveiller ?
Inutile de te disculper, j’ai moi aussi pris des cuites lorsque mes parents m’ont laissé la bride sur le cou, je sais que lorsque l’on décide de boire, rien ou personne peut vous en dissuader, toi tu es rentré sobre.
À cette partouze, pour la première fois, j’ai vu Pierre enculer un autre homme dans la piscine de la résidence où nous étions.
Ça s’est fait naturellement, sans que pour autant ce soit un homo, dès notre retour il m’a fait l’amour, certes il m’a enculé, mais à ma demande, j’adore me faire sodomiser.
Suis-je une homosexuelle femelle lorsqu’un mec me met sa bite dans le cul ?
Nadia passe devant moi, je bande, elle sort ma bite qui est dure malgré que j’ai éjaculé dans la bouche de Jean-François ?
Elle place un pied sur le plan de travail libérant son anus plus facile à atteindre.
• Christian, j’aime les PD qui m’enculent, prends-moi bien profond !
Je deviens comme fou, je crache sur ma verge, qui à ce moment est tendue au maximum.
Elle est gorgée de sang et sans attendre je la pénètre, lui laissant échapper un « ah ! » de plaisir lorsque sa tête et sa gorge partent en arrière sous mon assaut impétueux.
Est-ce que je veux me laver de ma faiblesse d’un court moment avec Jean-François, mais mes coups de reins pour pilonner celle qui se donne et que j’ai plaisir à prendre parmi toutes ces femmes qui m’offrent leur amour.
Je dois reconnaitre, alors que je redouble mes coups de bite que Nadia parmi ces femmes a une place privilégiée.
Plus je fourre Nadia, plus je me sens lavé d’avoir cédé à ce garçon, est-ce de la compassion pour ce qu’il est, je préfère l’ignorer et passer à une autre chose.
Je sors ma bite pour la replonger de façon plus normale dans la chatte qui découline de mouille, j’ai l’impression d’entrer dans un puits sans fond.
Nadia accepte mon offrande lorsque épuisé je lâche mon sperme comme si c’était la première fois depuis des lustres.
Ça fait bien longtemps qu’elle hurle son plaisir risquant de réveiller le reste de ceux qui sont dans la maison.
Elle finit par reprendre son souffle et pied sur terre.
• Eh bien, mon bel amant, ta rancœur était immense et c’est mon cul et ma chatte qui ont été ton exécutoire !
Recommence à te faire sucer et dès que c’est terminé, vient me voir, je serais toujours là pour effacer tes idées noires après le pied que je viens de prendre.
Je vais me coucher, tu serais capable de me reprendre de nouveau et je serais dans l’incapacité de le supporter, j’ai cru sentir mon cœur éclater sous ma jouissance.
Je laisse Nadia partir, magnifique dans sa nudité, je suis heureux de l’avoir baisé, me prouvant pour autant que je suis un putain de sexe sur pied, même si j’ai un instant aimé remplir la bouche de ce garçon.
Je finis mon sandwich abandonné sur le plan de travail ou je viens de sauter celle que j’aurais été prêt à demander en mariage, si elle avait été libre, avant de sortir sur la terrasse et plonger une tête dans la piscine.
Le froid de l’eau malgré les 27 à 28° qu’elle doit afficher me lave définitivement la tête, je redeviens le temps d’un instant le sérial baiseur que j’aurais dû rester tout au long de mes premières vacances de rêve.
• Christian, réveille-toi, tu es célèbre regarde le journal de ce matin.
Merde, quelques minutes à reprendre pied, ce réveil en fanfare est un peu surprenant.
C’est pourtant vrai que lorsque je suis monté me coucher, j’ai oublié que ma petite peste est de retour et j’ai fermé ma porte sans la bloquer.
Valentine est sur moi brandissant dans ses deux mains Nice-matin.
Jean-François a parlé de première page, c’est la moto sur le quai couverte de boue qui l’a fait avec une autre photo où je reconnais Guillaume D. les mains attaché dans le dos entouré de flics en armes et cagoulé comme le sont les hommes du GIGN pour éviter qu’ils soient reconnus.
Le titre en gros.
« Le braqueur du salon des alliances arrêté grâce à une caméra de surveillance et la clairvoyance d’un jeune vacancier. »
• Tu sens mon chéri, je suis raisonnable, lorsque je suis rentré dans ta chambre, tu étais nu sur ton lit.
Tu bandais, sens ma chatte sur ta verge, si je me relève, je me dépucelle.
• Arrête tes conneries, celui qui te dépucèlera ce sera celui qui te demandera en mariage, et moi les pestes comme toi, tu sais où je me les mets.
• Chiche ?
• Dégage, laisse-moi le journal que je regarde ce qui est dit.
• En page 2, le journaliste appelé sur les lieux site ton nom sans ta photo, il y a celle d’une commissaire de police qui explique votre travail dans le vieux port et la moto que tu aurais retrouvé.
Tu te rends compte, le braqueur se serait enfui avec un hors-bord vers le large avant de rejoindre la côte et de disparaitre.
J’arrive à me dégager de Valentine sans pour autant rentrer ma verge dans sa petite chatte avant de lire l’article en page 2.
Tout est dit, même plus que ce que je sais, après mon départ et l’éjaculation de ma bite dans la bouche de Jean-François, l’affaire à continuer.
Le braqueur a avoué à qui il avait fourgué son butin et qui lui aussi a été arrêté.
Chez lui, les bijoux ont été retrouvés et cher le braqueur 400 000 € en coupure de 200 € que son braquage lui aurait rapportés.
Ça devait m’apporter bien des surprises...
J’ai un moment de panique, mon suborneur m’aurait-il suivi !
Non un doux parfum arrive à mes narines, Nadia est derrière moi et me fait sentir ses seins de femmes appliquées sur mon dos.
Ça me fait bander de nouveau, mais pour la bonne cause cette fois-ci, du moins je veux le croire.
• Tu sembles tendu Christian, moi je suis reposée après ces heures de conduite, autant j’aime rouler au volant de ma petite Mercedes, mais la grosse berline de Pierre me fatigue malgré toutes les options d’aide.
• Nadia, dis-moi suis-je homosexuel ?
• Ce que je sens dans ma main au travers de ton pantalon, me prouverait que non, mais je sens que tu sors d’une situation qui t’a troublé.
Dis-moi, je peux peut-être t’aider ?
• Connais-tu Jean-François le copain d’Ariane la fille d’Annie qui tient la boutique où tu m’as conduit pour refaire ma garde robe ?
• Directement non, j’en ai entendu parlé, pourquoi tu as eu affaire à lui ?
Je raconte le plus simplement possible une partie de ma journée lorsqu’ils sont tous allés se reposer de leur voyage.
J’oublie volontairement Françoise rencontré devant la librairie principale, elle a peu d’intérêt dans la suite de mon histoire.
J’arrive au remplacement de Joseph le fiancé d’Ariane que j’ai remplacé jusqu’à ce que nous ayons cru à une bombe dans le port et pour finir, le Jacuzzi et le grand lit.
• Tu te rends compte, je l’ai laissé me sucer et j’ai même éjaculé dans sa bouche sans pouvoir me retenir !
Je suis un PD qui s’ignore, Nadia !
Mon amie et maîtresse, je devrais dire l’une de mes nombreuses maîtresses, depuis qu’avec Pierre, ils m’ont conduit sur la côte, commence à éclater de rire.
• Christian, crois en mon expérience et tu sais comme elle est grande !
À ce que j’en sais, Jean-François est un parfait homo qui a du mal à s’assumer, bien que sa façon d’être et de se comporter en atteste.
Pierre mon mari est-il homo, car on dit homo évitant de parler de PD, ce qui se traduit par pédéraste ?
• Aux dernières nouvelles, il t’aime et aime les femmes, à ce jour à aucun moment il m’a montré de tels signes.
• Avant d’apprendre que sa maman était morte et nous laisse Victor dont il se sent obligé de s’occuper, nous sommes allés à une soirée échangiste pendant qu’avec les enfants Valentine prenait sa première cuite à la discothèque où tu étais censé les surveiller ?
Inutile de te disculper, j’ai moi aussi pris des cuites lorsque mes parents m’ont laissé la bride sur le cou, je sais que lorsque l’on décide de boire, rien ou personne peut vous en dissuader, toi tu es rentré sobre.
À cette partouze, pour la première fois, j’ai vu Pierre enculer un autre homme dans la piscine de la résidence où nous étions.
Ça s’est fait naturellement, sans que pour autant ce soit un homo, dès notre retour il m’a fait l’amour, certes il m’a enculé, mais à ma demande, j’adore me faire sodomiser.
Suis-je une homosexuelle femelle lorsqu’un mec me met sa bite dans le cul ?
Nadia passe devant moi, je bande, elle sort ma bite qui est dure malgré que j’ai éjaculé dans la bouche de Jean-François ?
Elle place un pied sur le plan de travail libérant son anus plus facile à atteindre.
• Christian, j’aime les PD qui m’enculent, prends-moi bien profond !
Je deviens comme fou, je crache sur ma verge, qui à ce moment est tendue au maximum.
Elle est gorgée de sang et sans attendre je la pénètre, lui laissant échapper un « ah ! » de plaisir lorsque sa tête et sa gorge partent en arrière sous mon assaut impétueux.
Est-ce que je veux me laver de ma faiblesse d’un court moment avec Jean-François, mais mes coups de reins pour pilonner celle qui se donne et que j’ai plaisir à prendre parmi toutes ces femmes qui m’offrent leur amour.
Je dois reconnaitre, alors que je redouble mes coups de bite que Nadia parmi ces femmes a une place privilégiée.
Plus je fourre Nadia, plus je me sens lavé d’avoir cédé à ce garçon, est-ce de la compassion pour ce qu’il est, je préfère l’ignorer et passer à une autre chose.
Je sors ma bite pour la replonger de façon plus normale dans la chatte qui découline de mouille, j’ai l’impression d’entrer dans un puits sans fond.
Nadia accepte mon offrande lorsque épuisé je lâche mon sperme comme si c’était la première fois depuis des lustres.
Ça fait bien longtemps qu’elle hurle son plaisir risquant de réveiller le reste de ceux qui sont dans la maison.
Elle finit par reprendre son souffle et pied sur terre.
• Eh bien, mon bel amant, ta rancœur était immense et c’est mon cul et ma chatte qui ont été ton exécutoire !
Recommence à te faire sucer et dès que c’est terminé, vient me voir, je serais toujours là pour effacer tes idées noires après le pied que je viens de prendre.
Je vais me coucher, tu serais capable de me reprendre de nouveau et je serais dans l’incapacité de le supporter, j’ai cru sentir mon cœur éclater sous ma jouissance.
Je laisse Nadia partir, magnifique dans sa nudité, je suis heureux de l’avoir baisé, me prouvant pour autant que je suis un putain de sexe sur pied, même si j’ai un instant aimé remplir la bouche de ce garçon.
Je finis mon sandwich abandonné sur le plan de travail ou je viens de sauter celle que j’aurais été prêt à demander en mariage, si elle avait été libre, avant de sortir sur la terrasse et plonger une tête dans la piscine.
Le froid de l’eau malgré les 27 à 28° qu’elle doit afficher me lave définitivement la tête, je redeviens le temps d’un instant le sérial baiseur que j’aurais dû rester tout au long de mes premières vacances de rêve.
• Christian, réveille-toi, tu es célèbre regarde le journal de ce matin.
Merde, quelques minutes à reprendre pied, ce réveil en fanfare est un peu surprenant.
C’est pourtant vrai que lorsque je suis monté me coucher, j’ai oublié que ma petite peste est de retour et j’ai fermé ma porte sans la bloquer.
Valentine est sur moi brandissant dans ses deux mains Nice-matin.
Jean-François a parlé de première page, c’est la moto sur le quai couverte de boue qui l’a fait avec une autre photo où je reconnais Guillaume D. les mains attaché dans le dos entouré de flics en armes et cagoulé comme le sont les hommes du GIGN pour éviter qu’ils soient reconnus.
Le titre en gros.
« Le braqueur du salon des alliances arrêté grâce à une caméra de surveillance et la clairvoyance d’un jeune vacancier. »
• Tu sens mon chéri, je suis raisonnable, lorsque je suis rentré dans ta chambre, tu étais nu sur ton lit.
Tu bandais, sens ma chatte sur ta verge, si je me relève, je me dépucelle.
• Arrête tes conneries, celui qui te dépucèlera ce sera celui qui te demandera en mariage, et moi les pestes comme toi, tu sais où je me les mets.
• Chiche ?
• Dégage, laisse-moi le journal que je regarde ce qui est dit.
• En page 2, le journaliste appelé sur les lieux site ton nom sans ta photo, il y a celle d’une commissaire de police qui explique votre travail dans le vieux port et la moto que tu aurais retrouvé.
Tu te rends compte, le braqueur se serait enfui avec un hors-bord vers le large avant de rejoindre la côte et de disparaitre.
J’arrive à me dégager de Valentine sans pour autant rentrer ma verge dans sa petite chatte avant de lire l’article en page 2.
Tout est dit, même plus que ce que je sais, après mon départ et l’éjaculation de ma bite dans la bouche de Jean-François, l’affaire à continuer.
Le braqueur a avoué à qui il avait fourgué son butin et qui lui aussi a été arrêté.
Chez lui, les bijoux ont été retrouvés et cher le braqueur 400 000 € en coupure de 200 € que son braquage lui aurait rapportés.
Ça devait m’apporter bien des surprises...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Charlotte, oui au début j'avais dit 20 chapitres mais au fur et a mesure que j'écrivais 10 chapitres ce sont rajouter l'histoire est en 30 chapitres encore 2
Elle est à rallonge cette histoire non ? il n'avait pas autant de chapitre prévu?
J'adore ce questionnement typiquement masculin, de la crainte de l'homosexualité.
On aime que les femmes le soient mais pour nous c'est taboo...
Enfin...
Maintenant pour Christian, il faudra gérer le retour de la pucelle...
Merci encore pour ce texte..
Cyrille
On aime que les femmes le soient mais pour nous c'est taboo...
Enfin...
Maintenant pour Christian, il faudra gérer le retour de la pucelle...
Merci encore pour ce texte..
Cyrille