COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (7/10)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2396 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 992 660 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 332 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (7/10)
• Papa, si samedi soir, vous sortez, peut-on retourner en discothèque, je te promets que je serais sage, la gueule de bois pour moi c’est terminé !
Mon dieu, pourvu qu’il dise non, j’ai bien compris que Valentine lorsqu’elle se sent en confiance est incontrôlable et ça risque une nouvelle fois de me tomber dessus.
• On verra si tu travailles bien avec Christian, je souhaite à ce que mes enfants aient les meilleurs résultats pour commencer leurs vies.
Continue et samedi matin tu auras ma réponse.
Jusqu’à samedi, je risque d’être sur des charbons ardents, bien que d’ici là la petite salope trouvera le temps de m’en faire des dizaines.
Pour ma part, Pierre tient à me faire un cours magistral sur le voilier et à quoi servent les principaux appareils qui l’aident à la navigation.
Au moment du retour, il me met sa casquette sur la tête et me nome commandant du retour vers notre port d’attache.
Il est l’heure du retour avant la nuit, même si Nadia et Valentine ont dormi une partie de l'après-midi allongé sur la plage avant me montrant souvent comment les femmes même les pucelles étaient faites.
Pour ma part, j’ai très peu dormi et après le repas, c’est avec un grand plaisir que je retrouve mon lit.
• Les filles, nous allons faire un golf cette après-midi, venez-vous avec nous !
• Non, nous sortons entre filles, nous allons à l’institut de beauté, j’ai retenu Mauricette, mon chéri.
• Eh ! toi Gabriel, je peux compter sur toi !
• Non, j’ai un rendez-vous, d’ailleurs je vous laisse, à ce soir peut-être, inutile d’appeler les hôpitaux si je passe la nuit dehors.
Nous le voyons se diriger vers les garages et en ressortir avec un casque aux commandes d’une Vespa.
• Papa, j’en ai marre, Gabriel prend toujours ma Vespa.
• C’est de ma faute, j’avais oublié de le dire à Charles entretenir avant notre arrivée, depuis il a fait le tien alors que celui de ton frère est encore en partie démonté.
De toute façon, c’est bientôt son anniversaire et comme il a été reçu à son permis, il ignore que nous lui avons commandé une petite Audi.
Mercedes, Audi, c’est bien d’avoir du fric, pour ma part, mes parents prenant les transports en commun, je dois attendre mes dix-huit ans pour passer mon permis.
• Eh ! toi Christian inutile de te demander si tu as déjà joué au golf, sportif comme tu l’es, je pense que ce sport tirait bien, viens avec moi, tu vas essayer de frapper dans les balles.
Comment refuser, il est vrai que je regarde ce sport de riche à la télé de temps en temps, il y a un noir américain qui s’appelle comment déjà ?
À oui, Tiger quelque chose, à oui Tiger Woods.
C’est l’occasion de me séparer un moment de Valentine, de plus, je vais pouvoir mettre l’un de mes pantalons blancs et mon Lacoste lui aussi immaculé.
Une fois prêt, départ de la villa, Pierre aussi est tout de blanc vêtu avec une casquette, plutôt une sorte de visière sur sa tête.
• Hugo, Lauriane, j’ignorais que nous vous trouverions là, nous faisons les 18 trous ensemble !
• Oh ! que oui, surtout si Christian joue avec nous.
• Lauriane, tu connais ce jeune homme avec Pierre !
• Oui, je t’en ai parlé en rentrant du restaurant, Nadia me l’a présenté lorsque je sortais du restaurant sur la croisette.
Lauriane, la belle femme du restaurant du premier jour, Lauriane en short et Polo Adidas autre sorte de vêtements qu’elle porte avec élégance.
Lauriane, la femme qui se promenait le cul à l’air sur la croisette.
• Pardon, ma chérie, j’avais complètement oublié, oui, tu m’as dit tout cela au moment où je lisais les cours de la bourse et tu sais comment je suis dans ces moments-là.
• Merci de me demander si j’ai déjà joué !
Non, j’ai vu le champion américain noir à la télé, mais c’est la première fois que je viens dans un golf.
• Tiger Woods, je l’ai rencontré au golf d’Atlanta, c’est un garçon charmant, soyez sans crainte Christian si je me souviens des quelques mots de ma femme.
Me voilà obligé de jouer contre ces trois personnes qui font régulièrement le parcours et qui le connaissent par cœur.
• Je vais te faire voir, j’ai un bon niveau, mais loin de celui de Hugo et Pierre.
Voilà, fait entrer dans le sol ce petit objet que l’on appelle un tee et pose ta balle dessus.
Regarde le mouvement que je fais ça s’appelle un swing.
Il va de soi que j’essaye, mais la balle décide de tomber et rester à mes pieds.
C’est le vent que fait le club sorti de son sac par Pierre, qui a dû la faire tomber.
Au troisième coup, je touche la balle qui part une dizaine de mettre plus loin.
Tant bien que mal, nous arrivons au trou numéro six, le parcours fait des méandres et c’est le trou le plus près du restaurant et du vestiaire.
C’est au tour de Lauriane de joué, elle place sa balle et j’ignore, comment elle réussit son coup mais elle tombe au sol à la fin de son swing se tenant la cheville.
• Aie, je suis mal retombée et j’ai dû me fouler la cheville.
• Je vais te conduire au vestiaire, j’ai des bandes dans mon cassier, je vais te soigner avant que nous allions voir notre médecin.
• Tu es gentil, mais tu es à un point au-dessous du par, devant Pierre, c’est ton meilleur score, Christian est à plus de quarante points du par.
Finissez votre parcours et après m’être changé, nous vous attendrons au restaurant en buvant un verre pour que je me remette de mes émotions.
Le par, ça semble du javanais pour moi, mais afin d’éviter de passer pour un ignare, je ferme ma gueule.
Lauriane pose sa main sur mon épaule et claudiquant je l’aide à aller vers les vestiaires.
Elle me dirige vers celui des femmes, comme je l’aide à marcher sur une seule jambe, j’entre sans me poser de question.
• Merci de m’avoir aidé, dis-moi tu as déjà rencontré des femmes dans ta vie ?
En me disant ces mots, elle vient se coller à moi sa bouche étant à quelques centimètres de la sienne.
Je comprends l’invitation surtout qu’elle se tient debout sur sa cheville blessée.
Je l’embrasse nos langues tournant frénétiquement dans nos bouches.
Nadia m’a mis sa main au sexe, Lauriane défait carrément ma ceinture et fait tomber mon pantalon.
• Bien joué le coup de la cheville foulée, tu es une belle...
• Salope, tu peux le dire.
Le dernier mot ayant franchi sa bouche, elle fait entrer mon sexe dans sa bouche.
Ce doit être une habituée des pompages de bite, car malgré ma belle queue, elle me caresse les couilles et me fait ce que l’une de mes maîtresses appelait une gorge profonde.
Je sens que je vais décharger et je veux profiter de la dame un maximum de temps.
Je l’aide à se relever, je lui ôte short et son polo Lacoste, c’est elle qui ôte ses chaussures sans prendre le temps d’enlever ses soquettes.
Un instant je regarde s’il lui reste une petite culotte.
Ici aussi, sous sa chatte parfaitement taillé à croire qu’elle est passée dans le même salon où se trouvent Valentine et Nadia à ce moment.
À mon tour, je m’agenouille et Lauriane permet à ma langue en écartant ses jambes de venir m’occuper de son clito.
Je sais que des clitos il y en a de tous genres, je comprends mieux pourquoi elle se promène nue dans son short, elle a un clito ressemblant à une petite bite.
Il doit être stimulé à tout moment lorsqu’elle marche en frottant sur le tissu de son short.
• Attends, je m’assieds sur ce banc sinon je vais me fouler réellement la cheville.
On peut comprendre le tableau, une belle bourgeoise la quarantaine, un clito proéminent et rapidement ses mains sur ma tête lorsqu’elle écarte ses jambes et rapidement j’arrive à la faire jouir.
La situation est telle qu’à tout moment une ou des femmes pourraient entrer, je bande comme jamais.
• Viens !
L’ordre est cour, mais précis, elle sort son sac du placard qu’elle a ouvert après que nous nous soyons embrassés et elle sort une capote.
Après avoir déchiré l’enveloppe, elle me la met sur ma queue difficilement, car ma taille est légèrement supérieure à celle de la capote.
• Tu vois chéri, il faut toujours sortir couvert.
Cabine de douche, la porte se referme dernière moi, elle se place dos à moi les bras appuyés sur la paroi et je viens derrière elle enfourner ma bite dans sa chatte.
• Tu peux y aller fort, baise-moi comme la chienne que je suis.
Dès que je t’ai vu, j’ai su qu’il fallait que tu m’appartiennes, je sentais que tu étais un bon amant, oui, ouii, ouiiiii.
Je la fais jouir, satisfait d’avoir tenu mon rôle de mâle le mieux possible lorsque je remplis la capote.
Je pense que c’est terminé, mais je me trompe, elle se retourne, me prends par le cou, m’embrasse avant de descendre d’un étage me sucer la bite comme si elle voulait me la nettoyer.
J’ai continué à bander, même si j’ai déchargé.
Je sens que ça monte de nouveau en moi, sa bouche doit le sentir aussi, car elle insiste me tenant derrière mes genoux et deux grands traits de sperme giclent dans la bouche.
Je m’attends à ce qu’elle recrache, mais je l’entends déglutir avalant tout, passant même sa langue sur le méat afin de récolter la dernière goutte.
La douche est là au-dessus de nous, elle fait couler l’eau me lavant la queue, je suis très fière, je viens de me faire ma première bourgeoise sur cette côte.
Pourquoi à ce moment, je pense à Nadia ?...
Mon dieu, pourvu qu’il dise non, j’ai bien compris que Valentine lorsqu’elle se sent en confiance est incontrôlable et ça risque une nouvelle fois de me tomber dessus.
• On verra si tu travailles bien avec Christian, je souhaite à ce que mes enfants aient les meilleurs résultats pour commencer leurs vies.
Continue et samedi matin tu auras ma réponse.
Jusqu’à samedi, je risque d’être sur des charbons ardents, bien que d’ici là la petite salope trouvera le temps de m’en faire des dizaines.
Pour ma part, Pierre tient à me faire un cours magistral sur le voilier et à quoi servent les principaux appareils qui l’aident à la navigation.
Au moment du retour, il me met sa casquette sur la tête et me nome commandant du retour vers notre port d’attache.
Il est l’heure du retour avant la nuit, même si Nadia et Valentine ont dormi une partie de l'après-midi allongé sur la plage avant me montrant souvent comment les femmes même les pucelles étaient faites.
Pour ma part, j’ai très peu dormi et après le repas, c’est avec un grand plaisir que je retrouve mon lit.
• Les filles, nous allons faire un golf cette après-midi, venez-vous avec nous !
• Non, nous sortons entre filles, nous allons à l’institut de beauté, j’ai retenu Mauricette, mon chéri.
• Eh ! toi Gabriel, je peux compter sur toi !
• Non, j’ai un rendez-vous, d’ailleurs je vous laisse, à ce soir peut-être, inutile d’appeler les hôpitaux si je passe la nuit dehors.
Nous le voyons se diriger vers les garages et en ressortir avec un casque aux commandes d’une Vespa.
• Papa, j’en ai marre, Gabriel prend toujours ma Vespa.
• C’est de ma faute, j’avais oublié de le dire à Charles entretenir avant notre arrivée, depuis il a fait le tien alors que celui de ton frère est encore en partie démonté.
De toute façon, c’est bientôt son anniversaire et comme il a été reçu à son permis, il ignore que nous lui avons commandé une petite Audi.
Mercedes, Audi, c’est bien d’avoir du fric, pour ma part, mes parents prenant les transports en commun, je dois attendre mes dix-huit ans pour passer mon permis.
• Eh ! toi Christian inutile de te demander si tu as déjà joué au golf, sportif comme tu l’es, je pense que ce sport tirait bien, viens avec moi, tu vas essayer de frapper dans les balles.
Comment refuser, il est vrai que je regarde ce sport de riche à la télé de temps en temps, il y a un noir américain qui s’appelle comment déjà ?
À oui, Tiger quelque chose, à oui Tiger Woods.
C’est l’occasion de me séparer un moment de Valentine, de plus, je vais pouvoir mettre l’un de mes pantalons blancs et mon Lacoste lui aussi immaculé.
Une fois prêt, départ de la villa, Pierre aussi est tout de blanc vêtu avec une casquette, plutôt une sorte de visière sur sa tête.
• Hugo, Lauriane, j’ignorais que nous vous trouverions là, nous faisons les 18 trous ensemble !
• Oh ! que oui, surtout si Christian joue avec nous.
• Lauriane, tu connais ce jeune homme avec Pierre !
• Oui, je t’en ai parlé en rentrant du restaurant, Nadia me l’a présenté lorsque je sortais du restaurant sur la croisette.
Lauriane, la belle femme du restaurant du premier jour, Lauriane en short et Polo Adidas autre sorte de vêtements qu’elle porte avec élégance.
Lauriane, la femme qui se promenait le cul à l’air sur la croisette.
• Pardon, ma chérie, j’avais complètement oublié, oui, tu m’as dit tout cela au moment où je lisais les cours de la bourse et tu sais comment je suis dans ces moments-là.
• Merci de me demander si j’ai déjà joué !
Non, j’ai vu le champion américain noir à la télé, mais c’est la première fois que je viens dans un golf.
• Tiger Woods, je l’ai rencontré au golf d’Atlanta, c’est un garçon charmant, soyez sans crainte Christian si je me souviens des quelques mots de ma femme.
Me voilà obligé de jouer contre ces trois personnes qui font régulièrement le parcours et qui le connaissent par cœur.
• Je vais te faire voir, j’ai un bon niveau, mais loin de celui de Hugo et Pierre.
Voilà, fait entrer dans le sol ce petit objet que l’on appelle un tee et pose ta balle dessus.
Regarde le mouvement que je fais ça s’appelle un swing.
Il va de soi que j’essaye, mais la balle décide de tomber et rester à mes pieds.
C’est le vent que fait le club sorti de son sac par Pierre, qui a dû la faire tomber.
Au troisième coup, je touche la balle qui part une dizaine de mettre plus loin.
Tant bien que mal, nous arrivons au trou numéro six, le parcours fait des méandres et c’est le trou le plus près du restaurant et du vestiaire.
C’est au tour de Lauriane de joué, elle place sa balle et j’ignore, comment elle réussit son coup mais elle tombe au sol à la fin de son swing se tenant la cheville.
• Aie, je suis mal retombée et j’ai dû me fouler la cheville.
• Je vais te conduire au vestiaire, j’ai des bandes dans mon cassier, je vais te soigner avant que nous allions voir notre médecin.
• Tu es gentil, mais tu es à un point au-dessous du par, devant Pierre, c’est ton meilleur score, Christian est à plus de quarante points du par.
Finissez votre parcours et après m’être changé, nous vous attendrons au restaurant en buvant un verre pour que je me remette de mes émotions.
Le par, ça semble du javanais pour moi, mais afin d’éviter de passer pour un ignare, je ferme ma gueule.
Lauriane pose sa main sur mon épaule et claudiquant je l’aide à aller vers les vestiaires.
Elle me dirige vers celui des femmes, comme je l’aide à marcher sur une seule jambe, j’entre sans me poser de question.
• Merci de m’avoir aidé, dis-moi tu as déjà rencontré des femmes dans ta vie ?
En me disant ces mots, elle vient se coller à moi sa bouche étant à quelques centimètres de la sienne.
Je comprends l’invitation surtout qu’elle se tient debout sur sa cheville blessée.
Je l’embrasse nos langues tournant frénétiquement dans nos bouches.
Nadia m’a mis sa main au sexe, Lauriane défait carrément ma ceinture et fait tomber mon pantalon.
• Bien joué le coup de la cheville foulée, tu es une belle...
• Salope, tu peux le dire.
Le dernier mot ayant franchi sa bouche, elle fait entrer mon sexe dans sa bouche.
Ce doit être une habituée des pompages de bite, car malgré ma belle queue, elle me caresse les couilles et me fait ce que l’une de mes maîtresses appelait une gorge profonde.
Je sens que je vais décharger et je veux profiter de la dame un maximum de temps.
Je l’aide à se relever, je lui ôte short et son polo Lacoste, c’est elle qui ôte ses chaussures sans prendre le temps d’enlever ses soquettes.
Un instant je regarde s’il lui reste une petite culotte.
Ici aussi, sous sa chatte parfaitement taillé à croire qu’elle est passée dans le même salon où se trouvent Valentine et Nadia à ce moment.
À mon tour, je m’agenouille et Lauriane permet à ma langue en écartant ses jambes de venir m’occuper de son clito.
Je sais que des clitos il y en a de tous genres, je comprends mieux pourquoi elle se promène nue dans son short, elle a un clito ressemblant à une petite bite.
Il doit être stimulé à tout moment lorsqu’elle marche en frottant sur le tissu de son short.
• Attends, je m’assieds sur ce banc sinon je vais me fouler réellement la cheville.
On peut comprendre le tableau, une belle bourgeoise la quarantaine, un clito proéminent et rapidement ses mains sur ma tête lorsqu’elle écarte ses jambes et rapidement j’arrive à la faire jouir.
La situation est telle qu’à tout moment une ou des femmes pourraient entrer, je bande comme jamais.
• Viens !
L’ordre est cour, mais précis, elle sort son sac du placard qu’elle a ouvert après que nous nous soyons embrassés et elle sort une capote.
Après avoir déchiré l’enveloppe, elle me la met sur ma queue difficilement, car ma taille est légèrement supérieure à celle de la capote.
• Tu vois chéri, il faut toujours sortir couvert.
Cabine de douche, la porte se referme dernière moi, elle se place dos à moi les bras appuyés sur la paroi et je viens derrière elle enfourner ma bite dans sa chatte.
• Tu peux y aller fort, baise-moi comme la chienne que je suis.
Dès que je t’ai vu, j’ai su qu’il fallait que tu m’appartiennes, je sentais que tu étais un bon amant, oui, ouii, ouiiiii.
Je la fais jouir, satisfait d’avoir tenu mon rôle de mâle le mieux possible lorsque je remplis la capote.
Je pense que c’est terminé, mais je me trompe, elle se retourne, me prends par le cou, m’embrasse avant de descendre d’un étage me sucer la bite comme si elle voulait me la nettoyer.
J’ai continué à bander, même si j’ai déchargé.
Je sens que ça monte de nouveau en moi, sa bouche doit le sentir aussi, car elle insiste me tenant derrière mes genoux et deux grands traits de sperme giclent dans la bouche.
Je m’attends à ce qu’elle recrache, mais je l’entends déglutir avalant tout, passant même sa langue sur le méat afin de récolter la dernière goutte.
La douche est là au-dessus de nous, elle fait couler l’eau me lavant la queue, je suis très fière, je viens de me faire ma première bourgeoise sur cette côte.
Pourquoi à ce moment, je pense à Nadia ?...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
D'où cet envie de lire la suite de ton histoire...
Je me régale à chaque chapitre
Cyrille
Je me régale à chaque chapitre
Cyrille
Si elle le fait avec moi tu sais que rien n'ait sur.
Mais si oui elle a 30 chapitre pour le faire...
Mais si oui elle a 30 chapitre pour le faire...
L'attente est longue mais intense...
Quand est-ce que Nadia abusera de Christian?....
Cyrille
Quand est-ce que Nadia abusera de Christian?....
Cyrille