COLLECTION FOLLE DU CUL. Pourquoi je t’inflige cela (3/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Pourquoi je t’inflige cela (3/4)
« Alors, je te pardonne. »
Ce sont les quatre mots que Pierrot dit à sa Colombine après son retour de l’orgie sexuel lui ayant enfin permis d’apaiser ses sens.
Du moins, elle l’espère.
C’est en allant à un rendez-vous avec une bite noire lui ayant promis qu’elle retrouverait les moments intenses qu’elle avait vécus dans sa jeunesse avec Fred, l’amant de sa mère, qu’elle est de retour, apaisé.
Quatre mots qui résonnent dans cette chambre conjugale alors qu’elle s’est comportée comme une véritable salope envers celui à qui elle avait juré fidélité.
Bite noire qui s’est avéré être deux bites noires quand ceux qui se sont occupés d’elle allant même jusqu’à la prendre en double pénétration se sont découverts.
Deux bites dont celle du jeune frère qui en a profité par la même occasion pour se faire dépuceler.
Au matin, malgré la crème adoucissante que Pierrot m’avait passée délicatement, allant même, pour la première fois, jusqu’à m’entrer un doigt dans mon anus, j’ai une petite douleur lancinante.
Je décide d’oublier jusqu’au nom des garçons m’ayant aidé à trahir celui qui est si bon pour moi.
Ils le savent quand je suis partie, ils m’ont proposé de revenir, mais le faire, ça serait trahir Pierrot, une fois c’est déjà beaucoup, deux ça serait du vice.
J’étais prête à tous quitter, même ma fille, pour ce moment de plaisir qui me fuyait avec mon mari trop doux pour moi et manquant d’imagination dans notre sexualité.
Souvent il est dit que c’est la faute de la femme si le couple va de travers, mais quand ce matin je me réveille et que je passe ma main sur sa verge, il la repousse et se tourne.
C’est à ce moment que Susy fait appel à sa maman.
Je vais la changer et lui préparer son bibi.
Est-ce le fait de retrouver mon rôle de mère, mon retour de couches me rattrape.
Ça me rassure, je me suis fait défoncer sans capote, risquant de me retrouver avec un petit black.
(Note de Chris71 : ça c’est pour vous, mesdames qui me parlent des protections inexistantes dans nos histoires de cul.) En temps normal, le dimanche matin, dès que Susy est prête, je vais courir afin de retrouver mes formes d’avant sa naissance et aussi celle de ma jeunesse.
Là, je prépare un jus de citron pour moi et un petit déjeuner copieux pour Pierrot, afin de redevenir sa Colombine.
• Mon chéri, j’aimerais t’offrir un fils rapidement, inutile que je me remette un stérilet.
Est-ce le baiser qu’il me donne qui scelle notre accord pour douze mois, car nous faisons l’amour comme il aime réfrénant mes ardeurs à certains moments ou ma chatte me démange de retrouver des grandes défonces.
Douze mois, car mon test positif met du temps à me déclarer enceinte.
Neuf mois voyant mon corps se transformer et rapidement apprendre que nous aurons une deuxième fille, Augustine, nom de la grand-mère de Pierrot.
J’aurais préféré Coralie, mais j’ai tellement de choses à me faire pardonner que j’accepte la volonté de mon époux.
• Bonjour, je suis Juliette, je suis contente de vous rendre service, je consulte la réunion la plus proche de chez-vous Colombine.
Deux mois que j’ai accouché, deux mois ou contrairement à la naissance de Susy, je suis calme.
M’habituerais-je au sexe à la papa ?
Hélas, un soir, je veux que nous baisions et Pierrot de se plaindre de migraine.
Ma chatte est frustrée.
Le lendemain, je vais sur l’ordi et je trouve une association qui aide les accros au sexe.
C’est elle qui vient de répondre à ma demande.
• Bonjour, je suis Marie, on me donne le bon Dieu sans confession.
J’étais accro au sexe, allant même jusqu’à me prostituer pour avoir un nombre de queues toujours plus nombreuses en moi.
Ça fait un an que je suis devenue abstinente de rapport extra conjugale.
• Pourtant, tu fais l’amour !
• Oui, seulement avec mon mari.
• Bravo Marie vient chercher ta médaille.
La douzaine de personnes présentent à 40 kilomètres de chez-moi applaudissent.
Ça me donne un espoir de calmer mon envie de sexe qui monte en moi.
Parler comme le fond ces gens de mon problème surtout pour notre couple semble être une solution au regard de Marie.
• Bonjour, on m’a appelé Colombine, je suis accro au sexe violent et pour assouvir mes envies, je trompe mon mari trop doux.
• Bonjour Colombine.
• Accueillons Colombine qui a su nous rejoindre pour freiner sa boulimie de sexe violent.
• Bonjour, je m’appelle Fredy, je suis très violent dans mes rapports.
Ça fait deux mois que je résiste à mes penchants grâce à votre association.
• Bonjour, Fredy.
Fredy me regarde avec le même regard que le faisait Fred, mon premier amant lorsqu’il me défonçait.
Fredy, Fred, est-ce le nom qui fait d’eux des sadiques bien que les moments passés avec l’amant de ma mère, je les considère comme des simples actes d’amour plus poussés que ceux que Pierrot m’offre.
La réunion se termine par le verre de l’amitié constitué de jus d’orange.
Arrêté d’être accro au sexe pour tomber dans l’addiction à l’alcool serait un combleFredy se rapproche de moi.
• Dommage, que j’ai retrouvé l’équilibre dans mes rapports avec des femmes depuis que, j’ai arrêté de vous dominer chère madame.
Quand je vois ta tenue, tu avais dans l’idée de te faire défoncer, je me trompe.
J’ai vu d’où tu es arrivé, si l’envie te prend, à gauche à 10 kilomètres, il y a un restaurant de routier.
C’est le rendez-vous de chauffeurs arrivant des pays de l’Est, ils sont en manque de femme, roulant des semaines entières.
Tu pourras trouver ton bonheur, ils sont loin d’être tendre.
Je quitte la réunion bien décidée à retrouver Pierrot, Susy et Augustine.
Il est vrai que j’ai une tenue plus que provocante, mais j’ignorais que je recevrais un conseil d’un lieu ou je pourrais assouvir mes bas instincts.
Je passe devant le parking, quatre camions sont arrêtés.
Cinq kilomètres, mon mal de ventre si connu se faisant sentir.
Je continue jusqu’à un rond-point, la voiture retour seule jusqu’au parking.
Je m’arrête et je prends mon portable.
• Pierrot, nos filles sont couchées !
• Oui, pourquoi ?
• Je vais rentrer tard.
• Tu vas...
• Oui, je vais, tu m’as demandé d’être franche, tu vois je le suis.
• Et on peut savoir.
• Non, je devais simplement te prévenir.
Et je raccroche.
Je descends, j’ôte ma culotte, si ce que Fredy m’a dit est vrai, inutile de porter ce sous-vêtement.
J’entre, un bar, une table ou un homme aux gros bras mange des tripes avec pommes de terre.
Il y a du jus qui coule sur son marcel lorsqu’il mange.
Un vrai porc, mais ses tatouages sur son torse velu et ses bras présagent un homme d’une rare violence, du moins sexuellement, il va de soi.
Je m’assieds sur un tabouret de bar très haut pour mon allure fluette.
Je me positionne pour que le routier, dont j’ignore la nationalité, puisse voir que je suis à sa disposition.
Je lui offre ma chatte blonde.
Rapidement, je vois que je l’intéresse, il déglutit ses dernières bouchées, le patron lui amène un café qu’il boit d’une traite.
Ça doit le brûler, du moins, moi, ça me brûlerait et se lève posant des billets sur la table et sortant me faisant signe d’un regard.
Je le suis, il ouvre un camion, je vais pour monter, comme dirait l’autre que la fête commence.
Je suis presque dans la cabine qui sent le mâle viril.
Il me passe la main sous ma jupe et va directement à mon sexe.
Je m’arrête, je veux qu’il me fouille, il le fait et j’ai déjà presque tous ses doigts en moi quand je défaille.
Je perds pied devant la bourrasque qui me ravage et d’un coup je me retrouve fistée, sa main est entièrement en moi.
Je suis carrément assise sur son poing tenu par son gros bras, prise comme jamais.
L’amant de ma mère, les blacks et maintenant un poing dans ma chatte me soulevant comme si j’étais une plume et reposant mes pieds dans sa cabine.
Je me trouve placé sur la banquette pour les passagers.
Il tourne les boutons d’une radio de sa main libre, j’ai l’impression d’être dans la boîte de nuit où j’ai baisé dans les toilettes.
Je sens qu’il se dégraphe alors que son poing est à deux doigts de me faire partir, mais lorsqu’il m’encule c’est pire que ça.
En double péné, poings, verge, qui me semble un vrai tison tellement, elle me déchire.
Je perds pied à nouveau tombant dans les pommes.
• Ou suis-je, Fredy, mais pourquoi suis-je dans ta voiture.
• J’ai vu ton envie de te faire sauter quand je t’ai parlé des camionneurs, je t’ai suivi, je t’ai vu revenir du restaurant avec un Tchèque, je l’ai vu te faire monter dans son camion.
Il t’a donné ce que tu cherchais, et j’ai vu la portière se rouvrir et il t’a déposé au sol, d’une seule main.
Je t’avais dit qu’il y avait de vraies bêtes, je t’ai récupéré et nous avons détalé, il avait du appelé des copains par sa radio Cb, car un autre camion est venu se mettre à ses côtés.
Je les connais, au matin tu aurais fait ce que chez nous, on appelle une tournante de camion en camion et ils t’auraient massacré.
Veux-tu y retourner ?...
Ce sont les quatre mots que Pierrot dit à sa Colombine après son retour de l’orgie sexuel lui ayant enfin permis d’apaiser ses sens.
Du moins, elle l’espère.
C’est en allant à un rendez-vous avec une bite noire lui ayant promis qu’elle retrouverait les moments intenses qu’elle avait vécus dans sa jeunesse avec Fred, l’amant de sa mère, qu’elle est de retour, apaisé.
Quatre mots qui résonnent dans cette chambre conjugale alors qu’elle s’est comportée comme une véritable salope envers celui à qui elle avait juré fidélité.
Bite noire qui s’est avéré être deux bites noires quand ceux qui se sont occupés d’elle allant même jusqu’à la prendre en double pénétration se sont découverts.
Deux bites dont celle du jeune frère qui en a profité par la même occasion pour se faire dépuceler.
Au matin, malgré la crème adoucissante que Pierrot m’avait passée délicatement, allant même, pour la première fois, jusqu’à m’entrer un doigt dans mon anus, j’ai une petite douleur lancinante.
Je décide d’oublier jusqu’au nom des garçons m’ayant aidé à trahir celui qui est si bon pour moi.
Ils le savent quand je suis partie, ils m’ont proposé de revenir, mais le faire, ça serait trahir Pierrot, une fois c’est déjà beaucoup, deux ça serait du vice.
J’étais prête à tous quitter, même ma fille, pour ce moment de plaisir qui me fuyait avec mon mari trop doux pour moi et manquant d’imagination dans notre sexualité.
Souvent il est dit que c’est la faute de la femme si le couple va de travers, mais quand ce matin je me réveille et que je passe ma main sur sa verge, il la repousse et se tourne.
C’est à ce moment que Susy fait appel à sa maman.
Je vais la changer et lui préparer son bibi.
Est-ce le fait de retrouver mon rôle de mère, mon retour de couches me rattrape.
Ça me rassure, je me suis fait défoncer sans capote, risquant de me retrouver avec un petit black.
(Note de Chris71 : ça c’est pour vous, mesdames qui me parlent des protections inexistantes dans nos histoires de cul.) En temps normal, le dimanche matin, dès que Susy est prête, je vais courir afin de retrouver mes formes d’avant sa naissance et aussi celle de ma jeunesse.
Là, je prépare un jus de citron pour moi et un petit déjeuner copieux pour Pierrot, afin de redevenir sa Colombine.
• Mon chéri, j’aimerais t’offrir un fils rapidement, inutile que je me remette un stérilet.
Est-ce le baiser qu’il me donne qui scelle notre accord pour douze mois, car nous faisons l’amour comme il aime réfrénant mes ardeurs à certains moments ou ma chatte me démange de retrouver des grandes défonces.
Douze mois, car mon test positif met du temps à me déclarer enceinte.
Neuf mois voyant mon corps se transformer et rapidement apprendre que nous aurons une deuxième fille, Augustine, nom de la grand-mère de Pierrot.
J’aurais préféré Coralie, mais j’ai tellement de choses à me faire pardonner que j’accepte la volonté de mon époux.
• Bonjour, je suis Juliette, je suis contente de vous rendre service, je consulte la réunion la plus proche de chez-vous Colombine.
Deux mois que j’ai accouché, deux mois ou contrairement à la naissance de Susy, je suis calme.
M’habituerais-je au sexe à la papa ?
Hélas, un soir, je veux que nous baisions et Pierrot de se plaindre de migraine.
Ma chatte est frustrée.
Le lendemain, je vais sur l’ordi et je trouve une association qui aide les accros au sexe.
C’est elle qui vient de répondre à ma demande.
• Bonjour, je suis Marie, on me donne le bon Dieu sans confession.
J’étais accro au sexe, allant même jusqu’à me prostituer pour avoir un nombre de queues toujours plus nombreuses en moi.
Ça fait un an que je suis devenue abstinente de rapport extra conjugale.
• Pourtant, tu fais l’amour !
• Oui, seulement avec mon mari.
• Bravo Marie vient chercher ta médaille.
La douzaine de personnes présentent à 40 kilomètres de chez-moi applaudissent.
Ça me donne un espoir de calmer mon envie de sexe qui monte en moi.
Parler comme le fond ces gens de mon problème surtout pour notre couple semble être une solution au regard de Marie.
• Bonjour, on m’a appelé Colombine, je suis accro au sexe violent et pour assouvir mes envies, je trompe mon mari trop doux.
• Bonjour Colombine.
• Accueillons Colombine qui a su nous rejoindre pour freiner sa boulimie de sexe violent.
• Bonjour, je m’appelle Fredy, je suis très violent dans mes rapports.
Ça fait deux mois que je résiste à mes penchants grâce à votre association.
• Bonjour, Fredy.
Fredy me regarde avec le même regard que le faisait Fred, mon premier amant lorsqu’il me défonçait.
Fredy, Fred, est-ce le nom qui fait d’eux des sadiques bien que les moments passés avec l’amant de ma mère, je les considère comme des simples actes d’amour plus poussés que ceux que Pierrot m’offre.
La réunion se termine par le verre de l’amitié constitué de jus d’orange.
Arrêté d’être accro au sexe pour tomber dans l’addiction à l’alcool serait un combleFredy se rapproche de moi.
• Dommage, que j’ai retrouvé l’équilibre dans mes rapports avec des femmes depuis que, j’ai arrêté de vous dominer chère madame.
Quand je vois ta tenue, tu avais dans l’idée de te faire défoncer, je me trompe.
J’ai vu d’où tu es arrivé, si l’envie te prend, à gauche à 10 kilomètres, il y a un restaurant de routier.
C’est le rendez-vous de chauffeurs arrivant des pays de l’Est, ils sont en manque de femme, roulant des semaines entières.
Tu pourras trouver ton bonheur, ils sont loin d’être tendre.
Je quitte la réunion bien décidée à retrouver Pierrot, Susy et Augustine.
Il est vrai que j’ai une tenue plus que provocante, mais j’ignorais que je recevrais un conseil d’un lieu ou je pourrais assouvir mes bas instincts.
Je passe devant le parking, quatre camions sont arrêtés.
Cinq kilomètres, mon mal de ventre si connu se faisant sentir.
Je continue jusqu’à un rond-point, la voiture retour seule jusqu’au parking.
Je m’arrête et je prends mon portable.
• Pierrot, nos filles sont couchées !
• Oui, pourquoi ?
• Je vais rentrer tard.
• Tu vas...
• Oui, je vais, tu m’as demandé d’être franche, tu vois je le suis.
• Et on peut savoir.
• Non, je devais simplement te prévenir.
Et je raccroche.
Je descends, j’ôte ma culotte, si ce que Fredy m’a dit est vrai, inutile de porter ce sous-vêtement.
J’entre, un bar, une table ou un homme aux gros bras mange des tripes avec pommes de terre.
Il y a du jus qui coule sur son marcel lorsqu’il mange.
Un vrai porc, mais ses tatouages sur son torse velu et ses bras présagent un homme d’une rare violence, du moins sexuellement, il va de soi.
Je m’assieds sur un tabouret de bar très haut pour mon allure fluette.
Je me positionne pour que le routier, dont j’ignore la nationalité, puisse voir que je suis à sa disposition.
Je lui offre ma chatte blonde.
Rapidement, je vois que je l’intéresse, il déglutit ses dernières bouchées, le patron lui amène un café qu’il boit d’une traite.
Ça doit le brûler, du moins, moi, ça me brûlerait et se lève posant des billets sur la table et sortant me faisant signe d’un regard.
Je le suis, il ouvre un camion, je vais pour monter, comme dirait l’autre que la fête commence.
Je suis presque dans la cabine qui sent le mâle viril.
Il me passe la main sous ma jupe et va directement à mon sexe.
Je m’arrête, je veux qu’il me fouille, il le fait et j’ai déjà presque tous ses doigts en moi quand je défaille.
Je perds pied devant la bourrasque qui me ravage et d’un coup je me retrouve fistée, sa main est entièrement en moi.
Je suis carrément assise sur son poing tenu par son gros bras, prise comme jamais.
L’amant de ma mère, les blacks et maintenant un poing dans ma chatte me soulevant comme si j’étais une plume et reposant mes pieds dans sa cabine.
Je me trouve placé sur la banquette pour les passagers.
Il tourne les boutons d’une radio de sa main libre, j’ai l’impression d’être dans la boîte de nuit où j’ai baisé dans les toilettes.
Je sens qu’il se dégraphe alors que son poing est à deux doigts de me faire partir, mais lorsqu’il m’encule c’est pire que ça.
En double péné, poings, verge, qui me semble un vrai tison tellement, elle me déchire.
Je perds pied à nouveau tombant dans les pommes.
• Ou suis-je, Fredy, mais pourquoi suis-je dans ta voiture.
• J’ai vu ton envie de te faire sauter quand je t’ai parlé des camionneurs, je t’ai suivi, je t’ai vu revenir du restaurant avec un Tchèque, je l’ai vu te faire monter dans son camion.
Il t’a donné ce que tu cherchais, et j’ai vu la portière se rouvrir et il t’a déposé au sol, d’une seule main.
Je t’avais dit qu’il y avait de vraies bêtes, je t’ai récupéré et nous avons détalé, il avait du appelé des copains par sa radio Cb, car un autre camion est venu se mettre à ses côtés.
Je les connais, au matin tu aurais fait ce que chez nous, on appelle une tournante de camion en camion et ils t’auraient massacré.
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