COLLECTION FOLLE DU CUL. Tel est pris qui croyait prendre (1/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Tel est pris qui croyait prendre (1/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Tel est pris qui croyait prendre (1/5)
Il y a quelque temps, j’ai réussi à trouver le mot de passe de mon mari sur son ordi.
Facile annaelisa59.
Anna, prénom de notre fille aînée sept ans et Élisa notre deuxième fille de quatre ans.
59 notre département nous habitons à Bondues.
Sans pour autant l’espionner, il m’arrive quand je suis seule d’aller voir avec qui il correspond.
J’oublie la politesse avant de vous parler des autres, je m’appelle Audrey, 31 ans pour moi et 32 ans pour Tony, mon mari.
Comme le mot de passe le suggère, nous avons deux enfants, hélas, deux filles.
Un temps Tony a voulu avoir un fils, mais je l’en ai dissuadé, prétextant l’avenir et les frais pour les études, même si nous avons souscri une assurance payable tous les mois.
Ça me permet d’être tranquille côté sexe, sans me refuser, chaque fois que je peux éviter d’avoir des rapports sans pratiquer le cul tourné, j’arrive assez bien à éviter d’être esclave de la verge de Tony.
Un mail m’interpelle, je vous le livre tel que je le lis, tombant littéralement de ma chaise.

« Bonjour, j’adore vos textes sur histoire de sexe...
Je recherche un auteur qui pourrait écrire un récit en mettant en scène ma femme...
Si cela vous intéresse, je pourrai vous donner des détails physiques...
Au plaisir. »
Je suis décontenancé, on le serait à moins.
Ce mail est adressé à Chris71 avec son adresse mail à lui aussi.
Christ.71.g.e@gmail.com.

« Récits sur histoire de sexe. »
Je tape ces mots sur le moteur de recherche de mon portable.
Je découvre un site portant ce nom ou de nombreux auteurs écrivent diverses histoires.
Je trouve Chris71 parmi les auteurs, plus de 1 400 textes à son actif et surtout près de 8 500 000 personnes l’ayant lu.
Je vois qu’il écrit diverses histoires sur des collections.
Il a des textes dans une collection « Zone rouge ».
Nous sommes allées avec Pierre à Amsterdam dans le quartier dit rouge où des femmes se prostituaient présentant leurs charmes dans des vitrines.
C’était chaud, ces histoires doivent l’être.
Je passe deux jours à lire.

« Demain, je me marie. »« Le père Noël est un niqueur. »Sans oublier « Poupette » se passant principalement aux États unis dans le milieu des défilés de jeunes filles finissant par être, elles aussi des prostitués.
Elles sont là pour satisfaire l’appétit de sexe et d’argent d’hommes sans scrupule.
Je dois reconnaître que l’un des mails que Tony envoie à Chris71 m’interpelle.
Il a le culot de parler de notre intimité, lui disant que je suis « réservée et sans libido ».
Je me surprends à écarter les pans de mon peignoir pour me caresser les seins découvrant leur extrême sensibilité et surtout ma fente qui dégouline dès que j’y mets mes doigts.
Rapidement ils sont loin de me suffire lorsque je lis, « le squat. »Comment une humble mère de famille peut-elle tomber autant dans la débauche, finissant comme une clocharde à se faire baiser par tout ce qui bouge sur des matelas infâmes ?
Aux files des chapitres, il me manque quelque chose.
Pour midi, j’ai préparé des carottes râpées et j’ai vu que j’avais acheté un concombre.
Sans me poser plus de question, je vais le chercher et j’ai un orgasme dévastateur à le faire aller et venir en moi.
Je venais de m’apercevoir que moi aussi, j’étais capable à certains extrêmes inimaginables pour gagner mon plaisir.
L’adresse mail de cet auteur m’hypnotise, à un moment je décide de joindre Chris71 pour lui dire que je suis la femme de Tony avec qui il dialogue.
Il me répond avec gentillesse et rapidement comprend la situation.
Une idée lui vient, et si c’était moi qui proposais des idées de scène de sexe que Chris essayerait de susurrer à l’oreille de mon mari pour que j’écrive ma propre histoire.
D’où le titre, qui est pris qui croyait prendre...
Sans qu’il le sache, j’ai une libido, je dirais plutôt des fantasmes jamais exprimés auprès de lui et même des regrets de choses que j’aurais pu faire avant de le connaître et qu’il m’épouse.
Chris veut que je choisisse la collection dans laquelle sera écrite mon histoire.

« COLLECTION ZONE ROUGE » nous tentait, mais vexé que Tony me dise à moitié frigide, c’est dans la « COLLECTION FOLLE DU CUL » que Chris propose à mon mari l’histoire qui va suivre.
Excusez, le concombre me sert deux fois, car j’ai commencé « Jeanne, la pucelle » dans cette collection et une nouvelle fois, j’atteins des sommets de plaisir.
Je jouis tellement que je suis à deux pas de la catastrophe lorsqu’il se casse avec par chance assez pour que je récupère le morceau en moi.
Après, je finis le texte, car le détournement de cette figure de l’histoire française en salope se faisant baiser par qui veut d’elle me plait énormément.
Mais revenons à mes moutons, voilà ce que Chris m’envoi avant de le soumettre à Tony.

Audrey, c’est le joli nom que m’ont donné mes parents, ouvriers dans le Nord de la France où j’ai passé ma jeunesse et ou ma vie sexuelle a débuté !
Vie sexuelle quand je m’aperçois que la nature m’a doté d’un sexe qui à ce jour spécial pour une fille, mon premier sang, a coulé.
La claque que maman me donne comme je le ferais avec mes filles Anna sept ans et quatre pour Élisa est à jamais gravée sur ma joue.
La nature venait de me montrer que ce que je croyais simplement fait pour faire de gros pipis allait me servir à pimenter ma vie lorsque j’aurais trouvé l’homme capable d’enflammer mon coeur.
J’avais 17 ans lorsque le soir du 14 juillet, nous nous trouvions en vacances et où nous sommes allées voir le feu d’artifice sur la plage.
C’était très beau et repartant vers notre location, sur la place, quelques manèges et surtout un orchestre.
Mon père nous a offert un verre sur la terrasse d’un café, par chance une table se libérant.
Un tango, ils se sont levés et sont partis danser.
Le morceau fini, ils ont attaqué « la lambada » chanson et danse à la mode cette année-là.
J’avais vu le clip à la télé où les danseurs se trémoussaient.
Un jeune homme plus vieux que moi est venu m’inviter.
Sans penser à mal, je me suis levée au moment où mes parents revenaient et avant qu’ils aient le temps de me parler, je me suis mis à reproduire ce que j’avais vu de cette danse.
Moi la pucelle de Bondues, j’ai frotté mon sexe contre celui de ce jeune homme m’apercevant rapidement que je le faisais bander.

« Chris, peux-tu changer le dernier mot « bander », car à cette époque j’ignorais que les hommes bandaient. »
Moi la pucelle de Bondues, j’ai frotté mon sexe contre celui de ce jeune homme m’apercevant rapidement que quelque chose de dure se développait.
C’est à ce moment que la main de mon père m’a tiré hors des danseurs me traitant de « salope ».
Ce fut mon premier souvenir de ce que la nature a mis entre les jambes des garçons. Après la claque après mes règles, maman m’a expliqué la différence entre un garçon et une fille oubliant de me dire que pour me pénétrer lorsque le moment sera venu, le dessin au repos de mon livre de science devra devenir tout dur.
Malgré le léger traumatisme de cette découverte, j’ai rapidement appris que les garçons et les filles avaient de grandes différences.
C’est lorsque j’ai eu 23 ans que Tony est venu demander ma main et que mes parents m’ont appris que j’étais fiancée.
J’allais pouvoir me servir du sexe de cet homme après avoir dit « oui, je le veux » au maire et au curé.
C’est donc certainement mon éducation très stricte qui a pu faire dire à mon mari que je suis réservée et sans libido.

Ce matin, je conduis mes filles à l’école.
Comme chaque jour, Anna refuse que je la conduise avec sa sœur jusqu’à la grille de l’école primaire.
C’est déjà une jeune fille, du moins elle le croit alors que pour moi, c’est toujours un bébé, mon bébé.
Elle rejoint une autre jeune de son âge et du coin de la rue, je surveille à ce qu’elle entre bien dans la cour avant de me diriger vers la maternel, l’entrée étant dans la rue perpendiculaire à l’autre.
Nous étions au courant que Maryse, la maîtresse d’Élisa serait remplacée, pour partir en congé maternité à trois semaines de la fin d’année.
C’est un homme qui parle à Geneviève ayant un fils dans la classe de la mienne.
Il est de dos et quand je m’approche, il se retourne.
Geneviève, le salut et part en courant.
Elle travaille à l’agence de voyage de Bondues et est tout le temps en retard.
Lorsque je le regarde, mon fantasme devient réalité.
Je peux parler de fantasme, car après l’épisode de la lambada, le visage du garçon m’ayant invité et m’ayant appris que les garçons bandaient ai resté gravé en moi.
Si Tony voyait ma petite culotte, il constaterait que sa femme mouille.
Bien sûr, Julien, c’est comme cela qu’il se présente, est le sosie de l’homme qui a dû aller faire sa vie ailleurs.
J’ai vu un reportage disant que chacun de nous à son sosie sur la planète, c’est le cas du jeune homme.
Lorsque je rentre à la maison, c’est le gode que je viens d’acquérir depuis hier par Internet afin de remplacer mon concombre qui me fait jouir.
Tous les jours jusqu’au vendredi, ma libido s’exaspère sachant qu’il est hors de question de tromper Tony.
Le dimanche, je vais faire le marché place de l’église où j’ai dit « oui ».

- Madame Audrey, heureux de vous voir, on se parle trop rapidement le matin, il faut que je partage mon temps avec toutes les mamans.
- Bonjour, monsieur Julien, vous faites vos courses !
- Oui, j’habite à l’hôtel à côté, car à la rentrée prochaine, j’attends un poste que j’espère pour quelques années, mais, hélas, j’ignore à ce jour où j’atterrirais.
Le patron me permet de manger dans ma chambre.
Je vous offre un verre au café !

Je le suis, j’ai ma main sur la table et la sienne vient en contact m’électrisant tout le corps.
Mais comment ai-je pu accepter de venir dans cette galère ?

En même temps que ce texte, premier chapitre de mon aventure Chris me fait parvenir le mail de Tony ayant reçu, lui aussi le texte.

« Ouiiii »
Je lui réponds.

« Ouiiii »
Ça marche, Tony gobe tout ce que je susurre à Chris...

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