COLLECTION FOLLE DU CUL. Pourquoi je t’inflige cela (2/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Pourquoi je t’inflige cela (2/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Pourquoi je t’inflige cela (2/4)
Je viens de quitter le domicile conjugal revêtu d’un imperméable.
Si Pierrot mon mari l’avait ouvert, il aurait vu qu’à part des bas résille fixés par un porte-jarretelles noir et des talons hauts, j’étais nue.
J’avais rencontré Pierrot sur Internet et j’avais eu Susy avec lui quand j’ai ressenti le besoin de sexe violent comme je le faisais avec Fred mon premier amant qui plus ait amant de ma mère.
J’ai essayé de me caser avec Pierrot et avoir un enfant rapidement espérant faire baisser la Cocotte-minute que j’ai a la fourche de mes jambes couvertes d’une toison blonde.
C’est sur Internet que depuis des jours entre les téter, les couches et autres tâches ménagères que je me suis mise à dialoguer avec un beau black à qui j’ai confié mon problème.
J’aurais pu aller le rencontrer, il était proche de chez nous en emmenant Susy dans son couffin pendant ses heures de travail.
Mais maman m’a élevé dans la franchise en toute chose et lorsque je sors si peu vêtue, je le fais alors que mon mari va garder notre enfant.
Salope, car je sais que je vais me faire baiser par son gros calibre noir qu’il m’a montré à l’écran en se masturbant pour être en pleine érection.
Salope, car je lui ai parlé de mon addiction pour le sexe violent.

Quelques minutes en voiture et j’arrive à mon rendez-vous en suivant les indications d’Osmane.
Deux heures, deux heures de pure extase.
Deux heures, ou je retrouve les sensations éprouvées avec Fred et mieux que celles dans les toilettes du Pom-Pom-Club, hélas, trop tôt abrégées.
Ravagée, lorsque j’arrive difficilement à conduire dans l’état où je me trouve laminée de partout, je rentre à la maison.
Pierrot m’attendant surveillant mon retour par la fenêtre me reçoit dans ses bras où je m’écroule dès la porte ouverte.

• Colombine, que t’arrive-t-il, as-tu été attaqué ?
Qu’as-tu là sur ta robe et aux commissures de tes lèvres ?
Mais c’est du sperme !
Et tes bas, ils sont carrément déchirés !
• Lorsque je suis partie, je t’ai dit que je te dirais tout à mon retour.
Si je t’avais expliqué ce que j’allais faire et surtout pourquoi j’avais peur que tu m’en empêches en prétextant notre fille.
J’avais besoin au plus profond de moi de savoir si, ce qui tourne dans ma tête était pur fantasme ou bien réel.
Je vais tout t’expliquer et si tu considères que ce que j’ai fait est infect et innommable, je ferais ma valise et je vous quitterais Susy et toi.
• Je vais te faire couler un bain, tu m’expliqueras ce que je suis dans l’impossibilité de comprendre à ce moment de notre vie.
• D’abord, je peux t’assurer que je t’aime toi et notre fille plus que tout.

Je le vois partir vers la salle de bains, j’entends l’eau couler.
Il revient par la cuisine avec un verre d’eau.
Il m’aide à m’assoir dans l’eau chaude de notre baignoire.
Je passe mon doigt à la commissure de mes lèvres, c’est vraiment des restes de spermes.
J’aurais dû me nettoyer mieux que ce que je semble avoir fait.
Mais au fond de moi je savais qu’à mon retour ou ça tenait avec Pierrot, ou il comprendrait ce que je ressens au plus profond de moi.
Surtout comme ce soir lorsqu’une boulimie de sexe m’a ravagé.

• L’eau, tu la trouves assez chaude !
Attends, je vais te savonner.
• Merci, tu es un ange, voilà ce que j’ai fait ce soir pendant plus de deux heures.
Aie, non, tu m’as touché mon anus, il est encore trop sensible des pénétrations qu’il a subies.
Je t’ai caché des choses de mon passé.

Je commence à lui parler de Fred et de la façon dont il m’a dépucelé finissant par me faire aimer le sexe avec énormément de violence.
Le sexe hard.

• J’ai lutté contre cette obsession d’être prise alors que l’on me défonce violemment.
Alors que toi mon amour tu es incapable de tuer un moustique venant de te piquer, j’étais frustré de nos envolés trop calme.
J’ai rencontré Osmane sur Internet et hier au soir je suis allée chez lui, nue ou presque nue sous mon imper.
C’était son exigence pour accepter de me baiser sauvagement avec sa grosse et grande queue noire.
Il m’a trompé, je pensais le rencontrer seul, mais il avait oublié de me dire que son frère, un an plus jeune que lui serait là.
Oui, caresse-moi les seins, attend, je mets ma tête sous l’eau pour rincer la mousse que tu y as mise.

Je ressors ma tête, je souffle l’eau savonneuse entrée dans ma bouche.

• Je vais arrêter, je sens que j’exagère de te raconter la débauche de ma nuit.
• Non, continue, ça me fait mal de savoir que d’autres tons apportés ce que tu sembles vouloir que les hommes t’apportent et que je semble être dans l’impossibilité de t’apporter.
Maintenant que tu as commencé à exprimer tes pulsions secrètes, c’est moi qui serais frustré que tu arrêtes ton récit.
• Tu vas me frapper pour me punir !
• Tu l’as dit, même un moustique j’ai du mal à l’écraser.
Alors ma femme que j’aime la mère de ma fille, pourquoi te frapperais-je ?
• Parce que je le mérite, bon, je continue.
J’ai découvert qu’ils étaient deux alors qu’il avait ouvert mon imper pour constater que j’avais respecté ses ordres d’être nue en dessous.
Il m’a caressé me mettant directement deux doigts dans la chatte alors que je l’embrassais passionnément.
J’ai tout de suite aimé ses grosses lèvres et ma langue rapidement a cédé à la sienne jusqu’à ce qu’elle me quitte.
Je me suis agenouillée pour ouvrir son peignoir et que son gros pieu m’apparaisse.
Impossible de le faire entrer dans ma bouche, je me suis contentée de le masturber et de le sucer.
J’ai froid, aide-moi à sortir.

C’est à ce moment que je me suis aperçu que Pierrot bandait à écouter l’histoire de mes débordements.
Une fois sorti, il a pris ma grande serviette-éponge posée sur le porte-serviette et m’a essuyé doucement comme pour éviter de me blesser.
Il m’a touché l’anus et j’ai tressauté.

• Je vais te passer de la pommade, je crains d’entendre la suite de ton aventure, j’ignorais que tu aimais te faire enculer.
Il est vrai qu’avec moi tu serais déçu, c’est une pratique que j’ai toujours refusée, même à toi mon amour, je trouve cela décradant surtout pour ma femme.

« Mon amour », ces deux mots me rassurent.
Il ouvre, l’armoire à pharmacie récupère un tube qu’il débouche et alors que je m’appuie sur le lavabo, j’ouvre mes jambes lui présentant ma rosette.
C’est dans cette position que je me suis fait sauter au Pom-Pom-club dans les W.C pour hommes avant d’être dérangé.
Une envie fulgurante que sa langue entre dans mon petit trou s’empare de moi.
Petit trou pas si petit que ça après le passage dans les mains de mes amants du soir.
Il met de la pommade sur le bout de son doigt et le passe dans ma raie culière.
Chouette il entre son doigt pour tapisser l’intérieur.
Hélas, il me quitte trop rapidement à mon goût, c’est vrai que la sodomie, c’est loin d’être son truc.
Nous retournons trop tôt vers notre chambre.
Je me couche, il me prend dans ses bras.
Je pense qu’il en a assez entendu.

• Colombine, tu me parlais d’un frère !
• Oui, Osmane avait un frère qu’il m’avait caché.
Oscar, plus jeune, mais encore mieux pourvu.
J’aurais dû fuir, mais j’étais aux anges, j’étais venue pour une, j’en avais deux d’un coup à ma disposition, elles étaient aussi noires, l’une que l’autre.
J’ai saisi Oscar et à tour de rôle je les ai sucés et masturbés.
Je me suis mise en levrette sur la moquette, tu sais ce qu’est la levrette mon chéri !
• Comme tu le dis, les jeux amoureux et moi, ça fait deux, mais je sais que les hommes aiment prendre leur épouse à quatre pattes.
Tu voudras qu’on essaye !

Si cette tromperie avec les amants noirs nous permettait des jeux un peu plus érotiques, ce serait un début.
Même si je suis sûr qu’il sera loin de la rudesse que je recherche dans l’acte d’amour, non, seulement sexuel hors sentiment.
Aucune réponse, j’ai peur qu’il se soit endormi.

• Osmane, ma remis sa bite dans sa bouche et j’ai senti Oscar entrer dans ma chatte.
C’était long, long, long sans fin, mais quand il a touché mon utérus, j’ai senti la boule montée du fond de mon être.
Surtout que ces deux bites me pilonnaient de plus en plus violemment.
J’ai joui, mais il m’en fallait plus, ils m’ont pris chacun leur tour.
Je m’enfilais leurs verges comme je les avais enfilées dans ma bouche.
Je voyais le réveil sur la table de nuit et je savais que tu devais m’attendre, mais il fallait que je leur vide complètement les couilles.
• Tu me suceras à me les vider comme tu l’as fait avec ces deux hommes.

J’ai ma réponse, il m’écoute.

• Ousmane m’a délaissé pour mieux s’allonger et m’attirer sur sa bite prenant la place de son frère dans mon vagin.
J’ai senti Oscar s’approcher et d’un coup me sodomiser, sais-tu ce qu’est la double pénétration Pierrot !
• Oui, Colombine, mais seul j’aurais du mal à te faire pareil.
• Tu comprends mes douleurs à l’anus.
Ils se sont déchainés et j’ai gagné en intensité quand un orgasme phénoménal m’a rattrapé.
J’allais partir quand ils m’ont libéré après m’avoir rempli de sperme quand je venais de remettre mon imper.
Ils ont trouvé la force de se masturber et de me gicler sur tout le haut du corps.
Au moment où je quittais leur logement, j’ai eu le temps d’entendre Osmane dire à son frère.

« Tu vois frérot, je t’avais promis une belle salope pour que tu te dépucelles, nous sommes tombés sur la reine, des salopes j’en ai vu, mais elle s’est une championne du monde. »
• Chéri, tu m’en veux !
• Non, si ces soirées sont rares et que tu y trouve ton plaisir.

Mon Dieu que j’ai bien fait d’épouser un tel homme, c’est rassurant et après cette soirée où j’ai évacué énormément de mon adrénaline, je sens que mon corps est apaisé pour un long moment.

• Tu le reverras, tu y retourneras, tu les reverras !
• Non, le contrat était clair avec Ousmane, une seule fois, sinon j’aurais l’impression de te tromper.
• Alors, je te pardonne...

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