COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (29/30)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (29/30)
J’avais oublié Valentine la petite peste de cette famille, celle qui veut que je la dépucelle avant la fin des vacances et qui risque de me faire tout perdre, si je la laisse faire.
Ce matin comment lui en vouloir, c’est elle qui m’apporte le journal ou il est dit en page 2 comment j’ai découvert la moto dont la photo est en première page.
Plus tard dans la fin de matinée, je suis dans la piscine avec Gabriel lorsque le portail d’entrée nous fait entendre son grincement lorsqu’il s’ouvre.
Je vois la voiture électrique de Charles entrer suivi d’une voiture qui m’est inconnue.
• Papa m’avais promis de m’offrir la voiture dont je révais pour mes dix-huit ans si j’avais mon permis et que je réussisse mon bac avec mention.
Le plus dur ça a été la mention très bien, le reste, j’ai assuré.
Il a tenu parole malgré la mort de ma grand-mère, regarde Christian le cabriolet décapotable Mercedes de 1986.
Je l’avais vu délabrer dans une grange dans l’arrière-pays avant qu’elle soit rénovée, elle a 177 000 Km, mais en plus de sa carrosserie, le moteur a été refait à neuf.
L’équipe du garage où nous l’avons remorqué, a fait un travail magnifique avec sa couleur gris métal on dirait qu’elle est neuve.
J’ai l’air malin avec ma paire de baskets, mais comme il est dit, « c’est l’intention qui compte. »
• Mon fils, voici la voiture que je t’avais promise, j’ai appelé Nadia, les circonstances font qu’étant en deuil, je lui ai demandé d’annuler la soirée que nous devions faire en ton honneur.
À midi, Georgette a acheté de quoi faire un barbecue près de la piscine, il faut bien continuer à vivre.
C’est lors de ce repas que j’apprends le problème qui s’est fait jour après la mort de cette femme qui aux yeux de la plupart des personnes qui l’ont connu était une salope ayant trompé tout son monde.
Lorsqu’elle a été placée par Pierre en maison de retraite, elle perdait déjà la tête et s’était bien gardé de dire qu’elle avait mis le petit Victor au monde.
Pierre avait investi dans son entreprise les biens vendus après avoir mis en réserve de quoi payer la pension de sa maman pour les années futures.
Pour rendre sa part à ce fils tombé du ciel à la mort de sa mère, devant notaire et avec l’assentiment de Charles pouvant s’il le voulait les foutres tous dans une panade noire, Pierre a signé la prise en charge de Victor jusqu’à sa majorité.
La nouvelle chaine de fabrication qu’il avait en vue de démarrer avant Noël devait largement couvrir les frais de dédommagement.
Le repas d’anniversaire était un peu morne plombé par tous ces évènements.
J’offrir les baskets qui font bon effet, car ici chacun connaissent le peu de moyens que j’ai.
Je passe sous silence la réception d’Annie surtout les moments dans la réserve lorsque Nadia me demande si sa copine m’a fait une remise.
Certes Nadia est échangiste, mais pour ma part mon éducation fait que pour moi certains propos sont difficiles à exprimer.
• Papa, je peux essayer la voiture, j’ai ouvert la capote, j’emmène Christian, nous allons faire un tour sur la croisette.
• Je viens avec vous, moi aussi je veux essayer ta voiture Gabriel.
Je me vois avec Valentine collée à mes basques, j’ai une idée pour m’en sortir.
• Valentine, tu peux venir à la condition de faire deux heures de maths dès notre retour.
• Christian à raison, ma chérie, tous ces évènements ont brisé notre pack concernant tes heures d’étude, je tiens à ce que tu rattrapes ce retard.
• Victor, tu veux venir, ça nous permettra de mieux te connaitre, qu’en penses-tu Gabriel !
Je sens mon copain sur la réserve, mais comme c’est moi qui suggère cette idée, il acquiesce et nous montons tous en voiture.
En parlant de Victor, comme de mon côté les choses se sont précipitées avec l’épisode de la moto dans le vieux port.
J’ai oublié les livres et surtout le papier que j’ai glissé entre deux feuilles d’un des livres qui vont me servir, je l’espère faire évoluer Victor.
Je vais le chercher, mais à mon retour, Pierre et Nadia se sont absentés.
Je le mets dans ma poche, mais avant je lis « impasse des ânes, numéro 23. »
Inutile de chercher cette impasse, je brouille les pistes, inutile que certains d’entre vous habitant à Cannes se précipitent pour aller rencontrer Françoise.
• Sexe.
Ça c’est Victor qui se manifeste lorsque nous longeons la plage ou de nombreuses filles sont en maillot de bain souvent réduit à leur plus simple expression.
Je comprends que je fais fausse route avec Victor, pour lui le mot « sexe » doit vouloir dire « dénudé » comme nous l’étions avec Gabriel et Nadia.
Par compte, « toi copain » il l’a bien dit me rendant pleine de certitude sur ma connivence avec le fils de Charles.
Il redit « sexe » plusieurs fois lorsque nous longeons la côte me confirmant que je dois avoir raison.
Je suis assis à côté de Gabriel à la place du mort comme il est dit souvent.
Sur la banquette arrière, Valentine lunette de soleil sur le nez, a ses cheveux qui volent au vent malgré la chaleur, pas une palme des arbres que nous longeons bougeant.
Victor est derrière moi, j’ai l’impression que Valentine le craint et malgré la vitesse assez faible, elle se tient loin de lui.
C’est drôle la réaction de certains lorsque l’autre est différent d’eux, moi je suis beaucoup plus magnanime.
• Christian, l’impasse des ânes est sur notre gauche.
• Dépose-moi et rentrez, j’ai quelqu’un à voir.
C’est ainsi que je me trouve au pied de l’immeuble à la porte 3 ou je vois le nom de Françoise, je sonne.
• C’est sympa de venir me voir, tu as quelque chose à me demander !
Je me retrouve sur un palier lorsqu’elle me dit ces mots.
Mon amie aussi doit être écrasée la chaleur, elle est en maillot deux pièces, ses bourrelets et ses seins débordant de partout.
Lorsque je rentre dans la salle, la situation est tout autre que celle qu’elle m’avait esquissée devant la librairie.
Un homme dans un fauteuil roulant est installé devant la fenêtre.
• Christian, je t’ai énormément menti lorsque je t’ai vu devant la librairie centrale.
Voici mon mari, il y a deux ans, nous étions allés nous promener dans notre voiture à l’arrière-pays Niçois.
Je la suis vers la cuisine, lorsque je passe près du mari, aucune réaction de sa part alors qu’il semble réveiller.
Elle me montre une chaise, je m’assieds et elle va vers la cafetière après que je lui ai dit en boire.
• Mes enfants à l’arrière faisaient du bruit comme peuvent le faire des enfants en bas âge.
Alain était un hypernerveux et il s’agassait sans pour autant ralentir.
Nous rentrions par l’autoroute, il y avait match de Nice à la télé contre l’équipe de Paris.
Nous étions en retard pour rentrer, mon ainé s’étant éloigné dans des vignes sans que nous l’ayons vu et nous avions mis plus d’une heure à le retrouver.
Alain était fou de rage et s’en prenait à moi alors que mon anxiété était à son paroxysme.
Si un jour tu as des enfants, jamais au grand jamais, je souhaite une telle situation à qui que ce soit.
Je me suis détachée pour pouvoir me retourner.
Je les calmais et c’est à ce moment que tout s’est retrouvé dans le noir.
Lorsque je me suis réveillée à l’hôpital, j’avais été éjecté, mes deux enfants nous avaient quittés et mon mari s’est retrouvé dans l’état où tu l’as vu aujourd’hui.
Tu peux comprendre que mon corps a réagi et c’est dans le chocolat que je me suis réfugié.
J’ai honte de moi d’avoir réagi comme je l’ai fait c’est pour cela que je t’ai menti en ville.
J’ai voulu divorcer pour me reconstruire, mais la loi m’en empêche dans l’état où il est, ma vie s’est arrêtée dès que j’ai compris la misère de ma vie.
J’en veux à mes parents d’avoir voulu venir au soleil alors que j’étais amoureuse de toi Christian.
Françoise, vient de me servir une tasse et est à portée de ma main.
Doucement je lui prends et je l’attire à moi, je me retrouve quelques années en arrière lorsqu’à une seconde près en allant chercher notre pain, mes doigts ont failli lui saisir.
Elle accepte et je me lève pour la prendre dans mes bras.
Elle me regarde étonné certainement de ma réaction et je vois ses yeux s’éclairer comme si la vie redémarrait en elle.
Je l’embrasse tendrement lui prenant un sein nu sous son soutien-gorge.
Je sens qu’elle hésite à se saisir de ma verge qui pourtant demande à s’extraire de mon caleçon et de mon pantalon.
Nos bouches se trouvent et sans penser que son mari même s’il est sans réaction peut entendre ce qui se passe entre sa femme et moi.
Je dois être amorale car la situation insolite me semble normale, je retrouve mes quinze ou seize ans au moment où elle m’a quitté.
La porte de la cuisine étant a porté de mon pied, je la claque au moment où ma main descend vers sa chatte qui se retrouve sous mes doigts.
Je me rassois, tout en baissant son slip de maillot, sa forêt est là, je vois que son renoncement se porte même là où les femmes font ce qu’il faut pour être toujours nickel.
Je baisse la tête, mes lèvres s’avancent vers les siennes qui retrouvent leur usage et recommence à mouiller.
Certes, je dois chercher son clito, mais y arrivant j’arrive à dégager ma verge et sans plus attendre, elle vient s’empaler hurlant un instant.
J’ai peur de l’avoir une nouvelle fois dépucelé et lui avoir fait mal, je vais pour me retirer.
• Non, continu, c’est de plaisir que j’ai hurlé...
Ce matin comment lui en vouloir, c’est elle qui m’apporte le journal ou il est dit en page 2 comment j’ai découvert la moto dont la photo est en première page.
Plus tard dans la fin de matinée, je suis dans la piscine avec Gabriel lorsque le portail d’entrée nous fait entendre son grincement lorsqu’il s’ouvre.
Je vois la voiture électrique de Charles entrer suivi d’une voiture qui m’est inconnue.
• Papa m’avais promis de m’offrir la voiture dont je révais pour mes dix-huit ans si j’avais mon permis et que je réussisse mon bac avec mention.
Le plus dur ça a été la mention très bien, le reste, j’ai assuré.
Il a tenu parole malgré la mort de ma grand-mère, regarde Christian le cabriolet décapotable Mercedes de 1986.
Je l’avais vu délabrer dans une grange dans l’arrière-pays avant qu’elle soit rénovée, elle a 177 000 Km, mais en plus de sa carrosserie, le moteur a été refait à neuf.
L’équipe du garage où nous l’avons remorqué, a fait un travail magnifique avec sa couleur gris métal on dirait qu’elle est neuve.
J’ai l’air malin avec ma paire de baskets, mais comme il est dit, « c’est l’intention qui compte. »
• Mon fils, voici la voiture que je t’avais promise, j’ai appelé Nadia, les circonstances font qu’étant en deuil, je lui ai demandé d’annuler la soirée que nous devions faire en ton honneur.
À midi, Georgette a acheté de quoi faire un barbecue près de la piscine, il faut bien continuer à vivre.
C’est lors de ce repas que j’apprends le problème qui s’est fait jour après la mort de cette femme qui aux yeux de la plupart des personnes qui l’ont connu était une salope ayant trompé tout son monde.
Lorsqu’elle a été placée par Pierre en maison de retraite, elle perdait déjà la tête et s’était bien gardé de dire qu’elle avait mis le petit Victor au monde.
Pierre avait investi dans son entreprise les biens vendus après avoir mis en réserve de quoi payer la pension de sa maman pour les années futures.
Pour rendre sa part à ce fils tombé du ciel à la mort de sa mère, devant notaire et avec l’assentiment de Charles pouvant s’il le voulait les foutres tous dans une panade noire, Pierre a signé la prise en charge de Victor jusqu’à sa majorité.
La nouvelle chaine de fabrication qu’il avait en vue de démarrer avant Noël devait largement couvrir les frais de dédommagement.
Le repas d’anniversaire était un peu morne plombé par tous ces évènements.
J’offrir les baskets qui font bon effet, car ici chacun connaissent le peu de moyens que j’ai.
Je passe sous silence la réception d’Annie surtout les moments dans la réserve lorsque Nadia me demande si sa copine m’a fait une remise.
Certes Nadia est échangiste, mais pour ma part mon éducation fait que pour moi certains propos sont difficiles à exprimer.
• Papa, je peux essayer la voiture, j’ai ouvert la capote, j’emmène Christian, nous allons faire un tour sur la croisette.
• Je viens avec vous, moi aussi je veux essayer ta voiture Gabriel.
Je me vois avec Valentine collée à mes basques, j’ai une idée pour m’en sortir.
• Valentine, tu peux venir à la condition de faire deux heures de maths dès notre retour.
• Christian à raison, ma chérie, tous ces évènements ont brisé notre pack concernant tes heures d’étude, je tiens à ce que tu rattrapes ce retard.
• Victor, tu veux venir, ça nous permettra de mieux te connaitre, qu’en penses-tu Gabriel !
Je sens mon copain sur la réserve, mais comme c’est moi qui suggère cette idée, il acquiesce et nous montons tous en voiture.
En parlant de Victor, comme de mon côté les choses se sont précipitées avec l’épisode de la moto dans le vieux port.
J’ai oublié les livres et surtout le papier que j’ai glissé entre deux feuilles d’un des livres qui vont me servir, je l’espère faire évoluer Victor.
Je vais le chercher, mais à mon retour, Pierre et Nadia se sont absentés.
Je le mets dans ma poche, mais avant je lis « impasse des ânes, numéro 23. »
Inutile de chercher cette impasse, je brouille les pistes, inutile que certains d’entre vous habitant à Cannes se précipitent pour aller rencontrer Françoise.
• Sexe.
Ça c’est Victor qui se manifeste lorsque nous longeons la plage ou de nombreuses filles sont en maillot de bain souvent réduit à leur plus simple expression.
Je comprends que je fais fausse route avec Victor, pour lui le mot « sexe » doit vouloir dire « dénudé » comme nous l’étions avec Gabriel et Nadia.
Par compte, « toi copain » il l’a bien dit me rendant pleine de certitude sur ma connivence avec le fils de Charles.
Il redit « sexe » plusieurs fois lorsque nous longeons la côte me confirmant que je dois avoir raison.
Je suis assis à côté de Gabriel à la place du mort comme il est dit souvent.
Sur la banquette arrière, Valentine lunette de soleil sur le nez, a ses cheveux qui volent au vent malgré la chaleur, pas une palme des arbres que nous longeons bougeant.
Victor est derrière moi, j’ai l’impression que Valentine le craint et malgré la vitesse assez faible, elle se tient loin de lui.
C’est drôle la réaction de certains lorsque l’autre est différent d’eux, moi je suis beaucoup plus magnanime.
• Christian, l’impasse des ânes est sur notre gauche.
• Dépose-moi et rentrez, j’ai quelqu’un à voir.
C’est ainsi que je me trouve au pied de l’immeuble à la porte 3 ou je vois le nom de Françoise, je sonne.
• C’est sympa de venir me voir, tu as quelque chose à me demander !
Je me retrouve sur un palier lorsqu’elle me dit ces mots.
Mon amie aussi doit être écrasée la chaleur, elle est en maillot deux pièces, ses bourrelets et ses seins débordant de partout.
Lorsque je rentre dans la salle, la situation est tout autre que celle qu’elle m’avait esquissée devant la librairie.
Un homme dans un fauteuil roulant est installé devant la fenêtre.
• Christian, je t’ai énormément menti lorsque je t’ai vu devant la librairie centrale.
Voici mon mari, il y a deux ans, nous étions allés nous promener dans notre voiture à l’arrière-pays Niçois.
Je la suis vers la cuisine, lorsque je passe près du mari, aucune réaction de sa part alors qu’il semble réveiller.
Elle me montre une chaise, je m’assieds et elle va vers la cafetière après que je lui ai dit en boire.
• Mes enfants à l’arrière faisaient du bruit comme peuvent le faire des enfants en bas âge.
Alain était un hypernerveux et il s’agassait sans pour autant ralentir.
Nous rentrions par l’autoroute, il y avait match de Nice à la télé contre l’équipe de Paris.
Nous étions en retard pour rentrer, mon ainé s’étant éloigné dans des vignes sans que nous l’ayons vu et nous avions mis plus d’une heure à le retrouver.
Alain était fou de rage et s’en prenait à moi alors que mon anxiété était à son paroxysme.
Si un jour tu as des enfants, jamais au grand jamais, je souhaite une telle situation à qui que ce soit.
Je me suis détachée pour pouvoir me retourner.
Je les calmais et c’est à ce moment que tout s’est retrouvé dans le noir.
Lorsque je me suis réveillée à l’hôpital, j’avais été éjecté, mes deux enfants nous avaient quittés et mon mari s’est retrouvé dans l’état où tu l’as vu aujourd’hui.
Tu peux comprendre que mon corps a réagi et c’est dans le chocolat que je me suis réfugié.
J’ai honte de moi d’avoir réagi comme je l’ai fait c’est pour cela que je t’ai menti en ville.
J’ai voulu divorcer pour me reconstruire, mais la loi m’en empêche dans l’état où il est, ma vie s’est arrêtée dès que j’ai compris la misère de ma vie.
J’en veux à mes parents d’avoir voulu venir au soleil alors que j’étais amoureuse de toi Christian.
Françoise, vient de me servir une tasse et est à portée de ma main.
Doucement je lui prends et je l’attire à moi, je me retrouve quelques années en arrière lorsqu’à une seconde près en allant chercher notre pain, mes doigts ont failli lui saisir.
Elle accepte et je me lève pour la prendre dans mes bras.
Elle me regarde étonné certainement de ma réaction et je vois ses yeux s’éclairer comme si la vie redémarrait en elle.
Je l’embrasse tendrement lui prenant un sein nu sous son soutien-gorge.
Je sens qu’elle hésite à se saisir de ma verge qui pourtant demande à s’extraire de mon caleçon et de mon pantalon.
Nos bouches se trouvent et sans penser que son mari même s’il est sans réaction peut entendre ce qui se passe entre sa femme et moi.
Je dois être amorale car la situation insolite me semble normale, je retrouve mes quinze ou seize ans au moment où elle m’a quitté.
La porte de la cuisine étant a porté de mon pied, je la claque au moment où ma main descend vers sa chatte qui se retrouve sous mes doigts.
Je me rassois, tout en baissant son slip de maillot, sa forêt est là, je vois que son renoncement se porte même là où les femmes font ce qu’il faut pour être toujours nickel.
Je baisse la tête, mes lèvres s’avancent vers les siennes qui retrouvent leur usage et recommence à mouiller.
Certes, je dois chercher son clito, mais y arrivant j’arrive à dégager ma verge et sans plus attendre, elle vient s’empaler hurlant un instant.
J’ai peur de l’avoir une nouvelle fois dépucelé et lui avoir fait mal, je vais pour me retirer.
• Non, continu, c’est de plaisir que j’ai hurlé...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J’adore te lire! C’est vraiment sympa et excitant
Tu sais j'écris beaucoup et j'aime qu'une série s'arrête pour en finir un e autre déjà commencé à cette heure
Il n'est pas possible de finir cette série sur ton prochain texte, il y a encore trop d'inconnues...
Encore un nouveau chapitre qui vient de s'ouvrir alors qu'il y a encore d'autres à clore...
Je suis fan...
Merci Chris
Encore un nouveau chapitre qui vient de s'ouvrir alors qu'il y a encore d'autres à clore...
Je suis fan...
Merci Chris