COLLECTION FOLLE DU CUL. Pourquoi je t’inflige cela (1/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Pourquoi je t’inflige cela (1/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Pourquoi je t’inflige cela (1/4)
Il est 2 heures 22 quand je réveille Chris71 pour lui conter mon histoire.
Je sais, je suis indécente de réveiller ce vieux monsieur d’aussi bonne heure.
Surtout lorsque je sais qu’il s’est couché à 22 heures et qu’à son âge, le sommeil est plus que nécessaire.
Il était une heure du matin quand je suis rentré de mes turpitudes.
Bref, j’ai tenu jusqu’à 2 heures 20 avant qu’il daigne m’écouter.
Colombine, je m’appelle Colombine, lorsque Chris se réveille de temps en temps de si bonne heure, c’est souvent une héroïne qui vient lui raconter ses besoins sexuels.
Souvent des déviances comparées à la morale d’une jeune femme mariée comme moi.

À partir de là, Chris commence à élaborer son histoire, mon histoire.
Il va me résister un bon moment.
J’avais essayé de lui raconter mon aventure la dernière fois que j’ai été frappée de mes boulimies de sexe, mais il s’était retourné et par malchance pour moi, il s’était rendormi.
Ce matin, mon personnage se précise, Colombine, mariée, trois enfants.
À oui, Colombine est fluette bonde aux yeux bleus.
Ça c’est acquis ainsi que le titre :« Pourquoi je t’inflige cela. »On verra rapidement pourquoi ce titre est une évidence pour lui.
Mon mari, son nom à ce moment de l’histoire est indéterminé.
Colombine et Auguste, voir Arsène, ça sonne mal.
Tient Pierre qui se transformera en Pierrot, ça présente mieux du moins pour moi.
Voyez, des fois tout ceci sonne comme une évidence.
Les noms de mes enfants, inutiles à ce stade de mon histoire.
Moins je suis repérable, mieux c’est pour eux quand vous verrez ce que je raconte à Chris depuis le début de ma sexualité.
Chris tient jusqu’à 3 heures 15, ou il faut impérativement qu’il se lève pour aller démarrer son ordi.
Il connaît l’intrigue, je lui ai raconté les deux principaux personnages, Pierrot et Colombine qui seront notre fil conducteur.
À ce rythme, on peut comprendre le nombre d’histoire écrit par cet auteur, mais pour y arriver, des micros siestes dans la journée lui sont nécessaires.
Une dernière chose, que je le vois faire avant de s’atteler à mon aventure.
Son premier café du matin, qui, lorsqu’il le boit, lui descend jusque dans ses chaussettes souvent inexistantes à cette heure.

• Chérie, tu sors ce soir !

Mauvais départ, trop direct.
Recommençons, à oui.

Je m’appelle, Colombine, blonde fluette aux yeux bleus, vingt-huit ans, toutes mes dents.
Trop solennelle.
Pourtant, il faut que son texte débute, car ses idées s’embrouillent et il risque d’en oublier.
Ce coup-ci c’est parti.

Maman...
Mince, a-t-elle un nom, Odile, ça plait à Chris.
Recommençons.

Maman Odile...
Trop pompeux, bon, on sait que sa maman va s’appeler Odile.

Lorsque maman m’a mise au monde, elle m’a appelé Colombine.
Nous avons vécu au gré de ses amants étant fille-mère.
Pour autant, ma vie était harmonieuse jusqu’à la venue de Fred, les gros muscles.
Rien dans la tête tous dans ses biceps.
Sa journée se déroulait par un coup vite fait jusqu’à ce que maman parte au travail.
Elle est infirmière à l’hosto de la ville où nous habitions.
Dans la journée Fred glandait s’occupant principalement de ses muscles avec un altère dans chaque main qu’il faisait monter et descendre en se regardant dans la glace du salon.
Un jour où ça avait été calme dans leur chambre, j’étais dans la cuisine buvant mon chocolat avec sur mon petit corps fort bien développé du côté de mes seins, mais en harmonie avec ma taille, un simple tee-shirt.
En forme de poire, c’est plaisant et agréable, mais ils auraient été des pommes, mon histoire aurait été la même.

• Des mecs ton dit que tu avais un joli petit cul !

C’est ainsi que je suis entrée dans le monde des adultes.
Sans m’en rendre compte, le mâle ou le mal et moi ça faisait deux, je me suis aperçu, que comme j’étais placée, les jambes replier sur la chaise, d’où il était il voyait ma chatte.
J’ai voulu les reposer au sol, mais d’une main puissante, il m’a saisi et plaqué le long du réfrigérateur.
Il m’a en partie entraîné vers du sexe sauvage quand ayant sorti son sexe de son pyjama, il m’a dépucelé entrant en moi avec un grand coup assez violent.
J’ai crié au début de douleur, mais rapidement le plaisir est monté en moi.
J’entendais les aliments se casser la figure à l’intérieur chaque fois qu’un coup violent me faisait monter très haut vers les sommets de l’orgasme que j’ai fini par atteindre.
Criée de douleur, au début et d’un plaisir malsain très rapidement ce fut ma première approche sexuelle.
Quand il a déchargé de grandes giclées de sperme, j’ai vu sa queue grosse et noueuse qu’il a lavée en faisant couler de l’eau par le robinet à sa portée.
Je suis restée prostrée debout les seins et ma joue sur le froid du frigo me retenant au-dessus de la porte pour éviter de m’affaler au sol.
J’ai rangé la cuisine et le frigo ou le lait avait coulé en se renversant.
Je suis allée à la salle de bains, c’est là que j’ai vu dans l’état ou l’amant de ma mère m’avait mise.
Cheveu blond dans tous les sens, tee-shirt déchiré montrant l’un de mes seins et du sang coulant le long de ma jambe.
Bizarrement mon corps était apaisé comme si j’avais couru un marathon.
J’ai pris un bain quand Fred est revenu à la charge.

• Si tu dis à ta mère ce que l’on a fait, je lui dirai que tu m’avais allumé avec ton cul sous mes yeux, tient suces.

Mon dépucelage aurait dû lui suffire, mais il a ressorti sa queue, m’a attrapé fortement par ma nuque et m’a forcée à le faire entrer dans ma bouche.
Après ma chatte, c’était sa queue qui dépucelait ma bouche avant une nouvelle fois de décharger.
J’ignore si Fred était aussi violent avec maman qu’avec moi, ce qui est sûr, c’est toujours de façon violente qu’il m’a baisée dans les jours suivants.
La légère douleur ressentie au début a fait place à des orgasmes de plus en plus violents, jusque dans le lit de maman un jour où je faisais le ménage ayant cour que l’après-midi.
Rien pour nous rebuter, rien pour nous arrêter, même mes règles où il me percutait comme la folle de mon cul qu’il avait fait de moi.
Nous nous sentions invincibles, mais par chance en rien amoureux.
Entre nous, sexe, sexe, sexe et encore sexe.
Tout ceci a tenu, presque un an, jusqu’au jour où elle trouvait son amant de moins en moins empressé.
Je lui vidais les couilles régulièrement plusieurs fois par jour, suivant nos envies.
J’étais à quatre pattes sur la moquette du salon, alors qu’il me défonçait pour la première fois l’anus, me transformant par là même en chienne lubrique.
Maman est rentrée, nous ayant fait croire la veille qu’elle était de service alors que c’était un jour de congé de rattrapage.
J’ai reçu une baffe et lui un coup de pied dans les couilles le faisant couiner avant d’aller lui faire son sac et de le foutre à la porte.
Malgré la baffe, maman ma prise dans ses bras me cajolant comme elle le faisait quand j’étais petite.

• Tu sais les vieux soudards comme lui, ils sont rares.
C’est de ma faute, c’est moi qui ai fait rentrer le loup dans notre bergerie.
Tu verras, je te promets, tu rencontreras un gentil garçon qui t’aimera pour autre chose que tes fesses.
Avec ton joli minois et tes boucles blondes ce sera facile.

Avec maman, ce fut la dernière fois que je l’ai entendu parler de Fred le soudard et c’est la dernière fois que je l’ai vu avec un amant à la maison.
Pour ma part, dans les mois, voire les années qui ont suivi, j’ai eu quelques amants que je traitais comme des comètes.
Je recherchais des mâles virils qui sauraient, comme le premier homme de ma vie me faire jouir comme une reine.
J’avais beau chercher aucun pour me faire voler à 10 000 comme Fred le faisait.
Un soir au « Pom-Pom club », j’ai cru le trouver.
J’avais une jolie robe en paillettes bleues achetée l’après-midi moulant mes formes.
Je portais des talons hauts qui me rehaussaient quand l’homme, c’est le nom que je lui ai donné, est venu se coller à moi.
Rapidement j’ai senti ma chatte s’échauffer.
Lorsqu’il m’a attiré vers les toilettes des hommes, en me relevant ma robe avec un peu de difficulté, tellement elle était serrée, j’ai cru qu’il allait me faire partir vers des sommets.
Il m’a pris assez violemment comme l’avait fait Fred le long du Frigo.
Ma joue a ressenti le froid de la glace et là je voyais le type sur la pointe des pieds qui était en moi.
J’allais jouir quand l’homme a entendu du bruit et m’a quitté relevant son pantalon.
J’étais frustré, car j’étais à deux doigts de ressentir, les élans qui m’emportaient avec Fred.
Analysant la situation, j’ai vite pris conscience que pour arriver à l’orgasme, du moins le même que mes premières fois, il me fallait des lieux insolites et des hommes me prenant violemment.
J’ai pris peur, aussi quand j’ai eu vingt-quatre ans et que Pierrot m’a déclaré sa flamme, simplement sur Internet sur un site de rencontres, j’ai accepté de le rencontrer et de l’épouser.
Pour conjurer et le sort de maman et mes pulsions masochistes, j’ai voulu avoir un enfant très vite.
Neuf mois et demi après, j’attendais Susy.
En l’allaitant j’ai senti ses petites lèvres sur mon sein et rapidement avant même mon retour de couches, il me fallait autre chose que les rares fois où j’avais fait l’amour avec Pierrot.

• Ou vas-tu Colombine avec cet imperméable sur le dos ?
• Laisse-moi, je t’expliquerais à mon retour...

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