COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (3/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (3/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (3/5)
Vacances de rêve, ce sont mes vacances de cette année en août qui va devenir déterminant pour le reste de ma vie.

La main de ma sœur dans la culotte d’un zouave.
C’est ce que je me dis lorsque dans la cabine d’essayage du magasin où Nadia m’a emmené pour me vêtir à sa convenance, elle me tâte la verge à travers le maillot de bain qu'elle me fait essayer.
Je suis fière qu’elle dise que je suis mieux monté que Pierre, son mari et Gabriel le fils de Pierre né d’un premier lit.
Gabriel est peu bavard sur sa famille, au cours de l’année scolaire.
Mais lorsqu’un jour, nous avons appris le divorce des parents de Lionel, un autre élève de terminale, il a lâché quelques mots sur la situation de sa propre famille.

« Je connais ça, maman a dû quitter papa quand il a su qu’elle le trompait alors qu’il se battait pour faire fructifier notre entreprise. »

Ce fut bref, mais assez explicite, pourtant lorsque je vois le comportement de Nadia envers moi, je peux avoir des doutes sur le changement que Pierre à opérer.
Avoir une femme presque vingt ans plus jeune que lui, c’est prendre des risques de ce côté-là.
Nous quittons le magasin, je dois avoir une taille mannequin, car de nombreux paquets vont nous être livrés à la villa, mais sur moi au moment de sortir, je me vois dans une glace.
On dit que l’habit fait le moine, je sais, c’est un point d’humour, c’est l’inverse que l’on dit.
Au moment de passer devant cette glace, une fraction de seconde, je manque de passer sans me reconnaitre.
Un point me choque, la touffe de mes cheveux, ils sont en bataille, j’ai toujours été satisfait de ma tête, elle correspondait à mes jeans, certains percés.
Certes, mon bermuda jaune, je l’ai laissé dans la corbeille du magasin.
Dans cette glace, je vois Annie faire un petit signe de la main.
Est-ce vers moi ou Nadia, il va falloir que je creuse tout ceci, à dix-huit ans, j’ai envie de baiser à couille rabattue surtout dans cette famille qui m’ouvre certaines portes.

Direction deux pâtés de maisons plus loin où Nadia me fait entrer dans un salon de coiffure, plus grand que le hall de gare de la gare Montparnasse, j’exagère seulement un petit peu.
C’est normal de grossir les chiffres, nous sommes dans la région marseillaise, « droit au but », ça fait combien d’années, qu’il zig-zag sur les terrains alors que le PSG l’a largement dominé dans ce domaine.
( Note de Chris71, je retranscris là ce que Christian me dicte, il est fou, je vais perdre les lecteurs marseillais, quoique, sur le fond... )

Sans compter, « à jamais les premiers ».

( Note de Chris71, inutile d’en remettre une couche, on a compris quoi que sur le fond...)

Bref, je suis pris en main, c’est le cas de le dire, coiffure, plus tendance que la coupe en bataille que j’affichais.
Le plus étonnant pour moi, c’est la jeune femme qui s’assied à mes côtés, qui me pose ma main gauche sur ses genoux et qui commence une manucure.
J’ignorais que cela se faisait pour les hommes, à un moment, j’ai eu peur d’avoir du vernis me faisant ressembler à une tarlouse.

• Christian, je vois que tu es étonné, soit sans crainte, c’est du durcissant pour les ongles que Gaëlle t’a mis.

Je fais confiance à Nadia, et c’est un homme différent que celui lorsque je suis rentré ressort de ces boutiques.
Certains diront que je ressemble à ces garçons posant pour des marques de parfum pour hommes ou de vêtements que l’on voit dans les magazines.
Nadia m’entraine vers la croisette et le vieux port, le repas dans le restaurant « Riviera » sur la croisette.
Quel luxe, le repas est divin, ma compagne est divine, heureusement quelle est jeune sinon, on pourrait me prendre pour un gigolo sorti par sa vieille maîtresse.

• Dis-moi Nadia, si tu acceptes de me parler d’elle et de toi, comment était la maman de Gabriel et de Valentine et comment tu t’es retrouvée mariée à leur père ?
• C’est une longue histoire, moi-même j’ai des lacunes, sur ces périodes, sauf lorsque je suis entrée comme secrétaire au service de Pierre.
Dans ce temps-là, c’était monsieur Pierre.
• Gabriel m’a simplement dit que ses parents avaient divorcé, sans rentrer dans les détails.
• Marie leur maman était une femme oisive, elle se laissait vivre alors que Pierre se démenait pour faire tourner son entreprise, il travaillait 18 heures par jour et sans vacances pendant deux ans.
Près de chez eux, se trouvait une boîte où des noirs américains venaient jouer leur musique de nègres comme disaient certains.
Rentrant chez lui peu après la naissance de Valentine, une lettre était sur la table, Marie annonçait à Pierre qu’elle le quittait pour un joueur de saxo et qu’elle le suivait aux États-Unis à New York.
Elle lui disait que les enfants étaient chez leur voisine et qu’elle lui laissait le soin de les élever.
C’est plus tard qu’il a su que son amant était un noir américain et qu’il a eu des doutes que Valentine soit de lui, c’est pour cela que sa fille a un léger teint hâlé.
Elle aurait pu naître plus noire, je voulais que Pierre demande un test ADN à la justice afin qu’il sache.
J’ai compris que si j’insistais, notre liaison débutante prendrait fin alors que je m’étais attachée à lui.

J’ai été à deux doigts de faire un impaire en lui demandant si c’était pour son fric que comme secrétaire elle se disait attachée à lui.

• Tu sais Christian, j’ai passé une sale période à cette période, je savais que dans mon dos, on disait que s’était pour son fric que je me suis attachée à lui.
Un jour peut-être, je t’en dirai plus, mais si je vais plus loin, je rentrerais dans le domaine intime de notre couple.
Tu verras, la vie est bien plus complexe que ce que l’on en dit.

Nadia à raison, chez mes parents aussi, la vie a été parfois étrange et dure.
Je les ai entendus un soir lorsque j’avais une dizaine d’années.
Papa hurlait que maman était une pute et maman lui renvoyait la balle en le traitant de cocu.
Cette soirée-là, je me suis recroquevillé dans mon lit, sans savoir ce que pute et cocu voulait dire.
Ça a été quatre à cinq ans plus tard que j’ai compris que maman avait été voir ailleurs et que papa disait qu’elle était une pute, maman confirmant en le traitant de cocu.
Ma foi, ils ont dû s’arranger, car depuis ils sont toujours tous les deux ensemble et comme il y a deux chambres dans notre logement, ils dorment toujours dans le même lit.
Dans ces dernières années, si maman est une pute, c’est une pute à domicile, car souvent j’ai entendu les bruits caractéristiques d’un couple faisant l’amour.

• Bonjour Nadia, vous êtes arrivé, se voit-on ce soir à notre petite sauterie ?
• Salut Lauriane, bien sûr, tu sais comment j’aime ces soirées !

Elles se font la bise, du coin des lèvres.

• Nous amèneras-tu ce beau jeune homme ?
• Non, ils sortent au Domino ce soir, Christian est l’ami de Gabriel et il va chaperonner Valentine qui va sortir pour la première fois en soirée.
• Ça grandit à cet âge-là, elles nous poussent vers la sortie.
• Parle pour toi, Lauriane, je considère que j’ai encore le temps, de plus je te rappelle que c’est la fille de mon mari.

La jeune femme, la quarantaine, est aussi élégante que Nadia.
Lorsqu’elle passe près de nous, elle se baisse pour embrasser Nadia, je vois au fond de son décolleté, certains diraient « jusqu’au slip. »
Jusqu’au slip, j’en doute si elle en porte un, la robe moulante montrerait une trace sur ses hanches.
Là c’est tout droit sans marque disgracieuse, est-il possible que cette femme élégante se promène sur la croisette le cul à l’air ?
Je la regarde s’éloigner, certainement quarante et encore très baisable.
Nadia recule sa chaise.

• On va y aller, mais avant, nous allons, jusqu’au port, voir Pierre qui prépare notre sortie du dimanche en mer tous les cinq.

Le port est près du restaurant où nous avons déjeuner, malgré la chaleur, c’est à pied que nous franchisons les cinq cents mètres nous séparant des pontons.
Voiliers de toute taille, yachts de toute taille, l’un d’eux doit être habité, une combinaison de plongée sèche sur la plage arrière.
À quelques bateaux de là, un voilier, de la cabine sort Pierre suivi d’une jeune femme rousse, légèrement plus vieille que Nadia.

• Éloise, tu es là, j’ai vu ta combinaison de plonger sur la plage arrière de ton yacht.
• Oui, je venais de rentrer lorsque j’ai vu ton mari descendre le ponton.
Nous venons de prendre un verre, je retourne préparer le congre que j’ai attrapé lors de ma sortie hier.

Je suis étonné, la dénommé Éloise a les cheveux un peu en bataille, je serais à la place de Nadia, je me méfierais, qu’ont-ils fait dans cette cabine, enfiler des perles ?

• Tu es avec Christian, Pierre m’a parlé de lui, il fait travailler Valentine pour l’aider à avoir son bac et c’est l’ami de Gabriel.
Tu nous l’amènes ce soir à notre soirée, Pierre a oublié de me le dire.
Je crois qu’un grand nombre de nos amies seraient enchantées qu’un beau gars comme lui soit parmi nous !
• Non, il chape...

On connaît la suite, même si je trouve cette soirée un peu étrange, ce soir je chaperonne.
La jeune femme passe près de nous, comme au restaurant avec Lauriane, elle embrasse Nadia et me caresse la joue, elle se dirige vers son propre bateau.

• Alors Christian, Nadia m’a dit au téléphone que tout s’était bien passé avec Valentine, vous sortirez ce soir.
Vous êtes encore mineur, mais Charles vous accompagnera et vous fera entrer, vous serez dans le carré Vip, vous serez tranquille, le patron est un ami de Charles.
À deux heures moins le quart, vous sortirez tous les trois, il vous récupérera et vous serez à la villa à deux heures.
• Chéri, tu leur as dit deux heures, Charles ira les rechercher à cette heure-là et à deux heures quinze ils seront à la villa...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Mon cher Chris, fan du PSG.....
J'adore lire tes textes...
Vivement la suite...

Cyrille



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